Péronne (Saône-et-Loire)

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Péronne
Péronne (Saône-et-Loire)
Le bourg de Péronne, vu de Lanques.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Mâcon
Intercommunalité Mâconnais Beaujolais Agglomération
Maire
Mandat
Jean-Pierre Pacaud
2020-2026
Code postal 71260
Code commune 71345
Démographie
Gentilé Péronnais
Population
municipale
668 hab. (2021 en augmentation de 1,98 % par rapport à 2015)
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 26′ 17″ nord, 4° 48′ 33″ est
Altitude Min. 222 m
Max. 441 m
Superficie 10,56 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mâcon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Hurigny
Législatives Première circonscription
Localisation
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Péronne
Liens
Site web peronne-bourgogne.com

Péronne est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Elle fait désormais partie du canton d'Hurigny, après avoir appartenu au canton de Lugny de 1790 à 2015.

Géographie[modifier | modifier le code]

Péronne est un village viticole du Haut-Mâconnais.

Accès[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 840 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mâcon », sur la commune de Charnay-lès-Mâcon à 14 km à vol d'oiseau[3], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 833,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,4 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Péronne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Macon dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (70 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (34,4 %), forêts (29,3 %), zones agricoles hétérogènes (22,4 %), terres arables (9,7 %), prairies (4,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hydronymie[modifier | modifier le code]

Un ruisseau appelé « l'Isérable » servait de limite entre Péronne et Saint-Pierre de Lanques, devenu aujourd'hui un hameau de la commune. Cet hydronyme est à rapprocher de celui de l'Isère en Dauphiné et de l'Isaar en Autriche. La racine est d'origine préceltique.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Péronne tire son nom de l'anthroponyme Perros et du suffixe d’origine gauloise onna signifiant « la source ».

Histoire[modifier | modifier le code]

Péronne et les villages du Haut-Mâconnais en 1759, d'après la carte de Cassini. Remarquer le tracé d'ancienne voie romaine traversant le territoire de la paroisse.

De l'outillage lithique (en silex local) a été recueilli dans les hauts de la commune, au lieu-dit « Bérizy » (toponyme gaulois). En outre, début 1987, au lieu-dit « Le Mortier », a été découvert fortuitement un aven, gouffre profond dont l'exploration par le Spéléo-club d'Azé puis par la Fédération spéléologique de Bourgogne Sud a permis de découvrir une vaste salle (à laquelle on accède après avoir descendu un puits vertical de 23 mètres) d'où ont été extraits des ossements d'animaux ainsi que des silex et os travaillés (deux ans après la découverte du site, 25 tonnes d'argile avaient déjà été extraites « au seau » de la cavité, rendue plus accessible grâce à 70 marches cimentées).

Une voie romaine traverse le village d'est en ouest. Elle est rejointe à Saint-Pierre de Lanques (ancienne paroisse désormais rattachée à la commune de Péronne) par une autre voie, dont on a trouvé des restes d'empierrement.

Une tradition encore vivace aujourd'hui affirme que le roi de Bourgogne Gontran posséda un palais à Péronne dans lequel il promulgua un édit interdisant de travailler le dimanche. Il s'agit là d'un mythe forgé par les historiographes en l'absence de toute preuve archéologique ou textuelle, à partir d'une glose imaginative d'un clerc mâconnais du XVIIIe siècle qui affirmait que Péronne était un gros bourg à l'époque mérovingienne. Il n'existe pourtant dans le Mâconnais du VIe siècle aucune agglomération d'importance en dehors de Mâcon et de Tournus. Quant au village de Péronne, il ne se structure sans doute qu'à partir du Xe siècle, moment auquel le toponyme apparaît dans les chartes de Cluny. Gontran a certes publié un édit le faisant suite au concile de Mâcon, mais depuis la ville de Péronne située dans le diocèse d'Amiens, alors pôle politique et démographique d'importance doté d'une forte légitimité historique, mais qui toutefois ne se trouvait pas dans le royaume de Gontran, mais en Neustrie, gouvernée par Chilpéric. Cela n'avait pas échappé à Alfred Boretius qui en avait édité le texte à la fin du XIXe siècle[14].

1790 : à la création des cantons, la commune de Péronne est rattachée au canton de Lugny, alors composé de douze communes[15].

