Barran
Barran | |||||
Barran vu depuis les hauteurs de la commune. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Gers | ||||
Arrondissement | Mirande | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Val de Gers | ||||
Maire Mandat |
Nicole Joullié 2020-2026 |
||||
Code postal | 32350 | ||||
Code commune | 32029 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Barranais, Barranaise | ||||
Population municipale |
653 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 12 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 37′ 03″ nord, 0° 26′ 37″ est | ||||
Altitude | 182 m Min. 121 m Max. 283 m |
||||
Superficie | 52,82 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Auch (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Auch-1 | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gers
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
| |||||
Liens | |||||
Site web | http://www.barran.fr/ | ||||
modifier |
Barran (Barran en gascon) est une commune française située dans le département du Gers, en région Occitanie.
Ses habitants sont appelés les Barranais.
Le patrimoine architectural de la commune comprend cinq immeubles protégés au titre des monuments historiques : la maison Marty, classée en 1944, une maison (grenier-des-Évêques), inscrite en 1944, la maison Yence, inscrite en 1973, une maison Renaissance (mairie), inscrite en 1978, et une maison, inscrite et classée en 1978.
Géographie
Localisation
Barran est située sur la Baïse et l'ancienne route nationale 643, à 15 km au sud-ouest d'Auch.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Barran se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].
Voies de communication et transports
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Baïse, l'Auloue, le Petit Rhône, le ruisseau de Monsourbé, le ruisseau de Béoulaygue, le ruisseau de Cocuron, le ruisseau de Fourmen, le ruisseau de Labarthe, le ruisseau de la Sarrouille, le ruisseau de Lasserrotte, le ruisseau de l'Escu, le ruisseau de Montchabreau, le ruisseau de Traouès et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 57 km de longueur totale[4],[Carte 1].
La Baïse, d'une longueur totale de 187,6 km, prend sa source dans la commune de Capvern et s'écoule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Léger, après avoir traversé 52 communes[5].
L'Auloue, d'une longueur totale de 45,4 km, prend sa source dans la commune de L'Isle-de-Noé et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Baïse à Valence-sur-Baïse, après avoir traversé 16 communes[6].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985[12] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,1 °C et la hauteur de précipitations de 685,4 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 12 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[15] à 13,5 °C pour 1991-2020[16].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[17] : la « retenue collinaire et mosaïque de milieux du domaine de la Castagnère » (464 ha), couvrant 3 communes du département[18], et la « vallée de l'Auloue et ses coteaux à Ordan-Larroque » (620 ha), couvrant 2 communes du département[19].
Urbanisme
Typologie
Barran est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[20],[I 1],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auch, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,1 %), prairies (15,5 %), zones agricoles hétérogènes (12,9 %), forêts (6,6 %), zones urbanisées (0,6 %), eaux continentales[Note 7] (0,4 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
Histoire
Lieu de passage du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle sur la via Tolosana, Barran est une bastide (village fortifié à plan quadrillé) fondée à la fin du XIIIe siècle (1279), à l'issue d'un paréage entre le comte d'Armagnac-Fézensac et l’archevêque d'Auch. Les coutumes sont de l'année suivante. La ville nouvelle vient s'enclencher dans un village préexistant, bourg ecclésial[23].
Barran fut très rapidement peuplée et au XVe siècle, outre l'équipement traditionnel, elle comporte une école municipale.
Elle abrita au Moyen Âge une petite communauté juive. Les archevêques d'Auch y installèrent leur résidence d'été au château de Mazères, qui servit d'hôpital militaire durant la Première Guerre mondiale.
Très meurtrie au XVIe siècle pendant les guerres de religion par les troupes protestantes de Montmorency, elle a toutefois pu conserver son plan orthogonal caractéristique des bastides, son église et d'importants éléments de fortification.
Politique et administration
Administration municipale
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].
En 2021, la commune comptait 653 habitants[Note 8], en évolution de −4,53 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
Barran dispose d'une école primaire publique[30].
Manifestations culturelles et festivités
Santé
Sports
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 306 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 674 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 310 €[I 4] (20 820 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 4,7 % | 4,6 % | 6,1 % |
Département[I 7] | 6,1 % | 7,5 % | 8,2 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 393 personnes, parmi lesquelles on compte 83 % d'actifs (76,8 % ayant un emploi et 6,1 % de chômeurs) et 17 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Auch, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 110 emplois en 2018, contre 99 en 2013 et 117 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 303, soit un indicateur de concentration d'emploi de 36,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,8 %[I 10].
Sur ces 303 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 62 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 89,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,7 % les transports en commun, 3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
47 établissements[Note 11] sont implantés à Barran au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 47 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
6 | 12,8 % | (12,3 %) |
Construction | 14 | 29,8 % | (14,6 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
8 | 17 % | (27,7 %) |
Activités financières et d'assurance | 1 | 2,1 % | (3,5 %) |
Activités immobilières | 3 | 6,4 % | (5,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
6 | 12,8 % | (14,4 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
6 | 12,8 % | (12,3 %) |
Autres activités de services | 3 | 6,4 % | (8,3 %) |
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,8 % du nombre total d'établissements de la commune (14 sur les 47 entreprises implantées à Barran), contre 14,6 % au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[32] :
- Mathieu Baro, travaux d'installation d'eau et de gaz en tous locaux (82 k€)
- Balilu, location de logements (22 k€)
Agriculture
La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 80 | 51 | 44 | 47 |
SAU[Note 14] (ha) | 4 106 | 3 964 | 3 749 | 3 986 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 80 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 51 en 2000 puis à 44 en 2010[35] et enfin à 47 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 41 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[36],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 4 106 ha en 1988 à 3 986 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 51 à 85 ha[35].
