Wikipédia:Oracle/semaine 34 2011

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Boléro : droits d'auteur[modifier le code]

Bonjour à tous et bonne semaine,

… sujet maintes fois débattus, la durée des droits d'auteur du Boléro de Ravel a un nouvel argument décrit dans l'article par une IP (lire ici). Effectivement, les droits d'auteur d'une œuvre ayant plusieurs auteurs perdurent 70 ans après le dernier disparu. Je le savais déjà par exemple pour L'Enfant et les Sortilèges du même Ravel et de Collette, morte après lui, prorogeant les droits de 17 ans. L'œuvre littéraire et l'œuvre musicale étant imbriquées l'une à l'autre, le texte dans la partition à la manière d'un opéra où le livret et la musique sont liés. Mais qu'en est-il pour une chorégraphie ? Surtout que dans le cas présent, Ravel a travaillé seul pour composer, Bronislava Nijinska (sœur de Nijinski) étant l'auteur de la première chorégraphie après que la partition fut faite… Est-ce qu'il y a déjà des exemples de musique/chorégraphie liées par les droits d'auteur ? — Hautbois [canqueter] 22 août 2011 à 08:57 (CEST) (Pour un artiste âgé, cela peut être intéressant pour assurer des revenus à ses descendants de créer avec un petit jeune de 20 ans une œuvre « universelle » : si le jeune meurt à 90 ans, ça double la durée des droits Émoticône sourire )'’[répondre]

