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Lucien Paris
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Création 1801
Fondateurs Auguste Dulion (1739-1804)
Siège social Paris
Direction Christophe Lucien
Activité Maison de Ventes aux Enchères
Site web https://www.lucienparis.com

Histoire[modifier | modifier le code]

Lucien Paris est une maison française de vente aux enchères publiques généraliste, spécialisée dans l'Histoire et le patrimoine de Paris.

L'origine de la maison de ventes Lucien Paris remonte à la création à Paris, le 7 floréal an IX (27 avril 1801) d'un office de commissaire-priseur (loi du 27 ventôse an IX, 18 mars 1801[1]), dans lequel fut nommé Auguste Dulion (1739-1804), établi 1, rue Christine à Paris[2]. Douze commissaires-priseurs lui succédèrent[2]. Christophe Lucien, nommé le 02/06/1994, membre du Conseil de Surveillance de Drouot Enchère et du Conseil de Direction de Drouot Estimations, est le titulaire actuel.

Plusieurs dispersions ont marqué notablement l'Histoire des ventes aux enchères publiques.

Ventes relatives au patrimoine et à l'Histoire de Paris[modifier | modifier le code]

Un département spécialisé dans l'Histoire et le patrimoine de Paris, organise les ventes intitulées «Paris mon Amour»[3], abondamment reprises par l'édition[4] et commentées par la presse[5],[6],[7], à destination de collectionneurs[8], historiens, chercheurs, qui contribuent à l’enrichissement de musées[9], fondations, collections de groupes multinationaux et d'institutions, fonds patrimoniaux de grandes maisons françaises, qui reconstituent leurs archives, décorateurs d'intérieurs, de théâtre, de cinéma,

Ces ventes exhument, dans toutes les spécialités, de rares objets et documents du patrimoine historique et culturel de Paris, souvent disparus. Des vestiges de la ville, provenant principalement de démolitions des années 1960, 1970, abandonnés dans des caves, greniers, hangars, réapparaissent progressivement. D'abord fréquentées par un public d'acheteurs étrangers, ces ventes génèrent, au fil des dispersions, une prise de conscience des parisiens, qui constituent désormais la majorité des acheteurs[10]. Certains objets retrouvent ainsi leur emplacement d'origine. Dans cette spécialité, les montants d'adjudication connaissent une hausse constante, notamment en matière de mobilier de commerces.

Collections prestigieuses relatives au patrimoine et à l'Histoire de Paris[modifier | modifier le code]

Les dispersions de collections prestigieuses relatives au patrimoine et à l'Histoire de Paris marquent notablement l'Histoire des ventes aux enchères publiques.

Collection Roxane Debuisson[modifier | modifier le code]

Roxane Debuisson[11] sauve de la destruction un ensemble considérable d'enseignes de commerces[12] et de mobilier urbain parisiens[10]. Elle réunit sa collection, la plus importante en mains privées au monde, à son domicile, un appartement du boulevard Henri IV[13]. Elle prête de nombreux objets aux musées dans le cadre d'expositions temporaires significatives[14]. La vente enregistre des préemptions et acquisition de musées français, notamment du Musée Carnavalet, musée de l'Histoire de Paris[15][16], du Mucem, Musée des Civilisations de l'Europe et de la Méditerranée[17][18] et des achats des groupes Hermès [19][20], Holder[21] [22], etc. «Paris mon Amour», 8e édition, Paris, le 18 mars 2019[23][24][25].

Collection RATP[modifier | modifier le code]

Vente en association avec la Régie Autonome des Transports Parisiens. «Paris mon amour», 6e édition, le 3 octobre 2016[26],[27][28] dispersa des pièces historiques et emblématiques du réseau métropolitain parisien.

