Famille de Chabannes

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 27 janvier 2022 à 11:51 et modifiée en dernier par Vlaam (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

Famille de Chabannes
Image illustrative de l’article Famille de Chabannes

Blasonnement De gueules au lion d'hermine, armé, couronné et lampassé d'or.
Période XIVe – XXIe siècle
Charges Chambellan
Fonctions militaires Maréchal de France, officiers, gouverneur, sénéchal, grand maître de France

La famille de Chabannes est une famille française noble du Limousin, d'extraction chevaleresque, actuellement subsistante. La filiation prouvée et suivie débute au milieu du XIVe siècle. Elle jouit de l'appellation de Cousin du Roi depuis 1820[1], plusieurs de ses membres ont été reçus aux honneurs de la Cour, le chef de la famille porte depuis 1563 le titre de marquis de Curton, mais se fait appeler marquis de Chabannes-La Palice[1].

Nom

Dans les chartes les plus anciennes, on trouve Chabanas, Chabanes, Chabany, Chabanis, Cabanis et Cabanesio. Le « double n » ne date que depuis l'établissement de la famille en Auvergne[2].

L'orthographe Chabannées a été utilisée jusqu'à Antoine de Chabannes comte de Dammartin, son neveu Gilbert seigneur de Curton, et le maréchal de Chabannes. En 1759, les seigneurs de Chabannes comtes de Saignes et seigneurs de Nozerolles[n 1], signaient encore ainsi[2].

Origine

Armoiries des sires de Chabanais.
Région de la Charente Limousine

Hypothèse non prouvée sur les origines

Originaire de la Charente limousine, la lointaine filiation de cette famille remonterait aux premiers temps du Xe siècle depuis Abon Cat Armat et serait issue de la Maison des premiers [3]sires de Chabanais, et de Confolens parfois aussi anciennement dénommée de Chabannées. Sur la commune de Chabanais, dans l'église paroissiale de Notre-Dame de Grénord, on peut encore voir le sarcophage de Jourdain II ou III de Chabanais, qui fut fondateur de l'abbaye de Lesterps. Amelie de Chabanais, fille de Jourdain VII Eschivat de Chabanais de la seconde Maison, Sires de Chabanais et Comtes de Bigorre, se maria vers l'an 1100 à Guillaume III de Matha, donnant naissance à un fils du nom d'Eschivat de Chabanais qui épousa Matebrune de Ventadour', dame de Charlus-le-Pailloux[4], depuis appelé parfois Charlus-Chabannes.

L'église prieurale de Notre-Dame de Grénord à Chabanais. (Charente)

Le premier membre connu de la famille de Chabannes serait donc Eschivat de Chabannes[5], qui épouse en 1171 Matabrune de Ventadour[6], fille d'Ebles IV, vicomte de Ventadour et de Marguerite de Turenne, sa première femme[1]. Marguerite avait dans sa dot la terre de Charlus[7], sur la commune actuelle de Saint-Exupéry-les-Roches (Corrèze, à 8 km au sud-est d'Ussel)[8]. Le château de Charlus, à 660 m d'altitude (aujourd'hui disparu), dominait la vallée de la Diège[8]. Il était de taille importante et dans une excellente position pour la défense[7]. Une hypothèse, qui ne s'appuie sur aucun document, voudrait qu'Eschivat de Chabannes soit le fils de Guillaume de Mathas, qui serait lui-même issu des comtes d'Angoulême. Un Gui de Chabannes, est cité à la croisade de 1248[9], mais rien ne permet de le rattacher à la famille de Chabannes[1].

La généalogie suivie de la famille ne commence qu'avec Hugues de Chabannes, coseigneur de Charlus, au milieu du XIVe siècle[1]. Son petit-fils, Jacques Ier de Chabannes, achète en 1430 au duc de Bourbon, la seigneurie et le château de La Palice en Bourbonnais, qui appartient toujours à la famille de Chabannes.

