Cérences

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Cérences
Cérences
L'église Notre-Dame de Cérences sur la place du Marché.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Avranches
Intercommunalité Communauté de communes de Granville, Terre et Mer
Maire
Mandat
Jean-Paul Payen
2020-2026
Code postal 50510
Code commune 50109
Démographie
Gentilé Cérençais
Population
municipale
1 761 hab. (2021 en diminution de 6,18 % par rapport à 2015)
Densité 68 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 54′ 59″ nord, 1° 26′ 08″ ouest
Altitude Min. 14 m
Max. 115 m
Superficie 26,04 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Granville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bréhal
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.cerences.fr

Cérences est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 1 761 habitants[Note 1].

Elle fait partie des villages labellisés Village patrimoine[1], qui œuvrent à mettre en avant leurs patrimoines matériels et/ou immatériels (historique, culturel, naturel, architectural, etc.).

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est au sud du Coutançais. Son bourg est à 6 km à l'est de Bréhal, à 7 km à l'ouest de Gavray, à 17 km au sud de Coutances, à 17 km au nord-est de Granville et à 20 km au nord-ouest de Villedieu-les-Poêles[2].

Le territoire de Cérences est le plus étendu des trente communes du canton de Bréhal. La Sienne, rivière d'environ 80 km de long, prend sa source en forêt de Saint-Sever et termine son cours à Regnéville-sur-Mer dessinant un paysage des plus remarquables : le havre de Regnéville. À Cérences, la Sienne offre de beaux méandres ainsi que des moulins.

Communes limitrophes de Cérences[3]
Muneville-sur-Mer Quettreville-sur-Sienne, Trelly(sur quelques dizaines de mètres), Le Mesnil-Aubert Le Mesnil-Aubert,
Lengronne
Bricqueville-sur-Mer,
Bréhal(sur quelques dizaines de mètres)
Cérences[3] Ver
Chanteloup Hudimesnil, Le Loreur Ver

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[5]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 957 mm, avec 14,1 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Longueville à 11 km à vol d'oiseau[7], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 802,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Cérences est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Granville, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,9 %), terres arables (23,9 %), zones agricoles hétérogènes (16,6 %), forêts (4,2 %), zones urbanisées (2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme est attesté sous la forme curtam que appellatur Cerencis en 1027[17], Cerencias en 1082.

Albert Dauzat le considère issu ou lié à l'ancien français seran / cerens, « séran », instrument servant à carder la filasse[18], mot d'origine gauloise, pluriel de l'oïl serence, seran, peigne pour séparer la filasse des fibres de lin ou de chanvre[17].

Le gentilé est Cérençais.

Histoire[modifier | modifier le code]

Au XIe siècle le bourg faisait partie du domaine ducal[19]. Au XIIe siècle il y eut un prieuré et un certain Carentius y possédait un grand domaine[20].

Au début du XVIe siècle, Jehan du Bois était seigneur de Cérences et de Pirou[19].

Cérences était le siège d'un bailliage et d'un vicomté[19].

En 1639, la révolte des Nu-pieds qui s'étendit de l'Avranchin jusqu'à Cérences, entraîna l'incendie en représailles de maisons du bourg par les troupes de Gassion en 1640 sur les ordres de Richelieu[21].

Auguste-François Brohon lieutenant-général civil et criminel fut le premier maire de Cérences, ainsi que député de la Manche au Conseil des Cinq-Cents[21].

À la création des cantons, Cérences est chef-lieu de canton. Ce canton est supprimé lors du redécoupage cantonal de l'an IX (1801)[22].

En 1964, Cérences (1 852 habitants en 1962) absorbe Bourey (73 habitants)[22],[23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
La maison des services publics.
Liste des maires[21]
Période Identité Étiquette Qualité
1830 1846 Louis Jouenne[24]    
         
1871 1876 Auguste Maheut    
         
1945 1949 André de Beaucoudrey    
1949 1971 Alphonse Letarouilly    
1971 1977 André Combaux    
1977 1988 Jean de Roincé    
1988[25] avril 2014 Jean-Louis Remoué UMP Vétérinaire, conseiller général
avril 2014[26] En cours Jean-Paul Payen SE Salarié du secteur médical
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et cinq adjoints[27].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

En 2021, la commune comptait 1 761 habitants[Note 4], en diminution de 6,18 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Cérences a compté jusqu'à 2 346 habitants en 1800. Bourey a atteint son maximum démographique en 1831 avec 357 habitants.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 2072 3462 3202 0522 0642 2962 2532 2182 244
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 1412 1622 1001 9421 9911 9161 9171 8551 910
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6981 6481 7541 6341 7101 8021 7671 7761 808
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 8521 8331 8651 8581 7771 7571 7891 7981 862
2018 2021 - - - - - - -
1 7921 761-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution démographique de Bourey
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
226308328355357353340333
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886
301292307211182183175168
1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931
149160126130125111100118
1936 1946 1954 1962 - - - -
919510073----
(Source : EHESS[23])