Entreprises et commerces
Le village, dont l'économie avait toujours reposé sur l'agriculture, subit de plein fouet l'exode rural au XXe siècle. Mais la baisse de la population, qui s'est encore accentuée après la Seconde Guerre mondiale, semble aujourd'hui enrayée grâce à l'installation de nouveaux habitants dans la commune, qui bénéficie aujourd'hui de sa proximité avec le chef-lieu Auch (15 km). Le village a ainsi pu conserver son école (primaire et maternelle), ses services privés (médecin, coiffeur) et ses commerces (épicerie, quincaillerie, bar-restaurant - actuellement fermé) essentiels.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Jean-Baptiste, datant du XIVe siècle[37] (son clocher et le pignon qui lui est accolé sont Classé MH (1944))[37], fut reconstruite vers 1569, puis elle subit des modifications importantes au XIXe siècle. Elle possède un clocher tors qui se compose d'une tour carrée dont le dernier étage, débordant, est recouvert d'ardoises. Il est surmonté d'une pyramide à base carrée puis d'une flèche octogonale de 50 mètres, aussi recouverte d'ardoises dont la partie inférieure tourne de gauche à droite, de 1/8e de tour. En 1971, le clocher dont la torsion s'était accentuée avec le temps, allant jusqu'à la cassure, fut réparé par les Compagnons de Saint-Sylvain d'Anjou, qui pensent que la flèche était tordue dès l'origine. La tradition orale veut que sa forme insolite soit due à l'action des vents.
- L'église Saint-Pierre de la Castagnère datant du XIIe siècle[38]. L'édifice est inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis 1978[38]. Une cloche en bronze datant du XVe siècle est inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis 2004[39].
- Le château de Mazères ( Classé MH (1981)), ancienne résidence des archevêques d'Auch.
- La tour porte est un élément bien conservé des anciennes fortifications entourant la ville. Elle est précédée d'un pont avec une arche en arc brisé cantonné de parapets à deux niveaux. À l'origine, la chaussée du pont était en bois et pouvait se replier pour se loger dans la rainure des parapets flanquant la porte. Le fossé, à cet endroit, est toujours visible. La tour porte est un carré de 7 m de côté et de 10 m de haut, couronnée à l'origine de créneaux remplacés depuis par une génoise.
- Le château remanié de Nux. Ancienne « salle gasconne » du XIIIe, XIVe, transformée au XVIe et surtout au XIXe dans un parc aménagé sous le Second Empire. Jean Pierre de Nux[40], seigneur d'Ardens et lieutenant au Rgt de Navarre Infanterie, vendit la salle de Nux le et la métairie de Petroche à Jean Marie Courtade, conseiller du sénéchal d'Auch.
- Pont de Mazères (XVIe siècle), qui relie les deux rives de la Baïse à proximité du château.
- Le carré militaire du cimetière, où furent inhumés les soldats décédés des suites de leurs blessures au château de Mazères. Les restes de cinq soldats musulmans y reposent, dont les tombes sont tournées vers La Mecque.
- Le château du May.
-
La collégiale Saint-Jean-Baptiste.
-
L'intérieur de la collégiale.
-
L'arrière de la collégiale.
-
Porte de la ville.
-
Les halles.
-
Les douves vues à travers une meurtrière.
-
Croix de chemin.
-
Lavoir.
Personnalités liées à la commune
- Jean-Justin Monlezun (1800-1859) : prêtre ayant servi à Barran.
Héraldique
Blasonnement :
Barré d'hermine et de gueules de huit pièces[41].
|
Voir aussi
Bibliographie
- Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39151085)
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Barran » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Barran » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Barran » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Barran » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Barran » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail.
- Plan séisme.
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Barran », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « la Baïse »
- Sandre, « l'Auloue »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Auch - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Barran et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Auch - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Barran », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « retenue collinaire et mosaïque de milieux du domaine de la Castagnère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée de l'Auloue et ses coteaux à Ordan-Larroque » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- B. Cursente, G. Loubès: "Villages Gersois" (Publication de la Chambre d'Agriculture du Gers, 1991).
- Site de la préfecture - fiche de Barran.
- ladepeche.fr du lundi 21 octobre 2019 - Gers : vive émotion après le décès du maire mort subitement pendant un trail.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, École primaire publique à Barran.
- Michel de La Torre, Gers : Le guide complet de ses 462 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5032-2, BNF 35576310).
- « Entreprises à Barran », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Barran - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gers » (consulté le ).
- « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Eglise de la Castagnère », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Cloche de la Castagnère », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- Jean Pierre de NUX.
- Banque du blason.