Meki Megara

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Meki Megara
Naissance
Décès
(à 76 ans)
Martil, Maroc
Nationalité
Activité
Formation
Maître
Mouvement
abstrait, tendance lettres et signes
Distinction

Al-Makki Maghara (Tétouan, - Martil, ) est un artiste peintre et lithographe marocain. Il est considéré comme l'un des piliers de l'art plastique au Maroc par les médias[1],[2],[3].

Biographie[modifier | modifier le code]

Mariano Bertuchi

Al-Makki Maghara est né en 1933 à Tétouan, au Maroc[4]. Il s'intéresse à l'art, notamment à l'art plastique, depuis son enfance. Il a réalisé sa première exposition alors qu'il n'avait que 16 ans. En 1952, il commence sa formation académique à l'École des Beaux-Arts de Tétouan[3] (aujourd'hui Institut national des beaux-arts de Tétouan), école fondée par son professeur Mariano Bertuchi. En 1955, il décide de s'installer en Espagne afin de poursuivre ses études à l'École supérieure des beaux-arts, Santa Espil de Encre de Séville. En 1959, il rejoint l'Académie royale des Beaux-Arts Saint-Ferdinand (المدرسة العليا للفنون الجميلة المركزية سان فرناندو) de Madrid. En 1960, il termine ses études supérieures ; il est nommé professeur à l'Institut national des Beaux-Arts de Tétouan. En 1992, il quitte l'enseignement pour se consacrer à son art. En 2007, il est nommé membre de l'Académie des Beaux-Arts de Cadix[5].

L'artiste meurt en novembre 2009 à Martil où il s'était installé[6].

Une fondation Meki-Megara a été créée en son honneur[7]. À la fin 2022, 50 de ses œuvres sont exposées[3],[8].

Al-Makki Maghara est considéré comme l'un des piliers de l'art plastique au Maroc par les médias[1],[2],[3]. Le journal Libération Maroc le « compte parmi les grands artistes de l’histoire de la peinture contemporaine marocaine »[9].

Œuvres[modifier | modifier le code]

Les œuvres d'Al-Makki Maghara se trouvent dans des collections privées et officielles au Maroc et à l'étranger, comme l'Espagne, la France, l'Italie, les États-Unis, la Tunisie, l'Irak, la Syrie et d'autres pays. Ses œuvres se trouvent également au Museo de Popo Clico à Saint-Jacques-de-Compostelle, en Espagne et ont été retrouvées dans l'ancien Musée d'art contemporain de Tanger, au Maroc. Il a participé à quelques conférences, comme la première conférence des artistes plasticiens arabes à Bagdad, en Irak, en 1973, et la conférence de Damas, en Syrie, en 1975. Bank Al-Maghrib a émis plusieurs pièces de collection conçues par Al-Makki Maghara.

  • Une pièce d'argent (Année internationale de la femme), d'un montant de 50 dirhams, 1975.
  • Une pièce d'argent (La Marche verte), d'une valeur de 50 dirhams, 1977.
  • Une pièce d'argent (Année internationale de l'enfant), d'un montant de 50 dirhams, 1979.
  • Une pièce d'argent (Organisation mondiale de l'agriculture), d'un montant de 5 dirhams, 1975.
  • Une pièce d'argent (9 juillet), d'un montant de 50 dirhams, 1975.
  • Une pièce d'or (9 juillet), d'un montant de 250 dirhams, 1975.
  • Une pièce d'or (9 juillet), d'un montant de 500 dirhams, 1975.
  • Une pièce (pêche industrielle), d'un montant de 5 centimes, 1974.
  • Une pièce (industrie agricole), d'un montant de 10 centimes, 1974.
  • Pièce en bronze et nickel (thème agricole), 5 centimes, 1975.

