Machine (série télévisée)

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Machine

Type de série série télévisée
Création Thomas Bidegain
Fred Grivois
Acteurs principaux Margot Bancilhon
JoeyStarr
Guillaume Labbé
Nb. de saisons 1
Nb. d'épisodes 6

Production

Durée 52 minutes
Société de production 687
F.I.T Production
White Lion Films
Makwa
Arte France

Diffusion

Pays d'origine Drapeau de la France France
Chaîne d'origine Arte
Diff. originale

Machine est une série télévisée française réalisée par Fred Grivois sur un scénario de Thomas Bidegain et Fred Grivois[1], diffusée les 11 et sur Arte.

La série est une coproduction de 687, F.I.T Production, White Lion Films (Mediawan), Makwa et Arte France[2],[3],[4], réalisée avec le soutien de la région Grand Est, de la Ville de Reims et de la communauté urbaine du Grand Reims.

Le 22 mars 2024, la série remporte le prix de la meilleure série de la compétition française du Festival Séries Mania 2024[5],[6],[7],[8],[9],[10],[11],[12],[13].

Margot Bancilhon.

Synopsis[modifier | modifier le code]

Une ancienne militaire des forces spéciales en cavale, recherchée par un militaire en quête de vengeance qui ignore tout de son identité réelle, revient se cacher dans sa ville d'origine, dans l'Est de la France. Elle se fait embaucher comme mécanicienne intérimaire dans une usine de produits électroménagers menacée de délocalisation après sa reprise par un groupe industriel sud-coréen.

Dès son arrivée, elle est surnommée « Machine » par JP, un ancien toxico devenu adepte des pensées de Karl Marx et de la pratique du vélo. Partisan de l'autogestion, JP s'oppose aux syndicalistes de la CGT dans le conflit social qui éclate avec la direction. Lorsqu'une sorte de barbouze, envoyée par Matignon auprès de la préfète pour veiller aux intérêts supérieurs de la France, demande à des skinheads néonazis de tabasser les grévistes pour casser le mouvement, Machine dévoile toute l'étendue de sa maîtrise du kung-fu et met à elle seule les agresseurs en déroute, après avoir fait de même avec les représentants d'un cabinet d'audit qui s'étaient montrés violents avec la comptable de l'usine. JP, qui a pris Machine sous son aile, devient peu à peu son ami. Mais la jeune femme craint que ses exploits façon Bruce Lee attirent, par le biais des réseaux sociaux, l'attention du militaire qui la traque.

Chacun des 6 épisodes de la série commence par une citation d'Emmanuel Macron publiée dans le magazine Elle en 2017[14] : « Mon conseil à la jeunesse : lire Karl Marx »[15].

Distribution[modifier | modifier le code]

Production[modifier | modifier le code]

Genèse et développement[modifier | modifier le code]

La série est créée et écrite par Thomas Bidegain et Fred Grivois, et la réalisation est assurée par Fred Grivois[1],[2].

Le réalisateur explique que l'idée de Machine lui est venue en regardant le film La Loi du marché : « En voyant le film de Stéphane Brizé, je me suis dit que les plus jeunes ne comprendraient pas forcément ce que c'est la gauche (politique) et le syndicalisme. Je suis parti sur cette idée d'expliquer aux adolescents d'aujourd'hui ce que c'est la lutte des classes et ce que c'est d'être de gauche en essayant de trouver un moyen fun. Et comme j'ai deux adolescents à la maison qui sont fans de John Wick, je me suis dit que ce serait quand même marrant de mélanger Karl Marx et John Wick »[16].

Le réalisateur Fred Grivois explique dans les notes de production : « Quand on dit que les inégalités se creusent, que les rapports sociaux se tendent, c’est bien de la lutte des classes qu’il s’agit. Pour parler de cela aux jeunes spectateurs, j’ai choisi d’adopter une approche plus moderne que celle que l’on voit habituellement dans le cinéma social. Une sorte de croisement entre Kill Bill et La Loi du marché »[17].

Durant une conférence de presse tenue lors du festival lillois, Thomas Bidegain déclare : « On se réjouit de voir que Jeff Bezos a financé une série qui parle de réappropriation de l’outil de travail par le prolétariat »[18].

Attribution des rôles[modifier | modifier le code]

Le rôle-titre est interprété par Margot Bancilhon, qui a suivi 6 mois d'entraînement de boxe thaï, ainsi que deux semaines de formation aux cascades et aux chorégraphies[16].

