Chanay

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Chanay
Chanay
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Nantua
Intercommunalité CC Terre Valserhône l'interco
Maire
Mandat
Élisabeth Jeambenoit
2023-2026
Code postal 01420
Code commune 01082
Démographie
Gentilé Chanerus
Population
municipale
616 hab. (2021 en diminution de 3,75 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 00′ 23″ nord, 5° 46′ 59″ est
Altitude Min. 260 m
Max. 1 184 m
Superficie 18,10 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Genève - Annemasse (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valserhône
Législatives 3e circonscription de l'Ain
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Chanay
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Chanay
Géolocalisation sur la carte : Ain
Voir sur la carte topographique de l'Ain
Chanay
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Chanay
Liens
Site web http://www.mairie-chanay.fr/

Chanay est une commune française, située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Chanay se trouve dans le Bugey, à 36 km à vol d'oiseau au sud-ouest de Genève, 30 km au nord-ouest d'Annecy, 50 km au nord de Chambéry, 35 km à l'est d'Ambérieu-en-Bugey et 23 km de Nantua.

Le sentier de grande randonnée GR 9, confondu avec le GR 509, passe dans l'ouest du territoire communal.

Chanay fait partie de l'Aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française), de la zone d'emploi du Genevois français et du bassin de vie de Seyssel[I 1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Surjoux-Lhopital Rose des vents
Haut Valromey N Challonges (Haute-Savoie)
Bassy (Haute-Savoie)
O    Chanay    E
S
Corbonod

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 18,10 km2 ; son altitude varie de 260 à 1 184 mètres[1].

Le col de Richemond est un col du massif du Jura, situé à 1 036 m d'altitude entre Valromey (vallée du Séran au sud-ouest) au Genevois français (vallée du Rhône au nord-est).

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte hydrographique de la commune

Le lit du fleuve Rhône constitue la limite est du territoire communal.

La Dorches, qui limite au sud le territoire communal, est un affluent dui Rhône.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 390 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Usinens Sa », sur la commune d'Usinens à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 985,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chanay est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (77,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (67,8 %), prairies (14,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,3 %), terres arables (4,6 %), zones urbanisées (3 %), eaux continentales[Note 3] (1,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Six hameaux sont implantés sur la commune de Chanay. Bocconod et Vovray sur les premières pentes du crêt du Nû, respectivement à 600 m à l'ouest et à 1 500 m au nord-ouest du bourg. Chêne à 1 000 m au sud, Contamines à 1 000 m à l'est, Dorches à 1 200 m au sud en descendant vers le Rhône, le long de la rivière du même nom, ancien grand nœud routier jusqu'au début du XXe siècle, et Pyrimont au bord du Rhône.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2015 et 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 300, alors qu'il était de 295 en 2010[I 2]. Parmi ces logements, 77,8 % étaient des résidences principales, 11,8 % des résidences secondaires et 10,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 77,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 22,8 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Chanay en 2020 en comparaison avec celle de l'Ain et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (11,8 %) supérieure à celle du département (5,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Chanay en 2020.
Typologie Chanay[I 3] Ain[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 77,8 86,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 11,8 5,5 9,7
Logements vacants (en %) 10,4 8,2 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La gare de Pyrimont Chanay.

La commune est desservie par l'ancienne route nationale 491 (actuelle RD 991) reliant Mijoux à Chambéry.

La ligne de Lyon-Perrache à Genève (frontière) passe le long du Rhône, mais la gare de Pyrimont - Chanay est fermée. La station de chemin de fer la plus proche est la gare de Seyssel - Corbonod, desservie par des trains TER Auvergne-Rhône-Alpes .

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Chanay est issu du gaulois cassanos signifiant chêne[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Paroisse (Mons Chanisium, curatus de Chagnay, Chanei) sous le vocable de saint Victor. Vers 935, le comte Albitius et sa femme Odda donnèrent à l'abbaye de Nantua la montagne de Chanay, qui était leur terre de chasse. Les religieux de Nantua firent sans doute bâtir l'église mère de Chanay, car le patronage leur en fut confirmé par sentence de l’archevêque Renaud de Forez, en 1198.

Ce droit de patronage passa dans la suite aux évêques de Genève, qui nommaient à la cure aux derniers siècles.

