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Lapalisse

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Lapalisse
Lapalisse
L'église de Lapalisse vue depuis le parc du château.
Blason de Lapalisse
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Allier
Arrondissement Vichy
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lapalisse
(siège)
Maire
Mandat
Jacques De Chabannes
2020-2026
Code postal 03120
Code commune 03138
Démographie
Gentilé Lapalissois [1]
Population
municipale
3 137 hab. (2021 en augmentation de 2,28 % par rapport à 2015)
Densité 95 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 15′ 01″ nord, 3° 38′ 17″ est
Altitude Min. 264 m
Max. 465 m
Superficie 33,01 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Lapalisse
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Lapalisse
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Lapalisse
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Lapalisse
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Lapalisse
Liens
Site web www.ville-lapalisse.fr

Lapalisse est une commune française, située dans le département de l'Allier en région Auvergne-Rhône-Alpes.

La commune de Lapalisse est labellisée Village étape depuis 2006.

Les habitants se nomment les Lapalissois et Lapalissoises.

Géographie

Localisation

Lapalisse est située à l'est du département de l'Allier.

Six communes sont limitrophes[2] :

Hydrographie

La commune est traversée par la Besbre dont le débit inter annuel moyen est de 6 m3/s à cet endroit de son cours.

Voies de communication et transports

Voies routières

Jusqu'en octobre 2006, la ville était traversée par la route nationale 7 reliant Moulins et Varennes-sur-Allier vers l'ouest puis le nord d'une part et vers Roanne et Lyon à l'est puis au sud d'autre part, les vibrations des poids-lourds traversant le passage à niveau ayant été jusqu'à provoquer des fissures sur les murs du château.

La ville est contournée depuis cette date par un axe de type voie express à 2 × 2 voies et l'ancien axe est déclassé dans la voirie départementale (RD 707).

En 2010, un contournement ouest a été réalisé par le département de l'Allier (RD 480). Cette même route continue au nord vers Jaligny-sur-Besbre et Dompierre-sur-Besbre. Au sud de ce contournement, la RD 480 débouche sur un carrefour giratoire avec la RN 7, la RD 707 et la RD 907 menant à Magnet, Cusset et Vichy.

Vers l'est, les RD 990 et RD 990a desservent l'est du département (vers Montaiguët-en-Forez et Marcigny).

Les routes de desserte locale sont :

Transport ferroviaire

La ligne de Moret - Veneux-les-Sablons à Lyon-Perrache passe sur la commune limitrophe de Saint-Prix, où une gare SNCF est implantée. Elle a été fermée au service des voyageurs dans le but de diminuer la durée des relations ferroviaires entre les gares de Clermont-Ferrand et de Lyon-Perrache fin 2006[réf. nécessaire].

Urbanisme

Typologie

Lapalisse est une commune rurale[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lapalisse, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[6] et 3 919 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[7],[8].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lapalisse, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 9 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

Lapalisse constitue une unité urbaine de 3 122 habitants[11] et une aire urbaine de la même population[12], où, dans les deux cas, la commune est seule[13],[14].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (63,4 %), zones agricoles hétérogènes (13,8 %), forêts (10,7 %), zones urbanisées (8,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %), terres arables (1,8 %)[15].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie

Histoire

Antiquité

La première trace d'occupation au lieu-dit Lubié ou Lubillet précède de quelques siècles l'implantation définitive de l'ancienne Lipidiacus (La Palisse), sur les rives de la rivière Besbre.

Atelier de poterie antique de Lubié

À Lubié se trouve un atelier de poterie gallo-romain[16]. Le style de BANUUS III est l'une des créations les plus caractéristiques de cet atelier[17].

Le site de Chez-Duret, au sud-ouest de la commune, a fait l'objet en 1996 d'une fouille préventive dans le cadre de l'aménagement du contournement routier par la route nationale 7[18].

De la fin du Moyen Âge à la Révolution française

La ville tout entière s'insurge contre la gabelle, impôt particulièrement mal-aimé, en 1736. Le , les gabelous sont attaqués, pourchassés, et contraints de s'enfuir par les toits. La municipalité n'intervient pas, bien au contraire. La Ferme veut un procès : tout le monde fait traîner l'enquête en longueur, et le procès n'a lieu qu'en 1740. Finalement, elle plaide la confusion entre soldats, contrebandiers, gabelous et gens de passage, qui se ressemblent tous, et les choses en restent là, l'intendant ne pouvant la faire condamner. Selon Jean Nicolas, cet épisode témoigne des solidarités qui pouvaient se manifester à l'intérieur d’une communauté[19].

XIXe siècle

Après le coup d'État du 2 décembre 1851, les habitants des cantons de Luneau, Le Donjon et Jaligny se soulèvent, et s'emparent de Lapalisse après quelques combats (un gendarme tué). Mais la nouvelle de la réussite du coup d'État entraîne la dispersion des insurgés. La répression est sévère : les trois cantons soulevés totalisent environ 350 arrestations[20].