Bibliothèque François Heim[modifier | modifier le code]

Sur requête de l'État Français, bibliothèque de plus de 20 000 volumes du marchand d'art François Heim[29], plus riche ensemble de catalogues de ventes aux enchères publiques parisiennes en mains privées au monde. Nogent-sur-Marne, les 26, 27, 28, 29 et 30 juillet 2005. Quasi complète depuis l'année 1730, cette bibliothèque, découverte dans une maison à Limeil-Brévannes, est constituée à partir de trois importantes collections, celles de Marcel Nicolle, conservateur du département des peintures du Louvre, critique et marchand d'art, celles de Gaston Pannier, collectionneur, et de Henry Pannier, historien et historien d'art, portant leurs ex-libris, augmentées par François Heim, principalement par des achats en ventes publiques. Les catalogues portent en marge, à l'encre, l'indication des montants d'adjudication, des noms d'acheteurs, et parfois le nom du propriétaire ou du défunt, lorsque la vente considérée est de provenance anonyme. Ces ajouts effectués par des clercs d'étude, visiteurs de salle de ventes, enchérisseurs, le vendeur lui-même ou des membres de sa famille, forment une source essentielle pour la recherche en matière d'Histoire des collections, des collectionneurs, des évolution du marché, du goût, des modes[30]. Elle permet à François Heim de reconstituer les pedigrees d'objets qu'il détenait dans le cadre de son commerce, au fins de les vendre au meilleur prix. La vente enregistra des prix records et préemptions du Musée du Louvre, du Musée d'Orsay, de la Bibliothèque Nationale de France, des Archives Nationales de France, du Muséum National d'Histoire Naturelle, des achats du Getty Museum, de la Wallace Collection, de la National Gallery de Londres, etc.

Collection Briend[modifier | modifier le code]

Ameublement du train impérial. Nogent-sur-Marne, le 8 juin 1996[31]. Cet ensemble en bois sculpté et cuir de Cordoue, réalisé, sous le Second Empire, par Jeanselme Père et Fils[32], est acquis le 26 août 1893, auprès de la Compagnie des Chemins de Fer de l'Est, par Victor Lair, aïeul du vendeur... Il comprend les trônes de l'empereur Napoléon III et de l''impératrice Eugénie, les chaises des aides de camp de la voiture-salon des aides de camp de l'empereur, la coiffeuse de l'impératrice de la voiture chambre à coucher de l'empereur et de l'impératrice, les effets de l'impératrice et le bordereau d'acquisition, découverts dans le tiroir de la coiffeuse, le lit de la voiture chambre à coucher du prince impérial, etc.[33]. Le train lui-même, aménagé par Eugène Viollet-le-Duc, est vendu à la Russie le 29 novembre 1872. Un article alarmiste de la journaliste Béatrice de Rochebouët, paru le 24 mai 1996 dans le journal Le Figaro, sur le risque d'acquisition par des collectionneurs étrangers, conduit la Réunion des Musées Nationaux à user de son droit de préemption pour la totalité, en faveur du Château de Pierrefonds et du Musée du Second Empire du Palais de Compiègne [34].

Objets remarquables du patrimoine et de l'Histoire de Paris[modifier | modifier le code]

Hormis ces collections, d'autres objets significatifs rejoignent des collections privées et publiques prestigieuses, au fil des ventes intitulées «Paris mon amour»,

Documents et vestiges relatifs à la tour Eiffel et Gustave Eiffel[modifier | modifier le code]

• Tronçon de l’escalier hélicoïdal d'origine de la Tour Eiffel, «Paris Mon Amour». Paris, le 14 décembre 2009[35].[36],[37],[38]. Cet escalier, dessiné par Gustave Eiffel, est emprunté par celui-ci pour planter le drapeau tricolore au sommet de la tour, lors de son inauguration le 31 mars 1889. Il est démoli en 1983 lors d'une campagne d'allègement nécessaire à la conception d'un ascenseur. Un tronçon est alors acquis par le maire Roland Nungesser, au nom de la Ville de Nogent-sur-Marne, qui récupère des vestiges emblématiques de monuments métalliques parisiens, détruits dans les années 1970 et 1980, qu'elle installe dans ses rues, jardins ou en bord de Marne. Devant la difficulté d'entretien de l'escalier, la Ville décide de s'en séparer en 2009. Acquisition par un particulier français.

• Édoux, «Projet de colonne de guidage d'ascenseur de la tour Eiffel», 1888-1889, dessin à l'encre et à l'aquarelle ; acquisition par la Société d'Exploitation de la Tour Eiffel[39].

• Rare maquette de la tour Eiffel, conçue par l'Usine Métallurgique de Gustave Eiffel à Levallois ; acquisition par un particulier parisien[40].