Bonjour M’sieu-dames, une question subsidiaire pour continuer, je me suis toujours demandé comment on notait, ou enregistrait, une chorégraphie (et partant, comment on pouvait prétendre à percevoir des droits d’auteur). Une danseuse (de chez Béjart) me dit un jour que ça ne se notait pas, une sorte de tradition orale en quelque sorte. Égoïtééééé ! tu dois savoir, nous avons les moyens de te faire parler ! Morburre (d) 22 août 2011 à 10:55 (CEST)[répondre]
Salut, Chalumeau. Pour le Boléro, il me semble que la réponse est dans ta question : les deux œuvres étant conçues indépendamment l'une de l'autre (même si la chorégraphie est en un sens dépendante du morceau), le droit d'auteur de l'une ne déteint pas sur celui de l'autre. Pour le droit d'auteur conjoint entre ballet et musique, à coup sûr le cas à eu lieu, dans des pays ou des époques où le droit est plutôt celui du copyright ou équivalent, qui fait que le propriétaire d'une œuvre est son commanditaire plutôt que son auteur.
Salut Morburre. Ça dépend du genre de chorégraphie. À remarquer que la chorégraphie est proprement [l'art d'écrire la danse] : « Étymologiquement “chorégraphie” désigne au XVIIIe siècle l'écriture de la danse à l'aide de signes symboliques ou de croquis ». Il y a diverses méthodes pour noter une chorégraphie, celle assez simple destinée aux danses populaires ou de salon, qui consiste à décrire le schéma répétitif des pas et mouvements, un exemple ancien en est l’Orchésographie (ou « traicté en forme de dialogue par lequel toutes personnes peuvent facilement apprendre & practiquer l'honneste exercice des dances ») de Thoinot Arbeau. Il existe bien d'autres ouvrages sur la notation du mouvement en danse, qui vont de la Renaissance à l'époque contemporaine.
Pour la danse classique et pour celle moderne qui en dérive il y a tout le vocabulaire des pas, mouvements et positions, qui permet une finesse descriptive assez grande, pour ces danses et pour celles plus contemporaines ont été inventés des systèmes de notation, entre autres la notation Laban et la choréologie ou notation Benesh. Bref, l'art d'écrire les compositions de danse n'est pas dépourvu de moyens pour s'exercer. -O.--M.--H.- 22 août 2011 à 12:11 (CEST)[répondre]
Salut Olivier. Je n’en doute pas le moins du monde, mais on voit plus rarement une « partition » de danse qu’une partition de musique, dont le système de notation (pour notre monde occidental et moderne) semble à peu près fixé. Morburre (d) 22 août 2011 à 12:28 (CEST)[répondre]
À mon avis, c'est moins à cause de la rareté que de la spécificité. Pour comparaison, on trouve publiés dans des ouvrages ou périodiques grand public des organigrammes destinés à représenter l'articulation des fonctions dirigeantes d'une organisation, on y trouvera beaucoup plus rarement un schéma pour la programmation ou la production. Sans dire que les partitions musicales sont moins « techniques » que celles pour la danse, du moins y a-t-il énormément plus de personnes familiarisées avec les unes qu'avec les autres. En outre, une partition musicale est un outil de travail pour tous les exécutants d'une œuvre, une partition chorégraphique n'est l'outil que du chorégraphe et s'il en a, de ses assistants, donc un public très restreint. -O.--M.--H.- 22 août 2011 à 13:34 (CEST)[répondre]
Salut Morburre, je réponds très volontiers à ton appel (et même à ton ordre ! Émoticône).
Outre la « transmission orale et corporelle » IRL si j’ose dire — puisque le danseur « qui sait », qui a mémorisé dans son corps et sa tête, apprend physiquement les pas et intellectuellement le sens de ceux-ci et leur dramaturgie à celui qui ne sait pas encore (et cela pour certaines œuvres, de générations en générations) — et les méthodes « anciennes » écrites, il y a le miracle de la vidéo !
La bonne vieille bête prise de vue, prise de préférence de face (pas celles qui ont une portée artistique et qui interprètent la danse) : le danseur qui visionne la vidéo peut décoder le langage chorégraphique (la suite des pas), le situer dans l’espace, repérer les connections, affiner sa perception de l’interprétation, voir et revoir x fois, s’imprégner de l’œuvre et enfin la restituer.
Merci la technique ! car je t’assure que la notation écrite représente une telle somme de travail et de temps que 1/ rares sont ceux et celles qui s’investissent dans ce type de métier et que 2/ rares sont les compagnies qui peuvent s’offrir le luxe de ces rares professionnels de haut niveau.
Pour les partitions écrites, tu n’en trouveras, sauf exception, dans dans quelles grandes compagnies - et plutôt en Allemagne ou en grande-Bretagne.
Amitiés, --Égoïté (d) 22 août 2011 à 13:46 (CEST) après conflit d’édit. avec notre ami Olivier[répondre]
Photo à défaut de vidéo des 4 petits cygnes
Est-ce à dire qu’on peut encore (si besoin) refaire une chorégraphie de Petipa (qui, à première vue, n’a pas vraiment connu la vidéo et pas beaucoup le cinéma) ? Non, ce n’était pas un ordre. Bises ! Morburre (d) 22 août 2011 à 15:19 (CEST)[répondre]
Oui sans aucun doute. En précisant « pour certaines variations » comme celle des 4 petits cygnes du Lac des cygnes. Car il est évident aussi que les chorégraphes eux-mêmes s’en sont mêlés et que la transmission ne s’est pas limitée d’ancien danseur -> prof à nouveau danseur -> interprète -> prof lui-même, etc. Si la marge de manœuvres pour certains passages est bien moindre qu’au théâtre où les gestes qui accompagnent les mots ne pas pas codifiés ni écrits, elle existe néanmoins, et chaque nouveau maitre de ballet qui remonte le Lac (par ex. toujours) y ajoute sa touche personnelle de chorégraphe, suivant sa propre idée de l’oeuvre qui va aussi se traduire par le choix du décorateur, de l’éclairagiste, etc. Donc on arrive aux versions du Lac des Cygnes d’après Marius Petipa. Mais les petits bijoux que constituent les petites variations de 1 ou 2 minutes sont généralement restées telles quelles car trop bien connues et appréciées du public balletomane qui n’aurait pas supporté qu’on les modifie. Et quand il l’a supporté, ces variations faisaient partie de l’anthologie où puiser pour les auditions et les concours. --Égoïté (d) 22 août 2011 à 16:51 (CEST) qui adore ce type de non-ordre.[répondre]
