Sainte-Soline
Sainte-Soline | |||||
Le tumulus du Montioux. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Deux-Sèvres | ||||
Arrondissement | Niort | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Mellois en Poitou | ||||
Maire Mandat |
Julien Chassin 2020-2026 |
||||
Code postal | 79120 | ||||
Code commune | 79297 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
349 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 14′ 50″ nord, 0° 02′ 13″ est | ||||
Altitude | Min. 117 m Max. 145 m |
||||
Superficie | 25,65 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Celles-sur-Belle | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Deux-Sèvres
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
modifier |
Sainte-Soline est une commune française située dans le département des Deux-Sèvres en région Nouvelle-Aquitaine. C'est une commune rurale dont la majeure partie du territoire est consacrée à l'agriculture.
Les habitants de Sainte-Soline s'appellent les Solinois. La commune compte 350 habitants en 2020.
Toponymie
[modifier | modifier le code]La commune tire son nom de sainte Soline, sainte catholique originaire du Poitou[1],[2].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Hydrologie
[modifier | modifier le code]La Dive du Sud traverse la commune.
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 854 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lezay à 4 km à vol d'oiseau[6], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 945,6 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Sainte-Soline est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,6 %), zones agricoles hétérogènes (11 %), prairies (9,7 %), forêts (3 %), zones urbanisées (2,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Sainte-Soline est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dive du Sud. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[17],[15].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[18]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. 55,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 1],[20].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[15].
Histoire
[modifier | modifier le code]Cette commune située dans le sud-est des Deux-Sèvres est au cœur d'un pays huguenot qui caractérise le Bas-Poitou. De nombreux cimetières familiaux sont parsemés dans cette région[21].
En mars 2023, des manifestations[22] se produisent sur cette commune contre l'installation de « méga-bassines » (grands bassins de rétention servant à irriguer les parcelles agricoles). Plus de détails sont expliqués dans le paragraphe « Projet de méga-bassines de rétention d'eau » ci-dessous.
Économie
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]Projet de méga-bassines de rétention d'eau
[modifier | modifier le code]Pour faire face au déficit d'eau d'irrigation, un projet de « méga-bassines » est en construction sur le bassin de la Sèvre et du Mignon depuis [23]. Il suscite l'opposition de quelque 150 organisations qui organisent des réunions et des mobilisations sur le site[24],[25]. Par ailleurs, selon le collectif « Bassines Non Merci », le site pourrait receler des vestiges archéologiques, s'appuyant notamment sur des photos aériennes présentées par le député européen Verts/ALE Benoît Biteau[26].
La question de l'implantation de la méga-bassine divise les habitants et les agriculteurs de la commune[27].
Faisant partie des mouvements d'opposition aux méga-bassines en France, un rassemblement est organisé sur place les 28 et 29 octobre 2022. Il est cependant interdit par la préfecture des Deux-Sèvres, qui craint la formation d’une ZAD semblable à celle de Notre-Dame-des-Landes[28],[29]. Le , la manifestation a lieu et regroupe plusieurs milliers de personnes. La confédération paysanne, des organisations écologistes ainsi que plusieurs députés et personnalités politiques y participent, comme Philippe Poutou[30] ou encore la maire de Poitiers Léonore Moncond'huy. Plusieurs participants sont blessés lors des altercations avec les forces de l'ordre[31]. Les manifestants pénètrent à l'intérieur du chantier et symboliquement, une conduite d'eau considérée comme faisant partie du projet par les opposants aux bassines, et reliée à une exploitation agricole, est détruite[32].
Le ministre de l'Intérieur et des Outre-mer Gérald Darmanin annonce, dans la soirée du sur Twitter, que « 61 gendarmes ont été blessés dont 22 sérieusement ». Il y dénonce un « rassemblement très violent » et appelle les différentes formations politiques à « [condamner] ces violences »[31]. La préfète des Deux-Sèvres, Emmanuelle Dubée[33], dénonce quant à elle des « jets de mortier, de boules de pétanque et de cocktail molotov », ajoutant que cette manifestation qui avait été interdite, a rassemblé entre 3 000 et 4 000 manifestants. Les forces de sécurité présentes étaient d'environ 1 700 militaires, soit environ la moitié du nombre de manifestants présents[34],[35].
Six mois plus tard, une nouvelle mobilisation a lieu. À l'appel du collectif Bassines Non Merci, du mouvement Les Soulèvements de la Terre et de la Confédération paysanne, Marine Tondelier, Benoît Biteau, Clémence Guetté, Philippe Poutou, Manon Meunier et d'autres représentants politiques participent à ce mouvement international[36],[37], notamment à Melle, Vanzay, Mauzé-sur-le-Mignon et Sainte-Soline du 24 au 26 mars 2023, réunissant au total plus de 25 000 personnes.
Le , la manifestation est interdite par la préfecture des Deux-Sèvres[38]. Elle se déroule malgré tout, donnant lieu à de violents affrontements, et faisant plusieurs blessés graves[39]. La stratégie de maintien de l'ordre est condamnée par divers observateurs, notamment par la Ligue des droits de l'homme qui critique le coût humain à la suite de l'action des forces de l'ordre[40], ou encore par le rapporteur spécial des Nations unies sur les défenseurs de l’environnement, qui estime que « la réponse de l’État lui a paru largement disproportionnée »[41]. Les différentes estimations font état d'entre 6 000 et 30 000 manifestants présents sur place, faisant face à 3 200 gendarmes en position de défense autour du site de construction[42].
