Dozulé

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Dozulé
Dozulé
Le lavoir de la Couperée.
Blason de Dozulé
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Lisieux
Intercommunalité Communauté de communes Normandie-Cabourg-Pays d'Auge
Maire
Mandat
Sophie Gaugain
2020-2026
Code postal 14430
Code commune 14229
Démographie
Gentilé Dozuléen
Population
municipale
2 315 hab. (2021 en augmentation de 1,4 % par rapport à 2015)
Densité 443 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 13′ 54″ nord, 0° 02′ 37″ ouest
Altitude Min. 8 m
Max. 139 m
Superficie 5,23 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cabourg
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.dozule.fr

Dozulé est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 2 315 habitants en 2020[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Dozulé est située dans le pays d'Auge, à une dizaine de kilomètres au sud de Dives-sur-Mer, Houlgate et Cabourg, trois villes situées au bord de la mer de la Manche.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant à la plaine agricole de Caen à Falaise, sous le vent des collines de Normandie et proche de la mer, se caractérisant par une pluviométrie et des contraintes thermiques modérées[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 724 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sallenelles à 14 km à vol d'oiseau[5], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 735,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Borne de nivellement sur l'église : altitude 31 m.

Typologie[modifier | modifier le code]

Dozulé est une commune rurale[Note 2],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dozulé, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[12] et 2 638 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (50,4 %), forêts (25,9 %), zones urbanisées (23,7 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Cul Uslé et Dorsum Uslatum en 1198[18].

Selon Albert Dauzat, suivi par René Lepelley, le toponyme est issu du latin dorsum ustulatum qui aurait désigné une « crête brûlée » (pour les essartages)[18],[19].

Le gentilé est Dozuléen.

Histoire[modifier | modifier le code]

Origines[modifier | modifier le code]

Selon Jacques Lalubie, le relief des « Hautes Buttes » montre la présence d’un oppidum. De forme circulaire, il est défendu dans trois directions par la pente naturelle du sol et, à l’est, par un fossé et une contrescape[20].

Les Vipart, famille notable de la région de Dozulé après les Silly ont édifié au XVIIe siècle un imposant château sur un terrain situé le long de la route de Cambremer à la sortie de Dozulé. Cet édifice entouré d’eau possédait quatre tours et de nombreuses dépendances dont la ferme de Silly. Aujourd’hui ce château a complètement disparu, mais on peut encore observer le mamelon entouré de douves sur lequel s’élevait cette construction. Plusieurs beaux bâtiments à colombages de la ferme de Silly témoignent encore de ce passé. Les Vipart étaient probablement originaires de Manerbe.

Dozulé reste longtemps un bourg sans importance jusqu'à la Révolution. Cette dernière œuvre pour la création d'un axe routier (nationale 175) entre Caen et Rouen. Cet axe passe à proximité de Dozulé où l'on voit là l'opportunité de s'étendre. Le centre se déplace donc autour de la route et le village triple sa population de par le commerce et l'industrie. Dozulé devient sous Louis-Philippe chef-lieu de canton au détriment de Dives-sur-Mer.

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le . Dozulé brûle à la suite des combats qui s'y passent entre les Alliés et Allemands. Le village est libéré le lendemain[21].

Apparitions[modifier | modifier le code]

Une habitante de la commune, Madeleine Aumont, affirme avoir vécu du au des apparitions du Christ sur la Haute Butte de Dozulé. À la demande du prêtre de l'époque, l'abbé L'Horset, elle a transcrit ces visions dans des cahiers. Depuis, des pèlerins venus de toute l'Europe se recueillent régulièrement sur les lieux, où une croix est en projet, appelée communément La Croix glorieuse.

Cependant, le 24 juin 1985, Jean Badré, évêque de Bayeux et Lisieux, avait déclaré ne pas reconnaître comme sanctuaire le domaine de Dozulé.

Par lettre du 25 octobre 1985 à Jean Badré, le cardinal Joseph Ratzinger, préfet de la congrégation pour la Doctrine de la Foi, avait expressément approuvé la procédure que l’Ordinaire de Bayeux et Lisieux avait suivie ainsi que les dispositions qu’il avait prises en faisant référence à sa propre responsabilité pastorale.

