Pierry

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Pierry
Pierry
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Épernay
Intercommunalité Communauté d'agglomération Épernay, Coteaux et Plaine de Champagne
Maire
Mandat
Eric Plasson
2020-2026
Code postal 51530
Code commune 51431
Démographie
Gentilé Pierritiers, Pierritières
Population
municipale
1 237 hab. (2021 en augmentation de 4,48 % par rapport à 2015)
Densité 240 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 01′ 11″ nord, 3° 56′ 17″ est
Superficie 5,16 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Épernay
(banlieue)
Aire d'attraction Épernay
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Épernay-2
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Pierry
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Pierry
Liens
Site web http://pierry.fr

Pierry est une commune française, située dans le département de la Marne en région Grand Est, au sud-ouest d'Épernay.

Ses habitants sont appelés les Pierrytiers et les Pierrytières ou Pierritiers, Pierritières.

Géographie[modifier | modifier le code]

Pierry est située dans la partie ouest du département de la Marne, en Champagne-ardenne. Elle se trouve à 31 km au sud de Reims, à 36 km à l'ouest de Châlons-en-Champagne, à 39 km à l'est de Château-Thierry et à environ 150 km au nord-est de Paris.

Carte de la commune.
Communes limitrophes de Pierry
Épernay
Moussy Pierry Chouilly
Monthelon Cuis

Géologie et reliefs[modifier | modifier le code]

L’ensemble des collines constitue la côte d’Île-de-France qui domine la plaine de Champagne. Le paysage qui nous est offert présente distinctement trois périodes géologiques.

Le quaternaire (- 35 M d’années à nos jours) apparaît sur les plateaux où dominent l’argile et la pierre meulière, domaine de la prairie et des cultures.

Le tertiaire (- 65 M d’années) présent sur les versants occupés par la forêt, se compose de sables, marnes et calcaires.

Le secondaire (crétacé – 145 M d’années) se situe en dessous de la forêt. Essentiellement composé de craie, c’est le domaine de la vigne. Il s’étend jusque dans la vallée où il est recouvert d’éléments du quaternaire issus de l’érosion de la Marne, du Darcy et du Cubry. C’est le milieu des marais, cultures et prairies.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 713 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chouilly », sur la commune de Chouilly à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 668,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −12,3 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Pierry est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Épernay, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[11] et 29 935 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Épernay dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,9 %), cultures permanentes (22,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (16,2 %), zones urbanisées (11,7 %), forêts (0,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le capitaine Jouron, un des premiers à s'intéresser à l'archéologie de la région vers 1860, affirme qu'à la période néolithique, au-dessus de la Marquetterie, il existe un petit atelier de travail de pierre qui a fourni entre autres une assez belle hache polie en chloromélanite, pierre dure verte. Au Ve siècle la paix s'obtient en distribuant des terres aux envahisseurs. Quelques-uns ont très bien pu s'installer vers les Forges, à la limite d'Épernay ou sans s'y installer, ils ont pu recevoir des terres. Les historiens locaux pensent que dès ce temps là, la vigne devait être cultivée. L'un des propriétaires gallo-romains pouvait fort s'appeler Petrus ou Petreius. Or, en latin, on désigne souvent l'endroit d'une ferme principale par le suffixe « aticum » ou « acum » qui a donné en français selon les régions « y,ay,ey ou ac ». Pierry pourrait donc venir de PETRI (qui a donné Pierre)- ATICUM (qui est devenu « y »)et signifier, ferme de Petrus (Pierre). Certains préfèrent y voir une allusion aux sols pierreux ou à la présence d'une ancienne pierre levée, borne routière sans doute car la vallée du Cubry correspondait à une voie de passage naturelle et importante.

Histoire[modifier | modifier le code]

L'abbaye et son jardin .

C'est dans la commune que vécut le frère Oudart, un bénédictin et un des pères créateurs du champagne. Sa congrégation y exploitait une belle vigne agrippée à flanc de colline qui deviendra plus tard renommée sous la dénomination de « Les Folies de la Marquetterie ».

Dans les années d'avant la Révolution française, l'écrivain et philosophe Jacques Cazotte, mort guillotiné en 1792, vivait au château de la Marquetterie et y reçut d'autres personnalités comme Voltaire et André Chénier. Il fut maire de Pierry jusqu'à sa mort.

