Genas

Genas
Genas
L'église Saint-Barthélemy.
Blason de Genas
Blason
Genas
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Rhône
Arrondissement Lyon
Intercommunalité Communauté de communes de l'Est Lyonnais
Maire
Mandat
Daniel Valéro
2020-2026
Code postal 69740
Code commune 69277
Démographie
Gentilé Genassien
Population
municipale
13 483 hab. (2021 en augmentation de 5,82 % par rapport à 2015)
Densité 566 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 43′ 56″ nord, 5° 00′ 10″ est
Altitude Min. 208 m
Max. 263 m
Superficie 23,84 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lyon
(banlieue)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Genas
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Genas
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Genas
Géolocalisation sur la carte : Rhône
Voir sur la carte topographique du Rhône
Genas
Géolocalisation sur la carte : Rhône
Voir sur la carte administrative du Rhône
Genas
Liens
Site web genas.fr

Genas [ʒənas] est une commune française, située dans la couronne péri-urbaine de Lyon dans le département du Rhône en région Auvergne-Rhône-Alpes. Ses habitants sont appelés les Genassiens[1].

Géographie[edit | edit source]

Les communes limitrophes sont Meyzieu, Chassieu, Pusignan, Saint-Bonnet-de-Mure, Saint-Priest et Colombier-Saugnieu.

Située à 15 km à l'est de Lyon, la commune appartient au département de l'Isère avant d'être rattachée à celui du Rhône en 1968[2]. Elle fait partie des communes dites de l'Est lyonnais. Elle tire son nom de la famille de Genas.

Communes limitrophes[edit | edit source]

Climat[edit | edit source]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 890 mm, avec 8,9 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lyon-Bron », sur la commune de Bron à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 820,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records LYON-BRON (69) - alt : 202m, lat : 45°43'16"N, lon : 4°56'57"E
Records établis sur la période du 01-09-1920 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 1,4 4,2 7,2 11,2 15 17 16,6 12,8 9,6 4,9 2 8,6
Température moyenne (°C) 4,1 5,2 9 12,3 16,3 20,3 22,6 22,3 17,9 13,7 8,1 4,8 13
Température maximale moyenne (°C) 7,1 9 13,8 17,4 21,5 25,6 28,2 28 23,1 17,7 11,4 7,7 17,5
Record de froid (°C)
date du record
−23
23.01.1963
−22,5
14.02.1929
−10,5
07.03.1971
−4,4
10.04.1949
−3,8
01.05.1938
2,3
01.06.1959
6,1
07.07.1962
4,6
25.08.1940
0,2
24.09.1928
−4,5
31.10.1950
−9,4
30.11.1925
−24,6
22.12.1938
−24,6
1938
Record de chaleur (°C)
date du record
19,1
10.01.15
21,9
25.02.21
26
31.03.21
30,1
16.04.1949
34,2
16.05.1945
38,4
27.06.19
40,4
24.07.19
41,4
24.08.23
35,8
05.09.1949
30,6
09.10.23
23
02.11.1924
20,2
18.12.1989
41,4
2023
Ensoleillement (h) 711 1 024 1 737 1 977 2 238 2 565 2 881 2 631 2 041 1 314 789 587 20 495
Précipitations (mm) 49,8 41,6 49,4 68,9 80,9 74,1 67,4 65,5 82,5 99,8 87,2 53,7 820,8
Source : « Fiche 69029001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[edit | edit source]

Typologie[edit | edit source]

Genas est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon, une agglomération inter-départementale regroupant 124 communes[12] et 1 653 951 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lyon est la deuxième plus importante de la France en termes de population, derrière celle de Paris[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

Occupation des sols[edit | edit source]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,2 %), zones urbanisées (21 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[edit | edit source]

Genas vient du nom gaulois Gaunos[18].

Histoire[edit | edit source]

Des tombes de soldats gaulois ont livré épées et lances en fer[19].

