Amage

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Amage
Amage
La mairie.
Blason de Amage
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Lure
Intercommunalité CC des des mille étangs
Maire
Mandat
Pascal Thouvenot
2023-2026
Code postal 70280
Code commune 70011
Démographie
Gentilé Amageois, Amageoises
Population
municipale
309 hab. (2021 en diminution de 11,46 % par rapport à 2015)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 50′ 15″ nord, 6° 29′ 37″ est
Altitude Min. 334 m
Max. 560 m
Superficie 6,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Luxeuil-les-Bains
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mélisey
Législatives 2e circonscription de la Haute-Saône
Localisation
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Amage
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Amage
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Amage

Amage est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Amage est un village des Vosges saônoises[1] situé en bordure de la région des Mille étangs, à 9 km à vol d'oiseau à l'est de Luxeuil-les-Bains, 10 km au sud du Val-d'Ajol, 64 km à l'ouest de Mulhouse, 17 km au nord de Lure et 34 km au nord-est de Vesoul.

Elle se trouve à la limite intérieure nord-ouest du parc naturel régional des Ballons des Vosges[2].

Amage fait partie de l'Aire d'attraction de Luxeuil-les-Bains et de son bassin de vie, ainsi que de la zone d'emploi de Vesoul[I 1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Saint-Bresson, Breuchotte, La Bruyère, La Proiselière-et-Langle, Raddon-et-Chapendu et Sainte-Marie-en-Chanois.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 6,54 km2 ; son altitude varie de 334 à 560 mètres[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte hydrographique de la commune.

La commune est baignée par les eaux du Breuchin, sur lequel se trouve l'ancien « Moulin Saguin », qui a cessé son exploitation en 1986[4] et a été réhabilité en 2019 après l'arasement du barrage[5].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 477 mm, avec 14,2 jours de précipitations en janvier et 10,8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fougerolles », sur la commune de Fougerolles-Saint-Valbert à 9 km à vol d'oiseau[8], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 513,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Amage est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxeuil-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 41 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72,5 %), zones agricoles hétérogènes (12,1 %), terres arables (5,5 %), prairies (5,4 %), zones urbanisées (4,6 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 160, alors qu'il était de 153 en 2015 et de 150 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 83,8 % étaient des résidences principales, 8,1 % des résidences secondaires et 8,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,8 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Amage en 2020 en comparaison avec celle de la Haute-Saône et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (8,1 %) supérieure à celle du département (6,2 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Amage en 2020.
Typologie Amage[I 3] Haute-Saône[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 83,8 83 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 8,1 6,2 9,7
Logements vacants (en %) 8,1 10,7 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est située sur la RD 6, qui la relie à Luxeuil-les-Bains et Faucogney-et-la-Mer

Toponymie[modifier | modifier le code]

Giulio Cesare Corradi : Amage reine des Sarmates (1694)

Amage est le nom de la reine des Sarmates[19], éponyme d'un drame lyrique italien[20].

Le nom d'Amage se retrouve déjà au haut Moyen Âge[21], il est issu du prototype Hamavia[22],[23],[24]

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Amage fait partie des lieux cités comme possible emplacement de l'ancienne Amagétobrie[25].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Elle appartient à la gruerie du comté de Bourgogne aux XIVe et XVe siècles[26].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

La commune a été desservie de 1902 à 1937 par la ligne Vesoul - Corravillers des Chemins de fer vicinaux de la Haute-Saône, un réseau départemental de chemin de fer secondaire à voie métrique[27],[28]. La gare du Tacot est devenue une salle municipale.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Lure du département de la Haute-Saône[I 1].