Cette position est constamment rappelée par l’évêque de Bayeux et Lisieux : « À côté des appels à la conversion, à la confiance envers la Croix glorieuse et à la dévotion eucharistique, les écrits publiés contiennent des accents et des exigences tout à fait inacceptables »[22].

À la suite des déclarations [de qui ?] faites le 29 mai 2011 lors de la messe en l'église de Dozulé, le nouvel évêque de Bayeux-Lisieux, Jean-Claude Boulanger, a confié à Mme Marie Hélène Mazot la mission d'accueillir au nom de la paroisse les pèlerins se rendant sur la butte de Dozulé faisant d'elle le lien avec l'Église pour renseigner les visiteurs de "la butte" sur la position de l'Eglise.

Une association référencée Association catholique de Dozulé gère le site et accueille les visiteurs.

Par contre, seul le site Internet des Amis de la Croix glorieuse[23] fait référence à ces déclarations [lesquelles ?].

Cette autre association est référencée comme secte par la MIVILUDES[24], ainsi que par de nombreux autres organismes et associations contre les dérives sectaires[25],[26].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie de Dozulé
La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
? ? Louis Legrand   Ancien notaire
Conseiller général de Dozulé (1852 → 1861)
Les données manquantes sont à compléter.
ca. 1920 ? René Couraye    
avant 1948 mai 1953 Jean Depaquit   Notaire
mai 1953 septembre 1961
(démission)
André Plante    
septembre 1961 mars 1965 M. Coûtant    
mars 1965 mars 1989[27] Michel Buffet UDF-PR[28] Greffier en chef honoraire
Président du Sivom de la région de Dozulé
Réélu en 1971, 1977[29] et 1983
mars 1989[30] juin 1995 Jacques Vauvarin[31]   Agriculteur
juin 1995 mars 2001 Jacques Masson   Inspecteur central du Trésor retraité
mars 2001 mars 2008 Jean-Pierre Caldairou UMP Retraité
mars 2008[32] En cours
(au 13 octobre 2023)
Sophie Gaugain[33] UMP-LR Attachée ministérielle
Conseillère régionale de Basse-Normandie (2010 → 2015)
Conseillère régionale de Normandie (2015 → )
1re vice-présidente de la région Normandie (2015 → 2016)
2e vice-présidente de la CC Normandie-Cabourg-Pays d'Auge

Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres[34] dont le maire et cinq adjoints[33].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

En 2021, la commune comptait 2 315 habitants[Note 4], en augmentation de 1,4 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3562802764657298079131 0011 004
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
929960900848834924906867906
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
917879834811845881854891901
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
9349841 2791 4071 5151 6151 8371 8992 073
2018 2021 - - - - - - -
2 2842 315-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services[modifier | modifier le code]

La communauté de communes du Pays d'Auge dozuléen (COPADOZ) est chargée de la gestion, à Dozulé, de l'école maternelle Françoise-Dolto, les deux écoles élémentaires (l'une de CP au CE1 et l'autre du CE2 au CM2), le restaurant scolaire, la garderie du matin et l'étude du soir ainsi que le transport scolaire[39]. Les élèves poursuivent les études au collège Louis-Pergaud de Dozulé[40] ou au collège Paul-Éluard de Dives-sur-Mer[41]. Il existe aussi une école maternelle et primaire privée Saint-Joseph à Dozulé[42].

Économie[modifier | modifier le code]

  • Les éditions du Chameau ont leur siège à Dozulé.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église, du XIXe siècle, s'appelle Notre-Dame du Plessis Esmangard. Elle n'a pu, à l'époque, être achevée (notamment le clocher), faute de moyens. Dans les années 1990, elle a été restaurée, finissant ainsi l'œuvre (pose d'une statue de la Vierge à l'Enfant au-dessus du porche d'entrée). L'ancienne église paroissiale de Dozulé était à l'origine la chapelle du château de Silly. Elle était située loin du bourg actuel à l'endroit où se trouve maintenant une petite chapelle dans le cimetière. En 1832, les habitants décidèrent que cette chapelle, prête à tomber en ruine, était trop petite pour accueillir toute la population (près de 900 âmes) et qu'elle se trouvait trop loin du bourg (environ 1,5 kilomètre). Il fut décidé d'utiliser tous les matériaux provenant de l'ancienne église et de lancer une souscription. Une demande fut faite au roi, Louis-Philippe en 1834 pour avoir des fonds avant de commencer les travaux. Celle-ci fut refusée. L'abbé Durand, le curé de l'époque, encouragea donc ses ouailles à mettre la main à la poche et leur montra l'exemple en versant 1 000 francs. Il en fallait 10 000, il en récolta 20 000. Plus tard, il ramassa encore 64 000 francs. Les travaux furent décidés en 1841 et la pose de la première pierre eut lieu en 1843. La dernière messe dans la vieille église eut lieu en 1846.
  • Ferme pédagogique du Lieu-Roussel[43] à Douville-en-Auge.
  • Lavoir.

