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Gijounet

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Gijounet
Gijounet
Vue du village, depuis le chemin de la gare.
Blason de Gijounet
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Castres
Intercommunalité Communauté de communes des Monts de Lacaune et de la Montagne du Haut Languedoc
Maire
Mandat
André Cabrol
2020-2026
Code postal 81530
Code commune 81103
Démographie
Population
municipale
128 hab. (2021 en évolution de +5,79 % par rapport à 2015)
Densité 8,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 42′ 55″ nord, 2° 36′ 59″ est
Altitude 550 m
Min. 530 m
Max. 1 060 m
Superficie 15,13 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lacaune
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Hautes Terres d'Oc
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Gijounet
Géolocalisation sur la carte : France
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Gijounet
Géolocalisation sur la carte : Tarn
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Gijounet
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Gijounet
Liens
Site web Site officiel

Gijounet est une commune française située dans le département du Tarn en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lacaunais, un ensemble de plateaux où l'élevage de brebis laitières est prépondérant.

Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Gijou, le Bertou et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Gijounet est une commune rurale qui compte 128 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 854 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Lacaune. Ses habitants sont appelés les Gijounetins ou Gijounetines ou Gijounétois.

Géographie

Localisation

Commune du Massif central située dans les monts de Lacaune à 9 km de Lacaune, 29 km de La Salvetat-sur-Agout, 48 km de Castres et 64 km d'Albi.

Traversée par le Gijou, elle s'étend sur 15,13 km2 et regroupe les hameaux de Gijounet, Calouze, Ornac, Gijou, Talpayrac Combecaude et Malefayère. D'une altitude moyenne de 550 m, son point culminant atteint 1 060 m (la Quille). Elle fait partie du parc naturel régional du Haut-Languedoc.

Communes limitrophes

Carte
Communes limitrophes de Gijounet[1]
Viane
Berlats Gijounet Lacaune
Fontrieu

Voies de communication et transports

La ligne 766 du réseau régional liO assure la desserte de la commune, en la reliant à Castres et à Lacaune.

Hydrographie

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par le Gijou, le Bertou, un bras du Gijou, un bras du Gijou, le ruisseau du Mont Roucous et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[3],[Carte 1].

Le Gijou, d'une longueur totale de 50 km, prend sa source dans la commune de Lacaune et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Agout à Vabre, après avoir traversé 6 communes[4].

Le Bertou, d'une longueur totale de 20,8 km, prend sa source dans la commune et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Gijou à Vabre, après avoir traversé 6 communes[5].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Gijounet.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[6].

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : 10 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,6 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 1 348 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lacaune », sur la commune de Lacaune, mise en service en 1949[11]et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 9,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 408,9 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 47 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[15] à 13,8 °C pour 1991-2020[16].

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17],[18].

La commune fait partie du parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[19]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[20],

Réseau Natura 2000

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »[22], d'une superficie de 17 144 ha, s'étendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[23].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[24] : les « landes de la Quille et de la bassine et pelouse sèche de combe Caude » (136 ha), couvrant 3 communes du département[25], et la « rivière Gijou amont » (274 ha), couvrant 5 communes du département[26] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[24] :

  • la « vallée de l'Agoût de Brassac à Burlats et vallée du Gijou » (15 868 ha), couvrant 17 communes du département[27] ;
  • les « zones humides des Monts de Lacaune » (10 888 ha), couvrant 9 communes dont une dans l'Hérault et huit dans le Tarn[28].

Urbanisme

Typologie

Gijounet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[29],[I 1],[30].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lacaune, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,9 %), prairies (29 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %)[31].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Toponymie

Histoire

Au Moyen Âge, Gijounet fait partie de l’ancienne viguerie du Gijou, mentionnée dès 993. Les de Galand, seigneurs de Barre et Gijounet, vont « régner » sur le bourg et le château pendant plus de deux siècles. Au milieu du XVIIe siècle, ils cèdent leur seigneurie aux Bourbon-Malauze de Lacaze et se retirent dans le hameau de Calouze. À cette époque, Gijounet est administré par deux consuls, nommés chaque année par le seigneur. Parmi ses habitants, on peut citer quelques familles bourgeoises : les Nairac armuriers de Gijounet qui donneront une dynastie de célèbres négociants bordelais, les Rabaud, famille de juristes de Gijou dont Jean-Jacques le plus connu sera juge de paix au service des Bourbon-Malauze et les Carcenac, marchands d’Ornac qui donneront une lignée de négociants et banquiers parisiens. À la Révolution, Gijounet sera rattaché à l’éphémère canton de Viane. Le premier maire en sera Paul Nairac.

Héraldique

Gijounet

Son blasonnement est : Taillé d'argent et d'azur.

