Ceton

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Ceton
Ceton
La mairie, ancien presbytère.
Blason de Ceton
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Mortagne-au-Perche
Intercommunalité CC des Collines du Perche Normand
Maire
Mandat
André Besnier
2023-2026
Code postal 61260
Code commune 61079
Démographie
Gentilé Cetonnais
Population
municipale
1 765 hab. (2021 en diminution de 2,32 % par rapport à 2015)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 13′ 34″ nord, 0° 45′ 00″ est
Altitude Min. 89 m
Max. 271 m
Superficie 59,39 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Ceton
(bureau centralisateur)
Législatives 2e circonscription de l'Orne
Localisation
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Ceton
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Ceton
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Ceton
Liens
Site web https://www.ceton.fr/

Ceton (prononcé [setɔ̃][1]) est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, à la limite des départements de la Sarthe et d'Eure-et-Loir. Elle est peuplée de 1 765 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Le centre du bourg.

Commune la plus méridionale de Normandie, elle est au sud-ouest du Perche et à située à l’extrême sud du département de l’Orne. Couvrant 5 939 hectares, Ceton était, avant la création de Tinchebray-Bocage en 2015, la commune la plus étendue du département de l'Orne. Son bourg est à 6,5 km au sud-est du Theil, à 9 km au nord-est de La Ferté-Bernard et à 13 km au sud-ouest de Nogent-le-Rotrou[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Mâle, Cormes, Théligny, Les Étilleux, Saint-Bomer, Val-au-Perche, Avezé, Cherreau et Cherré-Au.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est drainée par la Maroisse, un affluent de l'Huisne, et donc un sous-affluent de la Loire par la Maine et la Sarthe qui prend sa source au lieu-dit de Gombert, près du Bas Mont-Morand. En 1845 et 1855, cette rivière a causé de grandes inondations[3].

Plusieurs ruisseaux y confluent, dont le ruisseau de Tirefontaine, le Frêne, les Marais, le Vieux Moulin[3]..

Un étang de pêche y est aménagé[4].

On comptait six moulins dans la commune : le Moulin aux moines, et les moulins Cohémont, Launay, Le Chêne, Neuville et Le Pont[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Normandie (Cotentin, Orne) » et « Moyenne vallée de la Loire »[6]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d'Ouche et au Perche et bénéficiant d’un caractère continental affirmé avec des précipitations atténuées et des amplitudes thermiques fortes[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 734 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cormes à 7 km à vol d'oiseau[8], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 759,0 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ceton est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,2 %), prairies (23,7 %), forêts (6,8 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), zones urbanisées (1,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 983, alors qu'il était de 999 en 2013 et de 990 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 74,8 % étaient des résidences principales, 12,8 % des résidences secondaires et 12,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,6 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Ceton en 2018 en comparaison avec celle de l'Orne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (12,8 %) supérieure à celle du département (10,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 68,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (69 % en 2013), contre 64,3 % pour l'Orne et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Ceton en 2018.
Typologie Ceton[I 1] Orne[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 74,8 78,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 12,8 10,5 9,7
Logements vacants (en %) 12,4 11,2 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Centon au IXe siècle et Ceton en 1130[18].

Ceton ("bois") est un mot Gaulois [19] qui pourrait expliquer ce toponyme.

Le gentilé est Cetonnais.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Le territoire était traversé par la voie romaine Chartres - Le Mans.

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

Lors de la création des cantons, Ceton est chef-lieu de canton. Ce canton est supprimé lors du redécoupage cantonal de l'an IX (1801)[20].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

La commune a eu une activité de fabrication de gants importante à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, avec trois entreprises distinctes : Neyret, installée initialement dans le presbytère à l’initiatrice de l’abbé Lorphelin, curé de Ceton, puis dans un atelier construit en 1875, où près de deux cents ouvrières mécaniciennes travaillaient en 1906 et plusieurs centaines à domicile, l'entreprise Watremez, fondée par M. Maniette et Ernest Watremez en 1899 et cédée au lillois Albert Philippe en 1912, et enfin la SA Gant A. Bourdon[3].

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, Ceton est libéré le par des soldats américains provenant de La Ferté-Bernard[21].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Mortagne-au-Perche du département de l'Orne.

Après avoir été le chef-lieu d'un fugace canton de 1793 à 1801, elle faisait partie depuis cette date du canton du Theil[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur du canton de Ceton

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Orne.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Ceton était membre de la communauté de communes du Val d'Huisne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes des Collines du Perche Normand, dont est désormais membre la commune.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors du premier tour de l'élections municipales de 2014 dans l'Orne, la liste menée par Patrick Grégori obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 627 voix (76,93 % des suffrages exprimés, 17 conseillers municipaux élus dont 5 communautaires), devançant très largement celle menée par Philippe Volcker, qui a recueilli 188 voix (23,06 %, 2 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin, 33,13 % des électeurs se sont abstenus[23].