Il faut préciser par ailleurs que certaines œuvres ont laissé une liberté d’improvisation à l’étoile comme certaines partitions musicales le font aussi. Là forcément... Mais ces moments d’improvisation, à ma connaissance, ont rapidement été supprimés pour les « remontages » ultérieurs. --Égoïté (d) 22 août 2011 à 17:12 (CEST)[répondre]
… à noter que Nijinski, le frère de Nijinska (la chorégraphe du Boléro pour ceux qui ne suivent pas), était aussi chorégraphe. Il avait son propre système de notation de la danse et « grâce aux recherches de spécialistes, on a pu reconstituer fidèlement certaines de ses chorégraphies, dont L'Après-Midi d'un faune et une partie du Sacre du printemps » dont il a fait les premières chorégraphies.
… j'en reviens donc à ma question première (que Morburre à parfaitement détournée… mais si, mais si mooonsieur !) : comment fonctionnent les règles des droits d'auteur chorégraphie/musique pour un ballet ? — Hautbois [canqueter] 24 août 2011 à 07:15 (CEST)[répondre]
C’est une excellente question, Hautbois, à laquelle j’ai d’autant moins de réponse que je suis en train de me demander comment, d’abord, établissait-on les droits d’auteurs pour une chorégraphie ? tenant compte que 1/ il y a très peu de chances qu’elle ait été notée (voir plus haut) et que 2/ la vidéo est quand même récente... --Égoïté (d) 24 août 2011 à 08:06 (CEST)[répondre]
Comme quoi, Monsieur Hautbois, ma question adjacente avait sa raison d’être. Morburre (d) 24 août 2011 à 09:37 (CEST)[répondre]
C'est pas si clair pour la notation. Je me souviens d'une série d'émissions de France Culture, il n'y a pas si longtemps, sur le travail des chorégraphes actuels ou très récents (dernier quart du siècle dernier), et ça allait de l'absence totale de notation, y compris vidéo, ce qui demandait la collaboration des interprètes pour tenter de les recréer, à la notation complète sur papier, comme le fait par exemple Angelin Prejlocaj, en passant par tous les mixtes des diverses possibilités (notation assez complète ou assez sommaire sur le papier, fixation du travail très précise ou très approximative sur vidéo, etc.).
Pour la question des droits, tu peux avoir trois cas, tous trois prévus par la loi française et probablement la plupart des lois sur la question : l'œuvre de collaboration, à laquelle participent plusieurs auteurs chacun pour sa partie, l'œuvre composite, une « œuvre nouvelle à laquelle est incorporée une œuvre préexistante sans la collaboration de l'auteur de cette dernière » et l'œuvre collective où il n'est pas « possible d'attribuer à chacun [des auteurs] un droit distinct sur l'ensemble réalisé ». Dans le cas de la chorégraphie sur le Boléro on a affaire à une œuvre composite puisque toutes les chorégraphies ont été conçues indépendamment de la création de l'œuvre. Je n'ai pas d'exemple en tête pour les œuvres collectives mais il y en a eu pas mal au cours des temps, par contre tu as le cas de la Messe pour le temps présent qui est une œuvre de collaboration. Lesdites œuvres sont complexes, pour la question des droits.
Comme le précise l'article L113-3 du Code de la propriété intellectuelle, « l'œuvre de collaboration est la propriété commune des coauteurs [qui] doivent exercer leurs droits d'un commun accord », cependant « lorsque la participation de chacun des coauteurs relève de genres différents, chacun peut, sauf convention contraire, exploiter séparément sa contribution personnelle, sans toutefois porter préjudice à l'exploitation de l'œuvre commune ». Donc si un tiers veut recréer l'œuvre complète (musique et chorégraphie) il faut l'accord de tous les auteurs ou de leurs ayant-droit, par contre le chorégraphe ne peut s'opposer à la création d'une nouvelle chorégraphie sur la même musique ni le musicien à l'emploi de la même chorégraphie sur une autre musique. -O.--M.--H.- 24 août 2011 à 12:13 (CEST)[répondre]
Pour l'emploi de la même chorégraphie sur une autre musique, j’ai des doutes quant à la réussite ! Émoticône sauf à imaginer une oeuvre musicale spécifiquement créée d’après la chorégraphie, bien entendu... --Égoïté (d) 24 août 2011 à 13:58 (CEST)[répondre]
Moi aussi, c'était juste pour dire... Remarque, l'autre jour sur France Culture (oui oui, j'écoute souvent cette radio, un régal pour l'oreille et l'esprit Émoticône) j'entendais Jean Babilée (Incroyable ! Son article est cruellement bref...) qui parlait de la création du fameux ballet Le Jeune Homme et la Mort : pendant un long moment les répétitions se firent sans musique et ce n'est que vers la fin que je ne sais plus qui leur suggéra la Passacaille et fugue en do mineur qui collait parfaitement à l'œuvre. -O.--M.--H.- 24 août 2011 à 14:31 (CEST)[répondre]
PS. Il s'agissait du chef d'orchestre André Girard, et ça s'est décidé la veille de la première (pardon, de la générale). Si tu veux toute l'anecdote, elle peut s'entendre ici, vers la 22° minute. -O.--M.--H.- 24 août 2011 à 14:56 (CEST)[répondre]
Je conteste ! Faut quand même que je fasse état de mon érudition (oui je sais, la culture c’est comme la confiture...) Émoticône. Donc utilisons le droit de citation :