Activité, labels et manifestations[modifier | modifier le code]

Labels[modifier | modifier le code]

La commune est une ville fleurie (une fleur) au concours des villes et villages fleuris[44].

Sports[modifier | modifier le code]

Le Dozulé Football Club fait évoluer une équipe de football en ligue de Basse-Normandie et une deuxième en division de district[45].

Manifestations[modifier | modifier le code]

Dozul' en mai, fête communale[46]. La fête de la pomme a lieu en octobre[47].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Dozulé

Les armes de la commune de Dozulé se blasonnent ainsi :

Parti : au 1er d'hermine à la fasce vivrée de gueules surmontée de trois tourteaux du même rangés en chef, au 2e d'argent au lion de sable armé et lampassé de gueules[48].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Dozulé et Sallenelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Sallenelles » (commune de Sallenelles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Sallenelles » (commune de Sallenelles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Dozulé », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
  19. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 73
  20. Jacques Lalubie, Randonnées et patrimoine en Pays d’Auge, Condé-sur-Noireau, Charles Corlet, , tome1, chapitre 7, page 96.
  21. « Dozulé (14 Calvados) La libération », sur normandie44lamemoire.com (consulté le ).
  22. Vivre pour la Vérité, À propos des « évènements » de Dozulé : intervention canonique de Mgr Badré.
  23. dozule.pagesperso-orange.fr/newsfr.html.
  24. Guide : La protection des mineurs contre les dérives sectaires.
  25. Sectes : liste des sectes du rapport parlementaire français.
  26. Secte : Amis de la Croix Glorieuse de Dozulé.
  27. « Les municipales dans le canton de Dozulé : Alors, Monsieur le Maire ? », Ouest-France,‎
    « Dozulé. - C'est officiel, M. Michel Buffet, 67 ans, greffier en chef honoraire, maire depuis 1965, également président du syndicat intercommunal (SIVOM), ne sollicitera pas un cinquième mandat. »
  28. « Les délégués U.D.F. de circonscriptions », Ouest-France,‎
    « Pont-l'Évêque : Michel Buffet, maire de Dozulé »
  29. « Dozulé : M. Michel Buffet réélu maire », Ouest-France,‎
  30. « Dozulé : M. Jacques Vauvarin (adjoint sortant) élu maire », Ouest-France,‎
  31. « Jacques Vauvarin a été maire de 1989 à 1995 », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  32. « Sophie Gaugain succède à Jean-Pierre Caldairou », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  33. a et b Réélection 2020 : « Municipales à Dozulé. Troisième mandat de maire pour Sophie Gaugain », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  34. « Dozulé (14430) - Municipales 2020 », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. « site officiel de la Copadoz, consulté le 11 mars 2009. ».
  40. « site officiel de l'académie de Caen - collège Louis Pergaud, consulté le 11 mars 2009. ».
  41. « site officiel de l'académie de Caen - collège Paul Éluard consulté le 11 mars 2009. ».
  42. « Site officiel école Saint-Joseph, consulté le 11 mars 2009. ».
  43. « Bienvenue au Lieu-Roussel - ferme pédagogique cidre pays d'auge calvados pommeau jus de pomme »
  44. « Palmarès du concours des villes et villages fleuris », sur cnvvf.fr (consulté le ).
  45. « Dozulé F.C. », sur Site officiel de la Ligue de Basse-Normandie (consulté le ).
  46. « Ouest-france.fr - C'est parti pour la 13e édition de Dozul'en mai » (consulté le ).
  47. « Ce week-end, 15e édition de la Fête de la pomme », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  48. « Dozulé », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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