Esplas-de-Sérou
Esplas-de-Sérou | |||||
Sommet du col de Portel | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Ariège | ||||
Arrondissement | Saint-Girons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Couserans-Pyrénées | ||||
Maire Mandat |
Célia Barrouillet 2020-2026 |
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Code postal | 09420 | ||||
Code commune | 09118 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
175 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 5,1 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 58′ 34″ nord, 1° 22′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 426 m Max. 1 502 m |
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Superficie | 34,13 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Couserans Est | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
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Esplas-de-Sérou est une commune française, située dans le département de l'Ariège en région Occitanie. Le Baup y prend sa source.
Ses habitants sont appelés les Esplasais. La commune dispose d'un site internet[1]
Géographie
Localisation
La commune d'Esplas-de-Sérou se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 19 km à vol d'oiseau de Foix[2], préfecture du département, à 19 km de Saint-Girons[3], sous-préfecture, et à 6 km de La Bastide-de-Sérou[4], bureau centralisateur du canton du Couserans Est dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Girons[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Sentenac-de-Sérou (1,1 km), Larbont (2,8 km), Montagagne (2,8 km), Castelnau-Durban (4,0 km), Nescus (4,9 km), Durban-sur-Arize (5,6 km), La Bastide-de-Sérou (5,9 km), Montseron (6,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Esplas-de-Sérou fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne), que rien ne prédisposait à rejoindre les anciennes dépendances du comté de Foix[6].
Divers
À Sabart, un projet de zone blanche sans radiation électromagnétique est envisagé[8] non sans difficulté[9] en réhabilitant ce hameau abandonné de la vallée de l'Artillac pour des personnes électro-sensibles. Le projet est structuré par l'association «Zone blanche en vallée de l'Artillac-Ariège» siégeant sur la commune.
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[10]. Elle est drainée par l'Arize, l'Artillac, le Baup, un bras du Ruisseau des Pommiers, Goute de Coume les Bens, Goute de la Beze, Goute de la Crabette, L'Alozy, le ruisseau de Baillardou, le ruisseau de Bajou, le ruisseau de Bésole, le ruisseau de Goute Rouge, le ruisseau de Grimaut, le ruisseau de la Houillère, constituant un réseau hydrographique de 53 km de longueur totale[11],[12].
L'Arize, d'une longueur totale de 83,78 km, prend sa source dans la commune de Sentenac-de-Sérou et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Carbonne, après avoir traversé 20 communes[13].
L'Artillac, d'une longueur totale de 14,13 km, prend sa source dans la commune d'Esplas-de-Sérou et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Arize à La Bastide-de-Sérou, après avoir traversé 4 communes[14].
Le Baup, d'une longueur totale de 20,1 km, prend sa source dans la commune de Rimont et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Salat à Saint-Lizier, après avoir traversé 6 communes[15].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[16]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[17]. À l'ouest du département, le climat océanique, avec ses entrées d’air atlantique, apporte des perturbations qui arrosent les reliefs[18].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[16].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[20] complétée par des études régionales[21],[22] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Bastide-de-Sérou », sur la commune de La Bastide-de-Sérou, mise en service en 1991[23] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[24],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 060,5 mm pour la période 1981-2010[25]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 21 km[26], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[27], à 12,3 °C pour 1981-2010[28], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[29].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[30],[31].
La commune fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, créé en 2009 et d'une superficie de 245 973 ha, qui s'étend sur 138 communes du département. Ce territoire unit les plus hauts sommets aux frontières de l’Andorre et de l’Espagne (la Pique d'Estats, le mont Valier, etc) et les plus hautes vallées des avants-monts, jusqu’aux plissements du Plantaurel[32].
Un autre espace protégé est présent sur la commune : la « grotte de l'Espiougue », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 0,2 ha[33].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[34] : le « massif de l'Arize, versant nord » (12 354 ha), couvrant 23 communes du département[35], et le « massif de l'Arize, zone d'altitude » (15 897 ha), couvrant 26 communes du département[36] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[34] : le « massif de l'Arize » (42 110 ha), couvrant 40 communes du département[37].
-
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
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Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Esplas-de-Sérou est une commune rurale[Note 7],[38]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[39]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (74,4 %), prairies (14,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,2 %)[40].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux et villages
Esplas-de-Sérou est constituée d'un village et de nombreux hameaux : Alozy, Baychenat, Brachy, Balès, Camel, Cuilleré, le Cazalot, Eychenat, Eychenne, Esquein, Foulgarot, le Four, Génat, Goutte Rouge, Naflous, Las Moulasses, Layos, Mirouze, Mouréou, Pladellac, Pombole, Rougé, Sabart, Saboye, Sarbos, le Toch,
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 143, alors qu'il était de 129 en 2013 et de 124 en 2008[I 5].
Parmi ces logements, 61,8 % étaient des résidences principales, 30 % des résidences secondaires et 8,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,2 % des appartements[I 5].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Esplas-de-Sérou en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (30 %) supérieure à celle du département (24,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 81,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,3 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 6].
Typologie | Esplas-de-Sérou[I 5] | Ariège[I 7] | France entière[I 8] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 61,8 | 65,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 30 | 24,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 8,2 | 9,7 | 8,2 |
Histoire
Politique et administration
Découpage territorial
La commune d'Esplas-de-Sérou est membre de la communauté de communes Couserans-Pyrénées[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Lizier. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[41].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Girons, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Couserans Est pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la deuxième circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[42].
