Lanfains

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Lanfains
Lanfains
Vue générale du bourg.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saint-Brieuc Armor Agglomération
Maire
Mandat
Gérard Mérot
2020-2026
Code postal 22800
Code commune 22099
Démographie
Gentilé Lanfinois, Lanfinoise
Population
municipale
1 104 hab. (2021 en augmentation de 2,32 % par rapport à 2015)
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 21′ 14″ nord, 2° 54′ 46″ ouest
Altitude 325 m
Min. 147 m
Max. 322 m
Superficie 21,87 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Brieuc
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Plélo
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site de la mairie de Lanfains

Lanfains [lɑ̃fɛ̃] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.

Ses habitants sont appelés les Lanfinois et les Lanfinoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Lanfains est située dans le centre des Côtes-d'Armor. Le bourg de Lanfains se trouve à vol d'oiseau à 6 km au sud de Quintin, la ville la plus proche, à 21 km au sud-ouest de Saint-Brieuc, sa préfecture de rattachement et à 29 km au sud-est de Guingamp.

Carte en couleurs de la commune et des communes voisines.

Topographie[modifier | modifier le code]

Le col routier de Lanfains (322 mètres).

La commune de Lanfains présente un relief vallonné. Son bourg est le plus haut de Bretagne. Il se trouve sur une butte à une altitude de plus de 300 m. Le point culminant de la commune est à 323 m et est situé au lieu-dit de Bel Air-Porpaire. Le col routier de Lanfains (322 m), est situé sur la commune. Il était au programme de la Bretagne Classic en 2020. Pour arriver au col, il faut gravir une côte longue de 1,7 km avec une pente moyenne à 6% et maximale à 14%[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur  », exposée à un climat médian, à dominante océanique[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 981 mm, avec 15,2 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Plœuc-L'Hermitage à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 954,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lanfains est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Brieuc, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 51 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (53,1 %), terres arables (36,7 %), forêts (3,8 %), prairies (2,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1 %), zones urbanisées (1,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

On trouve les attestations suivantes : Lanfaen en 1257, Lanfain en 1428[15], Lanfains en 1516, Lanfains en 1516[16], Lanfaign en 1536[15], Lanfin en 1630[16], Lenfeins en 1642, Lenfains en 1663, Lenffains en 1671[15], Lanfains en 1676[17].

Lanfains vient du breton lann (ermitage) et, semble-t-il, du latin fanum (temple)[15].

Le nom de la commune traduit en breton est Lanfeun[16]. En gallo, le nom s’écrit Lanfaen[18].

Villages, hameaux, écarts, lieux-dits[modifier | modifier le code]

Les principaux lieux-dits sont (du nord au sud et d’ouest en est) :

  • la Touche ;
  • la Ville Auray ;
  • Milhars ;
  • la Deude ;
  • Carestiemble ;
  • La Houssaye ;
  • Le Tertro ;
  • La Corniche ;
  • La Ville Auray ;
  • la porte Burlot ;
  • le Bas des Landes ;
  • le Morboux ;
  • Porpair ;
  • le Haut Rôma ;
  • les Burons ;
  • la Ville d’en Haut ;
  • les Rozieux.

Le village de Carestiemble a la particularité de se situer sur les communes de Lanfains et de Saint-Brandan, la route le traversant étant la limite.
C'était un village de boulangers. Le dernier boulanger Monsieur Jago a éteint le four au début des années 1980. De cette époque subsiste la fête du Pain Chaud, festivité ancienne qui se tenait le deuxième dimanche de février et qui lançait le début des fêtes mises en sommeil pour l'hiver. À cette occasion était fait le pain mirrau, à mie serrée, sous forme de boule que l'on achetait pour manger tiède. Il s'agit d'un pain dit sucré. La fête comprenait également des stands forains, un bal populaire. Cet événement important drainait toute la population alentour. Cette fête subsiste de nos jours, toujours avec une vente de pain mirrau mais dans une forme actualisée avec un trail en nocturne dans les landes qui attire plusieurs milliers de participants.