« À la demande de Cocteau, Roland Petit règle ses pas sans musique, puis sur de quelconques airs de jazz, puis encore sur ceux d’une chanson américaine « Frankie et Jonny » [sic]... Dans ce ballet où le rythme musical est voulu indépendant du rythme chorégraphique, la musique de jazz est trop impérative. Il faut changer de partition et on est à quarante-huit heures de « la générale ». Changer une partition soit, mais en trouver une qui corresponde et qui dure exactement dix-sept minutes, drôle de problème ! Voilà tout le monde, le chef d’orchestre André Girard en tête, à la recherche d’une partition de dix-sept minutes. On en trouve une dans Schubert... Trop romantique pour le ballet. Ah ! l’ouverture de La Flûte enchantée. Une peu sautillante pour un drame. La Passacaille de Bach, orchestrée par [[Ottorino Respighi|Modèle:Þ…Respighi]], s’écrie Cocteau triomphant, et ce fut cette passacaille qui, tel un fleuve majestueux, déroula son style fugué en contrepoint indifférent au drame chorégraphique présenté sur scène. »

— André Boll, Jean Babilée, Robert Laffont, 1956, p. 14 et 15.

Ceci écrit, je ne suis responsable ni du style ni de la véracité. Et p...urée ! Le Jeune Homme et la Mort n’est même pas cité à l’article Jean Babilée ?!? Smiley Colère --Égoïté (d) 24 août 2011 à 15:37 (CEST)[répondre]
Ah ouais, ça fait mal de voir ça ! Un pauvre petit article de rien du tout pour un artiste pareil ! Sinon, l'anecdote est la même, à peu de chose près, et pour tout dire je préfère le bagout de Balilée Émoticône -O.--M.--H.- 24 août 2011 à 16:37 (CEST)[répondre]
Bon j’ai (un peu) complété mais j’ai passé trop de temps sur WP aujourd’hui. Faut que je bosse un peu aussi... --Égoïté (d) 24 août 2011 à 18:01 (CEST)[répondre]

