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Saint-Loup-Géanges

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Saint-Loup-Géanges
Saint-Loup-Géanges
Stèle située entre Saint-Loup et Géanges, rendant hommage à leurs libérateurs et notamment à Ali Ben Belgagen Ben Mohamed, militaire du 3e régiment de Zouaves, tombé à cette place le 6 septembre 1944.
Blason de Saint-Loup-Géanges
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Chalon-sur-Saône
Intercommunalité Le Grand Chalon
Maire
Mandat
Jean-Frédéric Garnier
2020-2026
Code postal 71350
Code commune 71443
Démographie
Gentilé Sanlupéens
Population
municipale
1 639 hab. (2021 en évolution de +1,05 % par rapport à 2015)
Densité 64 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 56′ 51″ nord, 4° 54′ 32″ est
Superficie 25,72 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Beaune
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gergy
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Loup-Géanges
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Saint-Loup-Géanges
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Saint-Loup-Géanges
Liens
Site web saint-loup-geanges.fr

Saint-Loup-Géanges est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie

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Situé au nord de la Saône-et-Loire (Bourgogne-Franche-Comté), entre les villes de Beaune et de Chalon-sur-Saône.

Communes limitrophes

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Accès et transports

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Géologie et relief

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Sur les 2 572 hectares de la commune, il y a 800 hectares de bois et 1 460 hectares de terres agricoles[1]. Les sols ont pour origine l'ère du quaternaire ancien et du quaternaire récent[2].

Sur le territoire de la commune est partiellement implantée une forêt domaniale : la forêt des Étangs (contenance totale : 622,44 ha), peuplée de feuillus[3].

Hydrographie

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Il y a plusieurs étangs : (étang de Maizières, messire Jean, de Bruyère et Rau), une rivière (la Dheune) et une autre (petite) la Vendaine.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 754 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bragny sur Saône », sur la commune de Bragny-sur-Saône à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 845,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,3 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −12,9 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Au , Saint-Loup-Géanges est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beaune, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[12]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (60,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47 %), forêts (31,7 %), prairies (11 %), zones urbanisées (7,2 %), eaux continentales[Note 3] (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

À la fin de l'époque médiévale ces deux villages étaient des seigneuries ecclésiastiques : Saint-Loup relevait de la baronnie de la Salle, appartenant aux évêques de Chalon-sur-Saône, depuis le XIIIe siècle et celui de Géanges à l'abbaye Sainte-Marie de Saint-Jean-le-Grand d'Autun.

En 2001, les conseils municipaux des communes de Saint-Loup-de-la-Salle et Géanges décident de mettre en place une fusion des deux villages. L'année suivante, un référendum est organisé et le oui l'emporte à 90 % à Saint-Loup-de-la-Salle et à 59 % à Géanges[16]. La fusion de ces deux communes entre en vigueur le .

  • Saint-Loup : Saint Loup de la Salle (1793), Saint-Loup-Géanges (2002).
  • Géanges : Jadangos (787), Jedenges/Jedanges (Xe ou XIe siècle), Granges (1801).

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
  juin 1995 Jean Courtin    
juin 1995 mars 2001 Roger Goyard PCF  
mars 2001 en cours Bernard Lacombre[17]    
Les données manquantes sont à compléter.

Canton et intercommunalité

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Au , la commune de Saint-Loup-Géanges ainsi que sa voisine de Change ne sont pas intégrées à une intercommunalité alors que la réforme des collectivités territoriales les y obligeait. Ces deux communes devaient rejoindre Le Grand Chalon mais un recours a été porté sur l'adhésion de la commune de Chaudenay à cette dernière[18] ; compte tenu de ce contentieux, la communauté d'agglomération a stoppé le projet d'intégration en attendant le règlement du litige.

Le , avec la mise en place du nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, la commune rejoint la communauté d'agglomération du Grand Chalon.

Instance judiciaire et administrative

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Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[20].

En 2021, la commune comptait 1 639 habitants[Note 4], en évolution de +1,05 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7608108458538751 0129871 1001 093
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0821 0701 0631 0161 013991973961924
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
870823782682700657663650558
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
5435245195847087651 3801 4241 563
2015 2020 2021 - - - - - -
1 6221 6441 639------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramides des âges

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Enseignement

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Cette commune possède un groupe scolaire de 220 élèves en maternelles et primaires[1].

Il y existe également un cabinet conseil indépendant en vulgarisation scientifique « Le Jardin Expérimental » qui travaille avec les partenaires publiques et privés qui le souhaitent.

Il y a une maison de santé composée de trois médecins généralistes, trois infirmiers, une diététicienne, deux masseurs kinésithérapeutes, un orthophoniste, un ostéopathe, un praticien en hypnothérapie et un sophrologue. Il y a également une pharmacie. Les centres hospitaliers les plus proches se situent à Beaune et Chalon-sur-Saône.

Ce village possède une salle des sports ou évolue le club de basket-ball du « Basket Club Saint-Loup-Géanges » qui évolue en 2011-2012, au niveau régional en Bourgogne, en Excellence Masculine (2e niveau régional)[23]. Ce club compte environ 120 licenciés[1].

Associations

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Culte catholique. Saint-Loup-Géanges appartient à la paroisse Saint-Jean-Baptiste-des-Trois-Rivières, qui relève du diocèse d'Autun et a son siège à Verdun-sur-le-Doubs.