 : fondation du Syndicat intercommunal des eaux du Haut-Mâconnais, auquel appartiennent Péronne et neuf autres communes (Lugny, Burgy, Clessé, Viré, Saint-Maurice-de-Satonnay, Vérizet, Bissy-la-Mâconnaise, Cruzille et Montbellet), rejointes le par Plottes, Chardonnay et Uchizy (puis par Farges et Grevilly en 1938 et par Saint-Gengoux-de-Scissé, Azé et Igé après-guerre).

1954 : première année de fonctionnement de la colonie de vacances de Péronne, centre fondé au hameau du Carruge par l'Union départementale de l'inter-syndicale CGT du Cher (dénommé « centre Jean Andros »).

1972 : création du Syndicat intercommunal à vocation multiple (SIVOM) du canton de Lugny (siège en mairie de Lugny), auquel adhèrent Péronne et treize autres communes du Haut-Mâconnais, avec pour objet : la couverture des dépenses d'investissement et de fonctionnement du collège de Lugny, la réalisation d'une maison de retraite, la création et le fonctionnement de tous services sociaux (tels que dispensaire, aide à domicile par exemple), la réalisation de travaux d'assainissement, le ramassage d'ordures ménagères et l'entretien de la voirie communale[16].

1993 : fondation de la communauté de communes des coteaux de la Haute-Mouge (avec Saint-Maurice-de-Satonnay, Azé et Clessé), ayant Azé pour siège. À cette première communauté de communes a succédé, le 1er janvier 2003, la communauté de communes du Mâconnais - Val de Saône (siège à Lugny), résultant de la fusion de trois intercommunalités (celles du Haut-Mâconnais, de la Haute-Mouge et du Mâconnais-Val de Saône) et totalisant une population de 7 336 habitants.

Août 2002 : entrée en service de la déchetterie intercommunale, créée au profit des communautés de communes de la Haute-Mouge (Azé) et du Mâconnais-Val de Saône (Lugny).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
    M. Rougemont    
1978 1989 Aimé Blouzard   Viticulteur et éleveur bovin. Décédé le 15 décembre 1998 à l'âge de 62 ans. Élu maire après avoir été premier adjoint, réélu lors des élections municipales de 1989. Président de la caisse locale de Groupama.
1989 juin 1995 Mme Rougemont    
juin 1995 mars 2001 Maurice Péhu   Élu après avoir été premier adjoint au maire.
mars 2001 31 mars 2016 Paul Brunet SE Né à Ciry-le-Noble en 1939.
Responsable de l'agence du Crédit agricole de Lugny, puis directeur de la Cave de Lugny de 1971 à 1998.
Décoré de la croix de chevalier de l'ordre du Mérite agricole en janvier 1987.
11 avril 2016 En cours Jean-Pierre Pacaud SE  
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité et canton[modifier | modifier le code]

Péronne, après avoir appartenu à la communauté de communes du Mâconnais-Val-de-Saône (siège à Lugny), avait adhéré à la communauté d’agglomération du Mâconnais-Val de Saône (CAMVAL), ancienne communauté d'agglomération regroupant 26 communes. Le 1er janvier 2017, la CAMVAL a fusionné avec la communauté de communes du Mâconnais Beaujolais pour former la communauté d'agglomération Mâconnais Beaujolais Agglomération, structure dont Péronne dépend désormais (avec 38 autres communes).

Péronne, commune qui relevait du canton de Lugny depuis 1790, appartient depuis 2015 au canton d'Hurigny, à la suite du nouveau découpage territorial de Saône-et-Loire entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015 (découpage défini par le décret du 18 février 2014[17], en application des lois du 17 mai 2013). Le canton d'Hurigny, tel qu'il se présente depuis cette réforme, est constitué de communes qui appartenaient auparavant à trois anciens cantons : le canton de Lugny (14 communes), le canton de Mâcon-Nord (12 communes) et le canton de Mâcon-Sud (2 communes).

Sécurité[modifier | modifier le code]

L'unité de gendarmerie à laquelle la commune de Péronne est rattachée est la brigade de Lugny.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[19].

En 2021, la commune comptait 668 habitants[Note 4], en augmentation de 1,98 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
620666653715728791781826808
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
733768764763724691637537538
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
565594565482448411410385362
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
324377349361407454497614653
2021 - - - - - - - -
668--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises[modifier | modifier le code]

Vignoble[modifier | modifier le code]

Vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

En 1981 a été fondé le RPI (regroupement pédagogique intercommunal) regroupant les écoles de Péronne et de Saint-Maurice-de-Satonnay.

Pour l'enseignement secondaire, Péronne, avec dix-huit autres communes, relève de la carte scolaire du collège « Victor Hugo » de Lugny.