Expositions[modifier | modifier le code]

Expositions personnelles[modifier | modifier le code]

  • Casino municipal de Tanger, 1962.
  • Galerie Aux belles images, Rabat, 1962.
  • Salle Mariano-Bertuchi, Tétouan, 1963.
  • Bibliothèque française, Tanger, 1965.
  • Meki Megara, salle de Prado, Athénée de Madrid, 1965[10].
  • Galerie Nebli, Madrid, 1967.
  • Galerie Griffe e Escola, Barcelone, 1973.
  • Galerie Eugène-Delacroix, Tanger, 1996.
  • Hommage à Meki Megara, galerie de l'École d'art nationale, Tétouan, 1997.
  • Lawrence Arnott Art Gallery, Tanger, 2000.
  • Galerie nationale Bab Rouah, Rabat, 2002.
  • Meki Megara - Rétrospective, Société générale de banque, Casablanca, 2002-2003.
  • Meki Megara, rétrospective - Hommage de la Fondation ONA, Villas des arts, Rabat et Casablanca, octobre 2011 - janvier 2012[11],[12],[13].
  • Meki Megara - Figurations, galerie d'art L'Atelier 21, Casablanca, mai-juin 2013[14],[15],[16].
  • Megara ou les sentiers ténébreux de l'être, musée de Bank Al-Maghrib, Rabat, mai-décembre 2016[17],[18],[19].
  • Regards, Centre d'art contemporain de Tétouan, octobre-novembre 2022[20],[21],[22],[8],[3].

Expositions collectives[modifier | modifier le code]

  • Salon d'hiver (Premier Prix), Marrakech, 1960.
  • Biennale de Paris, 1963, 1967.
  • Mille ans d'art marocain, Galerie Charpentier, Paris, 1965.
  • Salon de mai, Barcelone, 1965.
  • XIIe Festival d'Espagne, Centro Hijos, Ceuta, 1966.
  • Festival d'arts nègres, Dakar, 1966.
  • Six peintres de Tétouan, Athénée de Madrid, 1967.
  • Cinq peintres marocains, Fonds monétaire international, Washington, Boston, 1969.
  • Salon de Rabat, Hôtel Hilton, Rabat, 1970.
  • Biennale panarabe, Bagdad, 1974 ; Rabat, 1976.
  • Exposition pour la Palestine, Galerie Bab Rouah, Rabat, 1975.
  • Semaine culturelle marocaine, Fondation Miró, Barcelone, 1980.
  • La peinture marocaine, Wafabank, Casablanca, 1988.
  • Ve Rencontre hispano-arabe d'art, Almuñécar, 1988.
  • Peintres marocains contemporains, Centre culturel Conde Duque, Madrid, 1989.
  • Ibn Al-Arabe, casino de Murcie, 1990.
  • Peinture marocaine contemporaine, Damas, 1990.
  • Peintures maghrébines, Wafabank, Casablanca, Alger, Tunis, Tripoli (Libye), Nouakchott, 1990.
  • Art graphique hispano-marocain, galerie Flandria, Tanger, 1991 ; galerie Jan et Jalili, Séville, 1991.
  • Trois maîtres de la peinture marocaine : Meki Megara, Ahmed Ben Yessef, Saad Ben Cheffaj, galerie d'arts Flandria, Tanger, 1994[23].
  • Foire internationale d'art, Grenade (Espagne), 1996.
  • Art plastique dans la collection de Carlos Aréan, Casa de Galicia, Madrid, 1997.
  • Rencontre arabe et méditérranéenne, Galerie Bab Rouah, Rabat, 1997.
  • Hommage à trois grands : Saad Ben Cheffaj, Meki Megara, Martin Prado, espace Al-Wacetey, Casablanca, 1999.
  • Lumières et couleurs du Maroc, musée Pedro de Osma, Barranco (Pérou), 1999.
  • Neuf disciples de Mariano Bertuchi, Institut national des beaux-arts de Tétouan, 2000.
  • Peintres de Tétouan, musée d'Almeria, 2000.
  • La genèse de l'art contemporain marocain, galerie Centre Hassan-II, 2001.
  • Deux générations de l'École de Tétouan, galerie de la Maison du ministère de la culture, Chefchaouen, 2001.
  • Peintres de Tétouan, Galerie Dar Sanaa, Tétouan, 2001.
  • Société générale de banque, Casablanca, 2004 (Sculpture plurielle), 2007-2008 (Convergences).
  • Exposition du Nord, Galerie Linéart, Tanger, 2006.
  • Grande exposition nationale des arts plastiques (GENAP), église du Sacré-Cœur de Casablanca, 2006.
  • École de Tétouan - Cinquante ans de réflexion : Saad Ben Cheffaj, Abdelkrim Ouazzani, Meki Megara, Ahmed Lamrani, exposition itinérante : Fondation des trois cultures de la Méditerranée, Séville ; Centre culturel de Malaga ; musée des trois murailles, Ceuta, 2007[5].
  • 1914-2014 - Cent ans de création, exposition inaugurale, Musée Mohammed VI d'art moderne et contemporain, Rabat, décembre 2014[24].
  • Chronologie subjective de l'art moderne au Maroc, sélection d'événements artistiques majeurs, musée Mohammed VI d'art moderne et contemporain, Rabat, août 2021[25].
  • L'École du Nord, exposition inaugurale, Musée de l'ancienne prison de la Kasbah - Espace d'art contemporain, Tanger, janvier - février 2022[26],[27].
  • Dar As-Sikkah - Art et savoir-faire, musée de Bank Al-Maghrib, Rabat, janvier-mai 2023[28].

