Gesnes

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Gesnes
Gesnes
Mairie de Gesnes
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Mayenne
Intercommunalité Communauté de communes des Coëvrons
Maire
Mandat
Gérard Papillon
2020-2026
Code postal 53150
Code commune 53105
Démographie
Population
municipale
226 hab. (2021 en diminution de 1,74 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 08′ 49″ nord, 0° 35′ 07″ ouest
Altitude Min. 67 m
Max. 123 m
Superficie 11,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Laval
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bonchamp-lès-Laval
Législatives Première circonscription
Localisation
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Gesnes

Gesnes est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 226 habitants[Note 1].

La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.

Géographie

Géographie physique

Géologie

Daniel Œhlert indique pour la description de la géologie sur Gesnes au début du XXe siècle: Au Nord-Ouest se présente un massif granitique qu'accompagnent au sud des schistes précambriens ; cet ensemble est coupé par des filons de diabase (les Ventes, etc.), de microgranulite (Les Maunis), et de quartz (L'Aunay). Vers le sommet des schistes précambriens s'intercalent de petits bancs de poudingues à galets de quartz (Poudingue de Gourin) ; au-dessus viennent les schistes cambriens auxquels sont associés des calcaires magnésiens exploités près du bourg de Gesnes ; ceux-ci forment une bande tronquée par faille à ses deux extrémités. Au sud, une crête de grès armoricain forme les hauteurs de la Templerie et de Bel-Air (121) ; des schistes ordoviciens lui succèdent dans la dépression de La Poterie, et sont eux-mêmes surmontés par une bande de grès gothlandien qui suit le chemin allant de Gresse à Montsûrs. Les noms de La Poterie, la Tuilerie, indiquent des industries disparues aujourd'hui ; celle de la Tuilerie existait encore en 1850. .

Territoire

Il s'agit d'un territoire qui s'incline au Sud-Est vers le confluent de la petite rivière de Gesnes et de la Jouanne. Il est assez accidenté, bien arrosé, et de 130 m. à l'Ouest s'abaisse à 60 dans la vallée de la rivière. Le village est arrosé par le ruisseau de la Jarriais, affluent de la Jouanne qu'il rejoint sur la commune voisine de Montsûrs. La rivière sert de limite avec cette commune après le confluent, sur environ 200 mètres.

On mentionne en 1247 le chemin du roi, spécifié en 1317 comme étant celui qui conduit de Montsûrs au Bourgnouvel, et qui passe au fief des Landes près de Chevaignon.

La superficie, cadastrée en 1830 par M. Béquet est 1 120 hectares — Miroménil indique en 1696 que La moitié de cette paroisse est en landes et le reste en bonnes terres et en prés ; 16 métairies, produisant du seigle, du froment, de l'avoine et du sarrasin, XVIIIe siècle.

Communes limitrophes

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,8 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 765 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Argentre », sur la commune d'Argentré, mise en service en 1971[8] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[9],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 774,8 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, dans le département de l'Orne, mise en service en 1946 et à 59 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,8 °C pour la période 1971-2000[12], à 10,9 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].

Urbanisme

Typologie

Gesnes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laval, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,6 %), prairies (42,6 %), forêts (5,7 %), zones agricoles hétérogènes (1 %)[20].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

Toponymie

Attestations anciennes

Les attestations anciennes référencés par Alphonse-Victor Angot sont :

  • Ecclesia Sancti Georgii de Gesna, 1125 (Cartulaire d'Évron).
  • Parrochia de Genes, 1247 (Historiens de France, t. XXIV).
  • Genes 1312 (Bibliothèque nationale de France, fr. 8.736).
  • Gennes jouxte Monseur, 1370 (Archives nationales, P. 1.343, f. 41).
  • Ecclesia de Genis,… prioratus de Genes, XVe siècle (Pouillé).
  • La maison priorale de Gesnes, 1559 (Insinuations ecclésiastiques).
  • L'église Saint-Mathurin de Gesnes, 1567 (Insinuations ecclésiastiques).
  • Sanctus Georgius de Gesnes, 1610 (Registre paroissial).
  • Genes (carte de Jaillot et carte cénomane).
  • Gesnne (carte de Cassini).

Histoire

Féodalité

Plusieurs localités portent des noms anciens : les Alleux, Mauny, Gaubert, Sion, Chevaignon, la Selle, la Templerie.

Le plus ancien texte connu qui parle de Gesnes est la confirmation de l'église à l'abbaye d'Évron par l'évêque du Mans Hildebert de Lavardin, 1125. La seigneurie de paroisse appartenait à l'abbé d'Évron. En 1247, on se plaint de l'impôt du fêtage auquel sont taxées toutes les maisons par les officiers royaux. Le seigneur d'Anthenaise avait un fief dans la paroisse de Gesnes, 1275.