Personnalités

Non rattachés à la filiation prouvée

  • Adémar de Chabannes, originaire du Limousin est né vers 989, affilié à la famille de Chabannes, il fut moine à l'abbaye Saint-Martial de Limoges et compositeur. Chroniqueur du Haut Moyen Âge, Adhémar de Chabannes a écrit une première étude sur l'histoire des Francs appelée Chronicon. Le spirituel et très croyant Adémar part en Terre sainte et meurt à Jérusalem vers 1032.
  • Guy de Chabannes accompagne à la sixième croisade Alphonse de France, comte de Poitiers en 1248. Dans l'ouvrage paru en 1839 [10] sur Les Galeries Historiques du Palais de Versailles, pour la création des armoiries illustrant la Salle des Croisades du château, il fut mentionné dans cet ouvrage : "Guy de Chabannes était à la Terre Sainte, lorsque Alphonse de Poitiers, lui accorda sa garantie, ainsi qu'a deux de ses compagnons, en prenant hypothèque sur leurs biens, pour un emprunt de 200 livres tournois qu'ils avaient fait collectivement à Manfredo di Coronato et Guittardo Schaffa, dont ils donnèrent reçu par acte sur parchemin, daté d'Acre, au mois de mai 1250. Armes : Guy de Chabannes portait de gueules, au lion d'hermine, armé, lampassé et couronné d'or". Plusieurs ouvrages savants dont celui de l'Abbé Migne reprennent ces faits. Cependant dans un autre ouvrage, il subsiste un doute sur son affiliation à la famille de Chabannes[1].

