Josselin (Morbihan)
Josselin | |
![]() Le cœur historique de Josselin, avec son château des Rohan sur les rives de l'Oust. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Bretagne |
Département | Morbihan |
Arrondissement | Pontivy |
Intercommunalité | Ploërmel Communauté |
Maire Mandat |
Nicolas Jagoudet 2020-2026 |
Code postal | 56120 |
Code commune | 56091 |
Démographie | |
Gentilé | Josselinais, Josselinaise |
Population municipale |
2 498 hab. (2018 ![]() |
Densité | 558 hab./km2 |
Population agglomération |
11 700 hab. |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 57′ 24″ nord, 2° 32′ 50″ ouest |
Altitude | 30 m Min. 32 m Max. 93 m |
Superficie | 4,48 km2 |
Élections | |
Départementales | Canton de Ploërmel |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site officiel de la commune |
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Josselin [ʒɔslɛ̃] Écouter est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.
La commune de Josselin est labellisée Petite Cité de caractère[1] villes et villages fleuris quatre fleurs ainsi que Village étape depuis 2012.
Géographie[modifier | modifier le code]
La ville de Josselin est située sur les rives de l' Oust, une rivière dont le cours canalisé constitue une section du canal de Nantes à Brest. Josselin se situe à 12 km à l'ouest de Ploërmel, à 34 km à l'est de Pontivy, à 44 km au nord de Vannes , à 73 km au nord-est de Lorient et à 81 km à l'ouest de Rennes[2]. La voie express Lorient-Rennes (Nationale 24) contourne l'agglomération par le nord. La commune a une superficie de seulement 4,48 km2 et son territoire se limite pour l'essentiel à l'agglomération proprement dite.
Toponymie[modifier | modifier le code]
Les attestations anciennes sont Goscelinus castellum en 1066[3],Castrum et castellum de Goscelini en 1080[4], Castro et Castellanum Joscelini au XIe siècle[5], Castrum Guoscelini en 1129, Castri Iocelini en 1371, Jocelin en 1406, Jocelyn en 1453, Josselino en 1453, Gosselin en 1630[6].
Le nom en gallo de la commune est Jocelein, Jocelin ou Joczelein[réf. souhaitée] , la forme Josilin[7],[6] se fonde sur la phonétique française.
Josselin est le nom de celui qui bâtit le château du même nom. Ce Guoscelin était un des fils de Guethénoc[3], comte du Poher, ayant vécu de l'an 998 à l'an 1040.
Histoire[modifier | modifier le code]
Moyen-Âge et Renaissance[modifier | modifier le code]
Josselin est une ville probablement créée aux alentours de l'an mil par Guethenoc [8], bien qu'une voie gallo-romaine traversait déjà la ville pour faire la jonction avec les plus importantes cités gallo-romaines d’Armorique. Le vicomte de Porhoët aurait fait construire en ce lieu un premier château en bois vers l'an 1008 et qui sera détruit, comme la basilique et l'ensemble de la ville, par le roi Henri II Plantagenêt en 1168[9]. Son fils Goscelinus, dit aussi Josselin de Porhoët, donne son nom à la nouvelle forteresse, Castellum Goscelini, d'où Château-Josselin puis Josselin, le bourg castral qui offre une relative sécurité.
Selon la légende, en 808, un laboureur découvre une statue de bois dans les ronces (Notre-Dame-du-Roncier) qui permit à sa fille, aveugle de naissance, de retrouver la vue[10]. À la suite de ce miracle, une chapelle puis une église (dont il reste certains chapiteaux datant du XIIe siècle) et enfin une basilique sont construites à l'endroit de cette découverte. Dans cette basilique, une fresque rappelle le combat des Trente qui a eu lieu à mi-chemin entre Josselin et Ploërmel lors de la guerre de Cent Ans.