Margot Bancilhon explique comment le réalisateur et coscénariste Fred Grivois lui a présenté la série : « La première chose qu'il m'a dite, c'est qu'il s'agissait d'une série "Kung-Fu marxiste", avec une ancienne militaire ayant déserté et qui va se bastonner. Il m'a dit qu'il voulait que ce soit moi et que je fasse les cascades moi-même. Forcément, j'ai mordu au challenge ! C'était tout de même un challenge de dingue ! C'était un pari risqué, mais un pari à faire […] Au départ, quand il m’explique le projet, je ne comprends rien ! Je ne comprends pas ce qu'il me raconte »[19].

L'actrice réalise toutes ses cascades elle-même, dont un impressionnant saut dans le vide dans le cinquième épisode[15]. Elle précise quand même à Télé-Loisirs : « Pour être complètement honnête, il y a juste deux plans que je n'ai pas faits. Mais sinon, c'est moi tout le temps. Il n'y a pas de doublure »[19]. Et elle ajoute : « En réalité ce qu'on voit dans la série, ce n'est pas réellement du Kung-fu. Il y a de la boxe, du ju-jitsu, un peu de Kung-fu, c’est un mélange de sports de combat »[19] « Je me suis sentie extraordinairement forte. Parce qu'il est libre et puissant, ce personnage m'a personnellement fait du bien. Le fait est, aussi, que j'ai dû faire beaucoup de sport, parce qu'il fallait que je réalise toutes les cascades moi-même »[20].

Quant à son look et à ses dreadlocks, Margot Bancilhon explique : « Au départ, Fred avait envie de faire une sorte d'icône de ce personnage, comme par exemple Lisbeth Salander dans Millenium. Esthétiquement, il voulait quelque chose de marqué, de très fort. Donc les dreads, les tatouages... J'ai donc dit à Fred qu'il fallait y aller à fond. Donc, j'ai proposé qu'on mette des tatouages sur tout de dos, tout le bras »[21]. « J'avais une perruque en moitié de tête avec, sur le devant, dix-huit vraies dreads cousues tous les matins, c'était à peu près deux heures de prépa. À côté de ça, il fallait refaire les tatouages tous les dix jours, ce qui prenait une journée »[20].

Face à l'actrice, le rôle de JP est interprété par le rappeur devenu acteur Didier Morville, dit JoeyStarr, qui précise « Kung-fu, syndicalisme, marxisme et cyclisme : y a pas moyen, je voulais voir l'interaction entre tout ça. J'étais curieux, parce que c'est pas une histoire qu'on a l'habitude de voir. Moi, je viens d'un milieu populaire duquel j'ai pu puiser pour la posture que je me devais d'avoir. J'ai grandi dans une ville communiste, alors toutes ces actions, ce contexte, je connais assez bien »[20].

Margot Bancilhon confie à propos de l'ancien leader du groupe NTM : « J'ai été hyper-touchée par Didier, j'ai adoré tourner avec lui, c'est un partenaire en or, très libre, très inspirant »[20].

Tournage[modifier | modifier le code]

Le tournage de la série a lieu du début du mois de au à Charleville-Mézières, Les Mazures et Revin dans le département des Ardennes, à Bétheny, Châlons-en-Champagne, Fismes, Épernay, Reims et Ville-en-Selve dans la Marne, à Nancy dans la Meurthe-et-Moselle[22] ainsi qu'en Île-de-France[2].

Fiche technique[modifier | modifier le code]

  • Titre français : Machine
  • Genre : Action
  • Production : Elsa Bart et Noor Sadar
  • Sociétés de production : 687, F.I.T Production, White Lion Films (Mediawan), Makwa et Arte France[2],[3],[4]
  • Réalisation : Fred Grivois[1],[2],[3],[4]
  • Scénario : Thomas Bidegain, Fred Grivois[1],[2],[3],[4] et Valentine Monteil[22]
  • Musique : Thomas Cappeau[22]
  • Décors : Pierre Pell[22]
  • Costumes : Marion Moulès et Matthieu Camblor[22]
  • Photographie : Martin Roux
  • Son : Thomas Tymen
  • Montage : Olivier Galliano, Dorian Tabone, Stéphanie Pelissier et Thomas Guidon[22]
  • Maquillage : Shirley Drai
  • Pays de production : Drapeau de la France France
  • Langue originale : français
  • Format : couleur
  • Nombre de saisons : 1
  • Nombre d'épisodes[1],[2] : 6
  • Durée : 52 minutes[1],[2]
  • Dates de première diffusion :

Accueil[modifier | modifier le code]

Audiences et diffusion[modifier | modifier le code]

La série est diffusée sur Arte (en France et en Belgique) par salve de trois épisodes les jeudis 11 et .