Gustave Eiffel, table de salle de classe du collège Sainte-Barbe ; acquisition par un particulier parisien[41].

• Médaille d'ascension de la tour Eiffel, bronze doré, 1889, provenant de l'Usine Métallurgique Parisienne de Gustave Eiffel à Levallois-Perret ; acquisition par les Archives Départementales des Hauts-de-Seine[42].

. Maquette de la tour Eiffel bois découpé, 1889 ; acquisition par le Musée des Monuments Français[43].

Expositions universelles[modifier | modifier le code]

• Tabouret en fonte, le piètement épousant la forme de la tour Eiffel, réalisé pour l'Exposition universelle de 1889, préemption du Musée Carnavalet[44].

• Réduction du buste de la Statue de la Liberté, vendue par Auguste Bartholdi au cours de l'Exposition universelle de 1878, alors qu'il exposait la tête achevée de la statue ; acquisition par un particulier parisien[45].

• Paire de chaises en bois sculpté, le dossier orné de la tour Eiffel, réalisées pour l'Exposition universelle de 1889, acquisition par un particulier parisien[46].

Serrure, chef-d'oeuvre d'exposition universelle, réalisée pour l'Exposition universelle de 1889 ; acquisition par un particulier parisien[47].

• Importante maquette de la grande roue de l'Exposition universelle de 1900, provenant d'une boutique d'entrée de l'Exposition ; acquisition par un particulier parisien[48].

• Important vase, chef-d'œuvre réalisé pour l'Exposition universelle de 1900 ; acquisition par un particulier parisien[49].

. Lucien Huard, «Livre d'or de l'Exposition universelle de 1889», Boulanger, Paris, 1889 ; acquisition par la société Louis Vuitton[50].

Arts plastiques[modifier | modifier le code]

• Jean-François Étienne Gossin, «Allégorie de la source», ornement de la fontaine de l'hôtel Raoul[51] [52], démoli en 1961. Cette sculpture, sauvée de la destruction par la collectionneuse Roxane Debuisson, retrouve sa situation d'origine le 29 février 2020, grâce au don de l'adjudicataire, Michel Cribier[53].

• Musa, «Le Moulin de la Galette», huile sur toile ; acquisition par le groupe Holder[54].

Le théâtre d'ombres du cabaret du Chat Noir, dessin ; acquisition par un particulier parisien[55].

• Émile Bertin, «Maison natale de Molière», aquarelle et encre ; acquisition par la Comédie Française[56].

• James Rassiat, «La tour Eiffel flânant au bras de Maurice Chevalier», gouache ; acquisition par le groupe JCDecaux[57].

Mobilier urbain, monuments[modifier | modifier le code]

• Plaque nominative de la rue Girard Beauguet (Gérard Bocquet)[58][59], ancien nom de la rue Beautreillis, époque Louis XV, provenant le la démolition d'un immeuble en 1972. Cette plaque, sauvée de la destruction par la collectionneuse Roxane Debuisson, retrouve sa situation dans son quartier d 'origine le 29 février 2020, grâce au don de l'adjudicataire, Michel Cribier.

Kiosque à journaux, circa 1890 ; acquisition par le groupe JC Decaux[60].

• Lampadaires modèles Champs-Élysées, 1994 ; acquisition par le groupe Bernard Magrez, Château Pape Clément[61].

Charles-Auguste Lebourg, Fontaine Wallace en fonte, circa 1870-1880 ; acquisition par un particulier parisien[62].

Vespasienne, fer et fonte, époque Napoléon III ; acquisition par le groupe JC Decaux[63].

• Fragment de la colonne Vendôme, en fonte, provenant de sa démolition en 1871 ; acquisition par un particulier parisien[64][65].

Hector Guimard, bancs de jardin public en fonte, circa 1900 ; acquisition par un particulier parisien[66].

. Banc public, fer, circa 1920 ; acquisition par le groupe JC Decaux[67].

Mobilier et décor de commerces[modifier | modifier le code]

• Remarquable plafond de boulangerie en toile peinte sur verre, signé Gilbert, circa 1900 ; acquisition par le groupe Holder, en vue du ré-emploi en faveur d'un salon de thé Ladurée[68].