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Faucogney-et-la-Mer[3]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Mélisey[I 1]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de la Haute-Saône.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Amage est membre de la communauté de communes des mille étangs[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé initialement fin 2002 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[29]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1995[30]   Bernard Grandhaye PS  
         
mars 2001 mars 2008 Jean-Louis Petit    
mars 2008 mai 2023[31] Bruno Heymann[32]   Retraité de l'enseignement
Vice-président de la CC des 1000 étangs (2014 → )
Démissionnaire
mai 2023[33] En cours
(au 28 mars 2024)
Pascal Thouvenot   Cadre administratif ou commercial d'entreprise

Finances locales[modifier | modifier le code]

En 2015, les finances communales était constituées ainsi[34] :

  • total des produits de fonctionnement : 186 000 , soit 537  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 178 000 , soit 515  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 167 000 , soit 483  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 40 000 , soit 115  par habitant ;
  • endettement : 205 000 , soit 591  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 12,31 % ;
  • taxe foncière sur le bâti : 11,41 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 55,34 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,19 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 23,28 %.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

En 2021, la commune comptait 309 habitants[Note 4], en diminution de 11,46 % par rapport à 2015 (Haute-Saône : −1,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
347367335384504531576602603
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
513551550550549556525480452
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
414406378332299296275225264
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
230208200228242293337353335
2014 2019 2021 - - - - - -
349317309------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[3] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Une supérette a ouvert fin 2023 dans le village[38].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le village bénéficie d'un environnement rural et forestier propice aux randonnées, circuits Pré d'Oro et des Deux Bans. Un relais pique-nique est ouvert dans le village.

Outre les trois fontaines, les visiteurs et associations ont accès à la gare du tacot et aux vestiges d'un centre hospitalier de l'ordre de Saint-Antoine[39]. Une statue de Saint-Antoine en provenant est conservée au Château de Fougerolles[40].

On peut ainsi signaler :

