Saint-Chély-d'Aubrac

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Saint-Chély-d'Aubrac
Saint-Chély-d'Aubrac
Saint-Chély-d'Aubrac
Blason de Saint-Chély-d'Aubrac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Rodez
Intercommunalité Communauté de communes Aubrac, Carladez et Viadène
Maire
Mandat
Christiane Marfin
2020-2026
Code postal 12470
Code commune 12214
Démographie
Gentilé Saint-Chélois
Population
municipale
518 hab. (2021 en diminution de 5,99 % par rapport à 2015)
Densité 6,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 35′ 29″ nord, 2° 55′ 19″ est
Altitude Min. 560 m
Max. 1 405 m
Superficie 78,65 km2
Élections
Départementales Canton d'Aubrac et Carladez
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Chély-d'Aubrac
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Saint-Chély-d'Aubrac

Saint-Chély-d'Aubrac est une commune française, située au sud du plateau de l'Aubrac, dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.

Le patrimoine architectural de la commune comprend trois immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église Notre-Dame-des-Pauvres, classée en 1925, la tour de Bonnefon, inscrite en 1979, et le pont des Pèlerins, inscrit en 2005.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le nord-est du département de l'Aveyron. Elle est limitrophe du Cantal et de la Lozère.

Situation de la commune.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Saint-Chély-d'Aubrac est placée sur le versant aveyronnais du plateau de l'Aubrac, au sein de la vallée de la Boralde de Saint-Chély-d'Aubrac débouchant au sud sur la vallée du Lot.

La commune se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 393 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Laguiole à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 8,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 441,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Saint-Chély-d'Aubrac offre de nombreux chemins de randonnée. Le village est sur le Sentier de grande randonnée GR 65, trajet mythique pour se rendre à Saint-Jacques-de-Compostelle.

Saint-Chély-d'Aubrac et Aubrac sont les deux étapes aveyronnaises de l'Aubrac qui mènent à la vallée du Lot. On quitte Aubrac à 1 300 mètres d'altitude et, en 7 kilomètres, on arrive à Saint-Chély-d'Aubrac à 800 mètres d'altitude, puis on sort de l'Aubrac par Saint-Côme-d'Olt à 400 mètres d'altitude environ, à une quinzaine de kilomètres.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme est documenté sous les formes : S. Electi (1082), S. Elegii (1248), S. Eligii (1270)… du latin Eligius (Éloi). On a aussi S. Yleri (1266) qui est une interprétation du nom par Saint Hilaire comme pour les Saint-Chély de Lozère[9].

En occitan le nom de la commune est Sanch Èli d'Aubrac[10], en référence à saint Éloi (dont la statue est présente dans l'église). Cependant, à la suite d'une mauvaise interprétation du nom par des scribes, le ch a été transféré du premier au deuxième mot, nous donnant la forme française officielle aujourd'hui : Saint-Chély-d'Aubrac.

Durant la Révolution, la commune a porté le nom de Vallée-Libre[11].

Le dimanche les habitants de Saint-Chély d'Aubrac ont décidé par consultation publique de s'appeler les Saint-Chélois.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et antiquité[modifier | modifier le code]

Carte de l'Aubrac où figure le mont Hélanus et la via Podiensis.

La population de Saint-Chély-d'Aubrac remonte dans un premier temps à la Préhistoire où, près du roc de Castelviel, des silex polis (d'environ 3500 avant J.C.), des haches de pierre et des pieux enfouis dans le sol furent retrouvés. Le chemin GR 65 reprend la via-Podiensis qui est, à cet endroit, l'ancienne voie romaine, et est le moyen le plus simple de rejoindre la vallée du Lot.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Carte ancienne de la région.

Le village fut fortifié au Moyen Âge avec un rempart dont il ne reste aucune trace.

Depuis l'histoire d'Adalard qui se jura, après avoir été pris dans un guet-apens à l'approche d'Aubrac, d'y fonder la Domerie d'Aubrac ou hôpital d'Aubrac, Saint-Chély-d'Aubrac a vécu, vit, et vivra par et pour le pèlerinage.

Voici la plus ancienne version de l'aventure d'Adalard (XVe siècle) :
Adalard, revenant de Compostelle avec sa suite de trente chevaliers, traversait l'Aubrac au crépuscule et cherchait sans doute un abri pour la nuit lorsqu'il avisa une grotte, cachée au plus profond des bois. Mais là, horreur ! les pèlerins y trouvèrent vingt à trente têtes de voyageurs assassinés. Ce ne pouvait être que des pèlerins de Compostelle ! Le Christ apparut alors et demanda à Adalard de fonder un hôpital en cet endroit dangereux. Adalard acheva son pèlerinage et revint, seul, obéir à l'ordre divin…