Épisode Diffusion Audience moyenne Réf.
Jour Horaire Nombre de
téléspectateurs
Part de marché
(sur les 4 ans et plus)
Classement[Notes 1]
1 Jeudi 20 h 55 - 21 h 45 618 000 3,1 % 8e [23]
2 21 h 45 - 22 h 35
3 22 h 35 - 23 h 25
4 Jeudi 20 h 55 - 21 h 45 459 000 2,3% 9e [24]
5 21 h 45 - 22 h 35
6 22 h 35 - 23 h 25
Moyenne de la saison 538 500 2,7 %
  • Les plus hauts chiffres d'audience
  • Les plus bas chiffres d'audience

Accueil critique[modifier | modifier le code]

Alexandre Letren, du site VL-Media, est dithyrambique : « On n'aime pas Machine, on adore ! Et il est bien difficile de ne porter son choix que sur une seule raison. On aime avant tout la proposition singulière que nous fait la série. Singulière car elle parvient à mettre sur un pied d'égalité dans son traitement toute la question sociale, ce qui se dit sur le monde du travail, sur notre société actuelle, ses dérives, et la partie plus « fun » portée par le personnage lui même et les scènes d'action très très réussies que renferme la série »[25].

Le Parisien qualifie la série de jubilatoire et décapante, et souligne que l'héroïne est « formidablement interprétée par Margot Bancilhon » et que JoeyStarr est très convaincant[26].

La Libre qualifie d'« objet télévisuel inclassable » cette série où « Margot Bancilhon et JoeyStarr mènent la lutte finale façon manga »[27].

Jean-Marc Verdrel, du site Coulisses.tv, estime que « Entre pop culture et conscience sociale, Machine avance sur un fil, et fait mouche – à l’instar de son héroïne. Dans ce rôle très physique, Margot Bancilhon, qui a exécuté la plupart des cascades elle-même, impressionne. En quête de sens, à la fois implacable et tourmentée, cette mystérieuse femme sans nom trouve son salut dans l’amitié qu’elle noue avec l’attachant JP (JoeyStarr, impeccable), lui-même sauvé par la lecture de Marx et la pratique du vélo »[28].

Le Nouvel Obs, très isolé dans cet océan de louanges, est critique : « Le scénario comme les dialogues sont lourds, les scènes d’action, laborieuses, les emprunts à la pop culture, gênants (notamment la figure du mentor copiée sur Stick, le personnage créé par Frank Miller), la mise en scène, pauvre et les seconds rôles, peu crédibles »[29].

Première trouve Margot Bancilhon bluffante dans cette série qui utilise le « kung-fu comme un moyen de parler réappropriation de l'outil de production par le prolétariat » et où « JoeyStarr réhabilite Karl Marx contre le syndicalisme moderne sauce CGT » : « Le résultat est surprenant. Inégal, mais admirablement audacieux »[30].

Télé-Loisirs souligne que « La réussite de l'ensemble doit beaucoup à Margot Bancilhon, déjà magistrale, dans un registre radicalement opposé, dans la récente minisérie De Grâce. Impressionnante physiquement, elle ne l'est pas moins émotionnellement. Il lui suffit ainsi de lever un sourcil ou de lancer une réplique pour suggérer l'intériorité de son personnage et mettre KO. Définitivement une grande prestation ! Si Machine ne manquera pas de diviser, l'interprétation de Margot Bancilhon, elle, devrait faire à coup sûr l'unanimité »[31].

Pour Ouest-France, Machine est « le combo parfait entre Karl Marx et Kill Bill » : « On prend un plaisir fou à suivre les aventures ouvrières de Machine, où chaque coup de poing possède le timing parfait, y compris lorsqu’ils sont assénés sur le morceau Femme Like U de K. Maro. Le mélange des genres est osé, mais si merveilleusement exécuté que l’on prie Arte de donner une saison 2 à ce bijou déjanté »[15].