Antiquité[edit | edit source]

Située en plein centre du pays du Velin, la ville de Genas s'est implantée sur une moraine glaciaire datant de l'époque du Riss récent. Les premiers habitants connus seraient donc des Velauni, membres de la tribu des Allobroges[réf. nécessaire] (des sarcophages découverts lors de fouilles archéologiques au chemin de sous les vignes en attestent), lesquels après une série de batailles sanglantes furent écrasés par les Romains : ainsi le futur Dauphiné s'inclut dans la province romaine de la Narbonnaise à partir de -22 et la Pax Romana régna longtemps sur le territoire de la commune. Un simple coup d'œil sur la plaine dominée par la côte Bernard permet facilement de retrouver le cadastre gallo-romain. Les grandes invasions sont, pour l'ensemble de la Gaule, une période particulièrement trouble, et la découverte de sarcophages au chemin de dessus les vignes atteste l'occupation humaine.

Moyen Âge[edit | edit source]

Au Moyen Âge, Genas et Azieu forment deux communautés distinctes, la seconde dominant l'autre. Genas change souvent de maître, dont le premier connu s'appelle Jean de Genas, puis suivent de nombreux autres seigneurs jusqu'aux sires de Chandieu. Les troubles dus à la guerre de Cent Ans semblent avoir affecté les deux villages. En 1430, le prince d'Orange aurait démolie la bâtie d'Azieu, dont on peut voir des vestiges à Mathan.

De la Renaissance à la Révolution française[edit | edit source]

À la Renaissance et jusqu'à la Révolution française, rien ne vient troubler la vie des Genassiens. C'est pendant cette période que seront construits la plupart des châteaux situés sur la commune. En 1789, on dénombre une population d'environ 540 habitants.

La vie genassienne va s'écouler tranquillement : quelques siècles de paix permettent aux habitants de cultiver la vigne dont il reste des traces, les mûriers et le blé. C'est de cette époque que datent les premiers châteaux situés sur le territoire de la commune, comme le château Gandil. Lentement, le centre de gravité de la vie locale se déplace d'Azieu vers le bourg de Genas, à la veille de 1789, la commune compte 537 habitants.

La première municipalité en 1790 sera dirigée par Antoine Ollagnon. Lors de la révolte des Lyonnais et le siège de la ville par les armées de la Convention des Genassiens seront réquisitionnés ainsi que de la nourriture et des animaux[réf. nécessaire]. Cette situation agace les Genassiens, qui accueillent favorablement l'avènement de l'Empire. La crise frumentaire et les évènements parisiens atteignent bien sûr Genas, avec toutefois un léger décalage dans le temps.

Le XIXe siècle[edit | edit source]

Un plan des années 1840 montrant Genas en Isère.

Le XIXe siècle est l'époque du premier grand essor genassien : la révolution industrielle bouleverse les mentalités, les modes de vie et Genas, en 1861, compte plus de 2 000 habitants. Si l'agriculture constitue encore la principale richesse économique, il faut aussi tenir compte de l'industrie du velours qui fait vivre environ 400 personnes. Quant aux fabriques de tuiles, importantes à l'époque, comme en témoigne une « rue des Tuileries », elles subsistent jusqu'en 1930. Néanmoins, si la commune se développe, l'harmonie ne règne pas toujours entre les habitants. Ainsi la vieille rivalité opposant habitants du bourg à ceux d'Azieu dégénère parfois en querelles et conflits[réf. nécessaire] : ceci explique la construction de deux églises et de deux groupes scolaires. Le fort de Genas est édifié entre 1886 et 1890.

Le XXe siècle et l'époque contemporaine[edit | edit source]

Le terminus du tramway à Genas à la veille de la Première Guerre mondiale.

La construction d'un tramway fait de Genas un des lieux favoris des Lyonnais à la recherche de calme et d'air pur, notamment à l'étang de Mathan. Au cours de la Première Guerre mondiale, 92 habitants de Genas et Azieu périssent, cependant que cinq morts sont à déplorer du fait de la Seconde Guerre mondiale.

Le , au lieu-dit Bouvaret, les Allemands exécutèrent vingt-deux détenus de la Prison Montluc[20].