Olivier V de Clisson (sa fille Béatrix de Clisson a épousé Alain VIII de Rohan) acquiert la seigneurie en 1370 et fait construire une imposante citadelle munie de huit tours et d'un donjon haut de 90 mètres. Son arrière-petit-fils, Jean II de Rohan la transforme en un logis de style Renaissance remarquable notamment par sa façade de granit sculpté.
La pauvreté documentaire de cette période ne permet pas de bien saisir le rythme et les étapes de cet encellulement lié à la construction de ce château et au pardon de Notre-Dame du Roncier, mais il correspond à une entreprise des Rohan de défrichement, de concentration et de domination des hommes[11].
Grâce à une conjoncture économique favorable, au développement d'un espace géographique immédiat, aux moyens d'accès et de sécurité et à ses capacités d'accueil, la cité devient un centre commercial important. L'afflux de marchands et de paysans nécessite l'édification d'une cohue[12]. Ville drapante renommée, elle a le privilège de députer aux États de Bretagne sous l'Ancien Régime[13].
Temps modernes[modifier | modifier le code]
Bannis de Josselin en raison de leur conversion à la religion protestante, les Rohan perdent un temps leurs droits sur le fief de Josselin, mais Henri IV le leur restitue.
En 1629 Richelieu, qui menait une politique visant à assurer la suprématie du pouvoir royal au détriment des Grands, fit démanteler le donjon.
La ville qui était fortifiée depuis le XIe siècle, vit ses murailles reconstruites au gréés des destructions dues aux attaques que subit la ville au cours des siècles. Ces fortifications qui tombaient en ruine furent finalement démolies dans la seconde partie du XVIIIe siècle. On y pénétrait par plusieurs portes :
- Au nord par la porte Saint-Martin qui était également appelée porte de Haut. Elle donnait accès au faubourg Saint-Martin par un pont dormant enjambant les douves. Elle était flanquée de deux tourelles, appelées casemates, qui étaient couvertes d'ardoises et sa voûte abritait en temps de paix de petites boutiques.
- A l'est, la porte Saint-Nicolas qui donnait accès au faubourg Saint-Nicolas. Cette porte fut détruite, en 1777, afin d'élargir la route reliant Ploërmel à Pontivy.
- A l'ouest, la porte du Lion qui conduisait au faubourg de Glatinier ou étaient regroupés un grand nombre d'artisans drapiers. Les riches marchands de toile du Pays de Léon séjournaient à Josselin et y envoyaient leurs enfants apprendre le commerce et la langue française. C'est probablement de cette présence, et du titre de prince de Léon que portait le duc de Rohan, que vint le nom de porte du Léon transformée au fil du temps par porte du Lion.
Révolution française[modifier | modifier le code]
Josselin fut chef-lieu de district de 1790 à 1795, où siégeait une commission militaire révolutionnaire.
En , une bande de chouans conduite par de Boulainvilliers coupa les Arbres de la liberté dans les paroisses autour de Montfort, Josselin et Ploërmel[14].
Les aboyeuses de Josselin[modifier | modifier le code]
Les aboyeuses de Josselin étaient des femmes qui entraient en transe lors du pèlerinage de Notre-Dame du Roncier à Josselin. Les sons rauques, animaux, semblables à des aboiements, qu'elles produisaient pendant leur crise sont à l'origine de cette appellation.
Selon la légende, c'est en 808 qu'un paysan découvrit une statue de la Vierge dans un champ de ronces, près de Josselin. La statue aurait provoqué la guérison de sa fille, puis d'autres personnes. Notre-Dame du Roncier devint vite célèbre et fut richement dotée dès le Moyen-Âge par les seigneurs du Porhoët, puis par les Rohan ; au XVIIe siècle le pèlerinage attire des milliers de pèlerins le jour de la Pentecôte. En 1728 des enfants de Camors, victimes d'un mal étrange (ils crient en aboyant comme des chiens) sont guéris, puis d'autres personnes, des femmes principalement ( « en proie à de curieuses crises de folie, la bouche écumant, les yeux à demi-fermés, émettant des râles ressemblant à des aboiements de chien), d'où le nom de "pardon des aboyeuses". Ce mal non identifié par la médecine a subsisté jusque vers 1950[15].