Statuaire sarthoise[modifier le code]

bonjour

j'ai vu dans le chateau de momirail dans la sarthe dans la salle de garde des status dans chaque coin dont une representér un petit singe qui mord la queue d'un dragon si vous avez la posibilité de n'aide pour la definition je serais tres heureux je vous remercient d'avance merci

Une photo ? Calame (d) 22 août 2011 à 10:23 (CEST)[répondre]
Le site internet dont le lien est sur le site de l'office du tourisme mais il semble en panne. Soit le téléphone du château : 02 43 93 72 71. Demander Mme GALPIN. Bertrouf 30 août 2011 à 05:00 (CEST)[répondre]

Problème de Force[modifier le code]

Bonjour à tous et à toute. Passionné par tout ce qui vole, je viens de me lancer dans un projet visant à concevoir un aéronef quadrimoteur, ressemblant à peu près à celui-ci : Quadrirotor Gaui 330X. Cependant, afin de connaître la longueur des pâles et quels moteurs utilisés, j'aurais besoin de connaître la formule permettant d'exprimer la force exercé par une hélice en fonction de sa surface et de sa vitesse de rotation. Sachant que l'hélice comporte deux pales.

Je vous remercie d'avance.

désolé, mais c'est beaucoup plus compliqué que ça. La surface de l'hélice (et donc n'est pas un paramètre très important, le nombre de pales non plus, quant l'influence de la vitesse et bien ... ça dépend !
Cela étant, tu peux exploiter les données de pression ou de débit qui sont fournies par l'engin (ou qu'il te faudra découvrir autrement à défaut de ces informations), et calculer la force selon les formules données par l'article Force_(physique) :
par la pression (voir Force_(physique)#Pressions ) : multiplier la pression donnée pour le soufflant par la surface totale balayée par l'hélice (et PAS par la surface de l'hélice !)
par le débit et la vitesse d'éjection (voir Force_(physique)#Le_concept_de_force_et_les_théories_modernes_de_la_physique et Quantité_de_mouvement#En_mécanique_classique etc. ; compliqué, mais heureusement on a aussi Poussée ) : la force est, grosso modo, le produit du débit massique par la vitesse de l'air
Attention aux conversions...
gem (d) 22 août 2011 à 15:33 (CEST)[répondre]
À mon avis, en modélisme aérien, ils ne calculent rien. C'est empirique. Ils savent que tel moteur va bien avec telle hélice et convient bien à tel type d'aéroplane. Et probablement qu'ils commencent par un monomoteur... Émoticône -- Xofc [me contacter] 22 août 2011 à 22:35 (CEST)[répondre]
Tout d'abord, merci de vos réponses :-) Je pense me documenter dans les liens que Gem m'a indiqués. De mon coté, j'ai tenu le raisonnement suivant :
En tournant sur elle même, l'hélice décrit dans l'espace un volume V, qui correspond à V= π*(d/2)^2*X où d correspond au diamètre de l'hélice et X à sa largeur en m. Cependant, l'hélice possède une hélice rotative ω qui s'exprime en rad.s^-1
Ainsi à chaque seconde une pale de l'hélice déplace un volume d'air de : V= (π*(d/2)^2*X)/(2π)*ω m^3, soit pour une hélice comportant deux pales V= (π*(d/2)^2*X)/(π)*ω m^3.
En fait, on obtient ici le débit de l'hélice. Or au niveau de la mer, dans des conditions atmosphérique normale, la masse volumique de l'air est de
1.2 kg.m^-3. Ce qui signifie, que l'hélice déplace une masse de m= (1,2π*(d/2)^2*X)/(π)*ω kg.s^-1 et donc, pour g=9,81 N, un poids de
P= (11.772π*(d/2)^2*X)/(π)*ω N.s^-1, soit après simplification, une force de portance de P = 2.943*d^2*X*ω N dirigée vers le sol.
Voilà, ce à quoi j'ai débouché avec mes connaissance d'élèves de 1er S, c'est sans doute plein d'erreur et empreint d'une forte naïveté.
Dans tout les cas merci à Gem et à Xofc pour leur aide.
Nicolas Fatous (d) 23 août 2011 à 20:19 (UTC+1)
Ben déjà, en 1°S, tu devrais savoir que l'aire du disque est πr^2, donc tu divises tes formules par 2. Pour le reste, comme il est 1h45 du mat', j'ai la flemme...
Jan III Sobieski[Un café turc, siou plaît !] 24 août 2011 à 01:48 (CEST)[répondre]
Bien tenté, mais tu commet deux erreurs, une petite et une grosse. La petite, c'est de négliger le rendement de l'hélice, ie le fait que brasser de l'air ce n'est pas équivalent à lui imprimer un mouvement. Baste, on te le fait en gros à 25 % de perte (Hélice_aérienne#Rendement_de_propulsion) donc il te manque un facteur 0,75 quelque part.
La grosse, c'est de vouloir passer directement du débit à la force, en utilisant g au lieu de v (la vitesse imprimée à l'air) ; si tu avais fait une vérification de tes unités (Analyse dimensionnelle) tu te serais d'ailleurs aperçu que ça colle pas (g est m.s^-2 dont tu te retrouve avec un s^-1 de trop pour faire une force)
En fait tu t'emmerdes beaucoup, le plus simple c'est d'attaquer directement le problème par la puissance (physique) du soufflant, qui elle, est écrite sur le moteur (- les pertes, électrique et dans l'hélice). Divise la puissance réelle par la vitesse imprimée à l'air (souvent donné ou, à défaut, relativement facilement mesurable) et tu as directement la force.
gem (d) 24 août 2011 à 12:00 (CEST)[répondre]
Ou pas... Son exposé manque de rigueur, mais je crois comprendre que tout est calculé 'par seconde' : il faut juste noter à chaque fois le s^-1, ou alors pas du tout. Et en 1°S, si rien n'a changé, l'analyse dimensionnelle, ils ne connaissent pas encore... C'est d'ailleurs bien dommage. Jan III Sobieski[Un café turc, siou plaît !] 24 août 2011 à 15:11 (CEST)[répondre]
@Jan3sobieski En effet, ceci est une erreur impardonnable, je l'ai aussitôt corrigée. De plus la démonstration est effectivement "calculé
'par seconde'", j'aurais du précisé "à un instant t", dotant plus qu'un hélico est constamment en mouvement, ce qui signifie que le travail
de ces forces varient de manières constante.
@Gem, merci de m'avoir fait remarquer le problème du rendement, que j'ai totalement omis ! On peut donc écrire :
PT = Pe*0.75 soit Pe = 0.75*2.943*d^2*X*ω = 2,20725*d^2*X*ω N
Où PT Portance théorique et Pe Portance effective.
Mais peut être que je persiste dans mon erreur ?
--Nicolas Fatous (d) 24 août 2011 à 20:37 (CEST)[répondre]
ça ne va pas le faire si tu n'est pas précis ; et, pour commencer, il faut avoir une idée bien précise de ce que sont les éléments de ton calcul et en quoi ça se mesure ( mètre, s, kg ...). On ne fait pas des calculs "par seconde" avec des forces, parce que une force multipliée par un temps c'est ... rien du tout . Enfin, l'application numérique ne se fait qu'à la toute fin, une fois la formule finale reliant la grandeur cherchée aux variables connues (et seulement aux variables connues : une formule avec ω ne te sert que si tu as effectivement un moyen de mettre un chiffre sur cette grandeur).
Ces préalables étant posé, il devrait être évident que le "poids" de l'air déplacé n'a aucune espèce d'importance : l'air ne tombe pas, il est poussé par le soufflant (et même si l'air tombait ça n'aurait aucun effet sur l'engin). donc ton calcul qui fait intervenir le poids de l'air est par principe faux. Ce qui compte c'est la vitesse d'éjection (Cf. la formule de poussée) : F = q.v où q est le débit massique et v la vitesse imprimé à l'air
mais comme suggéré plus haut empiriquement le plus simple c'est de partir de la puissance électrique du soufflant (c'est marqué sur la bête !) , d'appliquer deux correctif de rendement (un pour le rendement électrique du moteur et un pour le rendement de l'hélice ; deux fois 0,75, arrondi à un seul rendement global de 0,5) pour obtenir la puissance soufflée, et de traduire ça en force en inversant la formule de Puissance_(physique)#Puissance_d'une_force : P = F.v donc F = P/v = 0,5 Pe/v où Pe est la puissance électrique et v la vitesse de l'air soufflé. Reste à mesurer cette vitesse.
gem (d) 25 août 2011 à 10:43 (CEST)[répondre]
Bien, je vais appliqué ce que tu m'as indiqué. Merci encore d'avoir pris le temps d'éclairer ma lanterne :-)
Respectueusement
--Nicolas Fatous (d) 26 août 2011 à 12:44 (CEST)[répondre]

