Aunay-sous-Auneau

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Aunay-sous-Auneau
Aunay-sous-Auneau
La mairie.
Blason de Aunay-sous-Auneau
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté de communes des Portes Euréliennes d'Île-de-France
Maire
Mandat
Robert Darien
2020-2026
Code postal 28700
Code commune 28013
Démographie
Population
municipale
1 537 hab. (2021 en augmentation de 5,78 % par rapport à 2015)
Densité 79 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 26′ 31″ nord, 1° 48′ 32″ est
Altitude Min. 127 m
Max. 161 m
Superficie 19,41 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auneau
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Aunay-sous-Auneau
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Aunay-sous-Auneau
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Aunay-sous-Auneau
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Aunay-sous-Auneau
Liens
Site web www.aunay-sous-auneau.fr

Aunay-sous-Auneau est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Communes et département limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes d’Aunay-sous-Auneau
Auneau Orsonville (Yvelines) Paray-Douaville (Yvelines)
Roinville Aunay-sous-Auneau
Saint-Léger-des-Aubées La Chapelle-d'Aunainville Sainville

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Entrée de Nélu.
Entrée de Nélu.
  • Nélu.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune abrite la source de l'Aunay, affluent en rive droite de la Voise, sous-affluent du fleuve la Seine par l'Eure.

Transports et communications[modifier | modifier le code]

Transports routiers[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la ligne 11 du réseau de bus Centre et Sud Yvelines.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 637 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Sainville à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 655,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Aunay-sous-Auneau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,5 %), forêts (14,7 %), zones urbanisées (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Aunay-sous-Auneau est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Aunay. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1993 et 1999[15],[13].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aunay-sous-Auneau.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[16]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 40,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 609 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 294 sont en aléa moyen ou fort, soit 48 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[19].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[13].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes latine Alnetum et Aunetum en 1118[21] et en 1141[22], Alnetum en 1389[21], Alnetum sub Alneolo en 1432[23], Saint Éloy d’Aunay sous Auneau en 1736[24].

Aunay : aunaie, « lieu où poussent des aunes ».
L'aune est un arbre des lieux humides.
Le terme « aulne » est assez récent : l'arbre s'appelait auparavant verne ou vergne.

Auneau est l'ancienne commune, voisine, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle d'Auneau-Bleury-Saint-Symphorien.

Histoire[modifier | modifier le code]

Aulnay-sous-Bois, village de garnison. L’histoire militaire d'Aunay-sous-Auneau commence avec la guerre de 1914-1918.

Dès 1914, le ministère de la Guerre, dont le portefeuille était tenu par Messimy, éprouva le besoin de disposer, non loin de Paris, mais à côté d'une gare, d'un vaste terrain pour servir d'entrepôt de matériel et de centre d'entraînement militaire. Une surface de 33 hectares, longeant la ligne de chemin de fer, face à la gare d'Auneau-Embranchement, du passage à niveau de Roinville jusqu'à la route d'Auneau appartenant presque en totalité au même propriétaire (une famille de Sens) fut retenue et acquise par expropriation en temps de guerre. En 1915-1916, le premier bâtiment apparu : c'était « le Chalet », agréable construction toute en bois, avec galerie extérieure, dans le style montagnard. Bâtiment démantelé dans les années 1980. Ce pavillon se situait à l'entrée gauche de ce que nous conviendrons d'appeler « le Camp », route de la gare et, était destiné à servir de poste de commandement ou de logement d'officier.

Des baraquements sont ensuite installés côté route d'Auneau, première implantation purement militaire, qui abritèrent d'abord des prisonniers allemands puis des tirailleurs annamites et également, un peu plus tard, des travailleurs civils indochinois.

Du côté gare, un embranchement particulier fut créé ainsi qu'un réseau de voies ferrées sillonnant les 30 hectares du camp. En bordure de ces lignes, des hangars sont montés pour abriter le matériel, à l'époque presque exclusivement de terrassement du Génie.

Quelques civils sont embauchés pour l'entretien et le stockage auxquels les prisonniers participent ainsi que la troupe. L'implantation de ce que l'on nomme aujourd'hui « le casernement de passage » mais qui fut longtemps appelé « 71a Compagnie » occupe une surface de 1,6 hectare et est améliorée au fil du temps pour devenir une caserne moderne avec mess des officiers et sous-officiers, foyer du soldat et cantine avec cuisines. Des pavillons sont érigés en bordure de route, pour le logement des cadres. 120 à 150 hommes de troupe y tiennent garnison, avec un capitaine, un médecin aspirant du contingent, des officiers et sous officiers. En 1940, la Wehrmacht occupe le site. La Kommandantur s'installe au Chalet. Les Allemands améliorent encore les installations et occupent de nombreux civils. En 1944, l'armée américaine investit la place abandonnée par la déroute allemande.

Le poste de commandement est également installé au Chalet. Les G.I. commencent par se débarrasser de tout le matériel allemand d'intendance, en le jetant dans des cratères provoqués par des bombes égarées dans les champs, au cours des bombardements de la gare. Des habitants d'Aunay-sous-Auneau purent ainsi se procurer des bancs, des tables/des lits, avant que le feu ne les détruise. Au départ des Américains, qui suivaient la progression de leurs troupes, les F.F.I. (Forces françaises de l'intérieur), intégrés dans l'armée régulière, prennent leurs quartiers dans le casernement. Leur motivation était la garde de l'ensemble et aussi l'entretien de la compagnie qui avait subi pas mal de dégâts de ces occupations successives.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs à partir de 1945
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 ? Michel Couvenant    
mars 2001 juillet 2020 Jacques Weibel SE Employé
juillet 2020 En cours Robert Darien    
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 1 537 habitants[Note 3], en augmentation de 5,78 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9159229741 0281 0211 0061 0171 0221 076
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0601 0461 0551 1031 1351 1631 1691 1431 095
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0331 0591 0071 0171 0199799389611 024
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
8377558811 1091 2391 3281 3871 3951 409
2017 2021 - - - - - - -
1 4831 537-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La ville accueille le championnat d’Europe de tirs aux armes de jet préhistoriques (arc, propulseur, etc.)[29].

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Éloi.
L'église Saint-Éloi.
Le monument aux morts.

Église Saint-Éloi[modifier | modifier le code]

Logo monument historique Classé MH (1909)[30].

Monument aux morts[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Aunay-sous-Auneau Blason
D'azur à deux gerbes de blé d'or rangées en fasce (à la filière du même)[32].
Détails
Présent sur les plaques de rue.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Aunay-sous-Auneau et Sainville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Sainville », sur la commune de Sainville - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Sainville », sur la commune de Sainville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Aunay-sous-Auneau », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  16. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Aunay-sous-Auneau », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  21. a et b Dans une charte de l’abbaye de l’Ouïe.
  22. Dans certaines chartes de l'abbaye de Bonneval.
  23. Dans une charte de l’abbaye de Josaphat.
  24. René Merlet, Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790, Garnier, p. 6.
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Championnat européen de tirs préhistoriques sur www.lechorepublicain.fr, 20 novembre 2018.
  30. « Église Saint-Éloi », notice no PA00096960, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Nécrologie de Victor Sédillot publiée dans l'Annuaire d'Eure-et-Loir pour l'année 1844, pages 372 et 373.
  32. « 28013 Aunay-sous-Auneau (Eure-et-Loir) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).