Ce phénomène, parfois vu comme un mouvement d'hystérie collective[16], est étayé par de nombreux témoignages, de 1728 à 1953. De nos jours le "pardon des aboyeuses" reste fréquenté, mais les autorités religieuses l'ont déplacé au 8 septembre.
Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]
Le XXe siècle[modifier | modifier le code]
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
Évolution démographique[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[20].
En 2018, la commune comptait 2 498 habitants[Note 1], en augmentation de 1,09 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,52 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Pyramide des âges[modifier | modifier le code]
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (35 %) est en effet supérieur au taux national (22,1 %) et au taux départemental (25,7 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,2 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :
- 47,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 16,7 %, 15 à 29 ans = 18,3 %, 30 à 44 ans = 17,1 %, 45 à 59 ans = 18,7 %, plus de 60 ans = 29,3 %) ;
- 52,2 % de femmes (0 à 14 ans = 13,5 %, 15 à 29 ans = 12,7 %, 30 à 44 ans = 15,5 %, 45 à 59 ans = 18,1 %, plus de 60 ans = 40,3 %).
Langue bretonne[modifier | modifier le code]
À la rentrée 2017, 74 élèves étaient scolarisés dans la filière bilingue catholique[25].
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
Josselin adopte une structure fréquente dans les villes bretonnes qui se développent aux XIe et XIIe siècles : un château, une église castrale dédiée à Notre-Dame comme Vitré, Lamballe ou Moncontour, une enceinte urbaine et, dans les différents faubourgs, des fondations monastiques.
Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]
La basilique Notre-Dame-du-Roncier, également église paroissiale, construite à la fin du XIIe siècle et plusieurs fois agrandie et modifiée est inscrite monument historique depuis 1927 puis 1929[26],[27]. Elle abrite les gisants d'Olivier V de Clisson, connétable de France, et de sa femme Marguerite de Rohan [28],[29].
Fontaine Notre-Dame-du-Roncier encore dénommée fontaine Miraculeuse datée de 1675, restaurée en 1958 est une fontaine-mur inscrite monument historique en 1928.
La chapelle Sainte-Croix fondée en 1060 au lieu-dit le prieuré par Josthon de Porhoët dont la nef du XIe siècle à chevet plat, la tour massive et la chapelle latérale ont été inscrites monuments historiques le [30]. Le calvaire en granit représentant le Christ en croix, saint Laurent, saint Jean-Baptiste, sainte Anne couronnée et la Vierge à l'Enfant au pied est inscrit monument historique depuis le .
L'église Saint-Martin, qui dépendait du prieuré Saint-Martin de Josselin fondé en 1105, est devenue paroissiale vers 1400. Elle a été très remaniée au XVIIe siècle, la nef a été détruite au XIXe siècle et une chapelle a été reconstruite à sa place. Elle est importante pour l'architecture romane bretonne car reproduit le véritable plan bénédictin. Elle a été inscrite monument historique le [31]
Le couvent de Carmes Saint-Joachim dit de la Retraite, des sœurs de la Sagesse a été construit à partir de 1640, agrandi en 1750 et la chapelle a été reconstruite en 1975.
Il ne reste que des vestiges restaurés du couvent des Ursulines Notre-Dame qui se sont établies en 1646.
La chapelle de bénédictins dite de la congrégation a été construite à partir de 1702 et surmontée d'un clocheton au XIXe siècle.
