31e division d'infanterie (France)

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31e division d'infanterie
Pays Drapeau de la France France
Branche Armée de Terre
Type Division d'infanterie
Rôle Infanterie
Guerres Première Guerre mondiale

Seconde Guerre mondiale

Batailles 1914 - Bataille de Morhange
1914 - Bataille du Grand-Couronné
1914 - Bataille de Flirey
1915 - 1re Bataille de Champagne
1915 - 2e Bataille de Champagne
1916 - Bataille de Verdun
1917 - Bataille de Verdun

La 31e division d'infanterie est une division d'infanterie de l'armée de terre française qui a participé à la Première Guerre mondiale et à la Seconde Guerre mondiale.

Les chefs de la 31e division d’infanterie[modifier | modifier le code]

  •  : général Brincourt
  • -  : général Cérez
  •  : général Borson
  •  : général Landrut
  • -  : général de Boisfleury
  • .
  • -  : général Courbassier
  • .
  • -  : général Decharme
  • .
  • -  : général Laplace
  • .
  •  : général Robert
  • -  : général Calvel
  • .
  •  : général Bloch
  •  : général Vidal
  •  : général de Cadoudal
  • -  : général Martin
  • .
  • -  : général Daydrein
  • .
  • -  : général Bineau
  • .
  • -  : général Pagézy (sl)
  • .
  • 1936 : général Lepetit
  • -  : général Ihler
  • 1940 : général Vauthier

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Composition au cours de la guerre[modifier | modifier le code]

  • Infanterie :
81e régiment d’infanterie d’ à
96e régiment d’infanterie d’ à
122e régiment d’infanterie d’ à
142e régiment d’infanterie d’ à
322e régiment d’infanterie de à (dissolution)
  • Cavalerie :
1 escadron (puis 2 à partir de ) du 1er régiment de hussards d' à
  • Artillerie :
3 groupes de 75 du 56e régiment d'artillerie de campagne d' à
104e batterie de 58 du 9e régiment d'artillerie de campagne de à
101e batterie de 58 du 56e régiment d'artillerie de campagne de janvier à
11e groupe de 155c du 116e régiment d'artillerie lourde de janvier à
5e groupe de 155c du 116e régiment d'artillerie lourde de juillet à
  • Génie :
compagnie 16/1 du 2e régiment du génie
35e régiment d’infanterie territoriale d'août à

Historique[modifier | modifier le code]

Mobilisée dans la 16e région

1914[modifier | modifier le code]

 : combat de Rorbach.
 : combats sur le canal des Salines, vers Loudrefing.
27 -  : combats vers Poelcapelle.
2 -  : éléments engagés vers Gheluvelt et Velthoek. À partir du , mouvement de rocade, et occupation d’un secteur vers Zwarteleen et Saint-Éloi, réduit à droite, le , jusque vers le château à 1 kilomètre ouest d’Hollebeke.
8 -  : combats vers Klein-Zillebeke.
  •  : mouvement de rocade et occupation d’un nouveau secteur entre le château à 1 kilomètre ouest d’Hollebeke et Saint-Éloi, étendu à gauche, à la fin décembre, jusque vers Zwarteleen.
14 et  : attaques françaises.

1915[modifier | modifier le code]

12 -  : combats vers la ferme Beauséjour et la cote 196 (1re Bataille de Champagne).
-  : front étendu à gauche, jusqu’au nord du Mesnil-lès-Hurlus.
 : perte de la partie nord du Trapèze.
 : contre-attaque française. À partir du 1er juin, front étendu, à droite, jusque vers Massiges.
 : front réduit, à droite, jusque vers la cote 180.
12 -  : mouvement de rocade, et occupation d’un nouveau secteur vers la cote 193 et la butte de Souain
 : front étendu, à droite jusqu'à la route de Tahure à Somme-Py.
7 -  : attaque allemande et contre-attaques françaises.
  •  : retrait du front et transport par VF dans la région de Mareuil-le-Port : repos et instruction. À partir du , mouvement vers le camp de Ville-en-Tardenois ; instruction. À partir du , mouvement vers la région de Cumières, Damery ; repos.

1916[modifier | modifier le code]

 : attaque allemande.
  •  : retrait de front et repos au sud de Pierrefitte.
  •  : mouvement vers le nord et occupation d’un secteur entre l’Aire et la Haute Chevauchée (guerre de mines).
  •  : mouvement de rocade et occupation d’un secteur dans la région l’Aire, Avocourt.

1917[modifier | modifier le code]

  • 1er : retrait du front : repos au sud de Dombasle-en-Argonne.
  •  : occupation d’un secteur au Mort-Homme, entre Charny et la Hayette, réduit à droite, le , vers Marre.
  • 2 –  : retrait du front ; repos vers Combles.
  •  : mouvement vers le front : préparatifs de l’offensive projetée. , occupation d’un secteur vers [(Chattancourt]) et la Hayette. À partir du , engagée dans la 2e Bataille Offensive de Verdun : attaque et conquête du Mort-Homme ; organisation des positions conquises vers Béthincourt et les abords ouest de Forges.
  • 1er septembre –  : retrait du front. À partir du , transport par VF de la région de Revigny, dans celle de Villersexel : instruction et travaux de deuxième position.
  •  : instruction vers Bessoncourt.
  •  : mouvement vers le front et occupation d’un secteur vers Burnhaupt-le-Haut et Leimbach.

1918[modifier | modifier le code]

Rattachements[modifier | modifier le code]

Affectation organique : 16e corps d’armée, d’ à

22 –
11 –
13 –
4 –
17 –
  • Groupement Pétain

L'entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Composition[modifier | modifier le code]

Le la 31e DIAlp, sous les ordres du général Ihler, est rattachée au 8e corps d'armée qui est intégré à la 5e armée.

À cette date la 31e division d'infanterie alpine (DIAlp) se compose de :

L’après Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]