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

  • 1790-1794 : Saint-Chély est constituée par la réunion de Saint-Chély-de-Belveze et de Saint-Chély-d'Estaing
  • 1837 : Saint-Chély absorbe Bonnefon et Le Pouget.
  • 1936 : Saint-Chély prend le nom de Saint-Chély d'Aubrac.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1796 Étienne Finet[12]    
1796 1800 Joseph Atger[12]    
1800 1812 Étienne Finet[12]    
1812 1813 Urbain Flandrin[12]    
1813 1821 Régis Gaubert[12]    
1821 1830 R., comte de Méric de Vivens[12]    
1830 1848 Auguste Galdemar[12]    
1848 1870 Casimir Mignac[12]    
1870 1880 François-Joseph Bernié[12]    
1880 1881 Jean-Joseph Capoulade[12]    
1881 1886 Auguste, comte de Roquefeuil[12]    
1886 1892 Casimir Bernié[12]    
1892 1892 Paul Finet[12]    
1892 1896 Urbain Galdemar[12]    
1896 1899 Casimir Bernié[12]    
1899 1912 Clément Bonal[12]    
1912 1914 Célestin Raynal[12]    
1914 1923 Jules Fabre[12]    
1923 1929 Julien Galdemar[12]    
1929 1945 Eugène Raynal[12]    
1945 1947 Antoine Grignac[12]    
1947 1955 René Couderc[12]    
1955 1959 Paul Baldit[12]    
1959 1995 Raymond Cayrel[12] UDF Sénateur de l'Aveyron (1993-1995)
Conseiller général du Canton de Saint-Chély-d'Aubrac (1964-1970, 1976-2001)
1995 2014 Jean-Claude Fontanier DVD Conseiller général du Canton de Saint-Chély-d'Aubrac (2008-2015)
Président de la Communauté de communes Aubrac-Laguiole depuis 2008
mars 2014 en cours Christiane Marfin[13],[14]   Ancienne cadre
Les données manquantes sont à compléter.

Environnement[modifier | modifier le code]

Zone Natura 2000

Le plateau central de l'Aubrac aveyronnais a été classé en zone Natura 2000 [15],[16].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[18].

En 2021, la commune comptait 518 habitants[Note 1], en diminution de 5,99 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6381 4753 2533 3263 2893 0442 0881 9942 110
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8731 6971 8091 8281 8151 7991 8671 7601 590
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6321 6001 5941 2721 2411 1491 1491 082899
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
820726606556547532546549539
2018 2021 - - - - - - -
519518-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • La Fête de la Transhumance (tous les ans, le week-end le plus proche du 25 mai)
  • Concours Cantonal de la race Aubrac.
  • À la Rencontre des Écrivains à Aubrac : 26, 27 et 28 août.

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 201 ménages fiscaux[Note 2], regroupant 406 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 720 [I 1] (20 640  dans le département[I 2]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 3] 4 % 5 % 5,3 %
Département[I 4] 5,4 % 7,1 % 7,1 %
France entière[I 5] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 245 personnes, parmi lesquelles on compte 78,4 % d'actifs (73,1 % ayant un emploi et 5,3 % de chômeurs) et 21,6 % d'inactifs[Note 3],[I 3]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 6]. Elle compte 202 emplois en 2018, contre 224 en 2013 et 215 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 195, soit un indicateur de concentration d'emploi de 103,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44,9 %[I 7].

Sur ces 195 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 124 travaillent dans la commune, soit 64 % des habitants[I 8]. Pour se rendre au travail, 53,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 21,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 24,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 9].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

62 établissements[Note 4] sont implantés à Saint-Chély-d'Aubrac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 5],[I 10].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 62
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
8 12,9 % (17,7 %)
Construction 5 8,1 % (13 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
32 51,6 % (27,5 %)
Activités financières et d'assurance 2 3,2 % (3,4 %)
Activités immobilières 1 1,6 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
5 8,1 % (12,4 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
6 9,7 % (12,7 %)
Autres activités de services 3 4,8 % (7,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 51,6 % du nombre total d'établissements de la commune (32 sur les 62 entreprises implantées à Saint-Chély-d'Aubrac), contre 27,5 % au niveau départemental[I 11].

Entreprises[modifier | modifier le code]

L' entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[20] :

  • Les Monts D'aubrac, activités des sociétés holding (2 k€)

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans l'Aubrac, une petite région agricole occupant le nord du département de l'Aveyron[21]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 6] sur la commune est l'élevage de bovins, pour la viande[Carte 2].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 86 58 58 47
SAU[Note 7] (ha) 4 597 4 707 4 237 3 927

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 86 lors du recensement agricole de 1988[Note 8] à 58 en 2000 puis à 58 en 2010[23] et enfin à 47 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 45 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[24],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 4 597 ha en 1988 à 3 927 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 53 à 84 ha[23].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Saint-Chély.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux

La dômerie d'Aubrac, également hôpital d'Aubrac, est un ancien monastère français situé sur le haut-plateau d'Aubrac dans le village d'Aubrac.