documents soussignables[modifier le code]

bonjour je voudrais savoir quels documents officiels sont soussignables par un préfet merci d'avance

Salut. Tu veux savoir lesquels sont « soussignables » ou lesquels sont visables ? -O.--M.--H.- 23 août 2011 à 06:33 (CEST)[répondre]
soussignable ? mais qu'est-ce que ça veut dire, soussignable ?
serait-ce un mot de jargon local en rapport avec le contrôle de légalité des actes des collectivités territoriales et de certains établissements publics français ?
gem (d) 23 août 2011 à 10:58 (CEST)[répondre]

réussissabilité d'un concours[modifier le code]

Bonjour je voudrais savoir comment on évalue la réussissabilité d'un concours ?

mon dieu ... après "sousignable", voilà "réussissabilité"...
J'en viens à me demander si ce n'est pas un concours de barbarisme, pour rire ?
Ou alors c'est que "le progrès fait rage" ?
Enfin, bon...
La difficulté ou la facilité d'un concours s'évalue en général au nombre de reçu rapporté au nombre de candidats ; ce n'est qu'une évaluation et non une mesure, car on sait bien que certains concours très difficiles ne sont même pas tenté par des candidats qui estiment n'avoir pas le niveau, ce qui réduit artificiellement le ratio, et qu'inversement certains concours très faciles attirent des masses considérables de candidats pour un nombre de places faibles.
Une autre évaluation de la difficulté d'un concours est le niveau de revenu qu'elle permet d'espérer en sortie... gem (d) 23 août 2011 à 13:59 (CEST)[répondre]
Ah, je vais peut-être être obligé de restaurer la page réussissabilité sur le Wiktionnaire [1]. Émoticône--GaAs 23 août 2011 à 14:41 (CEST)[répondre]
Ou alors, un royalisme ou un sarkozisme ? Qui sont souvent des synonymes de barbarisme... Vive la branchitude ! -O.--M.--H.- 23 août 2011 à 19:17 (CEST)[répondre]
Voir aussi 'Concours'. À mon avis, on ne réussit pas un concours, on se classe (et donc, le résultat dépend essentiellement de la concurrence (et de la dispersion des résultats)). Par contre, on réussit un examen (et ces évaluations font l'objet d'une 'science' : la docimologie). -- Xofc [me contacter] 24 août 2011 à 05:20 (CEST)[répondre]
Je n'ai jamais entendu parler de réussissabilité, alors je tente des explications périphériques. Sachez que pour rédiger un devoir de difficulté déterminée, c'est avant tout l'expérience du rédacteur. Mes enseignants considéraient leur propre rapidité à faire l'exercice comme critère. Par exemple mon prof de math de prépa mettait environ 40 minutes pour lui pour un exercice de 4h pour nous ; ma prof de bio mettait un peu moins d'une heure pour un devoir de 2h. Si je garde l'exercice de math comme exemple, pour une même démonstration, une question "prouvez que X=machin" est plus rapide qu'une question "déterminez X". Bon courage pour le votre. Bertrouf 24 août 2011 à 05:26 (CEST)[répondre]
Pour poursuivre la réflexion de Xofc il n'y a pas de règles : certains concours sont des examens (cas, par exemple, du CAPES et des autres concours pour l'enseignement), donc il faut obtenir un score minimum pour faire partie des candidats admissibles, d'autres non et en ce cas il suffit d'obtenir un score qui vous classe dans le nombre de postes mis au concours. -O.--M.--H.- 24 août 2011 à 07:01 (CEST)[répondre]

le chanteur CALI[modifier le code]

pourquoi le chanteur CALI, ne fait jamais mention dans son autobiographie de son passage dans une émisssion de télé crochet au début des années 2000.

Euh, on a déjà répondu, non ? Et au passage,
logo Chère visiteuse, cher visiteur. C'est avec plaisir que nous répondrons à votre question si nous le pouvons, mais nous aurions grandement préféré qu'elle fût formulée avec un peu plus de courtoisie : bonjour, s'il vous plaît et merci sont toujours appréciés. Bonne navigation sur Wikipédia.
-O.--M.--H.- 23 août 2011 à 19:19 (CEST)[répondre]

Boeings russes lors de la guerre d'Espagne[modifier le code]

Boeing P-26
Polikarpov I-16

Bonsoir Hugh Thomas dans son ouvrage La Guerre d'Espagne évoque un combat aérien entres des avions nationalistes et des Boeings russes. Est-ce possible ? Merci. Philippe Nusbaumer (d) 23 août 2011 à 17:19 (CEST)[répondre]

Un seul Boeing P-26 Peashooter fut utilisé par les républicains pendant la guerre d'Espagne; pas d'infos d'où il provenait, ni de la nationalité de son(ses) pilote(s). Dhatier jasons-z-en 23 août 2011 à 19:04 (CEST)[répondre]
Merci, c'est donc probable. Philippe Nusbaumer (d) 23 août 2011 à 19:34 (CEST)[répondre]
Me semble qu’il y avait un, ou des Boeing (au moins un : [2]) dans les avions fournis par les Français. Certains Boeing de l’époque ressemblaient aux Polikarpov russes, mais de là à confondre… Morburre (d) 23 août 2011 à 19:56 (CEST)[répondre]
Le dernier modèle P-26 281 fut pris en compte par l'Espagne républicaine qui l'utilisa lors de la guerre civile qui la déchira de 1936 à 1939. [3] Cobra Bubbles°°° Dire et médire 24 août 2011 à 09:50 (CEST)[répondre]
Il y a eu très peu de Boeing impliqués, et apparemment aucun venant d’URSS, ou piloté par un Soviétique : trois 247 envoyés à Mexico et qui y sont restés, un B 281 piloté par Ramon Puparelli, un P-26 désarmé utilisé pour la décoration [4]. Aucune trace apès lecture studieuse de la revue Icare consacrée à l’aviation de la Guerre civile espagnole, tome 2, « les Russes arrivent. » Morburre (d) 24 août 2011 à 13:22 (CEST) Et je retire mon intervention précédente, se méfier des sites internet, ce n’est que dans un jeu ! Morburre (d) 24 août 2011 à 13:31 (CEST)[répondre]
la réponse est chez nos amis anglophones : selon en:Polikarpov_I-16#Spanish_Civil_War : « A number of aviation publications called the new Soviet fighter a "Boeing" due to the incorrect assumption that it was based on the Boeing P-26's design » : les Polikarpov I-16 Ishak ont parfois été considéré (à tort) comme des copies de Boing P-26 et donc appelés "boing russes"
gem (d) 24 août 2011 à 14:10 (CEST)[répondre]
Joli design. Apollon (d) 24 août 2011 à 14:36 (CEST)[répondre]
Yahaaaa ! Morburre (d) 24 août 2011 à 15:03 (CEST)[répondre]
Le Polikarpov I-16 c'est le zinc que répare en loucedé Gabriel Lecouvreur. Cobra Bubbles°°° Dire et médire 24 août 2011 à 19:05 (CEST)[répondre]