Filiation prouvée

  • Charlotte de Chabannes de La Palice, sœur du maréchal de La Palice. La bienheureuse Charlotte de Chabannes est élue de l'an 1521 à 1540, avec l'appui du roi François Ier, comme 18e mère abbesse du prieuré Saint-Louis de Poissy. Les deux filles du maréchal de La Palice, Louise et Marguerite de Chabannes, nièces de l'abbesse Charlotte de Chabannes, deviendront également vers 1530, religieuses du même monastère. La Bibliothèque nationale conserve un manuscrit enluminé, livre de prières et de chants pour la procession à l'usage des deux filles religieuses du maréchal de La Palice. Ce manuscrit est intitulé : Processionnal à l'usage de Marguerite et Louise de Chabannes, religieuses du couvent des Dominicaines de Poissy[14]. Les riches enluminures font apparaitre les armoiries du feu maréchal de Chabannes leur père, mais surtout celles de Marie de Melun leur mère, veuve du maréchal de La Palice. Ce manuscrit, écrit en latin, reste un des rares témoins de la riche bibliothèque que possédait le couvent des Dominicaines de Poissy, fondé par Philippe le Bel.
  • Jean de Chabannes (1464-1524) dit Le Petit Lion, seigneur de Vandenesse, frère du précédent. Il captura en 1509 à la bataille d'Agnadel le généralissime Bartolomeo d'Alviano et fut tué à Rebec (Italie) en avril 1524 aux côtés de Pierre Terrail de Bayard.
  • Charles de Chabannes († 1552), second fils de Jacques II, seigneur de Lapalisse, de Montaigu-le-Blin, de Vindecy, de Châtel-le-Perron, de Chezelles et de Dompierre[n 3] etc. fut gentilhomme du roi Henri II.
  • Joseph-Gaspard-Gilbert de Chabannes, (1702-1767) prélat français devint en 1735 évêque d'Agen.
  • Marc-Antoine-Jacques Rochon de Chabannes (1730 - 1800) Rochon de Chabannes, célèbre dramaturge français au XVIIIe siècle.
  • Sylvain Léonard de Chabannes (1718-1814), dit " L'Abbé de Chabannes ". Descendant des Chabannes, seigneurs de Nouzerolles, docteur en Sorbonne, il devient chanoine du chapitre noble de Saint Pierre de Vienne en 1750 et aumônier du roi Louis XV le 13 septembre 1753 à la promotion de l'abbé de Termont, puis chanoine comte de Lyon en 1760, en service jusqu'à sa retraite en 1767. Suite à l'accouchement précipité de Madame la Dauphine survenue le 23 ou 24 août 1754 et en l'absence de M. le cardinal de Soubise ( Armand de Rohan-Soubise ) grand aumônier de France, ce fut l'abbé de Chabannes, aumônier du roi, qui intervint à sa place en urgence pour ondoyer à sa naissance[15] Louis dauphin duc de Berry, autrement dit le futur Louis XVI.
  • Jean-Baptiste de Chabannes (1770-1835), militaire et homme politique.
  • Alfred Jean Eginhard de Chabannes de La Palice (1799-1868), général français.
  • Jean Frédéric de Chabannes de La Palice (1762-1836), militaire français. Colonel aux chasseurs de Normandie. Aide de camp du roi Louis XVIII. Député aux États généraux de 1789. Aide de camp du baron de Viomesnil, il participe auprès de Rochambeau et du marquis de La Fayette, à la guerre d'Indépendance des États-Unis, où il combat à la bataille de Yorktown. Jean Frédéric de Chabannes fut décoré de l'Ordre de cincinnatus. Écrivain pamphlétaire et inventeur, Jean Frédéric eut 10 enfants, dont Pierre Antoine Octave de Chabannes qui suit.
  • Pierre Antoine Octave de Chabannes (1803-1889), vice-amiral, préfet maritime de Cherbourg et de Toulon. Administrateur colonial. Sénateur.
  • Antoine-Edouard de Chabannes La Palice ( 1836-1873 ) Fils du général Alfred de Chabannes et d'Antonietta Ellis, élève Saint-Cyrien, il épouse le 11 février 1860 à Paris ( VIIe) Marie Victurnienne de Cardevac d'Havrincourt. Antoine Edouard devint peu avant 1870, officier de l'Etat major du général Auguste Alexandre Ducrot qui s'illustra pendant le Siège de Paris . Lors de la dramatique Bataille de Sedan, Antoine Edouard de Chabannes grâce au soutien du commandant Ducrot parvint miraculeusement à échapper à l'humiliation de la captivité et à la furie guerrière de l'armée prussienne.
  • Jean Alfred Octave de Chabannes La Palice (Lapalisse 1871 - Paris 1933). Il fut le fils d'Antoine Edouard de Chabannes La Palice, officier à l'École de Saint-Cyr (promotion de Turquie 1855), chef d'escadron et aide de camp du général Wolff (Charles Joseph François Wolff), qui mourut à 36 ans en Algérie et de Marie Victurnienne de Cardevac d'Havrincourt. Le comte Alfred de Chabannes La Palice se passionnant pour les questions économiques, devint en 1902 collaborateur du Journal des économistes et fit partie de la Société d'économie politique. En 1903, dans Le Journal des économistes, Alfred de Chabannes La Palice fit un exposé devant cette assemblée, ayant pris pour sujet : Est-il nécessaire d'avoir des colonies, pour être un grand peuple ? La prestation orale de M. de Chabannes fut aussitôt applaudie par Paul Leroy-Beaulieu, qui lui succéda comme orateur. Bien que militaire de formation, en 1907, Alfred de Chabannes La Palice déconcerta la presse économique, en faisant paraître chez l'éditeur Félix Alcan un ouvrage des plus pertinent intitulé : Le Libéralisme devant la Raison. Ce remarquable ouvrage d'économie politique (qui devrait encore servir de nos jours de " Bible " à la classe politique actuelle) excita au plus haut point les milieux économiques et politiques et fut l'objet de nombreuses et savantes analyses dans la presse spécialisée française et étrangère. Dès la parution de cet important ouvrage (466 pages) de théorie économique, André Liesse éminent professeur d'économie et membre de l'Académie des sciences morales et politiques, rédacteur économique au Journal des débats, consacra[16] dans ce quotidien, une savante analyse sur l'ouvrage du comte Alfred de Chabannes La Palice, déjà précédemment remarqué par Yves Guyot dans un grand article[17] du journal Le Siècle. Depuis auréolé d'une certaine notoriété dans les milieux d'affaires et journalistiques, M. de Chabannes disciple d'André Liesse qui devint son ami, lui permit de collaborer à ce prestigieux journal en y donnant plusieurs [18]articles. Cependant, quelques années auparavant de connaître ce fulgurant succès éditorial, le comte Alfred de Chabannes La Palice, lieutenant au 19e régiment de dragons et écrivain distingué, se maria à l'église Saint-François-Xavier de Paris le 11 février[19] 1895 à Armande de Polignac unique fille[20] du prince Camille de Polignac surnommé " Le La Fayette du Sud " . Avant-gardiste, cette jeune personne aux capacités étonnantes, avait déjà fait l'objet en 1903, d'un reportage dans la revue[21] féministe La Vie heureuse. La nouvelle comtesse de Chabannes La Palice d'une nature discrète, a pour hobby depuis sa plus tendre enfance, la composition musicale qui lui fut initiée par Gabriel Fauré. Remarquée pour la qualité de ses compositions, en 1909, deux ans après le succès d'édition de son époux, Armande de Polignac dirigea elle-même lors de la première l'orchestre, interprétant l'une de ses compositions Les Roses du Calife, donnée à Paris au théâtre du Châtelet, au profit d'un gala de charité donné le 22 février 1909. Venu à cet effet couvrir l'évènement, le journaliste Gabriel Davin de Champclos, critique musical de la revue théâtrale & musicale Comœdia, tenta de cerner le portrait insaisissable de cette femme du monde, se révélant être une surprenante compositrice… D'un tempérament très réservé, Armande de Polignac n'osant véritablement se confier, ce fut le comte Alfred de Chabannes La Palice son époux qui intervint à sa place : « (...) Je croyais n'avoir épousé qu'une pianiste quelconque piquée de la tarentule de la composition musicale. Gauthier Villars (Henri Gauthier-Villars) me détrompa et avec quelle cordiale insistance ! Le succès qu'obtint, il y a deux ans, La Petite Sirène à l'Opéra de Nice acheva de me convaincre et dès lors, je n'eus plus qu'une idée : Aider de toutes mes forces au développement de cette vocation dont les premiers essais avaient tant d'artistique saveur[22] ! »

