Plobsheim
Plobsheim | |
Mairie de Plobsheim. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Bas-Rhin |
Arrondissement | Strasbourg |
Intercommunalité | Eurométropole de Strasbourg |
Maire Mandat |
Michèle Leckler 2020-2026 |
Code postal | 67115 |
Code commune | 67378 |
Démographie | |
Gentilé | Plobsheimois [1] |
Population municipale |
4 473 hab. (2021 ) |
Densité | 269 hab./km2 |
Population agglomération |
487 063 hab. (2021) |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 28′ 14″ nord, 7° 43′ 36″ est |
Altitude | Min. 144 m Max. 151 m |
Superficie | 16,64 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Strasbourg (partie française) (banlieue) |
Aire d'attraction | Strasbourg (partie française) (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Illkirch-Graffenstaden |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
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Plobsheim (Plobse en alsacien) est une commune française, située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est. Elle fait partie de l'Aire urbaine Sud de Strasbourg.
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Géographie[modifier | modifier le code]
Située sur le canal du Rhône au Rhin, la commune de Plobsheim se trouve sur la liaison cyclable en site propre Strasbourg - Marckolsheim aménagée sur le chemin de halage du canal, l'un des maillons alsaciens du grand itinéraire cyclable européen EV15 (Véloroute Rhin) (1 320 km) qui relie la source du Rhin, située à Andermatt en Suisse, à son embouchure à Rotterdam.
La commune, située sur la nappe phréatique ello-rhénane, fait actuellement l'objet de gros travaux en vue de l'approvisionnement en eau potable de la ville de Strasbourg. Six puits d'une profondeur de quatre-vingts mètres ainsi qu'un bâtiment d'exploitation de 2 300 m2 sont construits en 2018, cependant que dix-huit kilomètres de canalisation en direction de Strasbourg sont posés[2].
Climat[modifier | modifier le code]
En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Alsace, caractérisée par une pluviométrie faible, particulièrement en automne et en hiver, un été chaud et bien ensoleillé, une humidité de l’air basse au printemps et en été, des vents faibles et des brouillards fréquents en automne (25 à 30 jours)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 676 mm, avec 8,4 jours de précipitations en janvier et 10,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Strasbourg-Entzheim », sur la commune d'Entzheim à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −23,6 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Plobsheim est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].Elle appartient à l'unité urbaine de Strasbourg (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 23 communes[13] et 487 063 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].
Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,2 %), eaux continentales[Note 4] (24,6 %), zones urbanisées (9,9 %), forêts (6,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire[modifier | modifier le code]
La première mention faite du village date de 778 (sous le règne de Charlemagne, sous le nom de « Bladbolsheim » : pays de l'aimable souverain) dans le testament de l'évêque Remigius de Strasbourg. Un premier château fort fut alors construit à l'entrée Nord du village, entouré d'un fossé alimenté par le Dorfgiessen, il n'existe plus aujourd'hui. En 841, lors du partage de l'empire, Plobsheim devient terre de l'Empire germanique. Les seigneurs de Plobsheim seront alors, entre autres Heimbourg, Mossung, zum Treubel.
En 1416, l'empereur Sigismond confie le village à Johann Zorn von Eckerich, le village restera lié à la famille Zorn pendant plus de deux siècles. En 1427, les Zorn cèdent leurs droits patronaux sur l'église à Lintelmann II de Rathsamhausen, seigneur de Wiebolsheim. Ce dernier fait construire le chœur et la vieille sacristie de l'actuelle église. En 1454, Adam von Zorn fait construire la chapelle Notre-Dame-du-Chêne au sud du village. En 1562, pendant la Réforme, les Zorn adoptent la religion luthérienne, et tous les habitants du village doivent faire de même. En 1590, les Zorn font construire un château, acquis par la commune en 1836 et qui a servi d'école jusqu'en janvier 2021 sous le nom d’École du Château. La guerre de Trente Ans (1618 - 1648) cause de nombreux dégâts dans la paroisse.
En 1684, Louis XIV réintroduit le catholicisme, et retire Plobsheim aux Zorn, pour l'attribuer aux seigneurs Nicolas de Kempfer et Christophe de Güntzer. Ces nobles sont parmi les premiers nobles à se convertir au catholicisme, mais seulement un tiers de la population redevient alors catholique. Les Kempfer s'installent dans le château des Zorn, les Güntzer font bâtir une résidence dans la rue de l'Église en 1705 : le « Güntzerschloss », devenue actuellement une propriété privée. Une autre résidence construite à cette époque, la maison Lorentz (1700), démolie en 1963, pour cause de restauration jugée trop coûteuse.