En 1370, l'amortissement des legs faits à la cure est modéré, considéré la stérilité des biens et fortune des ennemis.

XVIIe siècle

Des épidémies dévastent la commune du au  ; du mois de au , la campagne est atteinte et l'on enterre en terre profane ; le mal gagne le bourg au mois de décembre.

XVIIIe siècle

Le cahier de doléances en 1789, rédigé par M. Marion, curé[22], s'inspire de la plus vive reconnaissance pour les vues de sagesse et les soins paternels du meilleur des rois », et demande la création dans chaque paroisse d'un bureau de charité pour obvier aux abus de la mendicité. 'Il n'est pas de paroissien, y lit-on, qui, voyant son frère souffrir et manquer de pain, refuse de contribuer de tout son pouvoir à le soulager. Trente-deux habitants sont dénoncés comme suspects en 1794.

Politique et administration

Liste des maires

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1791 1791 Marion ( ?), curé ; G. Bodereau, greffier, Blanchard, procureur    
1792 1792 P. Denis    
An V   G. Bodereau   Agent national
1798   Louis Fortin    
An VIII   Charles Boisseau fils    
? ? Defay    
An XII 1807 Guillaume Bodereau    
1807 1813 Gabriel Boisseau    
1813 1815 Charles Boisseau    
1815 1815 Louis Fortin    
1815 1818 Jean Noyer    
1819 1840 Joseph Legrand    
1847 1888 Pierre David    
1888 1900 Drouault    
1900   Paumard    
? mars 2001 Paul Chardron    
mars 2001[23] mars 2008 André Montalant   Responsable logistique en retraite
mars 2008[24] En cours Gérard Papillon[25] SE Agriculteur

Circonscriptions électorales

À la suite du décret du , la commune est détachée du canton de Meslay-du-Maine et entièrement rattachée au canton de Bonchamp-lès-Laval[26].

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 226 habitants[Note 8], en diminution de 1,74 % par rapport à 2015 (Mayenne : −0,65 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
588301374381395418402407415
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
439430442394384395382360338
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
343349340283291288274264250
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
228208174193170174208218234
2018 2021 - - - - - - -
227226-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Une tuilerie, produisait en 1840 : 250 000 briques, 100 000 pavés, et 50 000 tuiles. Il existait au début du XXe siècle un four à chaux hydraulique exploité par la société de Sarthe et Mayenne qui occupait environ 25 ouvriers.

Lieux et monuments

Manoir prieural

À signaler de remarquables pilastres ornant les cheminées intérieures. De l'extérieur, on distingue aujourd'hui deux pavillons moins élevés et plus récents. Un escalier à vis dessert l'étage dans l'une des tours rectangulaires.

La liste des prieurs commendataires (abbés titulaires d'un bénéfice) mentionne parmi ses membres un personnage plus connu par ses écrits que par son état ecclésiastique : l'abbé Antoine François Prévost dit d'Exiles, historiographe des princes de Condé, auteur de l'œuvre célèbre Histoire du chevalier Des Grieux et de Manon Lescaut (il est prieur de Saint-Georges de Gesnes de 1754 à 1763, date de sa mort).

Autre bénéficiaire notable : Jean-François de Marescot, seigneur de Thoiry (Yvelines), tonsure en 1657 et prieur de 1686 à 1707. Dernier prieur : César de Couasnon de la Barillère(1777). Le prieuré fut vendu comme bien national le .

Cette propriété privée est en cours de restauration et le domaine s'étend sur 27 hectares ; elle figure à l'Inventaire général des Pays de la Loire (1986).

Église paroissiale Saint-Georges

Trois vitraux du maître verrier chartrain Charles Lorin sont répertoriés dans l'inventaire général du patrimoine culturel : saint George, saint Jean-Baptiste et saint Julien du Mans[31].

Modèle:Message galerie

Activité et manifestations

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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Sources

Bibliographie

Notes et références

Notes

  1. Population municipale 2021.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 2, , p. 39
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  8. « Station Météo-France Argentre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Gesnes et Argentré », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France Argentre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Gesnes et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  22. Et signé par huit de ses paroissiens, parmi lesquels Pierre Deffay, syndic
  23. « Le maire, André Montalant, ne se représente pas », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  24. « Gérard Papillon entame son 1er mandat de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  25. Réélection 2014 : « Gesnes (53150) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  26. Décret no 2020-214 du 5 mars 2020 modifiant le décret no 2014-209 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Mayenne..
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Ensemble de trois verrières figurées : saint George, saint Jean-Baptiste, saint Julien du Mans », notice no IM53000607, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.