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1965 1971 Marcel Fournier    
1971 1998 Denis Vayrette    
1998 2009 Jean Choulet    
Début 2009 mars 2014 Hugues Delori[32]    
mars 2014 3 octobre 2015[33] Robert Sire    
décembre 2015 mai 2020 Hugues Delori[34]    
mai 2020 En cours André Cabrol[35]    

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37]. En 2021, la commune comptait 128 habitants[Note 9], en évolution de +5,79 % par rapport à 2015 (Tarn : +1,82 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
504321481622631695730854825
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
753761705703740686666658648
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
660620580477415360347298223
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
190139109110114125134135121
2017 2021 - - - - - - -
129128-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Emploi

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 4] 3,4 % 9,1 % 1,5 %
Département[I 5] 8,2 % 9,9 % 10 %
France entière[I 6] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 66 personnes, parmi lesquelles on compte 78,5 % d'actifs (76,9 % ayant un emploi et 1,5 % de chômeurs) et 21,5 % d'inactifs[Note 10],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lacaune, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 7]. Elle compte 15 emplois en 2018, contre 14 en 2013 et 15 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 52, soit un indicateur de concentration d'emploi de 29,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,1 %[I 8].

Sur ces 52 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 14 travaillent dans la commune, soit 28 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 88,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

Activités hors agriculture

8 établissements[Note 11] sont implantés à Gijounet au [I 11]. Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 8 entreprises implantées à Gijounet), contre 15,5 % au niveau départemental[I 12].

Agriculture

1988 2000 2010 2020
Exploitations 15 8 9 6
SAU[Note 12] (ha) 452 465 465 422

La commune est dans les Monts de Lacaune, une petite région agricole située dans le sud-est du département du Tarn. Entre bocages et forêt, cette zone est dédiée à l’élevage de ruminants de races à viande ou laitières. Sur les plus hauts plateaux, de nombreux élevages de brebis laitières produisent le lait destiné à la fabrication du roquefort[40]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 4]. Six exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (15 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 422 ha[42],[Carte 5],[Carte 6].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Maisons Nairac des XVIe et XVIIe siècles.
  • Ancien moulin seigneurial du XVIIIe siècle.
  • Gouffre de Gourp Fumant sur le Gijou.
  • Aven sépulcral de Mauray datant de 2500 avant JC.
  • Temple protestant de Gijounet datant de 1849.
  • Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Gijounet, datant de 1881.
Fenêtre.
  • Table d'orientation de Roquenière.
  • Voie verte du Petit Train (avec franchissement de viaducs et tunnels).
  • 65 km de chemins de randonnée à travers bois et landes.

Personnalités liées à la commune

  • Benezech, Jules (1891-1971) : natif de Viane, propriétaire d'une résidence à Gijou, cofondateur de la société Motobécane.
  • Carcenac, Henri (1807-1888) : famille originaire d'Ornac, maire du 2e arrondissement de Paris de 1871 à 1882.
  • Combes, Émile (1835-1921) : Président du conseil. Dans son enfance il passait les vacances chez son cousin, prêtre du village.
Four.

Vie pratique

Service public

départ du sentier vers le col de la bassine
départ du sentier col de la BASSINE.
  • Ouverture des bureaux de la mairie tous les mardis et jeudis après-midi de 13h30 et 17h30.
  • Trésorerie à Lacaune.
  • Maison de santé à Lacaune.

Enseignement

  • Écoles maternelle et primaire à Viane à 4 km.
  • Collège à Lacaune à 9 km.

Culture

  • L’association « le Buscaillou » organise tous les étés une journée de randonnée, une visite guidée du village et une exposition d’artistes locaux.

Religions

  • Messes les et 1er novembre.
  • Cultes protestants les derniers dimanches de mars et octobre.

Activités sportives

  • Piscine de l’espace des sources chaudes à Lacaune.
  • Voie verte du Petit Train ouverte à la pratique de la marche, course à pieds et cyclisme.
  • Pistes de ski de fond au col de Picotalen (Lacaune).
  • Sports nautiques sur le lac du Laouzas à 25 km.

Écologie et recyclage

  • Tri sélectif communal.
  • Dechetterie à Lacaune.

Pour approfondir

Bibliographie

  • Marc Sicard, Des Monts de Lacaune au grand négoce : les familles Cabannes, Bonnafé, Nairac et Rabaud, Éditions CRPR, 2009.
  • Marc Sicard, Il était une fois Gijounet, Centre de recherches du patrimoine de Rieumontagné, 2020.
  • Georges Congnard, La famille Nairac, Éditions CRPR, 2010.
  • Divers articles publiés dans les Cahiers de Rieumontagné.

Articles connexes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[41].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Gijounet » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lacaune » (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Gijounet » (consulté le ).
  5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Gijounet » (consulté le ).
  9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Gijounet » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

Autres sources

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
  3. « Fiche communale de Gijounet », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
  4. Sandre, « le Gijou »
  5. Sandre, « le Bertou »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  11. « Station météofrance Lacaune - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Orthodromie entre Gijounet et Lacaune », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station météofrance Lacaune - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Orthodromie entre Gijounet et Le Sequestre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  16. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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