Le « Kempferhof » fut construit à la fin du XIXe siècle, il sert actuellement de restaurant au golf du même nom. En 1886, deux pasteurs luthériens-orthodoxes, Georges Lienhard et Paul Horning, font construire une chapelle et un presbytère, rue de la Scierie. Cette chapelle est devenue une école en 1930, lors du retour des protestataires dans le giron de l'Église officielle. Cette "Nouvelle École" a fermé en janvier 2021.
Les guerres de 1870-1871 et 1914-1918 épargnent relativement la commune. En revanche, le , la population est évacuée dans le Périgord, à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt (Dordogne). Les habitants se rendirent à la gare d'Erstein pour prendre le train. Les premières familles reviennent le , alors que Plobsheim est occupée par l'armée allemande. Le retour fut difficile, de nombreuses maison furent laissées à la merci de l'occupant, de nombreux habitants ne retrouvèrent pas leurs bêtes à leur retour.
La Libération[modifier | modifier le code]
Le à 7 h 30, Plobsheim est libérée par la 2e division blindée du général Leclerc. Lors de la traversée de Plobsheim, les premiers chars rencontrent un tramway couché en travers de la route au niveau de l'actuelle rue des Bons-Voisins, la résistance allemande à aussi enterré quelques mines antichar dans le sol. La carcasse du tramway est dégagée par un char et poussée dans la pente de la rivière. Lors du passage devant l'église protestante, un char ouvre le feu et tire dans l'église, pensant qu'il y avait à l’intérieur un canon antichar embusqué qui attendait la colonne blindée. L'obus entra dans l'église, et percuta plusieurs bancs pour finir sa course dans un pilier en bois sans exploser, aujourd'hui la trace du passage de l'obus est encore visible sur le sol du parvis de l'église.
Le village a aussi été touché par des obus allemands tirés de l'autre côté du Rhin détruisant quelques maisons au centre du village. Le pont du canal a été détruit par un raid aérien allié. Les maisons autour du pont eurent toutes le toit arraché par le souffle de l'explosion. Le petit pont qui franchit le Muehlgiessen en direction de l'actuel stade a été dynamité par la résistance.
Traditionnellement village d'agriculteurs, pêcheurs et artisans, Plobsheim a beaucoup évolué et grandi au cours des 50 dernières années. En 1968, Plobsheim rejoint la communauté urbaine de Strasbourg.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Jumelages[modifier | modifier le code]
Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt (France).
Altenheim (Neuried) (Allemagne).
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[20].
En 2021, la commune comptait 4 473 habitants[Note 5], en augmentation de 2,85 % par rapport à 2015 (Bas-Rhin : +3,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie[modifier | modifier le code]
Le projet MackNeXT[modifier | modifier le code]
En 2020 la famille Mack, propriétaire d'Europa Park, annonce la création d'un centre de 2000 m² pour la création numérique immersive, autour de 50 salariés, pour équiper le parc d'attraction de Rust[23]. Baptisé MackNexT, il aidera, comme les autres filiales et activités de la famille Mack, à apporter des compétences et savoir-faire en matière de conception d'attractions.
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
Chapelle Notre-Dame-du-Chêne[modifier | modifier le code]
Les plus anciens pèlerinages remontent à 1351. Le lieu est alors idéalement situé dans la forêt et près d'un cours d'eau calme. La chapelle en bois érigée à côté du sanctuaire dédié à la Vierge Marie est détruite en 1444. Les Zorn construisent alors l'actuelle chapelle en pierre en 1454. À la suite de la Réforme, la chapelle est fermée pendant plus de 100 ans, la chapelle subit pillages et profanations pendant la Révolution. Elle est ensuite vendue à Joseph Berger d'Erstein en 1812 puis à Jean Frédéric de Turckheim en 1817, ce dernier fait faillite, et la chapelle tombe entre les mains de nombreux créanciers. Elle est finalement rachetée par la paroisse de Plobsheim en 1866 avec l'aide du baron Félix de Dartein. Elle a par la suite été inscrite à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1930 et 1938, et Beau site naturel en 1938.
Château des Zorn (1590)[modifier | modifier le code]
Remonte à 1590, puis acquis par la commune en 1836 pour servir de mairie-école. Il abritait l'école jusqu'au 4 janvier 2021. Inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques, par arrêté du .