• Bas-relief en plâtre, disparu, provenant du comptoir du restaurant La Coupole ; acquisition par un particulier parisien[69].

• André David, «Les Satyres, toile décorative de maison close parisienne», circa 1920-1930 ; acquisition par un particulier parisien[70].

• Importante grille à pain de boulangerie, circa 1900 ; acquisition par la maison Christian Louboutin[71].

Transports, métropolitain[modifier | modifier le code]

• Écusson de garde-corps de bouche de métro, ayant figuré à l'exposition «Le fer à Paris» au Pavillon de l'Arsenal en 1989[72][24] ; acquisition par un particulier parisien, record mondial.

• Paire de banquettes de métropolitain parisien, circa 1900 ; acquisition par un particulier belge, record mondial[73][74].

René Prou, Trois panneaux décoratifs marquetés, provenant de l'Orient-Express, circa 1920 ; acquisition par le groupe Hermès[75].

Projets d'architectes, maquettes de monuments[modifier | modifier le code]

• Importante maquette anonyme de Notre-Dame de Paris, cira 1940 ; acquisition par un particulier américain[76].

• Henri Fivaz, «projet de bibliothèque néo égyptienne à Paris», aquarelle et encre, circa 1920 ; acquisition par l'Institut National d'Histoire de l'Art[77].

Musique, théâtre, spectacles, lieux de divertissement[modifier | modifier le code]

• Georges Douking, Projet de décors et costumes de l'opérette «Annie du Far West» au théâtre du Châtelet, suite d'aquarelles, 1949 ; acquisition par la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris[78].

• Affiche du théâtre Trianon Concert pour la pièce «Orient-Express», 1896 ; acquisition par la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris[79].

• Sièges de l'ancien théâtre du Palais Royal, circa 840 ; acquisition par un particulier parisien[80].

• James Rassiat, «La tour Eiffel flânant au bras de Maurice Chevalier», gouache ; acquisition par un particulier parisien[81].

• Menu du Cabaret du Néant, circa 1992 ; acquisition par la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris[82].

• Saxophone de Harold Singer ; acquisition par un particulier parisien[83].

• Ernesto, «Concert de Jazz», quadriptyque sur toile, disparu, ornant le fumoir du night-club Le Palace, circa 1980 ; acquisition par un particulier parisien, record mondial pour l'artiste[84].

• Service de table de la famille Spiessert, ancien propriétaire du cirque Pinder ; acquisition par le Cirque d'hiver Bouglione[85].

. Brigadier du théâtre Antoine, bois sculpté et peint, fin du XIXe siècle ; acquisition par le théâtre Antoine à Paris[86]

Photographie[modifier | modifier le code]

• «La Sainte-Chapelle, travaux du Palais de Justice», circa 1867-1868, épreuve sur papier albuminé ; préemption par la Cité de l'Architecture et du Patrimoine[87].

• Album de rares photographies d'amateur réalisées lors de l'Exposition Universelle de 1900 ; acquisition par la société Louis Vuitton[88].

Objets de curiosité[modifier | modifier le code]

• Rare canne épandeuse taupicide de parc parisien ; acquisition par le groupe Hermès[89].

Costumes[modifier | modifier le code]

• Vêtements de domestiques du décorateur Charles de Bestegui ; acquisition par la société Louis Vuitton[90].

Manuscrits, archives, bibliophilie[modifier | modifier le code]

• Texte autographe de la chanson "À Montmerte" d'Aristide Bruant, illustré par Théophile Alexandre Steinlen ; acquisition par la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris[91].

• «Grand album de l'Exposition Universelle, 1867» ; préemption par la Cité de l'Architecture et du Patrimoine[92].

• «Dictionnaire Véron ou Mémorial de l'art et des artistes de mon temps» ; acquisition par le Musée d'Orsay[93].

• «Le Vieux Paris en 1900», illustré par Robida ; acquisition par le Musée d'Orsay[94].

Georges Eugène Haussmann (Baron), ”Atlas administratif des vingt arrondissements de la Ville de Paris», 1868 ; acquisition par le Musée des Monuments Français[95].

