Ercé-près-Liffré

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Ercé-près-Liffré
Ercé-près-Liffré
La mairie.
Image illustrative de l’article Ercé-près-Liffré
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Liffré-Cormier Communauté
Maire
Mandat
Bertrand Chevestrier
2020-2026
Code postal 35340
Code commune 35107
Démographie
Gentilé Ercéen
Population
municipale
1 987 hab. (2021 en augmentation de 12,83 % par rapport à 2015en augmentation de 12,83 % par rapport à 2015)
Densité 126 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 15′ 20″ nord, 1° 31′ 04″ ouest
Altitude Min. 46 m
Max. 112 m
Superficie 15,78 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Liffré
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Ercé-près-Liffré
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Ercé-près-Liffré
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Ercé-près-Liffré
Liens
Site web www.ercepresliffre.fr

Ercé-près-Liffré est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne, au nord de Rennes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Au cœur du département d'Ille-et-Vilaine, la commune d'Ercé-près-Liffré est située à un peu plus de 20 km au nord-est de la ville de Rennes, entre l'autoroute A84 (autoroute des Estuaires) et la route départementale 175, route d’Antrain. C'est une commune rurale qui s’étend sur 1 578 ha au centre d’un ensemble forestier composé par les forêts domaniales de Rennes (au sud), de Saint-Aubin-du-Cormier (au nord-est) et de Liffré (au sud-est). Le territoire communal est vallonné. Il est traversé d'est en ouest par la vallée de l'Illet. Les forêts avoisinantes sont des sites pour les amateurs de VTT.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Ercé-près-Liffré est limitrophe de six autres communes.

Carte de la commune de Ercé-près-Liffré et de ses proches communes.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est  », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 788 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Feins à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 816,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ercé-près-Liffré est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (49 %), prairies (27,6 %), terres arables (21 %), zones urbanisées (2,1 %), forêts (0,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes ecclesia de Herciaca en 1030, ecclesia Hercei en 1055, Herceium en 1263, Erceyum prope Gahardum en 1516[réf. à confirmer][15].

En gallo, langue traditionnelle des habitants d'Ercé-près-Liffré, la commune est appelée Erçë[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

La présence humaine sur le territoire d’Ercé est attestée dès le Néolithique comme en témoigne l'Alignement du Bas Rocher et des découvertes archéologiques (haches polies au lieu-dit Rocher des Amis, silex taillés au lieu-dit du Bignon).

Antiquité[modifier | modifier le code]

L’époque gallo-romaine a laissé des traces aux lieux-dits la Touche et Milieu-Papillon, des vestiges d'une motte castrale sont visibles au Bordage.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Les premières traces écrites de l’histoire paroissiale remontent au XIe siècle. La paroisse d’Ercé apparaît sous le nom de Herciaca puis de Hercei. Elle relevait de la juridiction du Bordage, seigneurie constituée par la famille de Montbourcher. Les traces d’un premier « château sur motte » date de la première moitié du XIIIe siècle. Le château fort fut édifié au XVe siècle. Le nom d’Ercé continue à évoluer : au début du XVIe siècle on parle d'Ereyum prope Gahardum.

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Après l’adhésion de ces puissants seigneurs à la religion réformée (1563), le Bordage devient un important centre calviniste et un refuge pour les huguenots du pays rennais. Cette importante châtellenie est érigée par Louis XIV en marquisat du Bordage, en mai 1656, en faveur de René (4) de Montbourcher[17], maréchal de camp, avec supériorité sur les paroisses s’étendant de La Bouëxière à Vignoc. On voyait autrefois dans le bourg, des halles et les prisons de la seigneurie du Bordage. Les marques de cette puissance furent détruites pendant la Révolution.

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

De nombreuses communes rurales, jusqu’au début du XXe siècle, à Ercé, on extrait des matériaux de construction ou de remblai. Une carrière d’ardoise existait au lieu-dit les Buttes. Elle fut abandonnée en 1918. À la Boule d’Or il y avait une carrière de pierre abandonnée en 1948. Les activités de transformation des productions agricoles étaient nombreuses : huit moulins fonctionnaient le long de l’Illet, sept bouchers exerçaient sur la commune. Chaque maison du bourg ou presque abritait une activité commerciale ou artisanale.

Le XXe siècle est marqué par un exode rural important jusqu’en 1975. Pour Ercé-près-Liffré, c’est la fin d’une époque basée exclusivement sur l’agriculture et ses activités annexes.


Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[18]
Période Identité Étiquette Qualité
avril 1941 février 1963 Louis Cudelou   Exploitant agricole
mars 1963 mai 1966 Alfred Delépine   Exploitant agricole
mai 1966 juin 1995 Marcel Cudelou (1922-2018)   Exploitant agricole
Président du SIVOM du secteur de Liffré (1983 → 1989)
juin 1995 mars 2001 Jean-Claude Brillault (1933-2005)   Dirigeant de société
mars 2001[19] mars 2014 Annie Pivette (1946- ) DVG Professeure
mars 2014[20] 25 mai 2020 Hervé Picard (1967- ) DVD Fonctionnaire territorial
25 mai 2020 En cours Bertrand Chevestrier[21] (1969- )   Formateur

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

En 2021, la commune comptait 1 987 habitants[Note 3], en augmentation de 12,83 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3401 3181 3481 4081 5891 5501 5031 5311 567
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5651 5761 5601 5911 6131 6521 6081 4791 508
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4251 3541 2191 1131 0931 0691 0411 011971
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
8688137631 0241 1221 3641 7421 7961 759
2017 2021 - - - - - - -
1 8081 987-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Éducation[modifier | modifier le code]

La commune dispose de deux écoles :

  • l'école Paul-Émile-Victor (école publique) ;
  • l'école du Sacré-Cœur (école privée sous contrat).