Politique et administration

Jusqu'au 24 août 1941, Lapalisse fut chef-lieu d'arrondissement. L'État Français transféra alors le chef-lieu à Vichy.

Elle est, en outre, chef-lieu (puis bureau centralisateur depuis ) d'un canton couvrant, depuis le redécoupage cantonal, le sud-est du département de l'Allier et la montagne bourbonnaise jusqu'aux portes de Vichy.

Tendances politiques et résultats

Aux élections législatives de 2012, le député sortant Gérard Charasse est élu dans la nouvelle 3e circonscription de l'Allier. Dans la commune, il a recueilli 59,02 % des suffrages exprimés. 59,10 % des électeurs ont voté[21].

Aux élections municipales de 2014, le maire sortant Jacques De Chabannes a été réélu sur une liste divers gauche, seule à se représenter. 57,92 % des électeurs ont voté[22].

Aux élections départementales de 2015, le binôme (radical de gauche) composé de Martine Arnaud et de Jacques De Chabannes a recueilli 54,43 % des suffrages exprimés. 62,83 % des électeurs ont voté[23].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1959 1971 Lucien Colon Rad.ind. Représentant de commerce[24]
Membre du Comité de Libération de Lapalisse en août 1944[24]
Conseiller municipal de 1945 à 1947 et de 1953 à 1959[24]
Conseiller général du canton de Lapalisse de 1951 à 1974[24]
Chevalier des Palmes académiques[24]
1971 1995 François Grèze PS Médecin généraliste
Conseiller municipal de 1995 à 1998[25]
1995 juillet 2007
(décès)
Bernard Le Provost RPR puis UMP Docteur vétérinaire
Conseiller général du canton de Lapalisse de 1982 à 2001
Conseiller municipal de 1983 à 1995[26]
28 septembre 2007 mars 2008 Louis Villecourt    
mars 2008 En cours
(au )
Jacques De Chabannes[27] PRG-MRSL Fonctionnaire
Conseiller général puis départemental du canton de Lapalisse
Président de la communauté de communes du Pays de Lapalisse
Réélu en 2014 et en 2020

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

En 2021, la commune comptait 3 137 habitants[Note 3], en augmentation de 2,28 % par rapport à 2015 (Allier : −1,97 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 4091 6651 8902 0612 2452 2862 4012 6702 696
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 6652 8012 8212 7712 7462 9002 9522 9042 941
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 8472 9712 9132 7322 9583 1583 2343 2603 182
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
3 3493 5283 6053 5533 6033 3323 2173 1753 105
2018 2021 - - - - - - -
3 1413 137-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

Lapalisse dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère l'école maternelle publique Arc en Ciel et l'école élémentaire publique G. Giraud[32].

Le conseil départemental de l'Allier gère le collège Lucien-Colon[32]. Hors dérogations à la carte scolaire, les collégiens devraient le fréquenter[33]. Les lycéens sont scolarisés à Cusset, au lycée de Presles[34] (renommé lycée Albert-Londres).

Lieux et Monuments

Vue de Lapalisse avec le château de La Palice
Vue de Lapalisse avec le château de La Palice.
  • Château de La Palice.
  • Ancienne Hostellerie du Puits de l'Image (XVe siècle), avec une belle porte et un bel escalier d'époque gothique.
  • Corps de logis et unique tour subsistante d'une partie des anciens remparts de la ville (XIVe et XVe siècles).
  • Ancien Hospice ou Hôpital de La Palisse des sœurs Augustines, fondé en 1656 par Claude-Maximilien de La Guiche, Comte de La Palice et Gouverneur du Bourbonnais, fils de Jean-François de La Guiche, maréchal de France.
  • Ancienne Hôtellerie de L'Ecu de France.
  • Musée de l'Art en Marche (installé dans l'ancienne usine de cuirs Barthelot) consacré à l'art contemporain populaire et à l'art brut.
  • Église Saint-Jean-Baptiste du XIXe siècle construite sur le modèle des églises romanes. Elle possède un orgue dû au facteur Paul Férat (1879)[35].
  • Ancienne halle dite de La Grenette (XIXe siècle) près du Champ de Foire située dans la ville haute. Cette ancienne Halle aux Grains est le dernier témoin avec les restes du Moulin de la Ville, de ce qui rappelle encore quelle fut l'opulence des marchés aux grains de La Palisse du temps de sa splendeur économique. Aujourd'hui ce beau bâtiment après des travaux de rénovation, a été reconverti en salle des fêtes communale.
  • Ancien moulin de la ville (XIXe siècle), immortalisé par une gravure des frères Rouargues. En cours de destruction.
  • Monument aux morts de la Grande Guerre 1914-1918. Ce monument représente un « Poilu » de 14-18 terrassant sous ses pieds l'aigle germanique, œuvre remarquable du sculpteur Gaston Petit, originaire de la Saône-et-Loire, ancien élève [36] de l'École nationale des Beaux-Arts de Paris, où il fut l'élève du maître sculpteur Jean-Antoine Injalbert. Probablement cette oeuvre superbe n'est-elle qu'en partie de la main du sculpteur bronzier Gaston Petit, puisqu'elle fut co-signée par Louis Bertola qui apporta [37] aussi son concours ? Vu les coûts onéreux exigés par Petit ( 41.200 Frs ) , le projet d'élévation de ce monument commémoratif qui fut d'abord conflictuel avec la mairie d'Auguste Coche, fut finalement inauguré le 31 juillet 1922 en présence d'Albert Peyronnet, sénateur de l'Allier et ministre du Travail dans le gouvernement Poincaré, et du sous-secrétaire d'État à l'Instruction publique Gaston Vidal. Lors de ce déplacement ministériel, M. Peyronnet inaugura également le Monument dédié aux victimes du Coup d'Etat du 2 décembre 1851 mais aussi le nouvel Hospice-hôpital de Lapalisse. Le socle et le piètement colonne de la statue du " Poilu " de Lapalisse furent réalisés en granit rose de Droiturier.
  • Monument aux victimes du coup d'État du (ville haute).

