Bazemont

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bazemont
Bazemont
L'hôtel de ville.
Blason de Bazemont
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Saint-Germain-en-Laye
Intercommunalité Communauté de communes Gally Mauldre
Maire
Mandat
Jean-Bernard Hetzel
2020-2026
Code postal 78580
Code commune 78049
Démographie
Gentilé Bazemontais
Population
municipale
1 695 hab. (2021 en augmentation de 9,64 % par rapport à 2015)
Densité 257 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 55′ 44″ nord, 1° 51′ 57″ est
Altitude Min. 35 m
Max. 185 m
Superficie 6,59 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aubergenville
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Bazemont
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Bazemont
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Voir sur la carte topographique des Yvelines
Bazemont
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Bazemont
Liens
Site web bazemont.fr

Bazemont est une commune française située dans le département des Yvelines (Arrondissement de Saint-Germain-en-Laye) en région Île-de-France. Elle se trouve à 18 km au sud-est de la ville de Mantes-la-Jolie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Position de Bazemont dans les Yvelines.

Situation[modifier | modifier le code]

La commune de Bazemont s'étend sur les sommets du coteau dominant le versant est de la vallée de la Mauldre. La partie la plus importante du village est regroupée autour de l’église au lieu-dit le Village.

Une importante étendue boisée se trouvant sur la partie est du territoire communal fait partie de la forêt des Alluets.


Hydrographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Transports et voies de communications[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

Le village proprement dit est traversé par des routes communales. La route départementale D 45 traverse le hameau de Beulle, reliant Les Alluets-le-Roi à Maule.

Bus[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les lignes 14 et 41 du réseau de bus Centre et Sud Yvelines.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap.
Carte topographique.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 703 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Maule à 2 km à vol d'oiseau[3], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records MAULE (78) - alt : 54m, lat : 48°54'33"N, lon : 1°50'50"E
Records établis sur la période du 01-01-1967 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,7 1,3 3,1 4,9 8,5 11,6 13,4 13,1 10,1 7,7 4,4 2,1 6,8
Température moyenne (°C) 4,7 5,1 8 10,8 14,4 17,7 19,8 19,5 16,1 12,2 7,8 5,1 11,8
Température maximale moyenne (°C) 7,7 8,9 12,9 16,7 20,4 23,7 26,2 26 22 16,8 11,3 8 16,7
Record de froid (°C)
date du record
−17,2
17.01.1985
−14,5
07.02.12
−12
13.03.13
−5,4
06.04.21
−2
03.05.1967
0,5
05.06.1991
5
11.07.1990
3,5
28.08.1974
0
30.09.18
−5,2
30.10.1985
−10
24.11.1998
−15
31.12.1970
−17,2
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16
01.01.22
21
27.02.19
27
31.03.21
30
21.04.18
33
27.05.05
38
27.06.11
43
25.07.19
41
10.08.03
37,5
03.09.1973
30,5
01.10.11
22,5
01.11.14
17
07.12.00
43
2019
Précipitations (mm) 57,3 49,6 50,9 46,5 65,4 56 53 52,8 46 65,3 61,3 72,9 677
Source : « Fiche 78380001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bazemont est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Épone, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[10] et 20 383 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[13],[14].

Occupation des sols simplifiée[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 80,43 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 8,21 % d'espaces ouverts artificialisés et 11,36 % d'espaces construits artificialisés[15].

Hameaux de Bazemont[modifier | modifier le code]

la Malmaison, les Gardées, les Grands Jardins, la Pie ainsi que le hameau de la Sainte-Colombe, partagé avec la commune d'Aubergenville, et Beulle, hameau dont la majeure partie est sur la commune de Maule.