Principales possessions

Armes, blasons, devises

  • Armoiries : De gueules au lion d'hermine, armé, couronné et lampassé d'or[9].

Variante (branche des comtes de Dammartin) : Écartelé au 1 et 4 de gueules au lion d'hermine, armé, couronné et lampassé d'or, et au 2 et 3 fascé d'argent et d'azur à la bordure de gueules ; sur le tout d'or à trois pal de vair, au chef d'or chargé de quatre merlettes de gueules, écartelé d'argent à quatre pals de sinople.[9].

  • Devises : « Je ne le cède à nul autre » ; Non palma sine pulvere (« il n'est de gloire impérissable »).

Alliances

Familles de Bort, de Lavieu, de Prie, de Nanteuil-Dammartin, de La Tour d'Auvergne, d'Anjou, de Bourbon, de Mathan, de Montbron, de Melun, de Montillet de Grenaud, de Blanchefort, de Lévis, de La Rochefoucauld, de Vienne, du Prat, de Margival, de Rivoire du Palais, de Saigne, de Crevant, de Daillon du Lude, Savoie-Tende, d'Apchon, de Chazeron, de Champfeu, de Certaines, de Saint-Phalle, Émié

Voir aussi

Bibliographie

  • [Chabannes 1864] Chabannes-La Palice, Notice historique sur la maison de Chabannes ou de Chabannées suivi de l'armorial de ses alliances, Clermont-Ferrand, , 184 p. (lire en ligne). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • [Est-Ange] Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t. 9 : CAS-CHA, Évreux, impr. Charles Hérissey, , 448 p., sur gallica.bnf.fr (lire en ligne), p. 149-154 : « Chabannes de la Palice, de Curton et du Verger (de) ».
  • Marquis de Certaines, Les Chabannes, Mille ans d'Histoire 980-1980, Édition Nevers, 1986.
  • [Morenas 1938] Henri Jougla de Morenas, Grand Armorial de France, t. 2, Paris, , sur palisep.fr (lire en ligne), p. 362.