Lors du premier tour des Élections municipales de 2020 dans l'Orne[24], la liste menée par le maire sortant Patrick Grégori[25] obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 379 voix (60,44 %, 16 conseillers municipaux élus dont 5 communautaires), devançant très largement celles menées respectivement par :
- Frédéric Naudon (182 voix, 29,02 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
- Christine Juy (66 voix, 10,52 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 47,35 % des électeurs se sont abstenus[26],[27].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Compte tenu de la population de la commune, son conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et ses adjoints[28].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
  mars 2001 Albert Bussonnier    
mars 2001 mars 2014 Claude Barbier SE Ingénieur EDF retraité
mars 2014[29] juin 2023[30] Patrick Gregori SE Hôte Gîte de France
juin 2023[30] En cours
(au 19 juin 2023)
André Besnier    

Jumelage[modifier | modifier le code]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Équipements culturels[modifier | modifier le code]

Ceton dispose d'une bibliothèque municipale, 22 résidence du ruisseau, animée par une douzaine de bénévoles[32].

Postes et télécommunications[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'un bureau de poste rénové en 2019[33].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune est protégée par un centre de secours, située dans la zone Les Champs de la Barre et où servent 17 sapeurs-pompiers volontaires. En 2022, ils ont effectués 116 interventions[34].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

En 2021, la commune comptait 1 765 habitants[Note 3], en diminution de 2,32 % par rapport à 2015 (Orne : −3,37 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
2 6693 9703 1133 3743 5873 5593 4273 4173 409
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
3 3073 3443 2743 2982 9163 0023 0252 7612 778
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
2 7582 7282 3422 3982 2912 2592 1682 0601 877
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
1 7201 6821 8091 7861 9191 9471 9301 9181 823
2019 2021 - - - - - - -
1 7701 765-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Avec 1 898 habitants au recensement de 2010, Ceton était la commune la plus peuplée de l'ancien canton du Theil, devançant son chef-lieu

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

L'association des Randonnées Cetonnaises, créée en 1988, organise depuis des sorties guidées le troisième dimanche de chaque mois, dans la commune et aux alentours[38].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église.
  • Église Saint-Pierre-ès-Liens, en partXVe siècleie du XIe siècle et reconstruite au [39], classée Monument historique[40].
    Elle abrite une sculpture du XVIe siècle (Mise au tombeau), un retable et un tableau (Le Triomphe de saint Roch) du XVIIe classés à titre d'objets[41].
    Plusieurs vagues de travaux ont été engagés ces dernières années afin d'assurer la poérenité de l'ouvrage et permettre sa libre ouverture au public. Les travaux de préservation des boiseries et de l'orgue sont intervenues en 2022[42]
  • La mairie, ancien presbytère. À l'origine, il s'agit d'un logis prieural, construit au XVIIe siècle pour loger le chapelain et le fermier général. Il faut attendre 1878 pour que le logis prieural devienne le presbytère de la paroisse. Après le départ de l'abbé Louis Jéhan en 1997, puis des religieuses en 2005, le presbytère est devenu la mairie[43].
  • Château de Beauvais, inscrit aux Monuments historiques, reconstruit au XVIIe siècle mais pratiquement détruit par un incendie. Jusqu’en 1811, il appartenait à la famille de Rosnivinem, seigneur de Chambois et de Gémages[44],[3].
  • Manoir du Mont-Gâteau, de style flamboyant, avec une façade dotée d’une tour octogonale surmontée d’un lanternon, qui daterait du XVIe siècle, bâti à l’emplacement d’une forteresse habitée par les Rotrou au XIIIe siècle, et qui est également inscrit[45],[3].
  • La manufacture.

Base de loisirs[modifier | modifier le code]

La base de loisirs est composée d'un court de tennis, d'une piscine (compétence de la CDC des Collines du Perche Normand), d'un city stade, d'une table de ping-pong, d'une tyrolienne, de body-boomer, d'un terrain de pétanque, d'un mini-golf, d'un étang pour l'activité de la pêche…

