Sainville

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Sainville
Sainville
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Beauce
Maire
Mandat
Jean-Marc Dupré
2020-2026
Code postal 28700
Code commune 28363
Démographie
Population
municipale
1 029 hab. (2021 en augmentation de 1,58 % par rapport à 2015)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 24′ 58″ nord, 1° 52′ 50″ est
Altitude Min. 137 m
Max. 161 m
Superficie 21,87 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auneau
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Sainville
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Sainville
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Sainville
Liens
Site web http://www.mairie-sainville.com

Sainville est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Communes et départements limitrophes[modifier | modifier le code]

Hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Sortie de Boulonville par la RD 11613.
Sortie de Boulonville par la RD 11613.

Boulonville, Manterville, Le Chêne, Le Chêne Viel.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Entrée de Sainville par la route départementale 24.
Entrée de Sainville par la route départementale 24.
Entrée de Sainville par la route départementale 17.
Entrée de Sainville par la route départementale 17.

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 648 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1953 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records SAINVILLE (28) - alt : 152 m 48° 24′ 12″ N, 1° 54′ 06″ E
Records établis sur la période du 01-11-1953 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,6 0,5 2,5 4,1 7,7 10,3 12,3 12,3 9,5 7 3,4 1,3 6
Température moyenne (°C) 3,5 4,1 7,2 9,7 13,5 16,5 19 18,9 15,5 11,7 6,8 4 10,9
Température maximale moyenne (°C) 6,5 7,7 12 15,4 19,2 22,7 25,6 25,5 21,5 16,3 10,3 6,7 15,8
Record de froid (°C)
date du record
−19,4
17.01.1985
−15,3
07.02.12
−11,2
07.03.1971
−10,1
08.04.1958
−1,2
03.05.1967
0,6
05.06.1991
4,6
04.07.1984
3,7
31.08.1986
1
19.09.1977
−4,6
30.10.1985
−12
30.11.10
−13,6
29.12.1964
−19,4
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
15,8
27.01.03
21
27.02.19
26
31.03.21
29,5
20.04.18
32,3
07.05.1976
37
29.06.19
42,9
25.07.19
40,3
12.08.03
35
15.09.20
30,1
01.10.1985
21
07.11.15
17,5
09.12.1961
42,9
2019
Précipitations (mm) 53,2 45,9 49,8 49,5 63,4 50 58,8 49,8 50 65 57,7 62,5 655,6
Source : « Fiche 28363001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sainville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,7 %), zones urbanisées (3 %), forêts (1,3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Sainville est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Cloche et le ruisseau de l'Ancien étang de Pot de Vin. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[16],[14].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sainville.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 9,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 401 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 19 sont en aléa moyen ou fort, soit 5 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations anciennes[modifier | modifier le code]

Segetis [Segenis] villa en 1084[19] ; Sainvilla, vers 1130[20] ; Sainville en Beauce en 1380[21] ; Sainville en 1391[22] ; Sainville en 1394[23] ; Sainville en 1401[24] ; Sainville en 1545[25] ; Sainville en 1740[26] ; Sainville au XVIIIe siècle (Carte de Cassini).

Étymologie[modifier | modifier le code]

Formation médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural » (appellatif toponymique issu du gallo-roman VILLA « grand domaine rural »). Il est précédé du nom de personne d’origine germanique. La forme Segetis [Segenis] villa en 1084, c’est-à-dire « “domaine”, villa, de la “récolte” », est une latinisation médiévale de la forme romane incomprise ou une erreur de graphie.

Histoire[modifier | modifier le code]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Vue de l'ancienne plateforme du chemin de fer peu avant la gare de Sainville, envahie par la végétation.
Vue de l'ancienne plateforme du chemin de fer peu avant la gare de Sainville, envahie par la végétation.

XXe siècle[modifier | modifier le code]

Entre le et le , plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution[27], dont Sainville[28]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[29]. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé[30].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Denise Billarant-Dauphin    
mars 2008 juillet 2020 Martine Baldy SE Assistante sociale
juillet 2020 En cours Jean-Marc Dupré    

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
539532602647528574565579583
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
638617589581586574584626674
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
655654647633648665663703571
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
561584592627895942942942992
2017 2021 - - - - - - -
1 0121 029-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

  • Agriculture : productions céréalières et stockage en silos;
  • Industrie : usine Bostik, The Adhesive Company.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Pierre[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre date des XIIe et XVIe siècles.