En 1945, on dénombre 1 630 habitants. Les Trente Glorieuses qui suivent le second conflit mondial vont, en un très court laps de temps, modifier le paysage communal : la ville subit une forte poussée démographique, l'agriculture régresse inexorablement, une zone d'activité est créée et de nombreux employés et cadres viennent se fixer à Genas. Aujourd'hui, Genas regroupe Azieu, Ratabizet[réf. souhaitée], Vurey et le bourg de Genas.

Politique et administration[edit | edit source]

Tendances politiques et résultats[edit | edit source]

Administration municipale[edit | edit source]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1951 1963 Henri Réaux    
1963 1968 Benoît Bornicat    
1968 1969 Albert Decombe    
Paul Pervangher DVD  

(démission)
Michel Bonnefois RPR[21] puis UMP  
Michel Loeï UMP  
En cours Daniel Valéro UMP-LR
puis Horizons[22]
Cadre du secteur privé
Conseiller départemental du canton de Genas (2015 → )
Vice-président délégué du conseil départemental du Rhône (2015 → )
Les données manquantes sont à compléter.

À la suite d'une condamnation pénale en [23], Michel Bonnefois est contraint de démissionner de son poste de maire et le conseil municipal le remplace par Michel Loeï, son premier adjoint. Le , la Cour d'appel de Lyon permet à Michel Bonnefois de redevenir éligible et celui-ci tente de reconquérir son mandat. Michel Bonnefois demande donc et obtient la démission d'un tiers du conseil municipal pour provoquer de nouvelles élections.

Le nouveau scrutin se déroule les 18 et . La liste Genas conduite par Michel Bonnefois est opposée à celle de son ancien colistier et premier adjoint, ainsi qu'à deux autres listes de droite et une liste de gauche Genas pour tous menée par Jean-Baptiste Ducatez. Michel Loeï conserve alors son fauteuil de maire[24].

Les élections de changent de nouveau la donne. Michel Loeï ne réussit pas à conserver son siège et Daniel Valéro, gendre de Michel Bonnefois, permet à son clan de regagner la commune.

Depuis 2008, le conseil municipal de 33 élus est constitué de trois groupes, le groupe majoritaire de Daniel Valéro (UMP), le groupe de Patrick Mathon (ex-groupe de Michel Loeï - UMP) et le groupe de Jean-Baptiste Ducatez (Divers gauche).

Le , les agents municipaux se mettent en grève pour exprimer leur ras-le-bol et dénoncer la gouvernance à la tête de la municipalité et ses conséquences sur les employés. La municipalité n’avait auparavant jamais connu de grève[25].

Le , le groupe « Genas pour Tous » et trois anciens adjoints de Daniel Valéro, Myriam Martin, Christophe Ulrich et Gilles Blanchard créent un nouveau groupe au sein du conseil municipal sous le nom de « Unis pour Genas »[26].

Élections municipales de

En , le groupe d’élus au conseil municipal « Unis pour Genas », mené par Christophe Ulrich (ancien adjoint aux sports de Daniel Valéro) et Jean-Baptiste Ducatez, annonce le lancement d’une liste de rassemblement sans étiquette pour les municipales de 2014[27]. Le , elle est opposée à la liste « Genas, c'est ma nature » de Daniel Valéro qui l'emporte largement en obtenant 65,94 % des voix et 28 élus[28].

Intercommunalité[edit | edit source]

La commune fait partie de la communauté de communes de l'Est Lyonnais (CCEL). Née le 29 décembre 1993, elle rassemblait à son origine 6 communes, dont la Ville de Genas : Colombier-Saugnieu, Genas, Jons, Pusignan, Saint-Bonnet de Mure et Saint-Laurent de Mure. En 2013, 2 nouvelles communes ont intégré la CCEL : Saint-Pierre-de-Chandieu et Toussieu, portant le bassin de vie à près de 40 000 habitants répartis sur un territoire de 14000 hectares[29].

Jumelage[edit | edit source]

Drapeau de l'Allemagne Ronshausen (Allemagne).