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44].
En 2021, la commune comptait 175 habitants[Note 8], en évolution de +1,74 % par rapport à 2015 (Ariège : +1,38 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 76 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 147 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 15 230 €[I 10] (19 820 € dans le département[I 11]).
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 12] | 19,5 % | 16,1 % | 7,5 % |
Département[I 13] | 8,9 % | 11,1 % | 11,2 % |
France entière[I 14] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 128 personnes, parmi lesquelles on compte 75,9 % d'actifs (68,4 % ayant un emploi et 7,5 % de chômeurs) et 24,1 % d'inactifs[Note 10],[I 12]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 15]. Elle compte 57 emplois en 2018, contre 38 en 2013 et 51 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 88, soit un indicateur de concentration d'emploi de 64,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 66,2 %[I 16].
Sur ces 88 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 47 travaillent dans la commune, soit 53 % des habitants[I 17]. Pour se rendre au travail, 78,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2 % les transports en commun, 4,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 15,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 18].
Activités hors agriculture
12 établissements[Note 11] sont implantés à Esplas-de-Sérou au [I 19]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 41,7 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 12 entreprises implantées à Esplas-de-Sérou), contre 14,2 % au niveau départemental[I 20].
Agriculture
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région sous-pyrénéenne »[47]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'ovins et de caprins[48].
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Exploitations | 20 | 15 | 15 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 581 | 489 | 576 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 20 lors du recensement agricole[Note 13] de 1988 à 15 en 2000 puis à 15 en 2010[48], soit une baisse de 25 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 48 % de ses exploitations[50]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 581 ha en 1988 à 576 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 29 à 38 ha[48].
Lieux et monuments
- Ancienne carrière de marbre rose de l'Espiougue, fermée en 1960. Elle se trouve en rive gauche (côté ouest) de l'Artillac, sur le flanc est de la Serre Nève[51]. Dans ses environs proches se trouve la grotte de l’Espiougue, une des huit grottes de l'Ariège à faire l'objet d'un arrêté préfectoral de protection de biotope (APPB)[Note 14].
- Forêt de l'Artillac, forêt domaniale de Bellisens.
- Église Sainte-Madeleine.
- Monument aux morts
- Col de Portel, en limite sud de la commune.
Personnalités liées à la commune
- François Camel (1893-1941), homme politique né à Esplas-de-Sérou.
- Jean Nayrou (1914-1983), né à Esplas-de-Sérou, sénateur de 1955 à 1980, maire de Suc-et-Sentenac de 1953 à 1965 puis de La Bastide-de-Sérou en mars 1982.
- Thierry Rey, Judoka né en 1959 à Lagny-sur-Marne, dont la mère est originaire du lieu-dit Balès. Champion du monde (1979) et champion olympique en 1980. Il eut un fils, Martin, avec Claude Chirac.
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[19].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[49].
- Huit grottes d'Ariège sont l'objet d'un arrêté préfectoral de protection de biotope (APPB)[52] :
- grotte d’Aliou (Cazavet), grotte de la Campagnole (Massat), grotte de la Petite Caougno (Niaux), grotte de Tourtouse (Tourtouse) et grotte d'Espiougue (Esplas-de-Sérou) : interdites d'accès du 1er mars au 30 septembre ;
- grotte d'Aubert (Moulis) : interdite d'accès du 1er avril au 31 août et du 1er octobre au 31 mars (donc accès autorisé seulement pendant le mois de septembre) ;
- grotte de l'Herm (L'Herm) : interdite du 1er avril au 30 août et du 1er octobre au 15 mars (donc accès autorisé seulement pendant la 2e quinzaine de mars et pendant le mois de septembre) ;
- grotte de Malarnaud (Montseron) : interdite du 1er mars au 31 octobre[52].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune d'Esplas-de-Sérou » (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Esplas-de-Sérou - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Esplas-de-Sérou - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Ariège - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune d'Esplas-de-Sérou » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Esplas-de-Sérou » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 en Ariège » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Esplas-de-Sérou » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 en Ariège » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Esplas-de-Sérou » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Esplas-de-Sérou » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 en Ariège » (consulté le ).
Autres sources
- « Bienvenue a Esplas-de-Sérou »
- Stephan Georg, « Distance entre Esplas-de-Sérou et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Esplas-de-Sérou et Saint-Girons », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Esplas-de-Sérou et La Bastide-de-Sérou », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Esplas-de-Sérou », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 300-301.
- Carte IGN sous Géoportail
- Laurent Gauthey, « Vers une "zone blanche" dans la vallée de l'Artillac », La Dépêche du midi, (lire en ligne)
- Charlotte van Ouwerkerk, « Des nuages noirs au-dessus du projet de «zone blanche» », La Dépêche du midi, (lire en ligne)
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale d'Esplas-de-Sérou », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- « Carte hydrographique d'Esplas-de-Sérou » sur Géoportail (consulté le 29 octobre 2021).
- Sandre, « l'Arize »
- Sandre, « l'Artillac »
- Sandre, « le Baup »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- [PDF]« Plan Local d’Urbanisme d’Allières – Rapport de présentation », sur wxs-gpu.mongeoportail.ign.fr, (consulté le ), p. 125
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- [PDF]« Le Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises - Diagnostic - partie 1. », sur https://www.parc-pyrenees-ariegeoises.fr (consulté le )
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