Buléon

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Buléon
Buléon
La chapelle Sainte-Anne.
Blason de Buléon
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Communauté de communes Centre Morbihan Communauté
Maire
Mandat
Pierre Bouedo
2020-2026
Code postal 56420
Code commune 56027
Démographie
Gentilé Buléonais
Population
municipale
543 hab. (2021 en augmentation de 5,23 % par rapport à 2015)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 56′ 08″ nord, 2° 40′ 32″ ouest
Altitude Min. 89 m
Max. 149 m
Superficie 12,27 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Moréac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Buléon
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Buléon

Buléon [byleɔ̃] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.

Située dans la partie orientale de la Bretagne (pays gallo) le nom de la commune se prononce [bulion].

Ses habitants se nomment les Buléonais et Buléonaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Carte de Buléon et des communes avoisinantes.
Communes limitrophes de Buléon
Radenac Lantillac Guégon
Saint-Allouestre Buléon
Bignan Guéhenno




Relief et hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte du réseau hydrographique de Buléon.

Les altitudes vont de 148 mètres pour le point le plus élevé situé près de la chapelle Sainte-Anne, au niveau du château d'eau à 93 mètres dans l'angle nord-ouest du finage communal, dans la vallée du Ruisseau de la Ville Oger. Le bourg est vers 16 mètres d'altitude.

Buléon est traversé par une ligne de partage des eaux entre des cours d'eau qui ont tous leur source dans la commune, coulant pour certains vers le nord (le Ruisseau du Vieux Moulin au nord-est qui sert de limite avec Guégon et le Ruisseau de la Ville Oger au nord-ouest, qui forme la limite avec Radenac, et sont tous les deux des affluents de rive droite de l'Oust d'une part, et le Ruisseau de Sainte-Anne, affluent de rive gauche de la Claie, qui coule vers le sud-ouest, d'autre part. Côté sud-est la limite communale avec Guéhenno est formée par deux petits cours d'eau qui alimentent l'étang de Châteauneuf (situé en Guéhenno, mais limitrophe de Buléon) et sont tributaires du Sedon, lui aussi affluent de rive droite de l'Oust.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 869 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bignan à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 995,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Transports[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est traversé par la Route nationale n° 24, axe routier très fréquenté et aménagé en voie express, allant de Rennes à Lorient ; l'échangeur routier de Maigris dessert la commune, via la D 155.

Habitat et paysages[modifier | modifier le code]

Buléon présente un paysage traditionnel de bocage avec un habitat dispersé en hameaux (le hameau du Resto est le plus important) et fermes isolées. Éloignée des grands centres urbains, et malgré sa bonne desserte routière, la commune a conservé son caractère rural en dépit d'une petite extension de son bourg (côté sud principalement) depuis la décennie 1980.

Le bourg est excentré dans la partie nord du territoire communal. Le Château de la Ferrière, seule partie du teritoire communal située sur la rive gauche du Ruisseau de la Ville Oger, est désormais un hôtel entouré de 17 hectares de parc, d'arbres centenaires et d’un étang (le domaine est fermé depuis 2024 par décision administrative).

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Buléon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,2 %), zones agricoles hétérogènes (16,4 %), prairies (9,8 %), zones urbanisées (2,8 %), forêts (1,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Buellion dès 1280[14].

Ce toponyme semble dériver de Bues - l'étable - ou Buel - le bétail - basé sur le radical Bo-, Bu- qui se retrouve dans les langues celtiques pour désigner le bovin[15].

Buelion en breton[réf. nécessaire].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

La voie romaine allant de Darioritum (Vannes) à Corseul passait au Resto et à Kerascoet.

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

Un acte de 1280[16] mentionne la paroisse de Buellion et de Saint-Argoestle (Buléon et Saint-Allouestre), ce qui laisse supposer que les deux localités étaient unies dans une même paroisse à cette date[17].

Selon un aveu de 1471, Buléon était, au sein de la Vicomté de Rohan, une des 46 paroisses ou trèves de la seigneurie proprement dite de Rohan[18].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Carte de Cassini de Saint-Allouestre et Buléon (1789).

Buléon et Saint-Allouestre étaient deux paroisses réunies depuis 1524, mais le recteur commun aux deux paroisses résidait à Saint-Allouestre, Buléon ayant un curé en résidence. Buléon ne devint une paroisse indépendante qu'en 1802, après le Concordat de 1801[19].

Le château de la Ferrière est aux mains de la famille de Lantivy depuis le début du XVe siècle ; Jacques de Lantivy[Note 2], chevalier, était seigneur de Lantivy, la Ferrière et Bacqueril ; il resta propriété de cette famille jusqu'au mariage en 1724 de Françoise Rose de Lantivy[Note 3] avec François Joseph de Kersauson[Note 4], chevalier, seigneur du Vieux Chastel. Le château est resté aux mains de la famille de Kersauson jusqu'au début du XXe siècle, mais le château actuel a été construit dans la seconde moitié du XIXe siècle.