Son beffroi abrite une cloche de 1549, classée au titre d'objet monument historique[33],[34].

Musée Farcot[modifier | modifier le code]

Philanthrope, Eugène Farcot lègue à la commune de Sainville la somme de 80 000 francs[35] afin de mener à bien le projet d'une vie : édifier un monument à la mémoire du couple qu'il formait avec Pauline Leblond[36]. Un cartouche d'alliance des deux familles orne à juste titre la tour carrée.

La commune de Sainville est tenue de respecter quatre conditions dans l'acceptation du legs en réservant l'accueil d'un médecin, la mise en place du musée et des logements, ainsi qu'un poste-vigie nécessaire à l'exercice des sapeurs-pompiers évoqués au travers du symbole de la salamandre[37]. Le programme architectural est confié à M. Émile Vaillant, architecte en chef du département d'Eure-et-Loir, qui s'inspire de deux dessins de la main d'Eugène Farcot. Sinon, la décoration se voit remise entre les mains de Paul Vaillant qui signe de son nom la mosaïque à la salamandre.

Mort en 1896[38], Eugène ne verra pas la concrétisation de son œuvre dont l'achèvement, inscrit sur la façade, est daté « Anno 1901 ». Son gendre et exécuteur testamentaire, Henri Wandenberg, s'emploie à la réalisation de l'horloge monumentale et de la boussole qu'il signe de son nom. C'est à lui que revient le privilège d'inaugurer le musée Farcot en 1903. Privé d'héritiers directs par la mort de ses deux enfants, Charles et Marguerite, Eugène Farcot fait vœu de postérité en laissant derrière lui ce musée accessible à tous.

Le musée obtient la distinction « Musée de France » par arrêté du [39],[40].

Le musée Farcot est créé le [40] et ouvre les portes de son cabinet de curiosités en octobre 2016[41]. Horloger et globe-trotter, Eugène Farcot lègue à la commune de Sainville une collection où sciences, techniques, Beaux-Arts et archéologie se côtoient.

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le château d'eau.
Le château d'eau.
  • Monument aux morts ;
  • Château d'eau.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  7. « Fiche du Poste 28363001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Sainville », sur Géorisques (consulté le )
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  16. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  18. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  19. Archives départementales d'Eure-et-Loir-G, chapitre Notre-Dame de Chartres.
  20. Bibliothèque nationale de France- Ms Latin 11.063, Cartulaire Saint-Jean-en-Vallée de Chartres.
  21. Archives nationales-JJ 116, no 140, fol. 82).
  22. Archives nationales-JJ 140, no 117, fol. 152.
  23. Archives nationales-JJ 146, no 258, fol. 137.
  24. Archives nationales-JJ 156, no 189, fol. 115.
  25. Cartulaire de Saint-Denis en France, LL 1158, t. II, fol.32.
  26. Bibliothèque municipale d’Orléans, Manuscrit 995, fol. 229.
  27. Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
  28. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
  29. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
  30. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Cloche de clocher », notice no PM28000564, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  34. « Une cagnotte en ligne pour sauver l'église du village de Sainville », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
  35. Henri Buré (notaire à Sainville), Acte notarié du 16 mars 1896, Chartres, archives  départementales d'Eure-et-Loir, cote 4 O 354, p. 3 et 4.
  36. Radio Intensité, « Sainville - Dédicace : Lydie Delanoue « Eugène Farcot, le Maître des horloges et des aérostats » », sur https://intensite.net/, (consulté le ).
  37. Isabelle Ducharme, « Le plus petit musée de France inauguré », sur https://www.lechorepublicain.fr, (consulté le ).
  38. Acte de décès d'Eugène Adrien Farcot n° 105, archives du Val-de-Marne, cote 1NUM/Saint-Maur 16.
  39. « Arrêté du 17 septembre 2003 attribuant l'appellation "musée de France" », sur https://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  40. a et b Ministère de la Culture, « Répertoire des Musées de France (Muséofile) - Musée Farcot », sur https://www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  41. L'Écho républicain, « Le musée Farcot de Sainville recherche un guide : voici ce que vous pourrez y découvrir » Accès payant, sur https://www.lechorepublicain.fr, (consulté le )
  42. « Deux ans après » (tournage et production), sur l'Internet Movie Database.