Pour Laura Bruneau, du site Pure Médias, la mise en scène réussie des scènes d'action, la qualité des répliques, la bande-son que Machine écoute dans son walkman, ainsi que des personnages secondaires typés comme une barbouze prête à tout et un vlogueur proche des gilets jaunes constituent « une recette gagnante pour une série originale et réussie. Un prix de meilleure série française mérité »[14].

Le quotidien Les Échos souligne qu'« Arte aime surprendre et, avec Machine, le pari est gagné » avant de conclure : « Une série étonnante, portée par un casting formidable. À ne pas manquer sur Arte »[32].

Pour Jean-Christophe Nurbel, du site Bulles de culture, « "Mon conseil à la jeunesse : lire Karl Marx." En s'emparant de cette citation de 2017 d'Emmanuel Macron pour la série Machine, les créateurs Thomas Bidegain et Fred Grivois signent six épisodes décalés et pop, mêlant action et engagement militant, et porté par une héroïne marquante et inspirée de la Kill Bill de Quentin Tarentino »[22].

Références cinématographiques[modifier | modifier le code]

La série Machine fait de nombreuses références et clins d'œil aux films d'action allant des années 1970 à 2000.

Le générique animé de la série est un clin d'œil à l'affiche du film Kill Bill[17] réalisé en 2003 par Quentin Tarantino. Au début de la série, Machine est vêtue d'une combinaison de travail jaune à bandes noires à la façon d'Uma Thurman dans Kill Bill[26],[15],[14], un costume qui constitue lui-même une référence directe à tenue de Bruce Lee dans Le Jeu de la mort (1972)[33]. De plus, dans l'une des premières scènes de combat, son adversaire lui arrache la manche droite de sa combinaison jaune, comme dans le film de Bruce Lee. Par ailleurs, elle se bat et continue de se battre comme le personnage de Mindy Macready dans le film Kick-Ass.

Une autre allusion importante est celle au film Predator[31] (1987) de John McTiernan lorsque, dans le cinquième épisode, Machine demande à ses compagnons d'usine si elle « a une gueule de porte-bonheur », en référence à la célèbre réplique d'Arnold Schwarzenegger, dans la version française, « t'as pas une gueule de porte-bonheur[34] ». De plus, le look et la coiffure de l'héroïne ne sont pas sans rappeler celle du personnage principal de la série des Predator[33]. L'archétype du militaire abandonné par son institution, qui erre sur les routes et est poursuivi par son ancien supérieur, fait référence à celui de John Rambo initié dans le film Rambo (1982) de Ted Kotcheff.

Par ailleurs, la veste à franges du vlogueur Final Fucking est une référence directe au film Le Daim (2019) de Quentin Dupieux.