Ligne Maginot (casemate 20/3)[modifier | modifier le code]
Le village de Plobsheim fait partie du secteur fortifié de la ligne du Rhin. L'ouvrage principal du secteur de Plobsheim est la casemate 20/3 de type CORF[24]. Certains ouvrages sont ensevelis comme la casemate 20/3 qui n'a d'apparent que sa cloche GFM, d'autres ont été détruits lors des grands travaux du Canal d'Alsace et la création du Plan d'eau de Plobsheim. De nombreux autres petites fortifications et abris sont disséminés autour du village mais ne font pas partie de la ligne Maginot, ils font partie d'une ligne de fortification du sud de Strasbourg construite pendant la Première Guerre mondiale. La casemate 20/3 de Plobsheim est située entre la casemate COSAQUE 19/3 du secteur d'Eschau situé au nord, et la casemate TUILERIE d'en HAUT 21/3 du secteur de Gerstheim situé au sud.
Autres[modifier | modifier le code]
- Église protestante : construite en 1898 à l'initiative du pasteur Carl Schuller.
- Église Saint-Pierre-Saint-Paul : construite à partir de 1427 par Lintelmann II de Rathsamhausen, elle devient église exclusivement protestante de 1589 à 1688. À partir de cette date, les deux offices religieux s'y tiennent en alternance. En 1750, elle est agrandie et adjointe d'un clocher. Pendant la Révolution, elle subit une profanation sans précédent. En 1898, la construction de l'église protestante simplifie la situation.
- Chapelle luthérienne-orthodoxe : construite à l'initiative de Georges Lienhard et Paul Horning en 1886, école de 1930 à 2021.
- Güntzerschloss : construit en 1705.
- Le Kempferhof : château construit par le baron Jules Edouard de Dartein vers 1865, le domaine abrite désormais un golf et un hôtel de luxe[25].
- Monument aux morts.
- Pierre du triple ban : pierre qui servait à délimiter les bans des communes de Plobsheim, Altenheim et Ichenheim, déposée au lieu-dit Schollen en 1669. Elle a été déplacée derrière la mairie lors des travaux du plan d'eau.
- La Thumenau : lieu-dit au sud du village. Anciennement appelé Duminheim, Dommenheim (823), le village a été emporté par une crue du Rhin en 1353. Au XIXe siècle, Jean Frédéric de Turckheim y fait construire une résidence entourée de bâtiments agricoles. Un château est construit dans les années 1860 par Frédéric Albert Decker. Il accueille depuis 1985 la communauté du Puits de Jacob[26] : communauté catholique à ouverture œcuménique, de spiritualité ignatienne, reconnue comme association privée de fidèles.
-
Ancien château des Zorn (XVIe),
rue du Général-Leclerc. -
Chapelle Notre-Dame-du-Chêne (XVe). -
Intérieur de la chapelle. -
Église protestante. -
Église Saints-Pierre-et-Paul.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
Edouard Kapp (1900-1987) botaniste et conserveur des herbiers de la faculté de Strasbourg. Une rue à son nom existe à l'emplacement de la maison ou il a vécu.
Héraldique[modifier | modifier le code]
Les armes de Plobsheim se blasonnent ainsi : |
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Le site officiel de la ville de Plobsheim
- Plobsheim sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Les records sont établis sur la période du au .
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes[modifier | modifier le code]
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références[modifier | modifier le code]
- « Bas-Rhin », sur habitants.fr (consulté le ).
- Christian Robischon (Bureau de Strasbourg du Moniteur), « A Strasbourg, le mégachantier de l’eau commence à faire son trou », Le Moniteur des travaux publics et du bâtiment, (lire en ligne, consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Plobsheim et Entzheim », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Strasbourg-Entzheim », sur la commune d'Entzheim - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Strasbourg-Entzheim », sur la commune d'Entzheim - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Strasbourg (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « EUROPA PARK. Projet MackNeXT à Plobsheim : un cadre bucolique pour créer des divertissements immersifs », sur lalsace.fr (consulté le ).
- Commission d'organisation des régions fortifiées.
- « Kempferhof Resort Golf Club Plobsheim (67) Bas-Rhin Alsace - Cgolf.fr », sur cgolf.fr (consulté le ).
- « La maison du puits de Jacob »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur puitsdejacob.com (consulté le ).
- Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur labanquedublason2.com (consulté le ).