Révolution française[modifier | modifier le code]

En 1790, Buléon est érigé en commune et dépend du canton de Bignan et du district de Josselin. Le Breton, curé de Buléon, refuse de prêter serment à la Constitution civile du clergé et, devenu prêtre réfractaire, dut se cacher[20].

Le 12 brumaire an III () l'agent national de Josselin écrit au Comité de salut public que « les municipalités de Cruguel, Plumelec, Saint-Jean, Bignan, Buléon, Radenac, Pleugriffet, Réguiny et Credin ne peuvent plus faire exécuter les lois, ni ordonner les réquisitions des grains, fourrage et charrons. Les brigands |chouans] rôdent dans ces communes et les en empêchent. Ils menacent tous les individus qui désireraient y obtempérer de les assassiner eux et leurs familles et d'incendie leur domicile »[21].

La bataille du Maigrit opposa les 10 et des soldats républicains chargés d'effectuer des réquisitions en grains et des chouans commandés par Pierre Guillemot dans les landes du Resto et du Maigrit.

Un autre combat opposa des chouans commandés par Pierre Guillemot, surnommé le Roi de Bignan, et des troupes républicaines dirigées par le général Bonté le dans la lande de Vachegare (située aussi en partie en Radenac).

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Buléon en 1843 :

« Buléon : commune formée de l'ancienne trève[Note 5] de Saint-Allouestre, aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : le Carascouet, le Resto, Kernisan, Ville-Hello, Sainte-Anne, Langle, Kerordo, la Verrière. Superficie totale : 1 227 hectares 22 ares, dont (...) terres labourables 455 ha, prés et pêturages 81 ha, bois 32 ha, vergers et jardins 21 ha, landes et incultes 611 ha (...). Moulin à vent de la Ferrière. On voit dans cette commune les châteaux de Binet et de la Ferrière. Il y a foire près Sainte-Anne le 27 juillet et le 16 septembre ; le lendemain si l'un de ces jours est férié. La route royale n° 24, dit de Rennes à Lorient, traverse la commune de l'Est à l'Ouest. Géologie : schiste talqueux. On parle le français [en fait le gallo][22]. »

Vers le milieu du XIXe siècle, la population reste majoritairement légitimiste : par exemple en 1850 le journal La Bretagne[Note 6] lance une souscription destinée à offrir au Comte de Chambord deux chevaux bretons ; 40 % des habitants (enfants au berceau inclus) de Buléon y souscrivent, dont le maire et ses adjoints[23].

L'église paroissiale Sainte-Brigitte-et-Saint-Georges fut rebâtie entre 1849 et 1863. Dans l'ancienne église se trouvaient l'écusson et l'enfeu des seigneurs de la Ferrière.

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

La Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts de Buléon porte les noms de 28 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 26 sont morts sur le sol français, dont 3 (Pierre Émeraud, Charles Le Gal et Stanislas Le Guennec) décorés de la Médaille militaire et de la Croix de guerre ; deux (François Gegorel et Louis Nouvel) sont morts en 1916 alors qu'ils étaient prisonniers en Allemagne[24].

L'Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

Le bourg de Buléon vers 1925 (carte postale).

Hyacinthe Marivin a été tué à l'ennemi lors de la Guerre du Levant en 1920 en Turquie[24].

En 1927 à Buléon, l'école chrétienne des filles avait 50 élèves alors que l'école laïque des filles n'avait qu'une élève, la fille du cantonnier ; il n'y avait pas d'école chrétienne pour les garçons[25].

La Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Georges Grignon, résistant FFI, participant au maquis de Saint-Marcel, fut fusillé par les Allemands le à Kerihuel en Plumelec[24].

L'après Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Un soldat originaire de Buléon (Basile Seveno) est mort pour la France pendant la Guerre d'Indochine[24].

Le XXIe siècle[modifier | modifier le code]

Les éoliennes de Vachegarde[modifier | modifier le code]

Éoliennes vues depuis le site de la chapelle Sainte-Anne.

Après de multiples recours qui ont retardé les travaux, le parc de 6 éoliennes de Vachegarde a été inauguré le  ; d'une puissance totale de 13,2 MW, le parc éolien produira l'équivalent de la consommation annuelle de 13 200 habitants[26].

La construction d'une usine d'hydrogène « vert » par la société nantaise Lhyfe a été entreprise en 2023[27].

L'affaire du pont sur la D 165[modifier | modifier le code]

Depuis 2021 un petit pont situé à l'entrée de Buléon sur la D 165, en direction de Radenac, est fermé à la circulation. Le chantier de réparation implique de fermer l'étang du Domaine de la Ferrière (un château-hôtel), mitoyen du pont, au nom de la continuité écologique afin de respecter la loi sur l'eau, ce que refuse le propriétaire du domaine, qui argue de son antériorité et de sa biodiversité. Les usagers sont contraints à un détour de 8 km et la situation dure depuis 3 ans quand le préfet du Morbihan demande enfin en mars 2024 de lancer sans délai les travaux de réparation[28].