Carestiemble avait sa propre école : ce grand bâtiment, aujourd'hui salle des fêtes, a gardé sa façade avec, à sa droite surmonté d'une croix, la maison des sœurs. Il s'agissait de l'école Saint-Joseph, propriété du marquis de Robien. Cette école primaire a fermé début des années 1980.

Ce village, dans le pôle d'activités de Quintin jouit toujours d'une forte dynamique. La construction d'un lotissement dans les années 1980 en en fait un des principaux pôles démographiques de la commune, à 5 minutes de Quintin et 30 minutes de Saint-Brieuc. Attractivité renforcée avec la présence de l'échangeur routier qui permet un accès aux voies rapides en direction de Saint-Brieuc et de Loudéac. Certains noms doivent leur origine à un élément du lieu. La Deude, par exemple, vient du patois deux doué à savoir deux lavoirs. Ce qui suggère un village d'importance pour avoir deux lavoirs. Le dernier d'entre eux, comblé récemment, se situait en bordure de la route allant à la Houssaye. Le village avait également sa sage-femme, fin 18ème, début 19ème : les registres d'état civil font état d'une sage-femme : Catherine Pleven, épouse Eouzan (1781-1812). De cette époque rien ou presque ne subsiste sauf deux corps de ferme. Sur la droite en descendant, une ferme rénovée de conception récente puis, plus bas, le ferme de La Deude dont on a trace dès 1690 avec la famille Eouzan dont les descendants sont toujours les occupants et dont les bâtiments actuels ont été rénovés en 1918 par le propriétaire de l'époque au retour de la guerre de son fermier Jean François Eouzan.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

Au début du siècle de nombreux jeunes de la commune étaient recrutés par des familles de chiffonniers hors des Côtes d'Armor. Ils allaient à vélo de ferme en ferme acheter surtout des peaux de lapins. A l'été, ils revenaient à Lanfains. D'où l'appellation de pillotous pour qualifier les habitants de Lanfains.

Les guerres du XXe siècle[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts porte les noms de 73 soldats morts pour la Patrie[19] :

Le XXIe siècle[modifier | modifier le code]

Les parcs éoliens[modifier | modifier le code]

Un parc éolien comprenant 5 éoliennes dont les mâts culminaient à 58 mètres de haut et même en considérant les pales de 32 mètres à 90 mètres, a été installé sur la commune en 2005 ; il est exploité par « Kallista Energy ». Ces éoliennes sont en cours de démantèlement en novembre 2021 (avec une obligation de recycler plus de 90 % des matériaux des mâts ; les pales, non recyclables, vont étre transformées en combustible)[20]. Elles vont être remplacées par 6 nouvelles éoliennes qui vont développer une puissance installée de 12 MW, contre 7,5 MW pour l’ancien parc[21].

Histoire linguistique[modifier | modifier le code]

En 1843, selon le dictionnaire de Jean-Baptiste Ogée, la commune parlait français et breton. L'enquête conduite par Paul Sébillot et publiée en 1886 place la commune en Pays Gallo.[réf. nécessaire]

Activités économiques[modifier | modifier le code]

L’agriculture représente la principale activité économique de la commune. Elle est essentiellement orientée vers l’élevage de bovins, volailles et porcs et la polyculture ensuite. La superficie de la commune est de 2 187 hectares.

Deux entreprises agroalimentaires sont présentes sur la commune : l’abattoir LDC et la laiterie L’Armoricaine. L'unité d'abattage de poulets LDC a été créée dans les années 1960 par Alain Serandour, un jeune entrepreneur local. Principal employeur de la commune pendant longtemps, sa fille Gaelle lui a succédé et a contribué à l'intégration de l'unité de production dans le groupe LDC étant l'épouse d'un membre de la famille Doux.

