Mouvement international de la réconciliation

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 15 août 2020 à 18:15 et modifiée en dernier par Arnaud.Serander (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.
Mouvement international de la réconciliation
Histoire
Fondation
Cadre
Type
Forme juridique
Domaine d'activité
Autres organisations fonctionnant par adhésion volontaireVoir et modifier les données sur Wikidata
Siège
Pays
Organisation
Affiliation
Site web
Identifiants
RNA
SIREN

Le Mouvement international de la réconciliation (MIR, France) est une branche de l'International Fellowship of Reconciliation (IFOR). Il a été créé en 1923 à la Faculté de théologie protestante de Paris.

Mouvement non-violent

Le MIR se définit comme un mouvement non-violent inspiré de l'Évangile. Il travaille à l'élaboration et à la diffusion d'une théologie de la non-violence et entend lutter contre la guerre sous toutes ses formes. Son siège est à Paris. Il publie les Cahiers de la Réconciliation depuis 1926 (mensuel jusqu'en 1985, aujourd'hui trimestriel)[1].

Il a compté parmi ses membres et responsables : Leonhard Ragaz (1868-1945), Henri Roser (1899-1981), André Trocmé (1901-1971), Jean Lasserre (1908-1983), René Cruse (1922-2017), Jean Goss (1912-1991) et Hildegard Goss-Mayr (1930-)[2], Théodore Monod (1902-2000)[3]. Deux de ses membres ont été présidents du mouvement sur le plan international : Ambroise Monod et Marie-Pierre Bovy (1992-1996).

Le MIR est membre de la Fédération protestante de France et préside la Coordination pour l'éducation à la non-violence et à la paix. Il est membre de Non-Violence XXI, fonds associatif pour une culture de non-violence au XXIe siècle.

Notes et références

  1. « MIR France | Historique », sur mirfrance.org (consulté le )
  2. « Historique », sur http://mirfrance.org (consulté le )
  3. « Théodore Monod », sur http://mirfrance.org (consulté le )

Voir aussi

Liens externes