Bonjour je voudrais savoir par quel processus on forme le nombre de Graham parce que la double flèche verticale signifie n^(n^n), mais je n'arrive pas à comprendre ce que signifient trois flèches ou plus (l'article de Wikipédia sur les notations fléchées n'est pas vraiment clair pour un novice). En bref : quel est le mécanisme des notations fléchées et comment forme-t-on ainsi le nombre de Graham. Merci d'avance ~~!81.185.159.34 (d)

Si on suit la définition, voici un exemple pour la triple flèche : 2!!!3 = 2!!2!!2 = 2!!(2!!2) = 2^2^2....^2 avec 2!!2 (i.e 2^2 i.e. 4) fois le terme 2. Donc 2!!!3 = 2^2^2^2 = 2^16 = 65 536. Ca devient très vite monstrueux, exemple : 4!!4 = 4^4^4^4 = 4^(1,34x10^154) donc 4!!!3 = 4!!4!!4 = 4!!(4^(1,34x10^154)) = 4^4.....^4 avec 4^(1,34x10^154) fois le terme 4...

Chemin de fer secret de Tito[modifier le code]

Bonsoir. Encore une question après la lecture du livre de Hugh Thomas : La Guerre d'Espagne. Qu'est-ce exactement que le chemin de fer secret de Tito ? Moyen qu'employaient les volontaires des pays de l'Est pour rejoindre les Brigades internationnales. Merci.Philippe Nusbaumer (d) 23 août 2011 à 20:47 (CEST)[répondre]

Sans vouloir médire de ton auteur, il utilise donc des expressions un peu étrange sans les expliquer ? De l'autre côté, l'année de publication fait que pour ses lecteurs c'était de l'histoire quasi-immédiate. Rien trouvé en lien avec Tito, par contre ça pourrait être une référence indirecte au chemin de fer clandestin (ou secret) utilisé par les esclaves fugitifs des États-Unis, puisque si je comprend bien il s'agit de convoyer discrètement des brigadistes. Et pour l'action elle-même, c'est expliqué brièvement dans l'article sur Tito, partie Agent de Staline lors des purges de 1937, dernière phrase. -O.--M.--H.- 23 août 2011 à 21:21 (CEST)[répondre]
Cette façon d'utiliser des périphrases, aurait méritée une note des traducteurs. Merci.Philippe Nusbaumer (d) 23 août 2011 à 21:47 (CEST)[répondre]

Une dose ?[modifier le code]

Bonsoir les Pythies. J’étais bien à l’aise ce soir, terminant de regarder une émission TV sur l’Opération Dragon rouge quant, tout à coup, une démangeaison insistante au bras. Vérification faite : zone circulaire de rougeur sur la peau avec léger gonflement. Ce que ma mère appellait - et qu’on appelle encore par chez moi - « une dose ». Pas une piqure de moustique, ni d’araignée, un truc qui surgit à la limite sans raison, ou tout au moins dont on n’a jamais trouvé la raison, quelque part sur le corps. J’ai foncé vers la bouteille de vinaigre mais en me demandant une fois de plus : pourquoi appelle-t-on « ça » une « dose » ? Et puisque je n’ai jamais eu de réponse mais que vous savez tout Émoticône : pourquoi ? Merci déjà, --Égoïté (d) 23 août 2011 à 22:04 (CEST)[répondre]

