Manéglise

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Manéglise
Manéglise
La mairie.
Blason de Manéglise
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité Le Havre Seine Métropole
Maire
Mandat
Marc-Antoine Tétrel
2020-2026
Code postal 76133
Code commune 76404
Démographie
Gentilé Manéglisais
Population
municipale
1 264 hab. (2021 en diminution de 1,02 % par rapport à 2015)
Densité 148 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 02″ nord, 0° 15′ 18″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 118 m
Superficie 8,52 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Le Havre
(banlieue)
Aire d'attraction Le Havre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Octeville-sur-Mer
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.maneglise.fr

Manéglise est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Cette commune est située sur la rive droite de la Seine, à une quinzaine de kilomètres du Havre, dans le canton de Montivilliers. Elle se situe également à quatre-vingts kilomètres de Rouen et tout proche de l'autoroute A29 et à quelques kilomètres des ponts de Normandie et Tancarville. Les formes visibles dans cette commune sont des vallées boisées ainsi que de grandes plaines sur le plateau cauchois.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 964 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Octeville-sur-Mer à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 790,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Manéglise est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine du Havre, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[11] et 235 218 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,3 %), zones agricoles hétérogènes (16 %), prairies (7,5 %), zones urbanisées (6 %), forêts (2,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes magna ecclesia en 1155, Magneglisa au XIIIe siècle[17],[18].

Toponyme formé de l'adjectif de la langue d'oïl manne « grande » et de église signifiant « la grande église »[17],[18].

Homonymie avec les Manneville de Normandie et même élément dans la Manneporte à Étretat.

Histoire[modifier | modifier le code]

L'église est placée sous le patronat de saint Germain l'Auxerrois et elle date des XIe et XIIe siècles.

Des éléments de voies romaines en différents points de la commune attestent l'existence d'un village dans l'axe de la route Harfleur - Fecamp dès la fin de l'Antiquité. Vers 900, le territoire de la paroisse faisait partie du fief de Montivilliers et le village prend vraiment forme avec l'arrivée de moines du prieuré de Longueville la Giffard, venus défricher cette vallée.

Pour les besoins des offices, vers les années 1066, le clocher et le chœur d'une grande église sortent d'une butte sur laquelle se trouvait un ancien temple dédié à Jupiter. Une église romane d'une splendeur unique, des fiefs-fermes aux cheminées armoriées, des puits millénaires, témoignent d'une histoire datant des grandes invasions vikings. Ainsi au hameau du Mouchy, subsistent les restes d'un vieux manoir possédant un puits, dont la margelle ornée d'animaux fantastiques sculptés portait la date de 1013 ; Selon la légende, en se penchant au-dessus du puits, on entend les cloches de l'abbaye de Montivilliers. Dans ce puits, les abbesses de la ville de Montivilliers, toute proche, auraient enterré les biens des seigneurs des environs sous la menace anglaise à la suite de la prise du port d'Harfleur. Ce puits serait également le carrefour des souterrains médiévaux venant de l'abbaye de Montivilliers, du manoir de Rolleville et du château des Hellandes. La famille Hellande fut une des plus grandes familles nobles du village de Manéglise. Ils étaient de puissants chevaliers au service du roi de France durant des siècles. C'est ainsi que l'on retrouve Jehan de Hellande à la croisade en Terre Sainte en 1099 ou encore Robert de Hellande fidèle du roi français à la bataille d'Azincourt.

La commune de Manéglise fut une scène de théâtre où les bruits des armes, les cris de soldats et le hennissement des chevaux couvraient les plaines alentour lors des affrontements entre Anglais et Français lors de la guerre de Cent Ans (1337-1453).

Toutefois, l'histoire d'une commune comme Manéglise est difficile à décrire puisque de nombreuses archives furent détruites en 1562 lors des guerres de Religion, puis à la suite de la Révolution française de 1789. Ce qui entraînera quelques légendes propres à la Normandie cauchoise comme celle du gibet installé en face de l'église où paraît-il les soirs de pleine lune il est possible d'entendre les âmes des suppliciés, ainsi que de cueillir la mandragore, plante fantastique. Ou encore la légende du crucifix sanglant datant de 1660 dans les terres agricoles manéglisaises, celle concernant le nom d'une route appelé "chemin des Impériaux" qui correspondrait au passage des troupes napoléoniennes en direction du Havre.

Pendant la Première Guerre mondiale (1914-1918), un hôpital belge était installé au château des Hellandes, les morts sont toujours enterrés au cimetière communal. Ce château devint en 1940, pendant le deuxième conflit mondial, un hôtel où de nombreux dignitaires allemands séjournèrent tel que le maréchal Rommel.