Réception critique[modifier | modifier le code]

  • « Megara puise sa thématique dans son environnement et sa propre angoisse. Il la restitue dans une composition rigoureuse avec une maîtrise riche et des structures paraissant se perdre dans une infinité de filaments ou dans de larges taches mouvantes ; ses couleurs sont d'une fulgurante clarté. » - Mohamed Sijelmassi[29]
  • « Personnage important de l'École des beaux-arts de Tétouan et dans le groupe d'artistes de la ville. Il est considéré que les artistes de Tétouan ont en commun une formation hispanisante, ce qui se traduit par le goût des matières sableuses (Antoni Tapies) et la pratique généralisée du collage de matériaux hétérogènes intégrés à la peinture. Meghara se met en situation de recherche et d'expérimentation permanente. Si ses coùmpositions sont abstraites, elles recourent toutefois, selon les périodes, à des réminiscences de figures géométriques, de signes ou carcatères d'écritures inconnues, à des graffitis, à des entrelacs ornementaux, des "arabesques", des empreintes pariétales, etc., dans un foisonnement créateur constant. » - Dictionnaire Bénézit[30]
  • « Depuis sa création en 1945, l'École de Tétouan a contribué à la formation des plus grandes figures de la peinture marocaine contemporaine. Bien que célèbre pour ses peintres réalistes, fidèles au legs de Bertuchi et de sa figuration, elle a néanmoins abrité des noms qui ont embrassé depuis les années soixante l'aventure de l'abstraction, laquelle s'est vue liée à l'émergence de l'art contemporain au Maroc. Ainsi, qu'il s'agisse de Mohamed Melehi, de Meki Megara ou de Saad Ben Cheffaj, tous ont été des aventuriers de la matière et de la forme et ont compris très tôt la médiation qu'elles offrent dans la création artistique… Plusieurs œuvres de Megara pendant les années soixante ont transformé la toile en un espace d'installation à plusieurs dimensions. » - Farid Zahi[31]
  • « Meki Megara est sans doute l'un des pio,,iers de l'art contemporain marocain. Un artiste qui, avec ses pinceaux, a écrit des pages brillantes de l'art national et international, laissant une trace indélébile chez ses élèves et amis et une œuvre à l'épreuve du temps. » - José Luis Gómez Barceló de l'Académie royale des beaux-arts de San Telmo[32]
  • « Un des pionniers qui ont contribué à la consécration de l'art plastique dans notre pays. » - Abderrahim Chaaban, conservateur du musée de Bank Al-Maghrib[18]
  • « L'École de Tétouan va transcender ses traditions simples, picturales, pour aller vers d'autres pratiques artistiques qui combinent cubisme, surréalisme et parfois d'autres modes d'expression artistique appartenant à la première moitié du XXe siècle. Et ce pour aller vers des recherches plutôt individuelles, à l'image du travail de Meki Megara qui va passer de cette iconographique traditionnelle à une recherche plus poussée. On peut voir un exemple assez concret de ce travail de Meki Megara dans la deuxième moitié des années cinquante, une période pendant laquelle il s'exprimait de façon représentative (Sans titre, 1957). Il passera ensuite à un travail plus poussé qui défragmente l'œuvre et l'espace et le représente avec la même palette mais d'une façon différente quelques années après (Sans titre, 1961). Cela montre parfaitement l'évolution d'un artiste comme Megara. Il faut le remettre dans son contexte bien évidemment et dire que c'était un artiste qui était en avance sur son époque. Il a pu réaliser des œuvres et une recherche matiériste assez importantes qui ont marqué plusieurs générations de l'École de Tétouan. » - Abdelaziz El Idrissi[33]

