Flins-sur-Seine

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Flins-sur-Seine
Flins-sur-Seine
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Mantes-la-Jolie
Intercommunalité Grand Paris Seine et Oise
Maire
Mandat
Philippe Mery
2020-2026
Code postal 78410
Code commune 78238
Démographie
Gentilé Flinois
Population
municipale
2 424 hab. (2021 en augmentation de 3,02 % par rapport à 2015)
Densité 282 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 57′ 55″ nord, 1° 52′ 25″ est
Altitude Min. 19 m
Max. 179 m
Superficie 8,61 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Aubergenville
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aubergenville
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Flins-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Flins-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Voir sur la carte topographique des Yvelines
Flins-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Flins-sur-Seine

Flins-sur-Seine est une commune française située dans le département des Yvelines (arrondissement de Mantes-la-Jolie), en région Île-de-France.

Elle se trouve à 14 km à l'est de Mantes-la-Jolie. Connue surtout pour l'implantation d'un grand centre industriel automobile, l'usine Renault de Flins, abritant aussi un important centre commercial régional, c'est l'une des 51 communes incluses dans le périmètre de l'opération d'intérêt national Seine-Aval.

Ses habitants sont appelés les Flinois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La commune de Flins-sur-Seine est une commune riveraine de la Seine, située sur la rive gauche du fleuve, dans le nord du département des Yvelines, à 14 km à l'est de Mantes-la-Jolie, sous-préfecture, et à 30 km au nord-ouest de Versailles, préfecture du département.

La commune est limitrophe d'Aubergenville à l'ouest, des Mureaux et Bouafle à l'est et de Bazemont au sud. Au nord, la Seine la sépare de Juziers et Mézy-sur-Seine.


Territoire[modifier | modifier le code]

Son territoire s'étend principalement dans la basse vallée de la Seine, morcelée par les grandes voies de communications (autoroute A13, voie ferrée Paris-Le Havre, route D 113 - ex-RN 13 - et D 14 vers les Mureaux). Toute la partie située entre la voie ferrée et la Seine est occupée par l'usine Renault, qui dispose d'un débarcadère sur la Seine, d'un important embranchement particulier desservi par la SNCF, et qui est aussi desservie par un échangeur autoroutier tout proche. Entre la voie ferrée et l'autoroute se trouve une usine de la Lyonnaise des eaux qui exploite la nappe aquifère située sous la plaine alluviale. Entre le bourg et l'autoroute un important centre commercial régional s'est implanté. Le vieux bourg est aussi dans cette partie basse, au pied des coteaux à 40 m d'altitude. Il a gardé le caractère d'un village en maîtrisant son urbanisation. La commune s'étend au sud jusqu'à la forêt des Alluets où se trouve son point culminant (176 m).

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal longe la rive gauche de la Seine sur environ 1,5 km. Il n'existe pas d'autre cours d'eau permanent dans la commune.

La nappe aquifère des alluvions de la Seine est exploitée par la société Lyonnaise des eaux qui en assure le traitement dans son usine située dans la commune de Flins pour l'approvisionnement en eau potable de nombreuses communes du nord des Yvelines. Des stations de pompage sont implantées dans la partie nord du territoire de Flins-sur-Seine (mais aussi dans les communes voisines des Mureaux, Aubergenville, Épône et Mézières-sur-Seine, l'ensemble constituant le « champ captant d'Aubergenville »). De ce fait la moitié nord du territoire flinois est soumise à un périmètre de protection éloigné, dans lequel les activités, installations et dépôts sont réglementés[1],[2].

La commune est concernée par les risques d'inondations liés aux crues de la Seine dans la frange nord du territoire. Les zones inondables ont été classées en zone verte : zone non construite en limite des Mureaux, soumise à un risque élevée dans laquelle toute construction est interdite pour maintenir le champ d’expansion de crue de la Seine, et zones bleue et rouge clair : zones occupées par l'usine Renault, également très exposées au risque d'inondation dans lesquelles toute urbanisation nouvelle est prohibée, mais l'entretien et le renouvellement des installations existantes est permis[3].