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Il existe (au moins) quatre endroits appelés Nozerolles dans les environs de Charlus : dans le Cantal, un simple lieu-dit sur Allanche (73 km), un hameau sur Pierrefort (108 km) et un autre hameau sur La Chapelle-d'Alagnon (83 km) ; et en Lozère voisine, un hameau sur Chaulhac (150 km).
  2. Jacques II de Chabannes de La Palice acheta au duc Jean de Bourbn en 1430 le château de La Palice (Allier).
  3. Toutes ces seigneuries étaient situées dans la région de la Besbre.

Références

  1. a b c d e et f Est-Ange 1910, p. 149 à 154.
  2. a et b Chabannes-La Palice 1864, p. 4.
  3. De Chabannes, sires de Chabanais et de Confolent en Angoumois, comtes de Bigorre...Marquis de Chabannes à Paris. ( S.L.N.D ) Notice généalogique. Bibliothèque Nationale. Manuscrit - Dossier Bleu 162. Chabannes.
  4. http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Chabanais.pdf.
  5. http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Chabannes.pdf.
  6. http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Ventadour.pdf.
  7. a et b Chabannes-La Palice 1864, p. 2.
  8. a et b « Charlus (commune de Saint-Exupéry-les-Roches), carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Limites administratives » activées.
  9. a b et c Morenas 1938, p. 362.
  10. Galeries Historiques du Palais de Versailles. Volume 7 - Edition Imprimerie Royale. Paris 1839 ( Guy de Chabannes, page 335 )
  11. Chabannes-La Palice 1864, p. 4-5.
  12. Chabannes-La Palice 1864, p. 5.
  13. Jean Henri Taveau, Un grand capitaine du XVe siècle, Antoine de Chabannes, comte de Dammartin, Édition de l'auteur, 1978.
  14. Bibliothèque nationale. Cote : NAL 3215. manuscrit en latin, vers 1530-1540 : https://gallica.bnf.fr/ark:/1248/btv1b8452819xyf107.item
  15. Journal Historique et Anecdotique du Règne de Louis XV, par Edmond Jean François Barbier, volume 4, p. 33, Édition Jules Renouard & Cie, Paris, 1856
  16. Journal des débats, politique & littéraire, 24 juin 1907. Article d'André Liesse, sur l'ouvrage de M. de Chabannes : Le Libéralisme devant la Raison.
  17. Journal Le Siècle - Chronique économique. " Le Libéralisme devant la Raison " par Alfred de Chabannes La Palice - Article de Yves Guyot. 28 mai 1907.
  18. Le Parti Radical et la Propriété, par Alfred de Chabannes. Journal des débats, 26 décembre 1907 ---- Incohérence du Protectionisme, par Alfred de Chabannes. Journal des débats, 7 juin 1909 ---La Ligue du Libre Échange, par Alfred de Chabannes. Journal des débats, 7 avril 1911 ---- Un ouvrage de M. de Molinari, par Alfred de Chabannes. Journal des débats, 16 mai 1911. ----- La Pieuvre Etatiste, par Alfred de Chabannes. Journal des débats, 16 avril 1914 ----
  19. Le Figaro, 14 février 1895. Mariage de la Princesse Armande de Polignac et du Comte Alfred de Chabannes La Palice.
  20. Archives de Paris : V4E8626 - État Civil. Mairie du 16e Arrondissement - Acte de mariage No 80 : Armande de Polignac et Alfred de Chabannes La Palice, domicilié au 43 rue de Varennes à Paris 7e.
  21. Revue de la Vie heureuse. No 4 - avril 1903 - 2e année.
  22. Journal Comoedia, No 516 - 27 février 1909 - 3e année. " Le Gala d'Aujourd'hui au Théâtre du Châtelet. Reportage " Chez Madame Armande de Poligna.

Articles Connexes