Équipements[modifier | modifier le code]

Associations[modifier | modifier le code]

Culte[modifier | modifier le code]

Péronne appartient à l'une des sept paroisses composant le doyenné de Mâcon (doyenné relevant du diocèse d'Autun) : la paroisse Notre-Dame-des-Coteaux en Mâconnais, paroisse qui a son siège à Lugny et qui regroupe la plupart des villages du Haut-Mâconnais.

C'est un peu avant la dernière guerre que la paroisse de Péronne, en même temps que Clessé, fut définitivement rattachée à celle de Lugny pour le culte (à la suite de la création de la communauté pastorale de Lugny, fondée à l'initiative de monseigneur Joseph Robert)[22].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Sainte-Madeleine de Péronne.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Parmi les lieux et monuments attachés à l'histoire de Péronne figurent :

  • l'église Sainte-Madeleine.
  • le château de la Tour-Penet, propriété de Suzanne de Lamartine du Villars, chanoinesse de Salles, qui le légua en 1842 à son neveu, Alphonse de Lamartine.
  • le château de Vaux-sous-Targe.
  • au hameau du Carruge : puits inséré dans un cul-de-four aménagé dans l'épaisseur du mur d'une maison[23].
  • au nord-ouest de la commune : le site d'une ancienne voie romaine, orientée sud-est/nord-ouest, dont on devine encore le tracé. « On voit au couchant de ce village des débris d'un grand chemin pavé totalement abandonné ; la tradition l'appelle Le chemin des Romains. Ils s'en servaient pour aller à Autun. On laboure dessus en plusieurs endroits ; en d'autres il est couvert de bois, et quelques fois ruiné. » écrivait le curé de Péronne au milieu du XVIIIe siècle[24].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Alphonse de Lamartine, poète et homme politique, qui posséda une petite propriété au hameau du Carruge.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Raymond Oursel, Anne-Marie Oursel : « Canton de Lugny - Vallon de l'Isérable : communes de Péronne, Saint-Maurice-de-Satonnay », collection Histoire et monuments de Saône-et-Loire (n° 25), Archives départementales de Saône-et-Loire, Mâcon, 1999, 179 p.
  • « La ronde des « Brigands » en Haut-Mâconnais », Vive 89, 1990. Ouvrage collectif de cent quarante-cinq pages édité par l'association ayant organisé en 1989 dans le canton de Lugny les festivités du bicentenaire de la Révolution française.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Péronne et Charnay-lès-Mâcon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Mâcon », sur la commune de Charnay-lès-Mâcon - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Mâcon », sur la commune de Charnay-lès-Mâcon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mâcon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. MGH, Capitularia regum Francorum, 1, Hanovre, 1883, p. 12, n. 4 : "Péronne in pago Ambiensi"
  15. Communes qui étaient : Azé, Bissy-la-Mâconnaise, Burgy, Clessé, Cruzille, Lugny (son chef-lieu), Péronne, Saint-Albain, Saint-Gengoux-de-Scissé, Saint-Maurice-des-Prés, Vérizet et Viré. Les communes de Chardonnay, de Grevilly et de Montbellet appartenaient alors au canton de Tournus, La Salle à celui de Charnay-lès-Mâcon et Satonnay (dénommée « Saint-Maurice-de-Satonnay » depuis mars 1861, à la suite de la réunion par décret des communes de Saint-Maurice-des-Prés et de Satonnay) à celui de Saint-Sorlin.
  16. Par arrêté préfectoral du 19 mai 1972.
  17. Décret no 2014-182 du 18 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de Saône-et-Loire.
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Frédéric Lafarge, Monseigneur Joseph Robert (1898-1987), Une communauté missionnaire en Mâconnais : Lugny, Les Foyers communautaires et l'Amicale des anciens élèves de l'école « La Source », Lugny, 2019 (ISBN 978-2-9570533-0-8).
  23. En bordure de la route conduisant à Saint-Maurice-de-Satonnay. Source : Les monuments de l'eau, article d'André Jeannet paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 30 de juin 1976, pages 3 à 7.
  24. Alain Dessertenne et Françoise Geoffray, La carte de Cassini en Saône-et-Loire : description topographique des paroisses. Transcription intégrale des réponses données par les curés pour la plupart des paroisses de l’actuelle Saône-et-Loire lors de l’enquête lancée pour établir la carte de Cassini en 1757, Cercle généalogique de Saône-et-Loire, 2015, p. 259.