Autres ventes notables[modifier | modifier le code]

• Météorite de Mont-Dieu, de type sidérite octaédrite, troisième plus grosse météorite découverte en France, dont l'invention par l'orpailleur Jean-Luc Billard conduit à un jugement du Tribunal de Grande Instance[96] et un arrêt de Cour d'appel[97], qui instituent l'inventeur comme seul propriétaire de la météorite et bouleversent la jurisprudence relative à l'invention de trésors. Paris, 21 octobre 2019[98] [99],[100],[101].

• Collection Raymond Georget de révolvers, incluant le révolver du Général Boulanger. Nogent-sur-Marne, le 14 octobre 2016[102],[103],[104][105].

• Collection Pierre Delpuech de météorites. Achats du Muséum d'Histoire Naturelle de Paris. Première vente réalisée en France, première vente de météorites au monde après succession. Paris, le 7 décembre 2015[106],[107]. Dans les années 2000, Pierre Delpuech est un des premiers amateurs à s'intéresser à l'esthétique des météorites, tout autant qu'à leur intérêt scientifique et les réunir à la manière d'un cabinet de curiosités[108][109].

Implantations[modifier | modifier le code]

5, rue des Lions Saint-Paul, 75004 Paris.

17, rue du Port, 94130 Nogent-sur-Marne.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Loi du 18 mars 1801 portant établissement de quatre-vingt commissaires-priseurs vendeurs de meubles à Paris. », sur legifrance.gouv.fr, JORF (consulté le )
  2. a et b Isabelle Rouge-Duclos, Brigitte Lozza, Répertoire des Commissaires-Priseurs de Paris au XIXe et XXe siècle, Paris, Archives Nationales., Répertoire des Commissaires-Priseurs de Paris et du département de la Seine (1801-1937)
  3. « "La vente aux enchères "Paris mon Amour" bat des records" », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  4. Anne-Sophie Aguilar, Éléonore Challine, L'enseigne, une histoire visuelle et matérielle, Paris, Citadelles et Mazenod,
  5. Karine Vergniol, « Paris Mon Amour, Interview Christophe Lucien », BFM Business,‎ (lire en ligne)
  6. Marie-Anne Gairaud, « Paris, mon Amour attire les Convoitises », Le Parisien,‎ (lire en ligne)
  7. Olivier Chapelet et Didier Morel, « Paris mon amour », France 3,‎ (lire en ligne)
  8. « Dans les coulissses d'une vente aux enchères à Drouot. Collection Roxane Debuisson. Reportage. », France 3 - France TV Info,‎ (lire en ligne)
  9. Diane Zorzi, « Le musée Carnavalet préempte des enseignes du vieux Paris. », sur https://www.interencheres.com, (consulté le )
  10. a et b Anne Deridou-Heim, « L'incroyable collection de Roxane Debuisson. Enseignes de la 9e édition de Paris Mon Amour », La Gazette Drouot,‎ (lire en ligne)
  11. Vincent Noce, « Roxane Debuisson, l'extravagance en partage », La Gazette Drouot,‎ (lire en ligne)
  12. (en) Anne Crane, « Signs of the times », Antiques Trade Gazette,‎ (lire en ligne)
  13. « Inventaire du patrimoine de la région île de France », sur inventaire.iledefrance.fr
  14. Collectif, catalogue de l'exposition «Le Marais en héritage», Paris, Musée Carnavalet. 4 novembre 2015 au 28 février 2016, Paris, Les musées de la Ville de Paris, , p. 136, 137
  15. Didier Rykner, « Vente Debuisson : Carnavalet sauve l'honneur », La tribune de L'Art,‎ (lire en ligne)
  16. Collectif, « Paire d'enseignes du marchand d'escargots Lazare successeurs », Rapport d'activité Paris Musées,‎
  17. Fonds Lucien Paris, Catalogue de vente "collection Roxane Debuisson, Paris mon amour 8e édition", Paris, (lire en ligne), Enseigne du marchand de couleurs "Au Nègre", lot n° 67
  18. Fonds Lucien Paris, Catalogue de vente "Collection Roxane Debuisson, Paris mon amour, 8e édition", Paris, (lire en ligne), Enseigne du marchand de jouets "Au Polichinelle", lot n° 72
  19. Fonds Lucien Paris, catalogue de vente "Collection Roxane Debuisson, Paris mon amour, 8e édition", Paris, (lire en ligne), Enseigne de marchands de parapluies et d'ombrelles, lot n° 96
  20. Fonds Lucien Paris, catalogue de vente Collection Roxane Debuisson, Paris mon amour, 8e édition, Paris, (lire en ligne), Voiture omnibus, dessin à l'encre, lot n°24
  21. Fonds Lucien Paris, catalogue de vente "Collection Roxane Debuisson, Paris mon amour, 8e édition", Paris, (lire en ligne), sculptures de façade de la boulangerie "À Molière", lot n° 65
  22. Fonds Lucien Paris, catalogue de vente "Collection Roxane Debuisson, Paris mon amour, 8e édition", Paris, (lire en ligne), Ensemble de panneaux décoratifs de la boulangerie "Aux Statues", lot n° 113
  23. Julien Da Sois, « Enchères : du mobilier urbain et des enseignes du Paris d'avant-guerre à acquérir », CNews,‎ (lire en ligne)
  24. a et b Fonds Lucien Paris, Collection Roxane Debuisson, Paris mon amour, 8e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne)