Population et société[edit | edit source]

Démographie[edit | edit source]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[30],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 13 483 habitants[Note 4], en augmentation de 5,82 % par rapport à 2015 (Rhône : +3,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7037118351 4271 5751 5901 7161 8351 907
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 0362 1422 0701 9622 0381 9262 1291 9781 913
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7841 7691 6331 5821 6411 6961 6311 7782 022
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 0922 8284 7105 4719 31611 14011 56212 32112 624
2021 - - - - - - - -
13 483--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[edit | edit source]

Genas compte quatre écoles publiques (Jean-d'Azieu, Nelson-Mandela, Joanny-Collomb, Anne-Frank) et une école privée (Jeanne-d'Arc). Il y a un collège public Louis-Leprince-Ringuet) et un privé (Jeanne-d'Arc).

Manifestations culturelles et festivités[edit | edit source]

Santé[edit | edit source]

Sports[edit | edit source]

La ville de Genas comporte de nombreux clubs sportifs :

  • Football : L’Éveil Sportif Genas Azieu Foot (ESGA Foot)[33],[34]
  • Rugby : Le Club Rugby de l'Est Lyonnais (REEL XV)[35]
  • Basketball : L’Éveil Sportif Genas Azieu Basket (ESGA Basket)[36]
  • Handball : L’Éveil Sportif Genas Azieu Handball (ESGA Handball)[37]
  • Badminton : L’Éveil Sportif Genas Azieu Badminton (ESGA Badminton)[38]
  • Tennis : Tennis Club de Genas
  • Judo : L’Éveil Sportif Genas Azieu Judo (ESGA Judo)

Cadre de vie[edit | edit source]

Environnement[edit | edit source]

Culture locale et patrimoine[edit | edit source]

Lieux et monuments[edit | edit source]

L'église Saint-Barthélémy.

Personnalités liées à la commune[edit | edit source]

Héraldique[edit | edit source]

Les armes de la commune de Genas se blasonnent ainsi :
Écartelé : au premier et au quatrième d'or aux deux branches de genêt de sinople passées en sautoir, au deuxième et au troisième de gueules à l'aigle d'argent becquée et membrée d'or (Spifame)[39].

Voir aussi[edit | edit source]

Articles connexes[edit | edit source]

Liens externes[edit | edit source]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[edit | edit source]

Notes[edit | edit source]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[edit | edit source]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[edit | edit source]

  1. « Genas », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. « De l’isère au Rhône... », sur ccel.fr (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Genas et Bron », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Lyon-Bron », sur la commune de Bron - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Lyon-Bron », sur la commune de Bron - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. André Devaux, Les noms de lieux dans la région lyonnaise aux époques celtique et gallo-romaine, Lyon, , 48 p. (lire en ligne), p. 38.
  19. Aimé Bocquet, l'Isère pré et protohistorique, Gallia Préhistoire, 1969-2.
  20. Les Fusillés 1940-1944
  21. « Michel Bonnefois, le maire RPR qui dirige la commune de Genas, se livre à une tout autre analyse. » [1]
  22. « Comités municipaux », sur Horizons Le parti (consulté le ).
  23. « Michel Loeï, maire de Genas », sur Mlyon (consulté le ).
  24. « Le maire de Genas a démissionné », sur Mlyon (consulté le ).
  25. Article dans Le Progrès du 18 novembre 2011
  26. Article dans Le Progrès du 29 novembre 2012
  27. Article dans Le Progrès du 21 juin 2013
  28. Résultats des élections municipales et communautaires 2014 à Genas sur le site du ministère de l'intérieur
  29. « CC. de l'Est Lyonnais », sur CCEL (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Eveil Sportif Genas Azieu Foot Masculin »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  34. « Eveil Sportif Genas Azieu Foot Féminin » (consulté le ).
  35. « Club Rugby de l'Est Lyonnais » (consulté le ).
  36. « Eveil Sportif Genas Azieu Basket » (consulté le ).
  37. « Eveil Sportif Genas Azieu Handball » (consulté le ).
  38. « Eveil Sportif Genas Azieu Badminton » (consulté le ).
  39. « Blason de Genas », sur [2] (consulté le ).