Ceaulmont

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis La Prugne-au-Pot)

Ceaulmont
Ceaulmont
La mairie en 2010.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Châteauroux
Intercommunalité Communauté de communes Éguzon - Argenton - Vallée de la Creuse
Maire
Mandat
Pierre Petitguillaume
2020-2026
Code postal 36200
Code commune 36032
Démographie
Population
municipale
690 hab. (2021 en diminution de 5,99 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 31′ 56″ nord, 1° 33′ 12″ est
Altitude Min. 104 m
Max. 266 m
Superficie 17,38 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Argenton-sur-Creuse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Argenton-sur-Creuse
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Ceaulmont
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Ceaulmont
Géolocalisation sur la carte : Indre
Voir sur la carte topographique de l'Indre
Ceaulmont
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Ceaulmont
Liens
Site web ceaulmont.fr

Ceaulmont, parfois appelée Ceaulmont-les-Granges est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le sud[1] du département, dans la région naturelle du Boischaut Sud.

Les communes limitrophes[1] sont : Badecon-le-Pin (2 km), Gargilesse-Dampierre (2 km), Le Menoux (3 km), Baraize (4 km), Bazaiges (4 km), Celon (6 km), Le Pêchereau (7 km) et Argenton-sur-Creuse (8 km).

Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Argenton-sur-Creuse (8 km), La Châtre (32 km), Châteauroux (33 km), Le Blanc (41 km) et Issoudun (57 km).

Carte
Localisation de la commune de Ceaulmont

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : la Prune, Villarnoux, la Croix, le Multon, le Petit Multon, Auvergne, Chenet, la Petite Barre, la Grande Barre, la Châtaigne, Renault, le Buret, Lavaud, les Champsblancs et les Granges[2].

Géologie et hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].

Le territoire communal est arrosé par la rivière Creuse[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 814 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Éguzon », sur la commune d'Éguzon-Chantôme à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 934,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 5, 5B, 38E, 54, 54D et 913[10].

La ligne des Aubrais - Orléans à Montauban-Ville-Bourbon passe par le territoire communal. La gare ferroviaire la plus proche est la gare d'Argenton-sur-Creuse[10], à 10 km.

Ceaulmont est desservie par la ligne K du Réseau de mobilité interurbaine[11].

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[10], à 45 km.

Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée de pays du Val de Creuse[2].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ceaulmont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Argenton-sur-Creuse, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44,8 %), zones agricoles hétérogènes (36,1 %), forêts (8,4 %), terres arables (6,6 %), zones urbanisées (2,1 %), eaux continentales[Note 3] (2,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[18] de la commune :

Date du relevé 2013 2015
Nombre total de logements 467 462
Résidences principales 71,2 % 70,7 %
Résidences secondaires 16,8 % 16 %
Logements vacants 12,1 % 13,2 %
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 85,2 % 87 %

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Ceaulmont est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Creuse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1990, 1999 et 2008[21],[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Ceaulmont.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[22].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 452 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 452 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[24].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990, 1992, 2002, 2011, 2016, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1983 et 1999[19].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du Barrage d'Éguzon, de classe A[Note 4] et faisant l'objet d'un PPI, mis en eau en 1926, d’une hauteur de 58 mètres et retenant un volume de 57,3 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[26].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Ceaulmont est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[27].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune fut rattachée de 1973 à 2015 au canton d'Éguzon-Chantôme et du au à la communauté de communes du pays d'Éguzon - Val de Creuse.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune dépend de l'arrondissement de Châteauroux, du canton d'Argenton-sur-Creuse, de la deuxième circonscription de l'Indre et de la communauté de communes Éguzon - Argenton - Vallée de la Creuse[28].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1971[29],[30],[31],[32],[33] En cours Pierre Petitguillaume DVD Conseiller général d'Éguzon-Chantôme (1992-2011)
Président de la Chambre de métiers de l'Indre (1992-2011)
Président de la communauté de communes du pays d'Éguzon - Val de Creuse (2014-)
Artisan garagiste retraité

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

En 2021, la commune comptait 690 habitants[Note 5], en diminution de 5,99 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9709289321 0911 1071 1901 1731 1881 175
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1011 1231 1191 1071 1491 1171 1591 1371 103
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0731 004936813765738693635683
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
634603579628621651712726728
2021 - - - - - - - -
690--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dépend de la circonscription académique de La Châtre.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Équipement culturel[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Un site de baignade surveillé[40] (plage de Chenet) est présent dans la commune.

Médias[modifier | modifier le code]

La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, L'Écho du Berry, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

La commune se situe dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie d’Argenton-sur-Creuse[28].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Chatel de Brancion (Laurence) [dir.], Val de Creuse et Val d'Anglin. Nature et patrimoine. Guide, Bélâbre, Histaval, 2023, p. 85-88 (notice de Gérard Coulon).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

wikilien alternatif2

Les coordonnées de cet article :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[25].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Indre »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
  2. a b et c « Ceaulmont » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
  3. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Ceaulmont et Éguzon-Chantôme », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Éguzon », sur la commune d'Éguzon-Chantôme - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Éguzon », sur la commune d'Éguzon-Chantôme - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. a b et c « Ceaulmont »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
  11. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « Comparateur de territoire : Commune de Ceaulmont (36032) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
  19. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Ceaulmont », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur /www.indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  22. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur /www.indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  25. Article R214-112 du code de l’environnement
  26. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur /www.indre.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  27. « cartographie des risques d'inondations du tri de perpignan/saint-cyprien », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  28. a et b « Commune de Ceaulmont (36032) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
  29. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  30. « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  31. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  32. Jean-Michel Bonnin, « Le vétéran mène sa huitième campagne : Ceaulmont. Pierre Petitguillaume, plus ancien édile du département, a été élu en 1971, année de naissance de Carole Branchereau, la plus jeune maire », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre,‎ (lire en ligne).
  33. Jean-Michel Bonnin, « Pierre Petitguillaume maire sortant, réélu », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre,‎ (lire en ligne).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
  39. « Regroupements pédagogiques intercommunaux (R.P.I.) » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
  40. « Le Mag 36 #1 », sur le site du Conseil départemental de l'Indre, p. 19, consulté le 3 juillet 2017.
  41. Argenton et son histoire, Argenton-sur-Creuse, Cercle d'histoire d'Argenton-sur-Creuse, , 25e éd., p. 40.
  42. Christine Méry-Barnabé, Célèbres en Berry, p. 30.