Distinctions[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Le « classement des audiences » est établi en comparant la part de marché du programme sur les 4 ans et plus avec les parts de marché des autres programmes diffusés au même moment.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e et f Alexandre Letren, « « Machine » : la nouvelle série d'Arte au pitch démentiel », sur VL-Media, .
  2. a b c d e f g et h Emeline Collet, « JoeyStarr jouera un ancien toxicomane dans « Machine », la nouvelle série d'Arte », Le Parisien, .
  3. a b c et d « Margot Bancilhon et JoeyStarr tournent pour Arte », sur Le film français, .
  4. a b c et d « JoeyStarr et Margot Bancilhon dans la série Machine pour Arte », sur Écran total, .
  5. a et b Stéphanie Guerrin et Emeline Collet, « Séries Mania : triomphe pour Arte en compétitions internationale et française », sur Le Parisien, .
  6. a et b Emilie Chenot, « Séries Mania 2024 : voici le palmarès de cette édition », sur Diverto, .
  7. a et b Laura Berny, « Séries Mania 2024 : Arte truste les récompenses », sur Les Échos, .
  8. a et b « Le Grand Prix du festival Séries Mania décerné à Rematch de Yan England », sur Le Devoir, .
  9. a et b (en) Rebecca Leffler, « Chess thriller Rematch awarded grand prize at 2024 Series Mania », sur ScreenDaily, .
  10. a et b Charles Martin, « Séries Mania 2024 livre son palmarès et annonce une affluence record », sur Première, .
  11. a et b Pauline Hohoadji, « Séries Mania 2024 : Tiphaine Daviot et Rematch primés, découvrez le palmarès complet », sur Télé 7 jours, .
  12. a et b Pascal, « Le festival Séries Mania s'est achevé : découvrez le palmarès complet (16 prix décernés) », sur Le Blog TV News, .
  13. a et b Karin Tshidimba, « Le jury de Series Mania a plébiscité le « Rematch » au sommet entre l’homme et la « Machine » », sur La Libre, .
  14. a b et c Laura Bruneau, « Machine : Pourquoi il ne faut pas louper cette (excellente) série avec Joeystarr et la révélation Margot Bancilhon ce soir sur Arte », sur Pure Médias, .
  15. a b c et d Salammbô Marie, « Machine', le combo parfait entre Karl Marx et Kill Bill, ce soir sur Arte », sur Ouest-France, .
  16. a et b Jennifer Radier et Jérémie Dunand, « "Mélanger Karl Marx et John Wick" : la lutte des classes version action, c'est dans la série Machine ce soir sur Arte », sur Allociné, .
  17. a et b Valentin Etancelin, « Machine avec Joey Starr sur Arte, un Kill Bill à la française sur fond de lutte sociale », sur HuffPost, .
  18. Cédric Petit, « Fred Grivois, créateur de la série « Machine » : « Sur le fond, Macron avait raison… » », sur Le Soir, .
  19. a b et c Thomas Destouches, « "Au départ, quand on m’a expliqué la série, je n'ai rien compris !" Margot Bancilhon lève le voile sur Machine, la série inédite d'Arte qui tabasse », sur Télé-Loisirs, .
  20. a b c et d Lenny Verhelle, « Machine : un Kill Bill des temps modernes en série sur Arte et avec JoeyStarr », sur Ciné-Télé-Revue, .
  21. Thomas Destouches, « Machine : "J'en ai chié !", Margot Bancilhon se confie sur les impressionnants tatouages de son personnage », sur Télé-Loisirs, .
  22. a b c d e f et g Jean-Christophe Nurbel, « Machine ce soir sur ARTE : derniers épisodes et la fin avec Margot Bancilhon et JoeyStarr », sur Bulles de culture, .
  23. Valentin Delepaul, « Audiences TV Prime (jeudi 11 avril 2024) : Mademoiselle Holmes triomphe sur TF1, Elise Lucet s’incline nettement face à Benfica Lisbonne / Marseille sur M6 », sur Toutelatele, .
  24. Valentin Delepaul, « Audiences TV Prime (jeudi 18 avril 2024) : Mademoiselle Holmes confirme son succès sur TF1, la victoire de l'Olympique de Marseille sur M6 explose Elise Lucet », sur Toutelatele, .
  25. Alexandre Letren, « On regarde ou pas ? Machine, la nouvelle série d'Arte au pitch dingue », sur VL-Media, .
  26. a et b Emeline Collet, « Machine, avec Margot Bancilhon et JoeyStarr, sur Arte.tv : quand Kill Bill rencontre Karl Marx », sur Le Parisien, .
  27. Karin Tshidimba, « Machine : cette série d'Arte est un objet télévisuel inclassable où Margot Bancilhon et JoeyStarr mènent la lutte finale façon manga », sur La Libre, .
  28. Jean-Marc Verdrel, « Machine : mini-série inédite avec Margot Bancilhon et JoeyStarr diffusée sur ARTE jeudi 11 avril 2024 », sur Coulisses.tv, .
  29. Arnaud Sagnard, « Série d’action à la française, « Machine » fait pschitt », sur Le Nouvel Obs, .
  30. Charles Martin, « Machine sur Arte : une série de kung-fu marxiste bien huilée », sur Première, .
  31. a et b Thomas Destouches, « Machine : Faut-il regarder la série inédite avec Margot Bancilhon, JoeyStarr et Guillaume Labbé diffusée ce jeudi 11 avril sur Arte ? », sur Télé-Loisirs, .
  32. Laura Berny, « Machine : quand Kill Bill rencontre Karl Marx », sur Les Échos, .
  33. a et b « Séries Mania 2024 : JoeyStarr adepte de Karl Marx, dans une nouvelle série d’Arte », 20 Minutes, 16 mars 2024.
  34. La version originale utilise une autre et différente célèbre réplique : « You ugly motherfucker ».

Liens externes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]