  • Ancienne gare du tacot (Chemins de fer vicinaux de la Haute-Saône) transformée en salle polyvalente ; a gardé son cachet ancien ;
  • Fontaines de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle.
  • Monument aux Morts[41].
  • Tissage de coton Dreyer, actuellement entrepôt commercial[42].
  • Moulin à farine Grandjean, puis usine de produits pour l'alimentation animale Sagui[43].
  • Sentiers de randonnée.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Alexandre Jeudy, né à Amage en 1890, fusillé pour l'exemple le pour abandon de poste, au début de la Première Guerre mondiale, avec 6 autres camarades. La commune a formulé une demande de réhabilitation[44],[45]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Amage Blason
D’argent au tau d’azur, à la bordure de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « Commune d'Amage (70011) - commune actuelle », Code Officiel Géographique (date de référence : 01/01/2024), sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Amage - Section LOG T1 » (consulté le ).
  3. a et b « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Amage - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans le Haute-Saône - Section LOG T2 » (consulté le ).
  5. « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Sites Natura 2000
  2. ENS
  3. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  4. « Le moulin Saguin, implanté sur le Breuchin à Amage, vient d’être racheté par la mairie : Le moulin va revivre », L'Est républicain,‎ (lire en ligne).
  5. « L’Agence de l’eau a tourné une vidéo au moulin », L'Est républicain,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Amage et Fougerolles-Saint-Valbert », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Fougerolles », sur la commune de Fougerolles-Saint-Valbert - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Fougerolles », sur la commune de Fougerolles-Saint-Valbert - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Luxeuil-les-Bains », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Amage reine des Sarmates Jean François de Lacroix, Dictionnaire portatif des femmes célèbres, chapitre.com, , 808 p. (ASIN B00JVEAHY0, lire en ligne), P89.
  20. Drame lyrique Amage regina de Sarmati (it) Giulio Cesare Corradi, Amage, regina de' Sarmati, drama per musica, da rappresentarsi nel teatro di S. Angelo, Venetia, Per il Nicolini, , 60 p. (ASIN B001CBTFJ8).
  21. Annegray-Amage Jean-pierre Chambon, Akkulturation: Probleme einer germanisch-romanischen Kultursynthese in …, Berlin, Walter de Gruyter, , 575 p. (ISBN 978-3-11-018009-1, lire en ligne), p. XVI, 222, 230-1, sur Google Livres.
  22. Hamavia Société Française d'Onomastique, Nouvelle revue d'onomastique, SFO (no 41-2), (lire en ligne), p. 149, sur Google Livres.
  23. Gérard Taverdet, Les noms de lieux de la Haute-Saône, Dijon, A.B.D.O., , Amage (canton de Faucogney) ; Briga
  24. Alain Borer, De quel amour blessée. Réflexions sur la langue française, Paris, Éditions Gallimard, , 350 p. (ISBN 978-2-07-014594-2), Amage
  25. Plusieurs lieux en Alsace, Bourgogne et Franche-Comté ont été avancés comme étant l'emplacement de Amagétobrie depuis lequel Jules César a repoussé les Germains outre-Rhin : Léon Fallue, Conquête des Gaules analyse raisonnée des Commentaires de Jules César, Tanera Ch, , 395 p. (ASIN B00576SRN4, lire en ligne), P31-2 ; 40, 43, 45, 380.
  26. Amage dans la gruerie Pierre Gresser, La gruerie du comté de Bourgogne aux XIVe et XVe siècles, Turnhout (Belgique), Brepols, , 366 p. (ISBN 978-2-503-51621-9, lire en ligne), P263.
  27. « Vesoul Corravillers », France est / Franche Comté / Haute-Saône, sur http://archeoferroviaire.free.fr (consulté le ).
  28. Claude Bouchaud , Jean Finsterwald, « Les chemins de fer vicinaux de la Haute-Saône de l’extension (1878-1912) au déclin (1918-1938) : un modèle de desserte d’un département en mutation économique », Revue d'histoire des chemins de fer, nos 24-25 « Le chemin de fer à la conquête des campagnes »,‎ , p. 211-231 (DOI https://doi.org/10.4000/rhcf.2048, lire en ligne, consulté le ), sur OpenEdition Journals.
  29. « Les maires de Amage », sur francegenweb.org (consulté le ).
  30. « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République », Journal officiel de la République française, vol. 127, no 87,‎ , p. 5749.
  31. « Amage : Fatigué physiquement, le maire de la commune quitte ses fonctions », Les Affiches de la Haute-Saône,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  32. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Bruno Heyman entame son troisième mandat », sur L'Est républicain, (consulté le ).
  33. « Pascal Thouvenot élu maire du village », L'Est républicain,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  34. « Les comptes de la commune », sur alize2.finances.gouv.fr (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. « La magasin Carrefour express a ouvert ses portes », L'Est républicain,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  39. « Amage | Edition de Vesoul Haute-Saône », sur www.estrepublicain.fr (consulté le ).
  40. « Amage », La CC > Communes membres, sur https://www.cc-1000etangs.fr/ (consulté le ).
  41. Monument aux Morts
  42. « Tissage de coton Dreyer, actuellement entrepôt commercial », notice no IA70000112, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Moulin à farine Grandjean, puis usine de produits pour l'alimentation animale Sagui », notice no IA70000113, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « Réhabilité 100 ans après ? : Le maire d’Amage demande la réhabilitation du soldat Alexandre Jeudy, fusillé pour l’exemple en 1914 », L'Est républicain,‎ (lire en ligne) « Pour cause : né le dans la commune, Alexandre Jeudy fait partie de ces soldats fusillés pour l’exemple. C’était le 19 octobre 1914 à Châlons-sur-Marne. La sentence fut prononcée par le conseil de guerre, la veille de son exécution. Sept soldats y comparurent. Le chef d’accusation ? « Abandon de poste devant l’ennemi par mutilation volontaire ».
    Parmi ces sept hommes, deux furent déclarés coupables à l’unanimité. Un fut innocenté, les quatre autres condamnés aux travaux forcés »
    .
  45. « Alexandre Jeudy réhabilité pour l’exemple », L'Est républicain,‎ (lire en ligne) « L’histoire de ce petit poilu et sa réhabilitation lors de cette cérémonie en présence des élus, des chorales de Luxeuil et du Breuchin et de la musique de Fougerolles, a permis de mettre en lumière cette sombre partie de la grande guerre auprès des élèves de l’école qui ont travaillé sur le sujet et venus dire «…La peur de ne plus revoir ceux qu’on aime et sa maison ». Citant des extraits des poèmes de Jacques Hubert sur l’atrocité de cette guerre, le maire a conclu : « Alexandre Jeudy n’a pas bénéficié d’une justice équitable. C’est pour ces raisons que la commune d’Amage a déposé une demande de réhabilitation ».