Chanay formait deux seigneuries : celle de Chanay proprement dite et celle de Chanay-d’Izernore. La première, qui comprenait la plus grande partie de la commune, est relativement moderne, car elle ne fut inféodée qu'en 1584, par Charles-Emmanuel Ier, duc de Savoie, à Galois de Vignod, seigneur de Dorches dont les premiers seigneurs firent construire le château fort à la fin du XIe siècle. Les héritiers de Galois de Vignod la possédèrent une cinquantaine d'années indivise entr'eux, puis, jusque dans les premières années du XVIIIe siècle, avec la famille Constantin de Seyssel, qui l'acquit alors en totalité, ainsi que Chanay d’Izernore, et la possédait encore lors de la convocation des États généraux.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Dès 1885, les habitants des rives du Rhône demandent le remplacement du bac à traille qui assure le franchissement du fleuve, par un pont[15]. Le pont de Pyrimont est construit de à [15] et est inauguré en 1907[16]. Dans la nuit du 19 au , le pont est détruit par l'armée française, qui tente ainsi de retarder l'avancée allemande, lors de la bataille de France[16]. Le bac à traille reprend alors du service, ceci jusqu'au début des années 1950 et la construction du second pont de Pyrimont.

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, le col de Richemond a abrité[17] un des plus importants maquis de l'Ain et du Haut-Jura. À son sommet, une stèle commémore les maquisards du col de Richemond.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouvait dans l'arrondissement de Belley du département de l'Ain jusqu'en 2017, année où elle intègre l'arrondissement de Nantua[I 1].

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Seyssel[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Valserhône[I 1]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Ain depuis le dernier découpage électoral de 2010[18].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Chanay est membre de la communauté de communes dénommée Terre Valserhône l'interco[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2002 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

L'intercommunalité a porté les noms de communauté de communes du Bassin Bellegardien puis de communauté de communes du Pays Bellegardien avant de prendre sa dénomination actuelle en 2024.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1959 1989 Jacques Béchard[19]    
avant 1995[20] 2008 Albert Montagnac    
2008 mars 2023[21] Henri Caldairou   Vice-président de la CC du pays bellegardien ( ? → 2023)
Démissionnaire
juin 2023[22] En cours Élisabeth Jeambenoit   Professeure de français retraité

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Le château des Quinsonnas.

Chanay accueille sur son territoire, un des principaux centres cliniques de la Mutuelle générale de l'Éducation nationale (MGEN), qui traite les problèmes de santé liés à l'adolescence. Ce centre est installé dans le Château des Quinsonnas, au centre du Bourg.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 616 habitants[Note 4], en diminution de 3,75 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
532535620623716707737697780
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
668766756700690637616610600
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
582575519553440456481594651
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
499472464426410573601602636
2017 2021 - - - - - - -
625616-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]


Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « Commune de Chanay (01082) - Commune actuelle », Code Officiel Géographique (date de référence : 01/01/2024), sur https://www.insee.fr (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Chanay - Section LOG T1 » (consulté le ).
  3. a et b « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Chanay - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans l'Ain - Section LOG T2 » (consulté le ).
  5. « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Chanay et Usinens », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Usinens Sa », sur la commune d'Usinens - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Usinens Sa », sur la commune d'Usinens - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Henriette Walter, l'aventure des mots français venus d'ailleurs, page 44
  15. a et b « Ancien pont routier de Pyrimont (détruit) ; piles (vestiges) », sur Patrimoine architectural et mobilier en Rhône-Alpes (consulté le ).
  16. a et b Pont de Pyrimont sur Structurae.
  17. Gilbert Gonthier, Histoire du maquis de Richemond d'avril à septembre 1944, Lyon, éditions Bellier, , 188 p. (ISBN 978-2-84631-244-8, présentation en ligne).
  18. « Découpage électoral de l'Ain (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  19. Carole Bonnet, « Chanay : le témoignage d’un centenaire engagé dans la Marine nationale durant la Seconde Guerre mondiale : Jacques Béchard est né le 17 août 1920 à Chanay. À bientôt 100 ans, celui qui fut également maire de la commune pendant 30 ans a accepté de nous confier ses souvenirs de guerre. Un témoignage précieux, qui prend tout son sens en cette journée particulière du 8-Mai… », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  20. « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République », Journal officiel de la République française,‎ , p. 5747.
  21. Jacques Bosson et P.M., « Le maire de Chanay démissionne, des élections organisées en juin : Candidat en 2020 à un troisième mandat faute de relève pour lui succéder, le maire de Chanay Henri Caldairou vient d’annoncer sa démission. Avec deux sièges désormais vacants au conseil, il va falloir retourner aux urnes », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. Lise Benoit-Capel, « Élisabeth Jeambenoit, première femme maire à Chanay : Première femme maire de Chanay, Élisabeth Jeambenoit dévoile son parcours et ses ambitions pour Chanay », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Notice no PA00116361, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 20 (cf. Dorche).
  28. Notice no PA00116362, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]