Chapdes-Beaufort

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Chapdes-Beaufort
Chapdes-Beaufort
Chartreuse du Port-Sainte-Marie.
Blason de Chapdes-Beaufort
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Riom
Intercommunalité Communauté de communes Chavanon Combrailles et Volcans
Maire
Mandat
Luc Cailloux
2020-2026
Code postal 63230
Code commune 63085
Démographie
Gentilé Chapdères
Population
municipale
1 137 hab. (2021 en augmentation de 7,47 % par rapport à 2015)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 53′ 35″ nord, 2° 51′ 50″ est
Altitude Min. 510 m
Max. 923 m
Superficie 31,79 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Ours
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Chapdes-Beaufort
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Chapdes-Beaufort
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Chapdes-Beaufort
Liens
Site web chapdes-beaufort.fr

Chapdes-Beaufort [ʃa(p)d bofɔʁ] est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Chapdes-Beaufort est située dans la région auvergnate des Combrailles.

Huit communes sont limitrophes[1] :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est située dans la chaîne des Puys. Deux puys dominent le village : le puy de Beaufort (alt. 886 m) et le puy de Montcognol (alt. 921 m).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par les routes départementales 62 (reliant Les Ancizes-Comps à Saint-Ours), 62a (reliant Les Girauds aux Richards, sur la commune de Saint-Georges-de-Mons), 90 (passant à proximité du hameau de Langlérial), 418 (vers Manzat, par le lieu-dit Les Arbres) et 575 (vers Pulvérières)[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 951 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gelles », sur la commune de Gelles à 16 km à vol d'oiseau[4], est de 9,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 026,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chapdes-Beaufort est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,9 %), zones agricoles hétérogènes (36,6 %), prairies (22,8 %), zones urbanisées (1,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Le site a été occupé à l'âge de pierre (voir l'article préhistoire) et l'époque gallo-romaine comme en témoignent les vestiges trouvés lors de fouilles archéologiques.

Au Moyen-Âge, on mentionne la seigneurie de Beaufort située dans la paroisse de Chapdes[14].

En 1219, Guillaume et Raoul de Beaufort, frères, donnèrent une partie de leurs terres à l'ordre des chartreux. À cet emplacement sur le bord de la Sioule fut fondée la chartreuse du Port-Sainte-Marie. Les derniers travaux d'importance eurent lieu au XVIIe siècle. Après sa vente comme bien national pendant la Révolution française elle tomba en ruine.

Le village connut son plein essor lors de l'exploitation de la mine de Barbecot où était exploitée de la galène argentifère. La mine fut exploitée à partir de 1838 par la Société Alphonse Pallu et Cie. Le minérai était transformé en argent à la fonderie de Pontgibaud. La totalité des mines (concession des Combres, Barbecot et Roure) du secteur de Pontgibaud cessèrent leurs activités en 1898.

En 1881, la section de Pulvérières devint une commune à part entière et se sépara de Chapdes-Beaufort.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Chapdes-Beaufort est membre de la communauté de communes Chavanon Combrailles et Volcans[15], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Pontaumur. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[16]. Jusqu'en 2016, elle était le siège de la communauté de communes Pontgibaud Sioule et Volcans[17].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Riom, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[15]. Avant , elle faisait partie du canton de Pontgibaud[18].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Ours pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[15], et de la deuxième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010 (sixième circonscription avant 2010)[18].

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Élections de 2020[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Chapdes-Beaufort, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[19], pour un mandat de six ans renouvelable[20]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15[21]. Les quinze conseillers municipaux (issus d'une liste unique) sont élus au premier tour, le , avec un taux de participation de 50,69 %[22].

Quatre sièges sont attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes Chavanon Combrailles et Volcans[22].

Quatre adjoints ont été désignés à la suite de l'élection du maire en 2020[CB 1].

Chronologie des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1800 1815 Guillaume Cluzel    
1815 1817 Michel Tournaire    
1817 1822 Pierre Tournaire    
1822 1843 Guillaume Cluzel    
1843 1861 Emile Cluzel    
1861 1866 Simon Chomilliers    
1866 1869 Emile Cluzel    
1869 1870 Pierre Chomillier    
1870 1891 Prosper Bussières    
1891 1900 Michel Cluzel    
1908 1925 Chanteranne    
1929 1945 Jules Cluzel    
1965 1977 Marc Rossignol    
1977 1989 Jean Paquet    
2001 2008 Gérard Maillet    
Lionel Muller UMP-LR Conseiller général du canton de Pontgibaud (2008-2015)
Conseiller départemental du canton de Saint-Ours (depuis 2015)
En cours
(au )
Luc Cailloux[23]   Technicien chez Aubert et Duval[24]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

La gestion des déchets est assurée par le SICTOM de Pontaumur-Pontgibaud. Les déchèteries les plus proches sont situées à Saint-Ours et aux Ancizes-Comps[CB 2].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 1 137 habitants[Note 3], en augmentation de 7,47 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8961 7331 9512 0622 0312 2282 2692 3572 376
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 3212 3422 2942 4222 4101 7871 6591 7131 681
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6151 6181 5461 3901 3321 2601 2171 1601 143
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 1951 1571 0059901 0119609859881 041
2017 2021 - - - - - - -
1 1001 137-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dépend de l'académie de Clermont-Ferrand et forme, avec la commune voisine de Pulvérières, un regroupement pédagogique intercommunal[CB 3].