Les années d'après voient Manéglise comme un but de promenade à la campagne. On y vient du Havre en famille, pour goûter les spécialités normandes. Mais petit à petit, les données vont changer et cette commune s'inclut dans un phénomène qui est contemporain, celui de la péri-urbanisation. Malgré tout au-delà d'un style de vie beaucoup plus citadin qu'autrefois, elle reste une commune typique du pays de Caux où l'on retrouve des clos masures, restes des anciennes familles de la basse noblesse normande. On peut y retrouver de nombreux vestiges tels que l'église ou encore, un ancien hôpital belge dans le château des Hellandes ainsi que de nombreuses légendes cauchoises.

Le domaine des Hellandes (cf "le pays de Caux")

En arrivant sur la commune de Manéglise, on passe devant le château moderne des Hellandes, grande villa élevée en 1904 par M. Levesque sur l'emplacement d'une demeure du XVIIe siècle qui avait elle-même remplacé une forteresse détruite pendant la guerre de Cent Ans. Il n'y a pas moins de onze lieux-dits ou fiefs, dans la Seine-Maritime, se réclamant du nom de Hellande ou Hellandes, porté par une ancienne famille normande, mais Saint-Aignan-sur-Ry, Angerville-l'Orcher et Manéglise ont été les plus importants de leurs biens. Jehan Hellande participa au siège de Jérusalem en 1099.

En 1309, Simon de Hellande et Jean Malet de Graville tentèrent conjointement d'obtenir le droit de présenter à la cure, en leur qualité de plus importants seigneurs. Le patronage fut néanmoins confirmé au bénéfice des religieux du prieuré de Longueville qui en avaient reçu donation en 1155, comme celle de 26 autres paroisses du pays de Caux.

Ce prieuré Sainte-Foy avait été fondé par les Giffard qui, avant d'être chargés de la protection de la vallée de la Scie, avaient défendu la vallée de la Lézarde. On devine encore leur énorme motte féodale sur le pourtour Nord de l'enceinte de Montivilliers. La rivalité de patronage entre le prieuré et les Hellande, seigneurs locaux, et avec les Malet, leurs suzerains, se prolongea pendant plusieurs générations jusqu'à ce qu'intervienne une transaction.

En 1371, Jehan de Hellande, fils de Simon, était préposé, avec deux autres chevaliers et trois écuyers, à la garde de la ville de Montivilliers où se trouvait sa résidence, le manoir de la Fontaine. Robert, le fils ainé de ce Jehan, épousa en 1380 Jehanne de Montmorency-Beaussault et devint en 1399 capitaine de Pont-de-l'Arche. Chambellan du roi, bailli de Rouen en 1414, il fut fait prisonnier à Azincourt et mourut quelques mois plus tard, en .

Déclaré rebelle par Henry V, Robert, son second fils, fut dépouillé de ses biens, de même que son fils Roger ; et Clément Overton, le capitaine anglais de Montivilliers, occupa le manoir de la Fontaine, puisqu'il résidait déjà aux Hellandes. Tout rentra dans l'ordre à la libération du territoire, mais une vingtaine d'années plus tard, la famille s'éteignit malheureusement dans les mâles. La seigneurie revint au petit-fils de Roger de Hellande dont la mère avait épousé Jehan de Trousseauville. C'est de l'autre côté de l'eau, à Epreville-en-Lieuvin, comme aussi à Marcouville et à Saint-Christophe, que l'on connaît cette famille. Les frères Jehan et Gilles de Trousseauville épousèrent Anne et Renée filles de Roger de Hellande.

En 1581, le domaine était aux mains des Auber, seigneurs de Bléville. En 1645, François de Saint Denis vendit le fief à Hector Desmares, seigneur de Tournay et de Saint-Gilles, qui avait épousé Charlotte de Canouville (Grosmesnil). Adrien, son fils, lui succéda en 1672, mais après la mort de ses deux fils, en 1718 et 1719, le domaine passa aux neveux, époux des deux sœurs Desmares, d'abord Pierre-François de Paulmier d'Annemours, lieutenant de frégate, puis François Tiéchard. François Nicolas, leur héritier, était le fils naturel du chancelier d'Aguesseau. Il épousa en 1803 Élisabeth Viard, d'une famille protestante. Félix-Charles Levesque (1842-1919) fit raser l'ancien château. Marcel-Adolphe qui en hérita en 1917, vendit la nouvelle habitation qui avait servi d'hôpital belge pendant la guerre.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1995 mai 2020[19] Daniel Soudant[20]   Président du Syndicat mixte des bassins-versants[Quand ?]
Vice-président de la CODAH (2014 → 2018)
Vice-président de la CU Le Havre Seine Métropole (2019 → 2020)
mai 2020[21] En cours
(au 10 août 2020)
Marc-Antoine Tétrel Horizons Entrepreneur

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune est jumelée avec :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].