  25. Marion Kremp, « L'incroyable collection de Roxane Debuisson », Le Parisien,‎ (lire en ligne)
  26. « Le métro pile à Drouot », Le Figaro,‎ (lire en ligne)
  27. Anne Deridou-Heim, « Le métro, toujours un ticket d'avance », Gazette Drouot,‎ (lire en ligne)
  28. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 6e édition, en association avec la RATP, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne)
  29. Christian Galantaris, « Le goût des Goncourt à l'honneur », Cahiers Edmond et Jules de Goncourt - Les Goncourt historiens.,‎ année 2005, p. 165-166 (lire en ligne)
  30. Fonds Étude Lucien, Bibliothèque de catalogues de vente de M. François Heim, catalogue de vente aux enchères, Nogent-sur-Marne, 26, 27, 28, 29 et 30 juillet 2005.
  31. « Napoléon III menait grand train », Le Journal des Arts, n°26,‎ (lire en ligne)
  32. « Le chemin de fer impérial », L'Illustration,‎
  33. Fonds Lucien Paris, Catalogue de vente aux enchères publiques, Nogent-sur-Marne,
  34. Béatrice de Rochebouët, « Les fastueux trains de campagne de Napoléon III », Le Figaro,‎
  35. « Un bout de l'escalier de la tour Eiffel à 85 000 euros », Le Figaro,‎ (lire en ligne)
  36. « Paris aux enchères », Libération,‎ (lire en ligne)
  37. « Des marches de la tour Eiffel pour 85 000 euros », 20 minutes,‎ (lire en ligne)
  38. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 1ère édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Tronçon de l’escalier hélicoïdal de la Tour Eiffel, lot 143
  39. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 7e édition, catalogue de ventes aux enchères, Paris, (lire en ligne), Plans des colonnes de guidage de l'ascenseur de la tour Eiffel, 1889, lot 114
  40. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 1ère édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Maquette de la tour Eiffel, usine métallurgique de Gustave Eiffel, lot 145
  41. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour 4e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Gustave Eiffel, Table de salle de classe du Collège Sainte-Barbe, lot 140
  42. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 10e édition, catalogue de vente aux enchères publiques, Paris, (lire en ligne), Exposition Universelle 1889, Médaille d'ascension de la tour Eiffel, bronze doré, lot n° 173
  43. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 1ère édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Maquette de la tour Eiffel, bois découpé, 1889, lot n°162
  44. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 7e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Tabouret bas en fonte, le piètement en forme de tour Eiffel, lot n° 121
  45. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 9e édition, catalogue de vente aux enchères, (lire en ligne), Réduction du buste de la Statue de la Liberté, lot 348
  46. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 3e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne)
  47. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 10e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), lot 168
  48. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 3e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Maquette de la Grande Roue de l'Exposition, lot 148
  49. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 10e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Important vase en faïence réalisé pour l'Exposition Universelle de 1900, lot 174
  50. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 1ère édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Lucien Huard, Livre d'Or de l'Exposition Universelle de 1889, Boulanger, Paris 1889, lot n° 270
  51. Isabelle Bakouche, Paris transformé, le Marais 1900-1980, de l'ilôt insalubre au secteur sauvegardé, Paris, Créaphis,
  52. Fonds Lucien Paris, Collection Roxane Debuisson, Paris mon amour, 8e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Jean-françois Étienne Gossin, allégorie de la Source, sculpture fontaine de l'hôtel Raoul, lot 126
  53. Michel Cribier, « Hôtel Raoul », sur cribier.net
  54. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 8e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Musa, le moulin de la Galette, Huile sur toile, lot n° 234
  55. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 9e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Le Théâtre d'ombres du cabaret du Chat Noir, lot 114
  56. Fonds Lucien Paris, "Paris mon amour, 10e édition, catalogue de vente aux enchères", Paris, (lire en ligne), Émile Bertin, Maison natale de Molière, aquarelle et encre, lot n° 114.