Les élèves commencent leur scolarité à l'école élémentaire publique[29]. Celle-ci accueille les élèves de la petite section au CE1 ; ceux de CE1, CE2, CM1 et CM2 vont à Pulvérières[CB 3]. Ils poursuivent au collège départemental des Ancizes-Comps[30], puis dans les lycées de Riom[31] :

L'école élémentaire privée du Sacré-Cœur accueille les élèves de la maternelle au CM2[CB 3].

Santé[modifier | modifier le code]

Une infirmière, des kinésithérapeutes et une psychologue sont installés sur la commune[CB 4].

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Chartreuse de Port-Sainte-Marie[modifier | modifier le code]

Les ruines font l'objet de restauration. De nombreux éléments vendus pendant la Révolution sont dispersés dans les églises des communes avoisinantes (Pontgibaud : Autel, Manzat : boiseries, pietà, Comps : statue du fondateur des chartreux, Saint Bruno etc.).

Chemin Fais'Art[modifier | modifier le code]

Le sculpteur Gilles Perez a installé, sur un parcours d'environ trois kilomètres, une vingtaine de sculptures monumentales contemporaines. Elles sont constituées d'éléments sculptés dans le rocher volcanique local.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Christophe Antoine Gerle, dit Dom Gerle, prieur de la chartreuse du Port-Sainte-Marie lors de la Révolution française.
  • Louis Rosier, coureur automobile, naquit le 5 novembre 1905 à Chapdes-Beaufort. Il gagna avec son fils, au volant d'une Talbot, les 24 Heures du Mans en 1950.
  • Henri Longchambon, scientifique et homme politique français ; il organisa un maquis dans les bois de la commune durant la Seconde Guerre mondiale.
  • Marius Viple.
  • Jean Paquet.
  • Antoine Marie Gustave Cluzel, né en 1846 à Chapdes-Beaufort, officier, il fut le premier à établir une carte topographique de la Nouvelle-Calédonie. Au sud-est de Nouméa, au Ouen-Toro, une pointe côtière porte son nom. Nommé chevalier puis, en 1906, promu officier de la Légion d'honneur.
  • Gilbert de Serres, né à Chapdes-Beaufort[32].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Combrailles et patrimoine, t. 1 : églises et chapelles, Syndicat mixte pour l'aménagement des Combrailles (SMADC), [détail des éditions]
  • Combrailles et patrimoine, t. 2 : Géologie et minéralogie, histoire des mines, Syndicat mixte pour l'aménagement des Combrailles (SMADC), [détail des éditions]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  • Site de la mairie :
  1. « Les élus » (consulté le ).
  2. « Ordures ménagères et déchetterie » (consulté le ).
  3. a b et c « Ecoles » (consulté le ).
  4. « Santé » (consulté le ).
  • Autres sources :
  1. a et b Géoportail (consulté le 4 avril 2017).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Chapdes-Beaufort et Gelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Gelles », sur la commune de Gelles - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Gelles », sur la commune de Gelles - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  14. Abbé Sorbier, « les fiefs d'Auvergne et du Velay », Revue historique nobiliaire et bibliographique : Recueil de mémoires et documents, 3e série, t. I,‎ , p. 346 (lire en ligne).
  15. a b et c « Commune de Chapdes-Beaufort (63085) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. « CC Chavanon Combrailles et Volcans (No SIREN : 200071215) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  17. « CC Pontgibaud Sioule et Volcans (No SIREN : 200023331) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  18. a et b « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
  19. Loi no 2013-403 du relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51, et son décret d'application no 2013-938 du .
  20. « Election des conseillers municipaux et du maire », sur le site de la DGCL.
  21. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  22. a et b « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  23. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], sur mairesruraux63.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ), p. 2.
  24. Supplément « Annuaire des maires Puy-de-Dôme », La Montagne, , p. 25 (édition du Puy-de-Dôme).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Annuaire des établissements scolaires de Chapdes-Beaufort sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le 4 avril 2017).
  30. « Sectorisation », sur puy-de-dome.fr, Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le ) ; taper « CHAPDES-BEAUFORT » dans le formulaire de saisie.
  31. Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], sur ac-clermont.fr, Académie de Clermont-Ferrand (consulté le ), p. 4.
  32. Argha, Gilbert de Serres, un auvergnat dans la Russie des Tsars, Argha 1986.