Collections publiques[modifier | modifier le code]

Musée du peuple galicien, Saint-Jacques-de-Compostelle
Musée Mohammed VI d'art moderne et contemporain, Rabat

Drapeau de l'Espagne Espagne[modifier | modifier le code]

France[modifier | modifier le code]

  • Artothèque de l'espace Jacques-Prévert, Mers-les-Bains, Sans titre, lithographie 65x50cm.

Drapeau du Maroc Maroc[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b (ar) « معلومات عن المكي مغارة على موقع rkd.nl », rkd.nl.
  2. a et b (ar) « معلومات عن المكي مغارة على موقع », artnet.com.
  3. a b c d et e « Expo’ : Regards de l’artiste feu Meki Megara, un témoignage d'élégance et de créativité », sur quid.ma, (consulté le ).
  4. Le Matin, « Un grand hommage à l’œuvre de Mekki Megara », (consulté le ).
  5. a et b « La peinture marocaine honorée en Espagne », Bladi.net, 26 janvier 2007
  6. « Hommage à l'artiste plasticien Meki Megara », Libération, 22 décembre 2009
  7. « «Regards», exposition de l’artiste feu Meki Megara à Tétouan », sur aujourdhui.ma, (consulté le ).
  8. a et b « «Regards» : Une expo inédite des œuvres de feu Meki Megara », sur fnh.ma, (consulté le ).
  9. « Hommage à Meki Megara », sur Libération Maroc, (consulté le ).
  10. Oierre Gasnier, Meki Megara, éditions Ateneo de Madrid, 1965.
  11. « Art : la Fondation ONA rend hommage à feu Meki Megara », Infomédiaire, 28 octobre 2011
  12. « Rétrospective de l'œuvre de Meki Megara », Le Matin, 30 octobre 2011
  13. « Hommage à Meki Megara », Libération, janvier 2012
  14. « Art : une exposition inédite à l'Atelier 21 de Casablanca », Infomédiaire, 3 mai 2013
  15. « "Figurations" de Meki Megara à la galerie d'art L'Atelier 21 », Medias 24, 10 mai 2013
  16. Alain Bouithy, « Les "Figurations" de Meki Megara accrochées à Casablanca », Libération, 11 mai 2013
  17. « Meki Megara au musée de Bank Al-Maghrib », Actuelles, 19 mai 2016
  18. a et b « Un grand hommage à l'œuvre de Meki Megara », Le Matin, 20 mai 2016
  19. « Exposition : Meki Megara au musée de Bank Al-Maghrib », Le site info, 24 mai 2016}
  20. « "Regards" : une exposition des œuvres de feu Meki Megara à Tétouan », Femmes du Maroc, 6 octobre 2022
  21. « "Regards" : une exposition inédite des œuvres de feu Meki Megara à Tétouan », Libération, 10 octobre 2022
  22. « Tétouan : vernissage de l'exposition "Regards" de l'artiste feu Meki Megara », La Vérité, 10 octobre 2022
  23. Naima Salam, Marokkanische und europäische Kunsttraditionen als Inspirationsquelle fûr die marokkanische Malerei der Gegenwart, LIT Verlag Münster, 2003.
  24. a et b Fondation Hassan-II, 1914-2014 - Cent ans de création, présentation de l'exposition inaugurale du Musée Mohammed VI d'art moderne et contemporain, 2014
  25. Mohamed Koné, « De l'orientalisme à l'art moderne : une certaine histoire de l'art au Maroc », Africa Times, 15 août 2021
  26. a et b « L'ancienne prison de la Kasbah transformée en musée d'art contemporain », Tanger Expérience, 16 janvier 2022
  27. Catherine Faye, « De l'ombre à la lumière », Afrique Magazine, février 2022
  28. « Dar As-Sikkah : art et savoir-faire », La Relève, 25 janvier 2023
  29. Mohamed Sijelmassi, L'art contemporain au Maroc, ACR édition, 1998.
  30. Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, vol.9, p. 440 (voir Meghara).
  31. Farid Zahi, D'un regard, l'autre - L'art et ses médiations au Maroc, éditions Marsam, 2006.
  32. José Luis Gómez Barceló, « Meki Megara entre réalité et trompe-l'œil », préface à Mohamed Benaboud et Bouabid Bouzaid, Meki Megara, éditions de l'Association Tétouan-Asmir, 2009.
  33. a et b Abdelaziz El Idrissi, « Les œuvres sur lesquelles il faut s'arrêter au musée de la Kasbah - Espace d'art contemporain », dossier « Région Tanger Tétouan Al Hoceima », Médias 24, mai 2022
  34. Villa des Arts, Meki Megara dans les collections
  35. Récits d'une collection - Les trésors du ministère de la culture, revue Diptyk, numéro hors série, février 2022, pp. 37 et 160