  57. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 1ère édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), James Rassiat, la tour Eiffel flânant au bras de Maurice Chevalier, gouache, lot n° 48
  58. « Recherches sur la plaque de la rue portant le nom Girard Beauguet », La Cité, Bullettin de la Société Historique et Archéologique du 4e arrondissement,‎
  59. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 8e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris
  60. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 1ère édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), lot n° 299
  61. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 3e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Paire de lampadaires, modèle des Champs Élysées, lot 282
  62. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 6e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Richard Wallace, Charles Lebourg, Fontaine Wallace, lot 250
  63. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 1ère édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), vespasienne en fer et fonte, époque Napoléon III, lot 298
  64. Alfred d'Aunay, A. Liébert, Les ruines de Paris et ses environs, Paris, , n° 31
  65. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 7e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), fragment de la colonne Vendôme, lot 214
  66. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 4e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Hector Guimard, paire de bancs de jardin en fonte, lot 163
  67. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 1ère édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Banc public parisien, fer et fonte, circa 1920, lot n° 301
  68. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 9e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Plafond de boulangerie, lot 507
  69. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 6e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Michel Bourbon, Bas-relief du restaurant La Coupole, n° 244
  70. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 7e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), André David, «Les Satyres, toile d'intérieur de maison close», lot 23
  71. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 10e édition, catalogue de vente aux enchères publiques, Paris, (lire en ligne), Importante grille à pain de boulangerie, circa 1900, lot n° 315
  72. Collectif, catalogue exposition Le fer à Paris, mars à mai 1989, Paris,
  73. Pauline Simons, « Choix de Pierre Rosenberg », Le Figaro Magazine,‎
  74. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 1ère édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Paire de bancs de métro 1900, lot 297
  75. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 9e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), René Prou, suite de trois panneaux marquetés provenant de l'Orient-Express, lot n° 451
  76. Sophie Reyssat, « Notre-Dame, parisienne et universelle », Gazette Drouot,‎ (lire en ligne)
  77. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 4e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Henri Fivaz, projet de bibliothèque néo-égyptienne, encre et aquarelle sur papier, lot n° 28
  78. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 6e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Projets de décor de l'opérette Annie du Far West, au théâtre du Châtelet, n° 60
  79. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 9e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Affiche du théâtre Trianon Concert pour la pièce Orient Express, lot n° 450
  80. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 3e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Suite de huit chaises provenant de l'ancien théâtre du Palais Royal, lot 296
  81. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 2e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), James Rassiat, «La tour Eiffel flânant au bras de Maurice Chevalier», lot 48
  82. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 9e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Menu du Cabaret du Néant, lot n° 388
  83. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 5e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Saxophone de Harold Singer, lot 107
  84. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 7e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, , Ernesto, Concert de Jazz, quadriptyque, provenant du fumoir du night club Le Palace, lot 311
  85. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 5e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Service de table, orné de l'emblème de Roger Spiessert, lots n° 134, 135