Transports et voies de communications[modifier | modifier le code]

Réseau routier

La commune est traversée par l'autoroute A13. La sortie 9 de cet axe (échangeur complet) est située sur le territoire de la commune.

Bus

La commune est desservie par :

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 685 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Maule à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Flins-sur-Seine est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Aubergenville, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[13] et 14 741 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[16],[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes In Fiolinis au IXe siècle[18], Felinæ, Felins au XIIIe siècle, Flins-sur-Seine, Flins près Meulent[19].

Étymologie obscure, c'est pour cette raison que Albert Dauzat, Ernest Nègre ne se sont pas prononcés sur l'origine de ce toponyme. Certains estiment que le nom de Flins dériverait du latin figulus, potier. Le premier élément Flins, du latin Figulinis (aux ateliers de potiers), relève du masculin Figulinum (faïence, poterie)[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge

Les premières mentions de l'existence du village remontent au XIe siècle. Il dépendit un temps de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés. Flins avait un vignoble important jusqu'à la crise du phylloxéra qui l'a ruiné définitivement ; un sarment de vigne dans les armoiries de la ville le rappelle ; par la suite c'est le maraîchage qui a prédominé dans la plaine alluviale.

Fin du Xe siècle : famine et épidémie du « mal des ardents » (dû à l'ergot du seigle).

XXe et XXIe siècles
  •  : inauguration de l'usine Renault de Flins. À noter que l'usine Renault, bien que nommée usine de Flins, s'étend à 80 % sur le territoire de la commune voisine d'Aubergenville.
  • En mai et juin 1968, de violentes manifestations se déroulent devant l'usine Renault et dans les alentours. Le 10 juin 1968, Gilles Tautin, un lycéen de 17 ans, meurt d'hydrocution dans la Seine en tentant d'échapper à une charge de gendarmes mobiles.
  • Polémique sur un projet de Formule 1 en 2009
En 2008, le conseil général des Yvelines a lancé un projet de circuit de Formule 1 situé entre les usines Renault et Les Mureaux.
Ce projet entraînait la destruction de 170 hectares de terres agricoles vouées à l'agriculture biologique, et était positionné sur la plus grande nappe phréatique d'Ile de France, alimentant tout l'Ouest de la région ainsi qu'une partie de Paris. Le financement prévu était à la charge des collectivités et se montait à 150 millions d'euros.
Ce projet, contesté par les riverains et les associations écologiques, a été abandonné en décembre 2009[21].
  • 7 septembre 2014 : à l'occasion de la fête organisée à Flins-sur-Seine dans le domaine du château, une jeune adolescente de 13 ans est décédée[22] lors d'un accident de manège. La mairie de Flins-sur-Seine n'ayant pas contrôlé les papiers réglementaires des manèges lors de leur installation, ce qui a empêché de constater que ledit manège ne disposait plus de son contrôle technique[23], entrainant la démission du maire après sa condamnation pénale[24],[25]. La famille de la victime entretient depuis le drame, un combat pour faire changer la réglementation des manèges[26].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[27], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Mantes-la-Jolie après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, la commune est rattachée à la neuvième circonscription des Yvelines, circonscription à dominante rurale du nord-ouest du département.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Meulan du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle est rattachée en 1967 au canton d'Aubergenville[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 11 à 40 communes.

Sur le plan judiciaire, Flins-sur-Seine fait partie de la juridiction d’instance de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal de grande instance ainsi que de tribunal de commerce sis à Versailles[29],[30].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes Seine-Mauldre (CCVS), créée fin 2004. Elle la quitte pour intégrer en 2014 la communauté d'agglomération Vexin Centre Seine Aval[31],[32].

La Loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles (loi MAPAM) impose la création de territoires d'au moins 200 000 habitants dans la grande couronne de Paris[33]. D'après une déclaration de Philippe Tautou rapportée dans Le Parisien[33], la communauté d'agglomération des Deux Rives de Seine aurait pu franchir ce seuil en s'unissant aux agglomérations de PAC et Seine & Vexin. Mais, cette nouvelle intercommunalité concentrant les plus grosses entreprises (Usine Renault de Flins, Airbus Les Mureaux et Usine PSA de Poissy), cela risquait de créer un déséquilibre avec le reste de la zone, notamment avec le Mantois[33]. C’est la raison qu’il donne pour expliquer — sans rentrer toutefois dans les détails sur les modalités de la prise de décision — le choix de composer une intercommunalité centrée sur la Seine et regroupant :
- la communauté d'agglomération de Mantes-en-Yvelines (CAMY) ;
- la Communauté d'agglomération des Deux Rives de Seine ;
- la communauté d'agglomération Poissy-Achères-Conflans ;
- la communauté d'agglomération Seine et Vexin ;
- la communauté de communes des Coteaux du Vexin[34].

Flins-sur-Seine est donc désormais membre de la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise (GPS&O).

Elle est aussi incluse dans le territoire de l'Opération d'intérêt national Seine-Aval[35].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[36]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1925 ? M. Oursel    
? 23 août 1944 Roger Vassieux   Décédé en fonction
Les données manquantes sont à compléter.
1990 mars 2008 Serge Thibaut[37] DVD (app. RPR) Chef d'entreprise
Conseiller général d'Aubergenville (2004 → 2015)
mars 2008[38] janvier 2019[25] Pascal Chavigny DVD Retraité
Démissionnaire
janvier 2019[38] En cours
(au 25 mai 2020)
Philippe Méry DVD Employé dans la grande distribution
Réélu pour le mandat 2020-2026

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40].

En 2021, la commune comptait 2 424 habitants[Note 3], en augmentation de 3,02 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8299119539911 002941952933903
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
861838854841788766788772787
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
792780747802815838806867978
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 1741 4231 8051 7762 1302 2072 3752 3962 353
2017 2021 - - - - - - -
2 4102 424-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Flins-sur-Seine est un village dont le nombre d'habitants est resté très stable, comparativement à d'autres communes, depuis la Révolution jusqu'à la fin des années 1950, la population évoluant à cette période dans une fourchette comprise entre 750 et 1 000 habitants environ, avec un pic au recensement de 1831 (1 002 habitants) et un plus bas à celui de 1911 (747 habitants), ainsi que le montre le tableau ci-dessous. Depuis les années 1950, la population de Flins a plus que doublé et était encore en augmentation lors du dernier recensement.

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,1 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 175 hommes pour 1 244 femmes, soit un taux de 51,43 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,4 
6,6 
75-89 ans
7,9 
16,2 
60-74 ans
14,8 
21,1 
45-59 ans
21,2 
18,9 
30-44 ans
20,1 
18,5 
15-29 ans
16,8 
18,4 
0-14 ans
18,8 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Économie[modifier | modifier le code]

  • Construction automobile (Renault).
  • Production d'eau potable (Lyonnaise des eaux).
  • Commerce : centre commercial régional (hypermarché Carrefour ex-Euromarché), galerie commerçante).
  • Agriculture : céréales, maraîchage.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine architectural[modifier | modifier le code]

vue de la façade sud de l'église Saint-Cloud
Église Saint-Cloud.
  • Église Saint-Cloud : sa première construction date probablement du Xe siècle ; clocher rebâti en 1767.
  • Château : fin du XVIIe siècle. Ce château a eu des appellations différentes au gré des propriétaires successifs : château de la Pépinière, de la Musardière, de la Minaudière, puis château du Bois Bodin[44]. Le château de la Minaudière a été la propriété d'Alfred Van Cleef, fondateur de Van Cleef & Arpels[45] (il y est décédé le ). Restauré, il a été transformé en une résidence avec plusieurs appartements.
  • Le bourg de Flins possède , un autre château ayant appartenu à la famille de la Motte Mongoubert, qui est devenu la mairie, et également d'anciennes maisons dont des corps de fermes qui peuvent remonter jusqu'au XVIIIe siècle.