Lors de la Grande Guerre, le village se trouva proche des combats. En , le général Édouard de Castelnau installa son quartier général au château de la Marquetterie depuis lequel il dirigea son offensive victorieuse. Il y fut rejoint par le général Joseph Joffre, futur maréchal de France.

En 1932, Pierre Taittinger acquit auprès de la maison de champagne Forest-Fourneaux le château de la Marquetterie qu'il avait découvert lors de la guerre de 14-18 et pour lequel il eut un coup de cœur. C'était alors une propriété du XVIIIe siècle dont les vignobles des coteaux-champenois étaient plantés en chardonnay et pinot noir. Cette grande bâtisse allait devenir sa maison familiale où se retrouvèrent tous les Taittinger et le centre vinicole, pivot de sa maison de champagne.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le château de la Marquetterie fut occupé par une des fanfares de la VIIe armée américaine.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Elections municipales de 2020[modifier | modifier le code]

Lors de l'élection municipale du , la liste dénommée "Ensemble pour Pierry", conduite par l'avocat sparnacien Jessy Lefèvre, a obtenu dès le premier tour 56,55 % des voix, alors que celle qui était conduite par le maire sortant, Eric Plasson, n'a obtenu que 43,45 % des voix. Le taux de participation à cette élection était de 55,17 % alors qu'au niveau départemental, le taux de participation ne s'élevait qu'à 42,05 %. Ce résultat a permis à la liste conduite par Jessy Lefèvre d'obtenir 12 sièges sur les 15 à pourvoir au sein du conseil municipal, la liste adverse n'en recueillant que 3.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1792   Jacques Cazotte    
13 Novembre 1791 1792 Jean-Baptiste Thomas    
9 Décembre 1792   Simon-Paul Cordier    
9 Fructidor an II (28 août 1794)   François Fleutrain    
1799   M. Marchand   Maire provisoire,
13 thermidor an VIII (2 août 1799)   Nicolas Leveque    
6 messidor an X (26 juin 1801)   Nicolas Hanisset    
1er Janvier 1808   Dubois Delivry    
1811 1830 M. Delivry    
1831 1837 M. Levasseur    
1er septembre 1837   Charles Hyppolite Poultier    
4 Janvier 1838 10 août 1840 Aimé-Michel-Guilbert Dutemple    
1840 1846 Pierre Dutemple    
1846 1848 Charles Aubriet    
1848 1849 Pierre Dutemple    
1849 1851 Auguste Deullin    
1851 1854 Pierre Dutemple    
1854 1868 Jean-Baptiste Thomas    
1868 1869 Charles Porquet    
1869 1875 Frédéric Francois    
1875 1888 Jean-Baptiste Biache    
1888 1900 Célestin Pate    
1900 1904 Pierre Leblanc    
1904 1916 Jules Bagnost   décédé en cours de mandat
26 mars 1916 1918 Nicolas Schmit   remplace le maire
19 décembre 1918 1919 Victor Lesure   remplace à son tour le maire
30 novembre 1919 1925 Paul Dupont    
3 mai 1925 1935 Paul Gobillard    
5 mai 1935 1944 Alfred Prignet    
5 septembre 1944 1945 Lucien Beaumet    
5 mai 1945 1947 René Finance    
19 octobre 1947 1953 Lucien Beaumet    
26 avril 1953 1959 Gaston Dericbourg    
9 mars 1959 1977 Jean Bagnost    
24 mars 1977 1989 Daniel Billiard    
17 mars 1989 1995 Joseph Grosdidier    
23 juin 1995 2014 Bertrand Famelart    
2014 27 mai 2020 Eric Plasson    
27 mai 2020 20 novembre 2020 Jessy Lefèvre    
20 novembre 2020 En cours Eric Plasson[17]    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[19].