La laiterie de l'Armoricaine a débuté dans les années 1950 au bourg de Lanfains à l'initiative d'Eugène Le Liard, qui collectait le lait que son épouse Marie Thérèse barattait à leur domicile. L'activité se développant et se modernisant, la laiterie s'est déplacée au lieu dit La Corniche, Eugène Le Liard a construit sa maison juste en face. La laiterie de l'Armoricaine produit surtout des fromages avec un savoir faire reconnu qui implique un cahier des charges strict pour les exploitants (camembert, pâtes pressées) mais également des yaourts à boire.

L’artisanat est représenté par un couvreur, un plombier chauffagiste, une scierie, une pisciculture, une coiffeuse, et un atelier de transformation du lait à la ferme[22]. Il existe aussi quelques commerces dans le bourg : un café et un bar alimentation, une crêperie, un garagiste, une entreprise de travaux publics et une société de transport de volailles.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1797 Mathurin Fraboulet    
1797 1797 Pierre Glo   agent municipal
1797 1800 Pierre Andrieux   agent municipal
1800 1803 Pierre Andrieux    
1803 1816 Mathurin Fraboulet    
1816 1848 François Tehet    
1848 1887 Pierre Allo    
1887 1916 Guillaume Allo    
1916 1918 Yves Mesleard   suppléant
1918 1920 Jean Thomas   suppléant
1920 1928 Joseph Allo    
1928 1934 André de Villeneuve     Directeur des Fonderies du Pas
1934 1939 Joseph Allo    
1939 1945 Adolphe de Villeneuve     Directeur des Fonderies du Pas
1945 1948 Corentin Allo    
1948 1948 Yves Le Bouder    
1948 mars 1965 Marc Gautier    
mars 1965 mars 1971 Joseph Le Corre    
mars 1971 1976 René Sagorin    
1976 juin 1995 Eugène Le Liard     Directeur laiterie
juin 1995 mars 2008 Yolande Hamon   Fonctionnaire
mars 2008 en cours Gérard Mérot DVD Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 3932 2601 9842 0682 2162 2262 3162 3422 250
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 3062 2962 2872 0451 9541 7711 7531 5931 527
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3771 3011 2141 1661 1761 1441 0361 000993
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
9999788947968288689619871 074
2018 2021 - - - - - - -
1 0971 104-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Plaque d'égout des fonderies du Pas.
  • Église Saint-Guyganton de 1717 et restaurée en 1845.
  • Lieu-dit le Pas (avec zone de loisirs, étang, camping, chapelle, traversé par la voie ferrée Saint-Brieuc-Loudéac, ancienne fonderie-forge du Pas qui fut en activité de 1828 à 1978[25]).
  • Les lieux-dits Porpaire, Bel-Air et Bellevue au sommet de la commune atteignant les 323 mètres avec au nord ses landes.
  • la croix du Jubilé

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Eugène Le Liard, entrepreneur créateur de la laiterie de L'Armoricaine et maire de la commune.
  • Alain Serandour, entrepreneur créateur de l'abattoir de volaille Serandour qui fait maintenant partie du groupe LDC.

Sources[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Lanfains , la petite côte pour la Bretagne Classic, Ouest-France, 24 août 2020
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Lanfains et Plœuc-L'Hermitage », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Ploeuc-sur-Lie » (commune de Plœuc-L'Hermitage) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Ploeuc-sur-Lie » (commune de Plœuc-L'Hermitage) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b c et d infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Lanfains » (consulté le ).
  16. a b et c « Résultats concernant « Lanfains » », sur la base KerOfis, Office public de la langue bretonne (consulté le ).
  17. archives des Côtes d'Armor, 1E 2358
  18. Fiche descriptive de la commune de Lanfains sur Geobreizh.
  19. « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  20. Bruno Salaün, « À Lanfains, les coulisses du démantèlement d'un parc éolien », sur letelegramme.fr, (consulté le ).
  21. « Les nouveaux parcs éoliens de Trébry et Lanfains bientôt en production », sur letelegramme.fr, (consulté le ).
  22. http://www.craulois.co
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. La Fonderie du Pas. Un vestige industriel disparu, Le Télégramme, 12 août 2012

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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