Événements

  • Le bouchon de Lapalisse. Depuis la mise en service du contournement de la ville par la Nationale 7 vers 2008, une manifestation festive rassemble tous les deux ans les amateurs de voitures des années 50-60 qui reconstituent le bouchon légendaire qui se produisait dans la ville à chaque départ en vacances, voire chaque week-end. Entre 200 et 300 véhicules, principalement des voitures de tourisme, sont ainsi présentés, pour la plus grande joie des amateurs de belles carrosseries bien dessinées. Cette manifestation a lieu à l'automne des années impaires depuis le confinement de l'année 2020 qui a contraint les organisateurs à reporter à 2021 l'édition prévue en 2020.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Malte-Brun, dans la France illustrée (1882), rapporte deux blasonnements différents pour les armes de la ville de Lapalisse, le second étant celui des armes en vigueur :

« De sinople, au sautoir d'or. »
« De gueules, à cinq pals rétrécis d'argent. »
(Les « pals rétrécis » sont en fait des vergettes, mais le blasonnement veut souligner l'aspect « armes parlantes ».)

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. https://www.habitants.fr/allier-03
  2. Carte de Lapalisse sur Géoportail.
  3. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
  4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
  5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
  6. « Unité urbaine 2020 de Lapalisse », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « Séries historiques des résultats du recensement : Unité urbaine de Lapalisse (03104) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Séries historiques des résultats du recensement : Aire urbaine de Lapalisse (732) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2010 de Lapalisse (03104) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. « Zonage en aires urbaines 2010 de Lapalisse (732) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. [Delage 2001] R. Delage, « Essai de caractérisation de la période d'activité du centre de production des Queyriaux (Puy-de-Dôme) à partir de la sigillée moulée », Revue archéologique du Centre de la France, no 40,‎ , p. 115-132 (lire en ligne [sur persee], consulté le ), p. 116, fig. 1.
  17. Delage 2001, p. 119.
  18. Sophie Liégard, Alain Urgal, Alain Fourvel et Denis Liégard, « Étude d'un lot de mobilier du Néolithique moyen II d'affinité nord-orientale découvert à Lapalisse (Allier) », Revue archéologique du Centre de la France, t. 39,‎ , p. 31-42 (lire en ligne).
  19. Jean Nicolas, La Rébellion française : mouvements populaires et conscience sociale, 1661-1789, Paris, Gallimard, coll. « Folio », , 1076 p. (ISBN 978-2-07-035971-4), p. 163-164.
  20. Agnès Roche, « Un terreau favorable », Études rurales, nos 171-172,‎ , p. 109-110.
  21. « Résultats des élections législatives 2012 », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  22. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  23. « Résultats des élections départementales 2015 », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  24. a b c d et e « Lucien Colon : le maire de l'expansion », sur PALICIA : la fenêtre numérique du Pays lapalissois, (consulté le ).
  25. S. Hug, « François Grèze : une certaine idée du mandat », sur PALICIA : la fenêtre numérique du Pays lapalissois, (consulté le ).
  26. S. Hug, « Bernard Le Provost, créateur d'élans », sur PALICIA : la fenêtre numérique du Pays lapalissois, (consulté le ).
  27. « Liste nominative des communes de l'Allier » [PDF], sur maires-allier.fr, Association des maires et présidents d'intercommunalité de l'Allier, (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. a et b « Annuaire : Résultats de recherche », Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  33. « Sectorisation des collèges du département de l'Allier » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale de l'Allier, (consulté le ).
  34. « Sectorisation des lycées - 2GT - Allier » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale de l'Allier, (consulté le ).
  35. Classé monument historique au titre objet en 1981.
  36. Journal : Courrier de Saône et Loire . N° 26.353 - 52e année - Lundi 31 Juillet 1922. Article : Artistes statuaires de Saône et Loire. ( Inauguration du monument aux morts de Lapalisse, réalisé par Gaston Petit )
  37. https://www.monumentsauxmorts.fr/cariboost1/crbst_1004.html