Niherne

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Niherne
Niherne
La mairie en 2009.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Châteauroux
Intercommunalité Communauté de communes Val de l'Indre - Brenne
Maire
Mandat
Bruno Mardelle
2020-2026
Code postal 36250
Code commune 36142
Démographie
Gentilé Nihernois ou Nihernais
Population
municipale
1 493 hab. (2021 en diminution de 6,92 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Population
agglomération
85 674 hab. (2010)
Géographie
Coordonnées 46° 49′ 45″ nord, 1° 33′ 55″ est
Altitude Min. 122 m
Max. 163 m
Superficie 42,87 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châteauroux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Buzançais
Législatives Première circonscription
Localisation
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Niherne
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Niherne
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Niherne

NiherneÉcouter est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le centre[1] du département, dans la région naturelle de la Champagne berrichonne.

Les communes limitrophes[1] sont : Villedieu-sur-Indre (3 km), Saint-Maur (6 km), Neuillay-les-Bois (10 km) et Luant (11 km).

Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Châteauroux (10 km), Buzançais (13 km), Issoudun (35 km), La Châtre (42 km) et Le Blanc (44 km).

Carte
Localisation de la commune de Niherne

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : Surins, Malaise, les Mardelles, Chézeauneuf, la Croix aux Ladres et le Tecq[2].

Géologie et hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].

Le territoire communal est arrosé par les rivières Indre[2] et Claise[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 751 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Châteauroux à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 816,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 67, 80, 125, 925 et 943[10].

La ligne de Joué-lès-Tours à Châteauroux passe par le territoire communal, une gare desservait la commune. La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Châteauroux[10], à 12 km.

Niherne est desservie par la ligne 2.4 du réseau d'autocars TER Centre-Val de Loire[11].

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[10], à 15 km.

Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée 46[2].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Niherne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteauroux dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (70,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,6 %), forêts (25,7 %), prairies (12,1 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %), zones urbanisées (2,5 %), eaux continentales[Note 3] (2,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[18] de la commune :

Date du relevé 2013
Nombre total de logements 729
Résidences principales 90,6 %
Résidences secondaires 2,8 %
Logements vacants 6,6 %
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 84,1 %

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Niherne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Claise et l'Indre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2017[21],[19].

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Châteauroux, est classée au niveau de risque 4, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Niherne.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[23].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 73,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 767 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 575 sont en aléa moyen ou fort, soit 75 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[25].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Ses habitants sont appelés les Nihernois ou Nihernais[27].

Histoire[modifier | modifier le code]

Plusieurs haches de la préhistoire, de pierre polie, et de métal, ont été retrouvées à Niherne[28]. Un aqueduc romain alimentant la ville antique de Mehun-sur-Yèvre traverse la commune[29].

La plus ancienne agglomération connue se développe autour du prieuré de Surins, courant XIIe siècle[30]. Au XIVe siècle, un château existait, qui a disparu depuis[31].

En 1601, un orme est planté sur la place de l’église sur les instructions de Sully, pour commémorer la naissance du Dauphin, futur Louis XIII[32].

Le cahier de doléances de la paroisse de Niherne est rédigé le . Il demande le remplacement des impositions existantes par une seule portant sur les propriétés et payé par les trois ordres[33].

Après la jacquerie de Buzançais en 1847 (provoquée par la cherté du blé), des émeutes ont lieu à Niherne et au village de Surins[34].

La commune fut rattachée de 1973 à 2015 au canton de Châteauroux-Ouest.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La commune dépend de l'arrondissement de Châteauroux, du canton de Buzançais, de la première circonscription de l'Indre et de la communauté de communes Val de l'Indre - Brenne[35].

Elle dispose d'une agence postale communale[36] et d'un centre de première intervention.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1908 1960 Louis Girard[39] ? ?
1971 1989 Léon Loisil sans étiquette agriculteur
mars 2001[40],[41] mars 2014 Alain Lavaud UMP Contrôleur principal DDE
mars 2014[42] [Note 4],[43] Marie-Solange Hermen UMP-LR Retraitée
Vacant ? ?
En cours Bruno Mardelle[44] ? ?
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[46].

En 2021, la commune comptait 1 493 habitants[Note 5], en diminution de 6,92 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9601 0021 0281 1641 2301 2411 1651 1751 192
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1571 1501 1811 1951 2011 2331 2511 3061 373
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3041 3141 3411 1561 1861 1541 0691 1391 174
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 1351 0911 1031 3191 5041 4841 5581 5481 591
2021 - - - - - - - -
1 493--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dépend de la circonscription académique du Blanc.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Équipement culturel[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

La commune possède un club de football (A.S Niherne), un club de tennis et un club de pétanque.

Médias[modifier | modifier le code]

La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

La commune se situe dans l’aire urbaine de Châteauroux, dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie de Châteauroux[35].

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[51].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Sulpice : elle est classée monument historique et a été rénovée en 2008.
  • Monument aux morts

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Henri Guillot, Niherne au fil des ans, Auto-édition, .

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Décédé avant la fin de son mandat.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
  2. a b c et d « Niherne » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
  3. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Niherne et Châteauroux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Châteauroux », sur la commune de Châteauroux - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Châteauroux », sur la commune de Châteauroux - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. a b et c « Niherne », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
  11. « Fiches Horaires », sur le site SNCF TER Centre-Val de Loire, consulté le 2 septembre 2018.
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  18. Site de l'Insee : Niherne, consulté le 6 septembre 2016.
  19. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Niherne », sur Géorisques (consulté le )
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  21. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur www.indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  22. « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur www.centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le )
  23. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur www.indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  25. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
  26. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur www.indre.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  27. « Nom des habitants des communes françaises, Niherne », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
  28. Guillot 1980, p. 9.
  29. Guillot 1980, p. 11-12.
  30. Guillot 1980, p. 17.
  31. Guillot 1980, p. 19.
  32. Guillot 1980, p. 22.
  33. Guillot 1980, p. 36.
  34. Bernard Moreau, Marianne bâillonnée : les républicains de l’Indre et le coup d’État du 2 décembre 1851, Chaillac, Points d’Æncrage, , 109 p. (ISBN 2911853059), p. 9.
  35. a et b « Commune de Niherne (36142) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
  36. Site de La Poste : Un bureau de poste, consulté le 22 août 2012.
  37. a b c d e f g h et i Guillot 1980, p. 39.
  38. Guillot 1980, p. 46.
  39. Guillot 1980, p. 49.
  40. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  41. « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  42. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  43. « Indre : la maire de Niherne, Marie-Solange Hermen, est décédée », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre,‎ (lire en ligne).
  44. « Niherne : Bruno Mardelle a été élu nouveau maire », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  49. « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
  50. « Regroupements pédagogiques intercommunaux (R.P.I.) » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
  51. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.