Patrimoine civil[modifier | modifier le code]
Le centre de la ville entre la basilique et le château est constitué de maisons médiévales à colombages et de maisons en pierres. Ont été inscrits monuments historiques :
- la maison de la place Notre-Dame construite au XVe siècle, inscrite le [32],
- la maison datée de 1538 à pilastres en fuseaux au rez-de-chaussée et pan de bois du 3 rue Georges-Le-Berd, l'ancienne Grande-Rue le [33],
- celle de la rue Glatinier datée de 1602 le [34],
- celle, dite maison Morice au 21 rue Olivier-de-Clisson inscrite en 1933 puis classée le [35],
- celles du 27 rue Olivier-de-Clisson inscrite en 1931[36],
- celle du 4 place de la résistance inscrite le [37],
- celle de la rue des Trente[38],
- celles du 5 et 7 rue des Trente[39],[40],[41],
- deux maisons rue Saint-Michel[42],
- l'immeuble du XVIe siècle du 3 rue des Devins le [43],
- l'hôtel particulier construit en 1763 au 6 rue des Devins le [44]
- le logis du 4 rue Olivier-de-Clisson, le seul de cette époque en pierre[45].
Certains autres bâtiments sont datés de 1538, 1634, 1653, 1680, 1683, 1754, 1769
Patrimoine environnemental[modifier | modifier le code]
L'Oust forme, avec les anciens remparts, la limite de la ville médiévale.
Le Mail constitue une promenade arborée en cœur de ville.
Josselin possède quatre fleurs au concours national des villes et villages fleuris depuis 2020[46],[47]. Ce concours prend en compte les efforts menées par la ville dans le cadre de l'embellissement des espaces publiques mais aussi pour son engagement écologique.
La commune ne compte aucune zone ou espace protégé que ce soit une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), un site Natura 2000, etc.[48]. Cela s’explique par la faible superficie du territoire de la commune conjugué à son importante urbanisation.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Abbé Gustave Blanche, fondateur de l'Université Sainte-Anne, en Nouvelle-Écosse.
- Olivier V de Clisson.
- Denise Josse-Elicot (1921-2014), née à Josselin, résistante.
- François-Marie Picaud (1878 à Josselin-1960), religieux.
- Josselin de Rohan, ancien maire, sénateur UMP du Morbihan, président du groupe UMP au Sénat.
- Eustache Roussin (1724-1806), maître forgeron de Versailles et ferronnier d'art natif de Josselin. Il réalisa les chaires de la basilique Notre-Dame du Roncier et de Carnac[49] ainsi que plusieurs grilles de choeur dont celle de l'église Saint-Pierre de Lanouée et les grilles des châteaux de Versailles et de Trégranteur[50]
Héraldique[modifier | modifier le code]
Les armoiries de Josselin se blasonnent ainsi :
|
Équipements de proximité[modifier | modifier le code]
La ville de Josselin dispose d'équipements sportifs en libre accès, comme un terrain multisports en aluminium[51].
Économie[modifier | modifier le code]
L'économie de Josselin repose essentiellement sur deux secteurs : l'agro-alimentaire grâce à la présence d'un établissement des abattoirs JPA (ex-Gad), et le tourisme favorisé par l'organisation d'une fête médiévale tous les deux ans, et la présence du château et de nombreux bâtiments anciens. Le centre-ville est consacré au tourisme, avec de nombreux restaurants et des boutiques d'artisans et d'artistes.
Jumelages[modifier | modifier le code]
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références[modifier | modifier le code]
- « Josselin », sur Petites cités de caractère (consulté le 4 mai 2020)
- sur le site Lion 1906 : Localisation Interactive Orthodromie et Navigation
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1698 (ISBN 2600028846).
- Dans le cartulaire de Redon.
- Dans les archives du Prieuré de Saint-Martin situé à Josselin.
- « Résultats concernant « Laillé » », sur la base KerOfis, Office public de la langue bretonne (consulté le 3 mars 2014).
- Fiche descriptive de la ville de Josselin sur Geobreizh.
- Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Éditions Jean-Paul Gisserot, , p. 74.