Lieux dits de Bazemont[modifier | modifier le code]

  • les Chênes
  • Sainte Colombe et bois de Sainte Colomb
  • la Mare Plate
  • Chapelle du Roncé
  • Carrefour de la vallée
  • Route à Mayeul
  • le château de Bisouter
  • Beulle
  • Carrefour de la Cockejoie
  • l’orme Philippien (abords de Maule)
  • la vallée Boule
  • la Malmaison
  • la Rouase
  • la Vallée Rogère
  • le Déluge
  • le Poirier à Cheval
  • les Petites Aunes
  • les Vingt Arpents
  • les Grands Jardins
  • la Pie

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village est attesté sous les formes médiévales latinisées Bosomons (sans date), Basi Mons (XIIe siècle) ou encore Basemont en 1351[16].

Ce nom est une formation romane d'époque mérovingienne ou carolingienne caractéristique du nord de la France. En effet, le nom du propriétaire précède l'appellatif suivant un mode de composition influencé par le germanique.

Le premier élément est sans doute le nom de personne germanique Baso également identifié par Albert Dauzat et Charles Rostaing dans les toponymes du type Bazainville, Bazancourt, Bazencourt, Montbazon[17] et dans les patronymes Bazon et Bason. Il a pu se confondre avec un autre anthroponyme germanique, Boso, que l'on retrouve dans les toponymes du type Bouzonville, Bézancourt et les patronymes Boson et Bozon.

Le second élément est l'appellatif roman mont « colline, mont » issu du latin mons « mont, montagne »[18].

Bazemont signifie « la colline de Baso », sans doute un propriétaire foncier.

Histoire[modifier | modifier le code]

Dès le Xe siècle, des moines dépendant du prieuré de Maule défrichent une partie de la forêt des Alluets et s’installent à Sainte-Colombe. Cette seigneurie est acquise le 15 décembre 1564 par le chevalier Charles d'O, déjà seigneur de Bazemont et d'Herbeville depuis 1531[19].

Le sous-sol est riche en calcaire, en meulière, en argiles et en marnes. Ces matériaux sont extraits du sous-sol jusqu'au XIXe siècle. Le calcaire et la meulière sont utilisés comme matériaux de construction, les argiles sont la matière première pour la fabrication de briques et les marnes sont extraites pour amender les sols utilisés par l'agriculture. Selon Anjoran, instituteur de Bazemont dans les années 1900, une rumeur plausible et encore persistante aujourd'hui tend à affirmer que les tours de la cathédrale Notre-Dame de Chartres ont été construites avec des pierres provenant des carrières de Bazemont. Mais cette rumeur ne repose sur rien, et à la vue de la piètre qualité de la pierre on ne peut guère l'imaginer qu'utilisée en meulière.

Les anciennes carrières sont transformées en champignonnières au XIXe siècle. Leurs galeries courent sous une partie du territoire communal.

De 1786 à 1836, Louis Pierre Parat de Chalandray, dernier seigneur du village, puis maire pendant quelques décennies, entreprend de profondes modifications qui touchent tous les monuments (château et église) et fait construire une ferme, des communs dans la cour du château, un abreuvoir lavoir et une salle de spectacle (La Comédie).

Après l'exploitation des arbres fruitiers et la culture maraîchère alimentant les marchés avoisinants, l'activité agricole de Bazemont concerne principalement la culture céréalière. Des centres équestres se sont par ailleurs créés sur la commune. Bazemont ne dispose d’aucun commerce de proximité depuis 1991, mais accueille un petit théâtre depuis 1978.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
? ? Raymond François   Agriculteur
1989 mars 2008 Maurice Hubert[20]   Menuisier
mars 2008 décembre 2010 Gérard Allavoine[21]    
mars 2011 En cours Jean-Bernard Hetzel[22],[23] Sans étiquette  

Instances administratives et judiciaires[modifier | modifier le code]

La commune de Bazemont appartient au canton d'Aubergenville. Elle est également rattachée à la communauté de communes Gally-Mauldre.

Sur le plan électoral, la commune est rattachée à la neuvième circonscription des Yvelines, circonscription à dominante rurale du nord-ouest des Yvelines.