  • Église Notre-Dame-des-Pauvres de Saint-Chély-d'Aubrac, de style roman Logo monument historique Classé MH (1925)[25] des XIe et XIIe siècles, mentionnée parmi celles que Pons Étienne donna en 1082 à l'abbaye de Saint-Victor de Marseille sous le nom de Saint-Éloi au-dessous de Belvezet. Elle est reconstruite au XVe siècle, à la suite de son incendie vers 1385 au cours de la guerre de Cent Ans, autour d’une tour des anciennes fortifications lui servant de clocher. Avec ses gros arcs doubleaux, sa tribune a beaucoup de caractère.
  • Croix en fer forgé du XVIIIe siècle.
Patrimoine civil
Galerie de photos

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Gastronomie

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de la commune de Saint-Chély-d'Aubrac

Les armes de la commune de Saint-Chély-d'Aubrac se blasonnent ainsi :
D'azur à la mitre d'argent accostée de deux navettes d'or, les bobines de gueules, au chef cousu du même chargé d'une croisette de Malte aussi d'argent, accostée de deux coquilles aussi d'or.

Les navettes d'or rappellent l'industrie du tissage (présente jusqu'au XVIIIe siècle) et la mitre d'argent concrétise le saint ; en chef, la croix de Malte rappelle les Hospitaliers d'Aubrac tandis que les coquilles Saint-Jacques évoquent les pèlerins de Compostelle.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sources et bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Raymond Cayrel), Sant-Chèli-d'Aubrac : Condom d'Aubrac / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Sant-Chèli, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 238 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-40-8, ISSN 1151-8375, BNF 37078682)
  • Laurent Fau (dir.), Les monts d'Aubrac au Moyen âge : genèse d'un monde agropastoral, Paris, Éd. de la Maison des sciences de l'homme, coll. « Documents d'archéologie française » (no 101), , 214 p., ill., couv. ill. ; 30 cm (ISBN 978-2-7351-1117-6, ISSN 0769-010X, BNF 41039796)
  • Lucette Laurens, Aménagement rural et développement local en Aubrac, Montpellier, Laboratoire de géographie rurale de l'Université Paul-Valéry, coll. « Espace rural » (no 18), , 94 p., ill., couv. ill. ; 29 cm (ISSN 0764-7557, BNF 35003894)
  • Albert Calmels et Hippolyte Coste, L'Aubrac : géologie, orographie, hydrologie, climat, flore, forêts, préhistoire, Marseille, Laffitte, , 213 p., ill. ; 23 cm (ISBN 2-7348-0114-0, BNF 34757881)
  • Étienne Hamon (rédacteur), Francis Nouyrigat (rédacteur) et Pierre Pradel (rédacteur, spécialiste de l'élevage) (photogr. André Kumurdjian, Émile Sudres, Paul Finet.), L'Aubrac : Association pour le développement, l'animation et la sauvegarde d'Aubrac, Millau, Éd. du Beffroi, , 48 p., ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 22 cm (ISBN 2-908123-20-7, BNF 37173007)
  • Francis Nouyrigat, D'Aubrac en vallée : sur le chemin de Saint-Jacques, Rodez, Éd. du Rouergue, , 64 p., ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 23 cm (ISBN 2-84156-474-6, BNF 39090410)
  • Colette Gouvion (photogr. Renaud Dengreville), Une France sauvage : l'Aubrac, Rodez, Éd. du Rouergue, , 251 p., ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 25 cm (ISBN 978-2-8126-0032-6, BNF 42024544)
  • Fédération française de la randonnée pédestre, Tour des monts d'Aubrac : GR de pays - topo-guide, Aumont-Aubrac, Laguiole, Saint-Chély-d'Apcher, Paris, FFRP, , 80 p., ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 21 cm (ISBN 2-85699-811-9, BNF 37108785)
  • Christian Allain, L'Aubrac par monts et par burons : 8 itinéraires de découverte, Montpellier, NPL éd., coll. « Itinéraires et découvertes », , 111 p., ill. en noir et en coul., cartes, couv. ill. en coul. ; 24 cm (ISBN 978-2-35414-013-7, ISSN 2100-9902, BNF 41047460)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  2. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  3. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  4. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  5. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  6. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  7. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  8. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[22].
  • Cartes
  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Plan séisme
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Chély-d'Aubrac et Laguiole », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Laguiole » (commune de Laguiole) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Laguiole » (commune de Laguiole) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne), n° 28338.
  10. « 12 - Avairon », sur Toponimia occitana e senhalizacion en… (consulté le ).
  11. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  12. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w et x Mairie de Saint-Chély-d'Aubrac, Saint-Chély honore ses Maires, Ancienne mairie de Saint-Chély, , 1 p.
  13. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le )
  14. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
  15. DEVN0650433A
  16. Natura 2000 : Fiche du site FR7300871 (Plateau central de l'Aubrac aveyronnais)
  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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