- « Le château de Josselin et sa cité de caractère - Vos Plus Belles Destinations », Vos Plus Belles Destinations, (lire en ligne, consulté le 13 octobre 2017)
- Charles Jeannel, Les aboyeuses de Josselin, 1855, rééd. 2019 Stéphane Batigne Éditeur (ISBN 9791090887671)
- Daniel Pichot, « Encellulement et villages de l'ouest français (XIe-XIIIe s.)», dans C. Laurent, B. Merdrignac, D. Pichot (sous la direction de), Mondes de l'Ouest et villes du monde. Regards sur les sociétés médiévales. Mélanges en l'honneur d'André Chédeville, Presses universitaires de Rennes, 1998, p. 445-456
- Le duc Jean V, en 1429, autorise Alain VIII de Rohan à y édifier une cohue. Le duc de Bretagne a en effet le privilège d'instituer un marché ou une foire. Il s'y intéresse de très près car on y perçoit des droits variés (droits de cohuage et d'estalage) et ces lieux privilégiés de négoce permettent une surveillance et une juridiction spéciales. Les grands seigneurs, tels les Rohan, avides de profits, sont eux-mêmes désireux d'obtenir concession de foires puis de les gérer au mieux.
- Michel Duval, Foires et marchés en Bretagne à travers les siècles, Editions Breizh hor bro, , p. 154.
- Jean Gallet, "Les paysans en guerre", éditions Ouest-France, 1988 (ISBN 2-7373-0157-2).
- Erwan Chartier-Le Floch et Christian Le Corre, "Clichés armoricains (1870-1930). Une Bretagne pittoresque et insolite", Coop Breizh, 2017, (ISBN 978-2-84346-822-3)
- Yves-Marie Bercé, Esprits et démons. Histoire des phénomènes d'hystérie collective, Librairie Vuibert, 2018 (ISBN 9782311101645)
- « Municipales à Josselin. Nicolas Jagoudet nouveau maire de la commune », sur Ouest-France, 29ami 2020 (consulté le 30 mai 2020)
- Elections sénatoriales de 2017- Morbihan, sur Politiquemania, août 2017
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population », sur Résultats du recensement de la population - 2008 (consulté le 16 juillet 2011).
- « Résultats du recensement de la population du Morbihan en 2008 », sur insee.fr (consulté le 16 juillet 2011).
- http://www.opab-oplb.org/98-kelenn.htm
- « Eglise Notre-Dame-du-Roncier », notice no PA00091312, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Eglise Paroissiale Notre-Dame-du-Roncier », notice no IA00121572, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « tombeau d'Olivier de Clisson, connétable de France et de Marguerite de Rohan, sa femme », notice no PM56000409, base Palissy, ministère français de la Culture
- « tombeau (gisant, grandeur nature), d'olivier de Clisson, de marguerite de Rohan », notice no IM56003462, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Eglise Sainte-Croix », notice no PA00091313, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Eglise Saint-Martin », notice no PA56000057, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison du XVe siècle », notice no PA00091318, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison datée de 1538 », notice no PA00091317, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison datée de 1602 », notice no PA00091316, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison du XVIe siècle, dite Maison Morice », notice no PA00091320, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Vieilles maisons », notice no PA00091319, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison du XVIe siècle en bordure de la ruelle prolongeant la rue des Sorciers », notice no PA00091322, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison à pans de bois », notice no PA00091324, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Deux maisons en pans de bois », notice no PA00091323, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison, 5 rue des Trente », notice no IA00121548, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison, 7 rue des Trente », notice no IA00121515, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Deux maisons », notice no PA00091321, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble, 3 rue des Devins », notice no PA00091315, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite Hôtel d'Aumont », notice no PA56000062, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Hôtel, 4 rue Olivier-de-Clisson », notice no PA56000007, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Fleurissement. Une 4è fleur pour Josselin, Missiriac garde la sienne », sur Les Infos du pays gallo, (consulté le 21 octobre 2020)
- « Josselin. Décrocher la 4e fleur, « le fruit d’un travail collectif » », Ouest-France, (lire en ligne).
- Pas de résultat pour Josselin sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel du Muséum national d'histoire naturelle.
- La chaire à prêcher en fer forgé de la basilique à Josselin (56)
- Patrimoine de Guégon
- http://3rplayground.weebly.com/blog/terrain-multisports-josselin-56