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Ceton Blason
D'azur à la bande d'or accompagnée en chef d'une fleur de lys d'argent[46].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Fernand Loriot (1870 à Ceton - 1932), instituteur socialiste, l'un des fondateurs du Parti communiste.
  • Jean-Pierre Ceton (1950-), écrivain, a pris le nom du village où il a grandi.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 89.
  2. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
  3. a b c d e et f Hugo Deshors, « Logis seigneuriaux, ganteries, manoirs, Ceton l'historique aux multiples facettes : La cité cetonnaise se distingue par ses nombreux logis seigneuriaux, manoirs ou châteaux, son bourg qui a été un haut lieu de la ganterie française. Retour sur le patrimoine de la commune avec quelques anecdotes », Le Perche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. r Gwenaël Pocard, « Ouverture d'une école de pêche à Ceton : À partir du 15 mai, tous les mercredis, les enfants âgés de 7 à 14 ans pourront suivre les cours de l'école de pêche. Une grande première pour la commune de Ceton », Le Perche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  8. « Orthodromie entre Ceton et Cormes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Cormes » (commune de Cormes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Cormes » (commune de Cormes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  19. Xavier Delamare, Dictionnaire de la langue gauloise, errance (ISBN 978-2-87772-198-1 et 2-87772-198-1), p. 82.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Ceton », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  21. Mathilde Simoën, « Un appel à témoignages lancé pour les 80 ans de la libération de Ceton : En 2024, Festi'Perche proposera pendant trois jours des animations pour commémorer les 80 ans de la libération de Ceton (Orne). Des témoignages sont recherchés. », Le Perche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Résultats officiels pour la commune Ceton
  24. Vincent Guerrier, « Municipales 2020 : avec trois listes, les électeurs ont l'embarras du choix à Ceton : Dans le sud du Perche, à Ceton (Orne), les élections municipales des 15 et 22 mars 2020 sont toujours très disputées. Cette fois, trois listes ont été déposées en préfecture. », Le Perche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Municipales 2020 : Patrick Grégori se représente à Ceton : Élu en 2014, Patrick Grégori se représente à la mairie de Ceton (Orne) pour les municipales 2020 », Le Perche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Orne (61) - Ceton », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  27. Fabienne Gérault, « Municipales. Le maire sortant de Ceton l’emporte : La liste de Patrick Grégori a obtenu 60,45 % des suffrages exprimés et seize sièges. Les trois autres sièges reviennent aux deux autres listes », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. Article L. 2121-2 du code général des collectivtés territoriales, sur Légifrance.
  29. « Patrick Grégori a été élu maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Patrick Grégori l'a emporté avec douze suffrages, deux pour son concurrent Philippe Volcker, deux pour Fanny Seidenbinder, et trois blancs ».
  30. a et b Mathilde Simoën, « Le maire de Ceton, Patrick Grégori, a démissionné, des élections ont déjà eu lieu : La démission de Patrick Grégori, maire de Ceton (Orne) a été acceptée le 12 juin 2023 par le préfet de l'Orne. Un nouveau maire a déjà été élu », Le Perche,‎ (lire en ligne, consulté le ) « André Besnier, auparavant deuxième adjoint a été élu maire ».
  31. Gwenaël Pocard, « Le jumelage Ceton-Neckarwestheim fête ses 42 ans d'amitié : Les Cetonnais et leurs correspondants allemands de Neckarwestheim se retrouvent chaque week-end de l'Ascension. », Le Perche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Mathilde Simoën, « Deux auteurs de Ceton à la rencontre des lecteurs à la bibliothèque : La bibliothèque municipale de Ceton (Orne) reprend les manifestations. Elle accueillera deux auteurs cetonnais le 11 juin 2022. », Le Perche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. Gwenaël Pocard, « Un tout nouveau bureau de poste à Ceton », Le Perche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Le centre de secours de Ceton recherche des sapeurs-pompiers volontaires : Avec un nombre d'interventions qui se maintient, le centre de secours de Ceton (Orne) souhaite recruter plus de sapeurs-pompiers afin d'être encore plus disponible », Le Perche,‎ mathilde simoën (lire en ligne, consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Mathilde Simoën, « Trente-cinq ans de randonnées pour l'association de Ceton : Chaque mois, une randonnée, c'est ce que propose l'association de Ceton (Orne) depuis 35 ans déjà. La prochaine se tiendra le 19 mars 2023 », Le Perche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. « Communauté de Communes du Val d'Huisne - Patrimoine bâti » (consulté le ).
  40. « Église », notice no PA00110763, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Œuvres mobilières à Ceton », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  42. Mathilde Simoën, « Les bancs et l'orgue de l'église Saint-Pierre-ès-Liens remis à neuf à Ceton : Depuis sa construction au XIe siècle, l'église Saint-Pierre-ès-Liens de Ceton (Orne) a connu plusieurs rénovations. En octobre, ce sont les parties boiseries qui ont été traitées », Le Perche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  43. Laurence de Calan, Presybtères du Perche, éditions des Amis du Perche, collection "Présence du Perche", juillet 2012, p. 39-40. [ (ISBN 978-2-900122-983)]
  44. « Château de Beauvais », notice no PA00110997, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. « Manoir du Mont-Gâteau », notice no PA00110998, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « GASO, la banque du blason - Ceton Orne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).