Écologie et recyclage

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Il y a des commerces de proximité dans la commune[1] : un Intermarché avec station d’essence, de lavage automobile, une laverie automatique et une station de gonflage des pneus et d'aspiration, un kiosque à pizzas, une boulangerie, un café, un restaurant, une entreprise de fermetures (volets, stores, portails), un salon de toilettage chiens et chats, un espace détente et zen, une entreprise mécanique et services, et un salon de coiffure[24]. L'agriculture est bien présente avec sept agriculteurs[25]. Il y a aussi : deux électriciens, un maçon, un plombier-chauffagiste, un menuisier, un garage automobile, un magasin d'informatique, un horticulteur et deux entreprises d'entretien d'espaces verts[24].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'abbaye de Maizières

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Abbaye fondée en 1126 par les moines de l'abbaye de La Ferté.

L'étang de Maizières ou des Quarante Arpents

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Près de la ferme des Quarante Arpents au sud-est de Saint Loup-Géanges, se situe un étang construit sur le cours d'une petite rivière, la Vendaine. Il fut créé au XVe siècle par les moines de l'abbaye de Maizières et cette création fut à l'origine d'un conflit entre les moines et l’évêque de Châlon alors propriétaire de l’étang situé en aval, l'étang de Baignant. L'évêque estimait qu'il avait seul le droit de construire des chaussées sur ce cours d'eau et fit détruire la digue des moines par Gauthier de Marcilly.

En 1451, les moines portent plainte. L'évêque réplique et les moines font appel au Parlement de Paris qui en 1455 oblige l'évêque à réparer la digue et à abaisser le niveau de celle de l'étang de Baignant.

Les moines pour bien marquer leur possession donnent à l'étang le nom d'étang de Maizières.

L'église Saint-Loup-et-Saint-Roch

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Église construite entre le milieu du XIIe siècle et le milieu du XIIIe siècle.

L'ancien moulin de Saint-Loup

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Moulin entré en 1304 sous la dépendance de l'abbaye de Maizières, vendu nationalement en 1791, électrifié en 1946 et qui fonctionna jusqu'en 1970[26].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Saint-Loup-Géanges Blason
Écartelé : au 1er d'azur à la mitre adextrée en chef d'une fleur de lys et senestrée d'une crosse, le tout d'or, à la bordure componée d'argent et de gueules, au 2e bandé d'or et d’azur, à la bordure de gueules, au 3e de gueules au chêne d'or, au 4e d'azur à l'amphore d'or[27].
Détails
La mitre et la crosse sont pour l'abbaye de Maizières. La fleur de lys et la bordure évoque les armes de Bourgogne moderne. Le deuxième est pour la Bourgogne ancienne. Les troisième et quatrième évoquent respectivement les armes des anciennes communes (voir ci-dessous) de Saint-Loup-de-la-Salle et de Géanges, qui ont fusionné pour former la commune nouvelle de Saint-Loup-Géanges en 2003.

Création de Jean-Frédéric Garnier (maire), Brigitte Prudhon, Anne-Marie Caillot et Patrice Haberthur, adoptée le .
Saint-Loup-de-la-Salle
Blason de Saint-Loup-de-la-Salle Blason
Bandé d'or et d'azur de 6 pièces à la bordure de gueules. Au franc-quartier d'argent chargé d'un chêne de sinople posé sur une rivière tri-ondée d'azur à l'étoile à 7 rais d'or posée à l'angle dextre du chef.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Géanges
Blason de Géanges Blason
De gueules à l'amphore d'or surmontée d'une jumelle du même placée en chef.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Brigitte Prudhon, La Saint-Roch à Saint-Loup-Géanges, article paru dans la revue trimestrielle Images de Saône-et-Loire, n° 202 de , p. 12-14.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c et d Le Journal de Saône-et-Loire, édition du mardi 22 mars 2011, page local Chalon, Un jour, une commune : Saint-Loup-Géanges, p.  16
  2. Terroirs et vins de France. Itinéraires œnologiques et géologiques, Éditions BRGM, Carte géologique du vignoble bourguignon (Bourgogne et Beaujolais), p. 68 et 69.
  3. Source : « Les forêts domaniales », article rédigé en collaboration avec la direction départementale de l'Office national des forêts et paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 31 (novembre 1976), pp. 7-10.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Saint-Loup-Géanges et Bragny-sur-Saône », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Bragny sur Saône », sur la commune de Bragny-sur-Saône - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Bragny sur Saône », sur la commune de Bragny-sur-Saône - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Loup-Géanges ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beaune », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Le Journal de Saône-et-Loire, édition du mardi 22 mars 2011, page local Chalon, Un jour, une commune : Saint-Loup-Géanges, p.  17
  17. Site de la mairie de Saint-Loup-Géanges, page sur la vie municipale (mot du maire)
  18. [PDF] Procès-verbal de la réunion de la commission départementale de coopération intercommunale de Saône-et-Loire du 4 octobre 2013
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. Le Journal de Saône-et-Loire, édition du lundi 13 février 2012, pages sports, p.  31.
  24. a et b Site de la mairie de Saint-Loup-Géanges, page sur les entreprises et commcerces, Consulté le 16 février 2012.
  25. Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire 2011, Agriculteurs, p.  67.
  26. Source : Flânerie au moulin, article consacré au moulin de Saint-Loup-Géanges paru dans la revue trimestrielle « Images de Saône-et-Loire » (publiée par l'association Groupe Patrimoines 71), n° 203 de septembre 2020, pages 10 et 11.
  27. « 71443 Saint-Loup-Géanges (Saône-et-Loire) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).