Malgré cette manifestation de masse, le projet est validé par l'État français le [43].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[45].
Démographie
[modifier | modifier le code]À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Sainte-Soline, cela correspond à 2005, 2010, 2015[46], etc. Les autres dates de « recensements » (2006, 2009, etc.) sont des estimations légales.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Sainte-Soline de Sainte-Soline, classée monument historique depuis le [49].
- La chapelle Notre-Dame, inscrite à l'inventaire des monuments historiques[50].
- Le tumulus du Montioux[51], classé au titre des monuments historiques en 1986[52].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- En 1934, la femme de lettres Nelly Fouillet (Melleran 1891 - Paris 1967) prend pour pseudonyme Claire Sainte-Soline.
- L'actrice Anémone y possédait une maison[53].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Sainte-Soline sur le site de l'Institut géographique national
- Sainte-Soline sur le site de l'Insee
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Charles de Chergé, Les vies des saints du Poitou et des personnages d'une éminente piété qui sont nés ou qui ont vécu dans cette province, A. Dupr, (lire en ligne)
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne), p. 1590
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Sainte-Soline et Lezay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lezay » (commune de Lezay) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lezay » (commune de Lezay) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Sainte-Soline ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Sainte-Soline », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- « Histoire et Légendes de France, Au chevet des cimetières protestants (Sainte-Soline Deux Sèvres 1998) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
- Actu.fr, « Manifestation anti-bassines dans les Deux-Sèvres, ce qu'il faut retenir ».
- Julien Renon, « Dans le Mellois, le compte à rebours a commencé pour les irrigants et les anti-bassines », Ouest-France, (lire en ligne ).
- « "Méga-bassine à Sainte-Soline" : les opposants invitent les habitants à une réunion publique », Ouest-France, (lire en ligne).
- Reporterre, « "Guerre de l’eau" : la carte des bassines contestées en France », sur Reporterre, le quotidien de l'écologie (consulté le ).
- Emmanuel Touron, « Bassines : les BNM restent convaincus du potentiel archéologique de Sainte-Soline », La Nouvelle République, (lire en ligne ).
- Pauline Moullot, « Les bassines à Sainte-Soline, "on sait qui est contre, mais on n’en parle jamais, c’est tabou" », Libération, (lire en ligne, consulté le ).
- Jean-Denis Renard, avec AFP, « Deux-Sèvres : bras de fer à Sainte-Soline pour la manifestation du week-end », Sud-Ouest, (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le ).
- « Bassines : interdiction de manifestation le week-end du 29 et 30 octobre dans le secteur de Sainte-Soline », sur France Bleu et France 3, (consulté le ).
- La Nouvelle République, « Philippe Poutou (NPA) sera présent à la manifestation anti-bassines à Sainte-Soline », .
- J.Cl, « Mobilisation contre les "méga bassines" : 61 gendarmes blessés, dont 22 sérieusement, selon Darmanin » , sur leparisien.fr, (consulté le ).
- « À Sainte-Soline : sur le front de la guerre de l’eau », sur Blast le souffle de l’info, (consulté le ).
- « Emmanuelle Dubée, ex-camarade de promotion d'Emmanuel Macron, nouvelle préfète des Deux-Sèvres », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le ).
- « Deux-Sèvres : la manifestation contre la mégabassine de Sainte-Soline vire à nouveau à l’affrontement », Le Monde, 29 octobre 2022, Frédéric Zabalza.
- « À Sainte-Soline, des milliers de manifestants refusent les mégabassines », Reporterre, Marius Jaouanny, 31 octobre 2022.
- « Nouveau rassemblement contre les "bassines" dans les Deux-Sèvres dans un contexte tendu », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le ).
- « « Mégabassines » : 6 000 personnes au départ de la manifestation dans les Deux-Sèvres », Le Télégramme, (lire en ligne, consulté le ).
- « Manifestation anti-bassines : circulation interdite à Sainte-Soline et Mauzé-sur-le-Mignon tout le week-end », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le ).
- Pauline Moullot et Fabien Leboucq, « Bassines de Sainte-Soline : des dizaines de blessés, 5 personnes en « urgence absolue » », sur Libération (consulté le ).
- « Sainte-Soline : empêcher l’accès à la mégabassine, quel qu’en soit le coût humain - LDH », sur ldh-france.org, (consulté le ).
- « « A Sainte-Soline, la réponse de l’Etat m’a paru largement disproportionnée », selon le rapporteur spécial de l’ONU sur les défenseurs de l’environnement », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Guillaume Deleurence, « À Sainte-Soline, « une armée face à une foule » », sur Politis, (consulté le ).
- « Le tribunal valide les bassines des Deux-Sèvres, de la Vienne et de Charente-Maritime », sur La Nouvelle République du Centre-Ouest (consulté le ).
- Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
- Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
- « Calendrier de recensement »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Insee (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- L'église Notice no PA00101366, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- La chapelle Notre-Dame Notice no IA79000549, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Guirec Querré, Serge Cassen et Emmanuelle Vigier, La parure en callaïs du Néolithique européen, Archaeopress Publishing Ltd, (ISBN 978-1-78969-281-5, lire en ligne), p. 298
- « Tumulus », notice no PA00101367, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Décès d'Anémone : l'émotion de Sainte-Soline et du Mellois », sur lanouvellerepublique.fr, (consulté le ).