En 2021, la commune comptait 1 264 habitants[Note 3], en diminution de 1,02 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6166106181 495605609613600619
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
610635709584626582542638582
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
592592551509535591574652604
1962 1968 1975 2004 2006 2009 2014 2019 2021
5525136041 1731 1511 1521 2721 2281 264
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monument historique[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Germain.

La commune abrite un monument historique :

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Au hameau du Mouchy existe une demeure vieille de plusieurs siècles possédant une monumentale cheminée armoriée. On distingue, à droite, un écusson doté de trois fleurs de lys, tandis que sur le montant gauche, deux fleurs de lys, alternant avec deux feuilles de chêne. Ce manoir possède également un puits, dont la margelle sculptée porte la date de 1013, entourée de figures d'animaux domestiques.

Le puits du Mouchy serait le carrefour de souterrains venant de l'abbaye de Montivilliers, du manoir de Rolleville, du château des Hellandes.

  • La ferme d'Herbouville est ancien fief seigneurial du Moyen Âge avec ses bâtiments en pierre, son colombier en pierre de Saint-Jean datant de 1663; le château des Hellandes est un fief plus important datant des premières grandes croisades.
  • Le manoir du Crucifix, restauré par ses occupants, remonte au XVe siècle et est une ancienne possession de la famille Duval de Coupeauville.
  • Le manoir Sénécal aujourd'hui en ruine possède une grande cheminée armoriée ainsi que des dessins de façade très intéressants.
  • À côté de l'église se trouve un presbytère datant du XVIe siècle, jouxtant un autre fief ferme possédant lui aussi une cheminée vieille de plusieurs siècles et portant des armoiries.
  • Le calvaire mythique de la commune où préfigure l'origine d'une grande légende du XVIIe siècle, que peu de Manéglisais pourraient narrer.
  • Le cimetière communal comporte un carré de tombes de Belges tombés durant la guerre 1914-1918.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Site classé[modifier | modifier le code]

  • L'église, le calvaire, l'if, le monument aux morts et le cimetière de Manéglise Logo des sites naturels français Site classé (1936)[27].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Manéglise

Les armes de la commune de Manéglise se blasonnent ainsi :
D'azur à l'église du lieu d'or, accompagnée en pointe de trois fermaux du même, ordonnés 2 et 1; chapé de gueules chargé à dextre de deux bouquets de deux épis de blé d'or, les épis brochant l'un sur l'autre, les tiges courbées et passées en sautoir et à senestre de deux léopards du même, l'un au-dessus de l'autre; au chevron en filet d'argent brochant sur le chapé.


Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Manéglise et Octeville-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Octeville » (commune de Octeville-sur-Mer) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Octeville » (commune de Octeville-sur-Mer) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 du Le Havre », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Havre », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations dialectales (suite) et françaises, Droz, , p. 1512.
  18. a et b Stéphane Gendron, Les noms des lieux en France : essai de toponymie, Errance, , p. 145.
  19. « L’équipe municipale sortante candidate à sa réélection à Manéglise : Le maire Daniel Soudant ne se représentera pas en mars prochain. Il passe le témoin à Marc-Antoine Tétrel, conseiller municipal sortant, ainsi qu’à huit autres élus de son actuelle majorité », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. « Daniel Soudant se représente : Le maire a présenté ses vœux vendredi soir et a beaucoup parlé des finances du village », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
  21. « Municipales 2020. Marc-Antoine Tétrel a été élu maire de Manéglise par le conseil : Daniel Soudant, maire sortant, a transmis son écharpe de maire à Marc-Antoine Tétrel », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Lors du conseil municipal du lundi 25 mai 2020, le maire sortant Daniel Soudant a transmis l’écharpe tricolore à Marc-Antoine Tétrel, qui menait la liste sortante « Continuons ensemble pour Manéglise », seule en lice aux dernières municipales (...) Jusqu’alors conseiller municipal sortant, délégué aux sports et aux associations, le nouveau premier magistrat du village est élu depuis 2008 ».
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Notice no PA00100746, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. « L'église, le calvaire, l'if, le monument aux morts et le cimetière de Manéglise », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).