Sur le plan judiciaire, Bazemont fait partie du ressort du Tribunal judiciaire ainsi que de tribunal de commerce de Versailles[24],[25].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

En 2021, la commune comptait 1 695 habitants[Note 3], en augmentation de 9,64 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
400337362399423415441410377
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
393412415389403420403415435
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
460452442427462473427390392
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
4435909451 1851 4681 5261 5391 5361 521
2015 2020 2021 - - - - - -
1 5461 6821 695------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,0 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 816 hommes pour 799 femmes, soit un taux de 50,53 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,68 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,7 
7,1 
75-89 ans
7,2 
16,9 
60-74 ans
20,0 
24,2 
45-59 ans
22,7 
18,2 
30-44 ans
19,4 
11,8 
15-29 ans
11,5 
21,5 
0-14 ans
18,5 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Vie culturelle[modifier | modifier le code]

  • Le Théâtre du Gothique : troupe amateur montant un spectacle annuel depuis 1978.
  • F.R.J.E.P. Le Gothique : une association loi de 1901 organisant de nombreux événements culturels.
  • La municipalité publie un bulletin d'information intitulé Au fil de la Rouase, du nom d'un ruisseau arrosant la commune.

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Église Saint-Illiers.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Illiers : église du XIIe siècle faite en pierre meulière. Cet édifice est directement relié au château depuis 1786 par une galerie aérienne à colombage aménagée par le dernier seigneur du village, Louis Pierre Parat de Chalandray.
  • Château : construit au XVIe siècle, de style Renaissance, par le marquis Charles d'O et profondément remanié au cours du temps. Celui-ci a été acquis en 1893 par la municipalité afin d'y installer la mairie, l'agence postale ainsi que des écoles.
  • Lavoir abreuvoir : au pied de la Comédie avec un bassin rectangulaire, creusé en 1789 à la demande de Louis Pierre Parat de Chalandray.
  • La ferme de Bazemont : mitoyenne avec la cour du château, édifiée en 1787 également par Louis Pierre Parat de Chalandray.
  • La Comédie : salle de spectacles et de fêtes bâtie en 1804 à la demande de Louis Pierre Parat de Chalandray. De forme rectangulaire, bâtie de pierre et de moellon, au toit de tuiles, son entrée se fait par une porte au fronton triangulaire surmonté d'un oculus. L'intérieur possède un plafond en poutres et une cheminée en bois. Le fond de la cheminée est orné d'une plaque en fonte décorée d'un bas-relief représentant un blason d'hermine, soutenu par une licorne et une femme, et entouré du collier de Saint-Jacques. Accolé au mur, un poêle du XIXe siècle en céramique blanche supporte une plaque de marbre. Un escalier en bois permet l'accès au comble.
  • Mairie : installée en 1893 dans une aile de l'ancien château du XVIe siècle
  • Le Gothique : ancienne salle des gardes des seigneurs devenue une salle des fêtes. Cette pièce souterraine est notable pour ses nombreuses voutes d'architecture gothique. En 1966 la salle a été aménagée par de jeunes Bazemontais afin de créer l'association "Foyer Rural des Jeunes et d'Éducation Populaire le Gothique" existant toujours aujourd'hui et appelée plus communément "Le Gothique".

Galerie de photos[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Bazemont Blason
D'azur à deux couleuvres d'or, ondoyant en pal, adossées et entortillées ; au chef de gueules chargé d'une colombe d'or et soutenu d'une divise de vair de deux tires.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Bazemont », p. 59–62

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Bazemont et Maule », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 d'Épone », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  16. Auguste Longnon, Pouillé de la Province de Sens, 1904, p. 212.
  17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 60b.
  18. Claude Guizard, Lexique toponymique de l’arrondissement de Mantes-la-Jolie, page 4.
  19. Anjoran, Commune de Bazemont, Bazemont, , 35 p. (lire en ligne).
  20. « La liste des maires - "Troisième tour" des municipales », Le Courrier de Mantes,‎ .
  21. « Une élection peut en cacher une autre », Le Parisien,‎ .
  22. « Bazemont - Un nouveau maire élu vendredi », Le Parisien,‎ .
  23. Conseil municipal du 28 mars 2014
  24. « Tribunal d'instance de Mantes la Jolie - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  25. « Tribunal de grande instance de Versailles - », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bazemont (78049) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).