Blasonnement[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Buléon se blasonnent ainsi :

De gueules à une épée versée d’argent, à la bordure d’or. (Armes de la famille de Lantivy brisées d’une bordure). Conc. JC Renaud.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
         
avant 1804 1815 Lafy    
1815 1848 Julien Le May[Note 7]   Laboureur.
1848 1869 Joachim Le Breton[Note 8]   Cultivateur.
1869 1876 Mathurin Dréano[Note 9]   Cultivateur.
1876 1896 Louis Le Gal[Note 10]   Cultivateur.
1896 1909 Louis de Kersauson[Note 11].   Propriétaire. Habitait le château de La Ferrière.
1909 après 1916 Jean Le Gal[Note 12]   Cultivateur. Fils de Louis Le Gal, maire entre 1876 et 1896.
         
1953 2008 Henri Le Breton UDF Animateur commercial. Conseiller général. Sénateur du Morbihan (1981-2001)
2008
Réélu en 2014 et 2020[29]
En cours Pierre Bouedo SE Artisan à la retraite
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 543 habitants[Note 13], en augmentation de 5,23 % par rapport à 2015 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
504493526537544527482546538
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
539567570538564543557541581
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
585604675583574613639556535
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
546523540509492424435436487
2015 2020 2021 - - - - - -
516542543------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Sainte-Brigitte-et-Saint-Georges. Son clocher a la particularité d'être un clocher-château d'eau construit en 1962 pour alimenter en eau courante la commune.
  • Le château de la Ferrière : le château actuel date de la seconde moitié du XIXe siècle, mais le château antérieur et les communs ont été conservés[34]. Vendu au début du XXe siècle à l'Association des Maisons familiales de Vannes, il a été transformé au début du XXIe siècle en château-hôtel par son nouveau propriétaire.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Jacques de Lantivy, né avant 1577, décédé le à Radenac.
  3. Françoise Rose de Lantivy, née en octobre 1708, décédée le à Buléon.
  4. François Joseph Hamon de Kersauson, né le à Plouescat, décédé en 1774.
  5. En fait Buléon et Saint-Allouestre étaient deux paroisses réunies depuis 1524, mais le recteur commun aux deux paroisses résidait à Saint-Allouestre, Buléon ayant un curé en résidence.
  6. Journal légitimiste à parution brève pendant la Deuxième République.
  7. Julien Le May, né le à Buléon, décédé le à Buléon.
  8. Joachim Le Breton, né le à Buléon, décédé le à Buléon.
  9. Probablement Mathurin Dréano, né le à Lantillac, décédé le à la Ville Beuve en Guégon.
  10. Louis Marie Le Gal, né le à Kermabalan en Buléon, décédé peut-être le à Buléon.
  11. Louis Marie de Kersauson, né le à Vouneuil-sous-Biard (Vienne), décédé le à Vannes.
  12. Jean Marie Le Gal, né le à Buléon, décédé après 1916.
  13. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Buléon et Bignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Bignan » (commune de Bignan) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Bignan » (commune de Bignan) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Hervé Abalain - Noms de lieux bretons - Page 60.[réf. incomplète].
  15. K, « Toponyme buélion », sur Tchinggiz, (consulté le ).
  16. Publié par Dom Morice (Pr. I. 1052).
  17. « Vie d’hier à aujourd’hui », sur buleon.fr (consulté le ).
  18. Théodore Derome, « De l'usement de Rohan ou du domaine congéable », Revue critique de législation et de jurisprudence,‎ , p. 257-258 (lire en ligne, consulté le ).
  19. « Les paroisses de Buléon et Saint-Allouestre », sur infobretgne.com (consulté le ).
  20. « Étymologie et histoire de Buléon », sur infobretagne.com (consulté le ).
  21. Roger Dupuy, Les Chouans, Paris, Hachette Littérature, , page 48.
  22. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, Rennes, Molliex, (lire en ligne), page 130.
  23. Alain Bertho, « Le mythe de la Chouannerie en Morbihan sous la Seconde République », Société polymathique du Morbihan,‎ , pages 92 à 132 (lire en ligne, consulté le ).
  24. a b c et d « Buléon. Monument aux Morts (Relevé n° 37079) », sur memorialgenweb, (consulté le ).
  25. "École et famille : bulletin mensuel de l'Union des associations catholiques des chefs de famille", juin 1927, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5773667s/f9.image.r=Plumelec?rk=901292;0
  26. « Buléon. Les six nouvelles éoliennes du parc de Vachegarde inaugurées », Journal Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Patrick Croguennec, « La première usine bretonne d’hydrogène « vert » implantée à Buléon, dans le Morbihan », Journal Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « « Pont de la discorde » à Buléon : la préfecture demande de lancer « sans délai » les travaux », Journal Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Municipales à Buléon. Trois adjoints pour seconder le maire, Pierre Bouedo », sur Ouest-France, (consulté en ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Château de la Ferrière (Buléon) », sur patrimoine.bzh (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]