Activité économique[modifier | modifier le code]

La distillerie de pommes[modifier | modifier le code]

La distillerie de pommes est créée en 1926. En 1936, elle est rachetée par Lesaffre, industriels du Nord. Située près du pont sur la Sienne et à proximité de la gare, elle est détruite aux trois quarts par les bombardements américains en 1944 et reconstruite en 1946. En 1958, elle se tourne vers le séchage du lait pour produire de la poudre de lait. Dès les années 1970, elle produit de la levure sèche. Avec la réorientation de la PAC (politique agricole commune) et la fin des excédents laitiers, l'usine se spécialise dans le séchage d'ingrédients alimentaires. Ainsi quatre nouvelles tours de séchage sont construites entre 1990 et 2003.

Économie actuelle[modifier | modifier le code]

Maisonneuve (fabrication de fûts et citernes), LIS France (poudres alimentaires).

Tourisme[modifier | modifier le code]

Un gîte et une aire de camping-cars de six places constituent l'offre d'hébergement de la commune.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Notre-Dame de Bourey.
Le coq de l'église — don du seigneur Adhemary Le Coq en 1709 — est exposé à la mairie[35].
  • Église Notre-Dame de Bourey.
  • Château de la Motte Billard des XVIIe – XIXe siècles.
  • Manoir de l'Épinay des XVIe – XIXe siècles[36].
  • Manoir de Guelle et son pigeonnier.
  • Ancien lavoir, puits
  • Croix Potier du XVIe siècle.
  • La Forêt des elfes, parc aventure[37].
  • Ancien moulin.
Pour mémoire

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Associations[modifier | modifier le code]

Manifestations[modifier | modifier le code]

  • Fête communale autour du 14 juillet, autrefois très populaire.
  • Fête du jeu et du sport en mars depuis 2014.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Les familles Tanqueray sont présentes depuis au moins 1529, avec Thomas, Sieur de Louvel, (vers 1529-1600), puis son fils Thomas (vers 1552- +1580) avocat, son fils Bernard (1583-1631), avocat, etc. jusqu'au déménagement d'une partie de la famille à Coutances après 1700 où ils officiaient (lieu du Présidial - palais de justice). Sources: archives départementales d'Etat Civil. Au village de Bourey (inclus maintenant dans Cérences), les villages Mesnage - Tanqueray, Les Portes et La Métairie faisaient aussi partie de leurs biens.
  • Nicolas Deslandes (Cérences, 1744 - 1816), avocat et armateur à Granville où il décèdera, banquier et soutien financier de la guerre d'indépendance des États-Unis, fut anobli en 1783[38],[39].
  • Odet-Julien Leboucher, historien né en 1744 à Bourey où il est mort en 1826.
  • Ernest Briens (Cérences, 1835 - Cérences, 1907), homme politique.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 50.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 141

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Ouest-France, « Dans le Granvillais, neuf communes portent le label Village patrimoine », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
  2. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  7. « Orthodromie entre Cérences et Longueville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Longueville » (commune de Longueville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Longueville » (commune de Longueville) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  17. a et b Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - Page 283 - (ISBN 2600028838).
  18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  19. a b et c Delattre, 2002, p. 50.
  20. Bernard Beck (photogr. Bernard Pagnon), Quand les Normands bâtissaient les églises : 15 siècles de vie des hommes, d'histoire et d'architecture religieuse dans la Manche, Coutances, Éditions OCEP, , 204 p. (ISBN 2-7134-0053-8), p. 20.
  21. a b c et d Gautier 2014, p. 141.
  22. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Bourey », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  24. Annuaire du département de la Manche, 12e année, 1840, p 224.
  25. « Municipales à Cérences. Jean-Marie Remoué a présenté sa liste », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  26. « Mairie : un troisième tour sous très haute tension », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  27. « Cérences (50510) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Site du diocèse.
  32. « Groupe sculpté : Vierge à l'Enfant accompagnée d'un donateur », notice no PM50000180.
  33. « Chasuble, étole, manipule, voile de calice, bourse de corporal et voile de pupitre d'autel (ornement doré) », notice no PM50014948.
  34. « Fragment de bas-relief aux douze apôtres », notice no PM50011686.
  35. « Coq », notice no PM50011687.
  36. Guy Le Hallé (préf. Hervé Morin, photogr. Yves Buffetaut), Châteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN 978-284673-215-4), p. 83 (Cérences).
  37. « Site de la Forêt des elfes » (consulté le ).
  38. a et b Gautier 2014, p. 101.
  39. Nicolas Deslandes sur le site wikimanche.