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Lamina Esposa, Meki Megara - Tetuan la Blanca, Espasa Calpe, 1964.
  • Pierre Gasnier, Meki Megara, Ateneo de Madrid, 1965.
  • Khalil M'Rabet, Peinture et identité - L'expérience marocaine, L'Harmattan, 1989.
  • Mohamed Sijelmassi, L'art contemporain au Maroc, ACR édition, 1998.
  • Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, vol.9, Gründ, 1999 (voir Meghara).
  • Naima Salam, Marokkanische und europäische Kunstraditionen als Inspirationsquelle für die marokkanische Malerei der Gegenwart, LIT Verlag Münster, 2004.
  • Farid Zahi, D'un regard, l'autre - L'art et ses médiations au Maroc, collection « Regards obliques », éditions Marsam, 2006.
  • Mohamed Benaboud et Bouabid Bouzaid (préfaces de Tahar Ben Jelloun et José Luis Gómez Barceló), Meki Megara, éditions de l'Association Tétouan-Asmir, 2009.
  • Bouabid Bouzaid, Saad Ben Cheffaj, Jean-François Clément, Rosa Martinez de Lahidalga, Clara Miret-Nicolazzi, Abdelkrim Ouazzani, Farid Zahi…, Meki Megara, Fondation ONA, Rabat, 2011.
  • Tsvetomira Tocheva, Meki Megara - Figurations, éditions L'Atelier 21, Casablanca, 2013.
  • Farid Zahi, « La culture marocaine contemporaine à l'épreuve des mutations », dans ouvrage collectif sous la direction de Baudouin Dupret, Zakaria Rhani, Assia Boutaleb et Jean-Noël Ferrié, Le Maroc au présent - D'une époque à l'autre, une société en mutation, Centre Jacques-Berque / Fondation du Roi Abdul-Aziz Al Saoud pour les études islamiques et les sciences humaines, Casablanca, 2015.
  • Abdeljalil Lahjouri (avant-propos) et Meryem Sebti (éditorial), Récits d'une collection - Les trésors cachés du ministère de la Culture, numéro hors série de la revue Diptyk, février 2022.

Liens externes[modifier | modifier le code]