Équipements[modifier | modifier le code]

La commune dispose de divers équipements :

  • une salle des sports : espace Nelson-Mandela ;
  • un espace culturel : le Relais des cultures ;
  • une médiathèque ;
  • une salle des fêtes ;
  • un centre de loisirs : Espace jeunes ;
  • des salles pour les associations : salles de la Vallée ;
  • une maison intercommunale : Relais intercommunal parents assistants maternels enfants (Ripame) ;
  • des terrains de football ;
  • un skatepark ;
  • un restaurant scolaire.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Vue du château du Bordage.
  • Château du Bordage : château fort jusqu’au XVIIe siècle, propriété privée.
  • Manoir de Néraunay.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L’église Saint-Jean-Baptiste.
  • Église Saint-Jean-Baptiste : peu après la reconstruction de l´église par l’architecte Anger de La Loriais, qui s´achève en 1849, les principales pièces du mobilier sont mises en place. Tandis que le maître-autel est racheté à l'église Notre-Dame de Rennes dès 1850, la paroisse passe une importante commande à l’ébéniste rennais Jean-Julien Hérault qui réalise successivement la chaire à prêcher (1849), les autels secondaires nord et sud, dédiés à la Vierge et à sainte Anne (1851) et, quelques années plus tard, en 1859, l´ensemble des boiseries du chœur, stalles, niches et lambris. Cet ensemble, remarquable par sa qualité d´exécution, est conçu dans un style néogothique s´accordant au parti architectural de l´édifice et reçoit en complément une série de statues de plâtre polychrome. Celle de l’Éducation de la Vierge est due au sculpteur rennais Jean-Marie Valentin et fut acquise en 1861, pour 250 francs. À la même époque sont mis en place le chemin de croix, les fonts baptismaux (1856), les bancs, le siège de célébrant avec deux tabourets (1860) et les meubles de la sacristie, le reste du petit mobilier et des objets liturgiques étant acquis progressivement durant le quatrième quart du XIXe siècle. En 1883, les maîtres verriers Lecomte et Colin de Rennes réalisent les verrières de la nef, puis, en 1891, les trois du chœur ; ces dernières reçoivent un traitement privilégié en regard de celles du transept (non datées), où la surface de décor géométrique est dominante. La majeure partie des ornements liturgiques et des textiles aujourd’hui conservés, de même que les bannières, les lanternes et croix de procession ou les garnitures d´autel, sont acquises à la fin du XIXe et surtout au début du XXe siècle. En 1934, les paroissiens offrent une croix monumentale en souvenir du jubilé de la Rédemption tout en respectant le style de la décoration intérieure.

Dans son ensemble, le mobilier de l´église témoigne d’un aménagement assez homogène réalisé durant la seconde moitié du XIXe siècle ; pourtant quelques éléments rappellent l’histoire ancienne de la paroisse. Hormis deux dalles funéraires du début du XIXe siècle, l’église conserve les fragments d´une statue de son saint patron, saint Jean-Baptiste, et d’un Christ en croix, deux vases sacrés des XVIIe et XVIIIe siècles, ainsi que deux confessionnaux de style rocaille et deux tableaux placés de part et d´autre du chœur, datant du XVIIIe siècle. Le tableau du Baptême du Christ ornait certainement le retable des fonts baptismaux de l'ancienne église ; il est attribuable au peintre rennais Duparc qui signe le tableau de Sainte Véronique en 1741.

Par convention, on considère que l'église est orientée est-ouest ; les verrières sont numérotées impaires au nord, paires au sud, en commençant par l'est.


Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Ercé-près-Liffré et Feins », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Feins Sa » (commune de Feins) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Feins Sa » (commune de Feins) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « Etymologie et Histoire de Ercé-près-Liffré », infobretagne (consulté le ).
  16. le jardin graphique, « ChubEndret. Dictionnaire de noms de lieux - institu Chubri - Du galo pourr astourr », sur chubri-galo.bzh (consulté le ).
  17. Éric Thiou, Dict. des Titres... (2003), p 72.
  18. Cette liste des maires a été établie à partir des recherches de l'Association « Au Fil d'Ercé ».
  19. « Ercé-près-Liffré : Annie Pivette se représente », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  20. « Hervé Picard est à nouveau maire d’Ercé-près-Liffré », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  21. « Bertrand Chevestrier devient maire d’Ercé-près-Liffré », Ouest-France, (consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Paul Sébillot, « Ercé-près-Liffré et le château du Bordage », Revue historique de l'Ouest,‎ , p. 126 (lire en ligne Accès libre)
  27. « Emission du 18 avril 2020 ».

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]