Cinéma[modifier | modifier le code]

Des films ont été tournés dans cette commune :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

À gauche, Jérôme Matin (or et argent) - au milieu, le coach Bernard Bazoge - à droite, Kamal Mouhil (argent).
Championnat du monde de kick full-contact (Italie), novembre 2018.
  • Jérôme Matin :[Quoi ?]
    • 2015 champion du monde amateur en UFR (Light contact) ;
    • 2015 vice-champion du monde amateur en boxe américaine light contact sur tatamis ;
    • 2017 Championnats d’Europe UFR, médaille d'or en kick-boxing light[50] ;
    • 2018 Mondiaux d'Italie, médaille d'or en Light ring B.A. ;
    • 2018 Mondiaux d'Italie, médaille d'argent Light tatamis B.A.[51].
  • Kamal Mouhil :[Quoi ?]
    • 2018 Mondiaux d'Italie, médaille d'argent en Light tatamis ;
    • 2018 Mondiaux d'Italie, médaille d'argent en UFR light[52].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Flins-sur-Seine

Les armes de Flins-sur-Seine se blasonnent ainsi :

de sable à deux léopards d'or passant l'un sur l'autre, à la champagne ondée d'azur chargée d'une roue dentée d'argent.

La partie supérieure du blason reprend les armes de la famille de Montgoubert, anciens seigneurs de Flins. La champagne ondée d'azur représente la Seine et la roue dentée évoque l'industrie automobile (usine Renault)[53].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Périmètres de protection des captages », DRASS Île-de-France, (consulté le ).
  2. [PDF] « La distribution de l'eau potable dans les Yvelines en 2004 », DRASS Île-de-France (consulté le ).
  3. « Plan de Prévention des Risques d’Inondation de la vallée de la Seine et de l'Oise - Département des Yvelines -Notice de présentation », Préfecture des Yvelines, (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Flins-sur-Seine et Maule », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 d'Aubergenville », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. Polyptyque d'Irminon, Les biens de l'abbaye de Saint-Germain des-Prés, Publié par Auguste LONGNON
  19. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  20. Claude Guizard, Lexique toponymique de l’arrondissement de Mantes-la-Jolie, page 15
  21. « Formule 1 : abandon du projet de circuit de Flins », Géo, (consulté le ).
  22. « Une adolescente de 13 ans tuée dans un accident de manège », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Mort de Maéva : le manège n'avait pas d'autorisation : La famille de Maéva, décédée après être tombée d'un manège, s'est rendue hier au ministère de l'Intérieur. Le jour même, on apprenait que le contrôle technique de l'attraction était périmé », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. Julien Constant, « Accident de manège dans les Yvelines : prison ferme pour le forain responsable de la mort de Maeva : Le tribunal a condamné ce lundi le maire, le forain et le contrôleur du manège après le décès de cette adolescente de 13 ans en septembre 2014 à Flins-sur-Seine », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le maire, Pascal Chavigny (DVD), a été condamné à une amende de 11 500 € dont 5000 € avec sursis ».
  25. a et b Julien Constant, « Flins-sur-Seine : le maire démissionne après sa condamnation : Pascal Chavigny a annoncé à ses administrés sa démission à la suite de sa condamnation après le décès accidentel de Maëva, 13 ans, sur un manège », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Lundi dernier le tribunal correctionnel de Versailles l’avait jugé responsable de la mort de Maëva, 13 ans, survenu, le 7 septembre 2014 à Flins. La justice lui a infligé une amende de 11 500 € dont 5 000 € avec sursis, estimant que les services de la mairie n’avaient pas vérifié les papiers de l’engin qui n'avait été révisé ».