  86. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 10e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Brigadier du théâtre Antoine, bois sculpté et peint, lot n° 384
  87. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 3e édition, catalogue de vente aux enchères,, Paris, (lire en ligne), la Sainte Chapelle, travaux du Palais de Justice, tirage albuminé, circa 1867-1868, lot n° 59
  88. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 1ère édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), «Mes visites à l'Exposition Universelle de 1900», album de photographies, lot 249
  89. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 9e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), rare canne épandeuse de parc parisien, lot n° 430
  90. Fonds Lucien Paris, Paris mon Amour, 1ère édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), vêtements de domestiques de Charles de Bestegui, lot 291
  91. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 3e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Texte autographe de la chanson À Montmerte d'Aristide Bruand, illustré par Alexandre Théophile Steinlen, lot n° 15
  92. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 3e édition, catalogue de vente aux enchères, Grand Album de l'exposition universelle, 1867, lot n° 192, Paris, (lire en ligne)
  93. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 3e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Dictionnaire Véron ou Mémorial, de l'art et des artistes de mon temps, le Salon et l'Exposition Universelle, 1878, lot n° 198
  94. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 3e édition, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Le vieux Paris en 1900, illustrations de Robida, lot n° 205
  95. Fonds Lucien Paris, Paris mon amour, 1ère vente, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne), Georges Eugène Haussmann, Atlas administratif des vingt arrondissements de la Ville de Paris, 1868, lot n° 231
  96. Tribunal de grande instance de Charleville-Mézières, « jugement 18 avril 2014 », Le Préfet des Ardennes / M. Jean-Luc Billard,‎
  97. Cour d'appel de Reims, « arrêt n° 66 du 14 juin 2016 DB R.G : 15/01462 », Le Préfet des Ardennes c/M. Jean-Luc Billard,‎
  98. « Une des plus grosses météorites de France mise aux enchères. », Sciences et Avenir,‎ (lire en ligne)
  99. Ashley Chevalier, « Des météorites seront vendues aux enchères à l'hôtel Drouot ce lundi, interview Christophe Lucien », BFM,‎ (lire en ligne)
  100. « Enchères : une météorite de 300 kilos proposée à la vente, reportage, interview Christophe Lucien », France TV Info,‎ (lire en ligne)
  101. Fonds Lucien Paris, Météorites, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne)
  102. Bernard Croissy, « La vente Georget », Gazette des Armes,‎ octobre 2016, n°490, en Une et pp. 22 à 25 (lire en ligne)
  103. « Collection Raymond Georget », Gazette des Armes,‎ septembre 2016, n°489, en Une et pp. 30 à 33. (lire en ligne)
  104. Fonds Lucien Paris, Collection de revolvers Raymond Georget, catalogue de vente aux enchères, Nogent-sur-Marne, (lire en ligne)
  105. Henri Vuillemin, Les revolvers militaires français, collection Raymond Georget, Paris, Bromont Glatigny, , 192 p.
  106. Karine Vergniol et Olivier de Rincquesen, « Drouot accueillera une vente aux enchères de météorites, interview Christophe Lucien », BFM Business, Chercheurs d'Art,‎ (lire en ligne)
  107. Fonds Lucien Paris, Météorites, collection Pierre Delpuech, catalogue de vente aux enchères, Paris, (lire en ligne)
  108. « Une collection de 250 météorites proposée à Drouot », 20 minutes,‎ (lire en ligne)
  109. « Les cabinets de curiosité font à nouveau rêver. Interview Christophe Lucien. », l'Express,‎ (lire en ligne)

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • François Duret-Robert , Les 400 coups du marteau d'ivoire, Paris, Robert Laffont, 1964.
  • Paul Guillaumin, Drouot hier et aujourd'hui, Paris, Les éditions de l'amateur, 2016.
  • Alain Quemin , Les Commissaires-priseurs. La mutation d'une profession, Revue française de sociologie, 1999.
  • Alain Quemin , Code des ventes volontaires et judiciaires, Artprice, 2001.
  • Alain Quemin , La réforme des ventes aux enchères, des commissaires-priseurs aux sociétés de ventes publiques, Revue française de sociologie, 2002, pp. 620-622.
  • Isabelle Rouge-Duclos , Le Crieur et le Marteau, Paris, Belin, 2013.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

. Enchère

. Commissaire-priseur

Liens externes[modifier | modifier le code]

Site officiel