En 2021, la commune comptait 1 237 habitants[Note 4], en augmentation de 4,48 % par rapport à 2015 (Marne : −1,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
220256289522616711797855791
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
7568458649441 0451 1371 1701 1581 187
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1971 2241 2201 3581 1191 1171 0931 1561 269
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 3821 2691 1571 1391 5001 3951 2501 2361 174
2015 2020 2021 - - - - - -
1 1841 2071 237------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'Hors du ru, jardin public et espace de jeux sur le bord du ruisseau le Cubry.
  • Le château de Pierry, construit en 1750.
  • La Maison Les Aulnois , classée[22] a été reconstruit en 1780 face à l'église de Pierry. C'est un magnifique exemple de maison de riche viticulteur champenois. Inscrit à l'inventaire supplémentaires des monuments historiques, son salon octogonal classé est tapissé de papiers peints à la main, provenant certainement des fameux ateliers de Mulhouse, représentant des scènes mythologiques tirées des Métamorphoses d'Ovide, conservés dans un parfait état depuis l'empire napoléonien. Son remarquable jardin à la française, classé[23] est borné de Taxus taillés géométriquement, lui confère un écrin splendide et un équilibre qui en fait l'une des plus belles propriétés de la Marne. Dans une annexe de la cour d'honneur trône un monumental pressoir en bois. Propriété du Champagne Henriot depuis .
  • Le château de la Marquetterie construit à partir de 1734, siège du groupe Taittinger.
  • Le Cellier du Frère Oudart : le cellier est composé d'un corps principal de 33 m de long et de 7 m de large. La charpente à « entrait retroussé »permet d'utiliser les combles comme lieu de stockage. Le jardin est situé dans l'enclos du cellier, c'est un lieu monacal de prière et de méditation, ceinturé de buis et traversé par deux allées en forme de croix. A la Révolution française, ce jardin et les autres biens des bénédictins sont vendus en biens nationaux.
  • Le Millésium[24], propriété de la communauté de communes Épernay Pays de Champagne, est une salle de spectacle (jusqu'à 8000 places) et hall d'exposition construit sur les anciens terrains militaires du quartier Rolland (13e RG).
  • Pierry abrite la plus grande flûte à champagne du monde. Elle est exposée aux Celliers de Pierry et a été réalisée par BSN Emballage à la demande de la société Champagne Vincent d’Astrée. Soufflée à la bouche, le à l’occasion du Téléthon, elle pèse 18,5 kilos pour une hauteur de 2,13 mètres et une contenance de 120 litres[25]
  • L'église Saint-Julien.

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

  • Le blason de Pierry : créé en 1983, il regroupe plusieurs symboles : sa vocation viticole avec la grappe de raisin et les feuilles de vigne, le Frère Oudart et sa contribution aux travaux de champagnisation avec la flûte, son attachement à la région de Champagne, par la bande diagonale qui rappelle les armes, la plume qui symbolise l’écrivain Jacques Cazotte. La maxime « Se consoler en agissant » est une phrase prononcée par Jacques Cazotte lors de son emprisonnement.
  • Pierry Art' : de 2009 à 2014 (n'a pas eu lieu en 2013), ce marché d’art, d’artisanat et de gastronomie (peintres, créateurs de bijoux, foie gras, dindes rouges, confitures, miel…) était organisé le 2e dimanche d'octobre.
  • Visites guidées : le premier dimanche de chaque mois à travers deux parcours : la construction du plus riche ensemble de demeures du XVIIIe siècle du Pays d’Épernay avec les caractéristiques architecturales qui s’y rattachent ; les modifications importantes du village comme son déplacement de Saint-Julien à Pierry et le transfert de l’église.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Xavier Aubryet, (1827-1880), né à Pierry.
  • Jacques Cazotte reçoit un héritage, en 1760, de son frère qui lui lègue deux maisons à Pierry : la Marquetterie et l’actuelle mairie.
  • Armand Bourgeois, né le à st-Martin-D'Ablois était le receveur principal des impôts de Pierry et gestionnaire du Syndicat du Cubry. Amateur éclairé d’histoire, il a écrit de nombreux ouvrages sur la région. Il a aussi organisé des concours de poésie. Il est mort à Pierry le .
  • Frère Oudart devient novice au sein d’une abbaye et devient moine en prononçant ses vœux en 1679. Il est aussitôt affecté à la maison de Pierry, où il restera 63 ans. Il décède le à Pierry.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Pierry Blason
D’argent à la double cotice potencée et contre-potencée d’azur, à la grappe de raisin de pourpre, feuillée de sinople, vrillée d’or et brochant en cœur, au triangle allongé d’or, la pointe en bas et touchant la pointe de l’écu, chargé de l’ombre d’une plume de sable et brochant sur le tout.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Pierry et Chouilly », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Chouilly », sur la commune de Chouilly - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Chouilly », sur la commune de Chouilly - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 d'Épernay », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Ce dimanche 15 novembre, Éric Plasson a retrouvé son fauteuil de maire de Pierry », sur L'Union, (consulté le ).
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. [1]
  23. Classement du 1er septembre 1986, [2], consultée le 26 décembre 2012
  24. « Le Millesium », sur Le Millesium (consulté le ).
  25. [3]