  26. Caroline Piquet, « La sécurité des manèges examinée après la mort de Maéva », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Cela fait des mois que la famille de Maéva se bat pour que la sécurité des manèges soit réformée en France. Pour la première fois ce jeudi, elle a enfin été entendue par le gouvernement, qui l'a reçue au ministère de l'Intérieur ».
  27. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  28. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. « Tribunal d'instance de Mantes la Jolie - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  30. « Tribunal de grande instance de Versailles - », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  31. Maxime Fieschi, « J’userai de tous les recours pour garder mon intercommunalité » : François Bony, maire UMP d’Aubergenville, président de la communauté de communes Seine Mauldre », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le 12 décembre, une commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) se réunit pour décider de l’avenir des intercommunalités dans les Yvelines. Entre autres dossiers, le préfet a proposé de faire sortir Flins et Bouafle de la communauté de communes Seine Mauldre (CCSM) pour les intégrer à la future communauté d’agglomération Vexin centre Seine aval ».
  32. « Bouafle et Flins-sur-Seine rejoignent la Communauté de communes Vexin-Seine », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. a b et c Le Parisien, « C'est parti pour une agglo de 400 000 habitants », (consulté le ).
  34. « Arrêtés préfectoraux :
    portant fusion de la Communauté d'Agglomération Mantes-en-Yvelines, de la Communauté d'Agglomération des Deux Rives de la Seine, de la Communauté d'Agglomération de Poissy—Achères—Conflans-Sainte-Honorine, de Seine & Vexin Communauté d'Agglomération, de la Communauté de Communes des Coteaux du Vexin et de la Communauté de Communes Seine-Mauldre au
    - portant transformation de la CA Grand Paris Seine & Oise en Communauté Urbaine
     » [PDF], sur agglo2rivesdeseine.fr (consulté le )
    .
  35. « Les communes et les intercommunalités du territoire de l’OIN Seine Aval », Epamsa (consulté le ).
  36. « Les maires de Flins-sur-Seine », sur francegenweb.org (consulté le ).
  37. Réélu pour le mandat 2008-2014 : « La liste des maires - "Troisième tour" des municipales », Le Courrier de Mantes,‎ .
  38. a et b Virginie Wéber, « Flins-sur-Seine : Pascal Chavigny cède son siège de maire à Philippe Méry : L’ancien premier adjoint a été élu ce lundi soir après la démission de son prédécesseur », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Pascal Chavigny (DVD) a cédé ce lundi soir son écharpe de maire à Philippe Méry, son ancien premier adjoint, chargé des affaires scolaires et de la communication. Seul candidat en lice, Philippe Méry a obtenu 18 voix parmi les 19 élus du conseil - le dernier étant absent de la séance ».
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Flins-sur-Seine (78238) », (consulté le ).
  43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  44. Aux Arch. nat. : "Vente par Adelaïde Louise Guyonne de Rohan-Chabot, épouse séparée de Boniface de Castellane, à Jean-François du Pont, du château de Boisbaudin (Flins-sur-Seine, Yvelines). S. d. [1791-1793. [Voir aussi les minutes du notaire : MC/ET/XXXV/934]."]
  45. Château de la Pépinière, propriété d'Alfred Van Cleef
  46. The Cine-Tourist Place and time in Olivia (Jacqueline Audry 1951)
  47. L'Animal
  48. Aux yeux du monde
  49. Article du Parisien du 21-10-2020 Yvelines : l’usine Renault de Flins sert de décor au film « Le Petit Nicolas » [1]
  50. 2017 Championnats d’Europe UFR,Médaile d'or en kick-boxing
  51. Jérôme Matin
  52. Kamal Mouhil
  53. Le blason sur le site officiel de Flins-sur-Seine