Salut Égo. Comme de bien entendu, c'est un belgicisme, dans un dictionnaire desdits, on trouve « Gonflement, boursouflure de la peau accompagnée de démangeaisons » et la précision qu'il n'y a pas de terme équivalent en français de France sinon « exanthème » qui n'est pas vraiment un mot de la conversation courante... Il donne comme synonyme douce mais c'est un autre belgicisme. -O.--M.--H.- 24 août 2011 à 01:00 (CEST)[répondre]
… c'sont curieux(ses) ces belg's, peuv'nt pas app'ler un chat un chat ? (non ! pas taper !) ÉmoticôneHautbois [canqueter] 24 août 2011 à 06:11 (CEST) [répondre]
Un belgicisme ? un régionalisme quelconque ? Je me rue sur mes dictionnaires occitans. Et je trouve ça : [5], article douzil, avec les sens d’orifice et de cheville pour boucher l’orifice, puis les sens dérivés de blessure et d’estompe, et rouleau de coton, tampon pour soigner les blessures. Avec des formes qui ont voyagé partout. Enfin bon, ce que j’en dis… Morburre (d) 24 août 2011 à 07:54 (CEST)[répondre]
Merci Olivier et gaffe à tes papattes, le Hautbois ! .
Je viens de penser à Jean Haust : « dôsse : f., 1. élevure, gonflement local accompagné de démangeaison (...) (Dérivé du lat. dorsum, dossum (dos). Au sens 1 = gonflement arrondi en forme de dos »
Et « élevure » est du français de France : « Petite saillie à la surface de la peau, résultant ou non d'une irritation. » [6].
Donc ma « dose » est du wallon mal orthographié car mal prononcé par ma mère qui était une immigrée italienne, vient du latin et possède un synonyme en français ! Ce que c’est que d’être une pythie quand même ! Émoticône
À noter qu’au sens 2., dôsse est un terme de houiller : madrier de chêne de +/- 1 m de long sur 0,10 de large employé notamment dans le revêtement des puits de mine = le français dosse (Planche que l'on détache d'une grume en début ou en fin de sciage et dont la face externe bombée reste recouverte d'écorce - je surligne).
Bisous à tous, --Égoïté (d) 24 août 2011 à 07:59 (CEST) et remerciements à Morburre avec lequel j’ai été en conflit d’édition.[répondre]
En conflit, nous ? Jââmais ! Bise. Morburre (d) 24 août 2011 à 08:15 (CEST)[répondre]
J'ai dit belgicisme vu que trouvé dans un dico sur eux, je corrige donc : régionalisme Émoticône -O.--M.--H.- 24 août 2011 à 11:23 (CEST)[répondre]
Chez moi aussi on dit une « dose » (prononcer dooz), normal c'est à 20 km de chez Égo, ça doit être un régionalisme en effet ! - Cymbella (répondre) - 24 août 2011 à 23:48 (CEST)[répondre]

ou trouver les lois de l' Andorre ?[modifier le code]

Bonjour,

J'aimerais savoir s'il existe des accords entre l'Andorre ,et le Luxembourg ainsi que la France par rapport au droit de visite , ou bien s'il faut tout recommencer via un Juge ? avec tous mes remerciements — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 78.141.130.240 (discuter), le 24 août 2011 à 09:41

Bonjour, Certaines lois sont traduites en français (dont la Loi qualifiée sur l'adoption et sur les autres formes de protection du mineur en danger), mais je vous encourage plutôt à prendre contact directement avec le gouvernement d'Andorre ou même avec un avocat local (cherchez andorre +avocat +"Droit de la famille" dans un moteur de recherche). Piero (d) 24 août 2011 à 11:14 (CEST)[répondre]
PS : Les trois pays vous concernant étant membres du Conseil de l'Europe, vous pouvez aussi regarder du coté de cette législation, comme la Convention sur les relations personnelles concernant les enfants (Strasbourg, 15.V.2003). Bon courage.

Arles - patrimoine architectural[modifier le code]

Bonjour à tous. J’ai un trou de mémoire, je ne « vois » plus que la cour qui servit de scène en 1989... : l’appellation maison de la Roquette est-elle correcte pour un immeuble avec façade et tour à escalier à vis Renaissance, balcons latéraux, arbre colossal dans la cour ? L’appelle-t-on autrement ? Y-a-t-il dans ce cas un article ou une section sur WP ? Merci pour votre aide. --Égoïté (d) 24 août 2011 à 14:44 (CEST)[répondre]

Pas très clair ta question mais c'est pas grave. Il y a la Roquette (quartier d'Arles), et on y trouve un plusieurs beaux immeubles mais je n'en ai pas repéré qui ressemble à ta description. -O.--M.--H.- 24 août 2011 à 16:53 (CEST) Dans le même quartier il y a un hôtel d'Arlatan qui pour le coup est un hôtel où l'on dort et mange contre rétribution, mais c'est aussi un ancien hôtel particulier qui ressemble pas mal à ta description. -O.--M.--H.- 24 août 2011 à 17:09 (CEST)[répondre]
Je n’ai pas beaucoup plus d’info Olivier, si ce n’est que le spectacle Atget et Bérénice y fut donné au tout début juillet 1989 dans le cadre des rencontres d’Arles. Je pense que j’ai trouvé : ce doit être rue Elie-Giraud (des articles de presse citent cette maison et cette adresse pour les RIP), mais c’est bizarre de ne trouver aucune photo de ce bâtiment dont l’architecture semble quand même fort intéressante... --Égoïté (d) 24 août 2011 à 17:59 (CEST)[répondre]

Nom de la mère de Carme Ruscalleda[modifier le code]

Bonjour, un contributeur a modifié sur cinq wikis (français, anglais, catalan, espagnol et hébreu) l'orthographe du nom complet de Carme Ruscalleda : Carme Ruscalleda i Serra devient Carme Ruscalleda i Sierra. Il dit en effet que la mère de Carme s'appelle Núria Sierra. Or, toutes les sources que j'ai pu trouver sur Internet donnent Núria Serra pour nom de la mère de Carme. J'ai écrit sur la pdd du contributeur, mais il ne répond pas. Il n'est pas impossible que Núria ait « catalanisé » un nom qui sonnait trop castillan à son goût, mais le contributeur est muet sur sa source. L'info est peut-être vraie (ou peut-être fausse), mais Wikipédia peut-elle affirmer sans source le contraire de ce que disent les sources — du moins celles que nous avons pu trouver ??? En vous remerciant de votre avis, Cordialement, Uuetenava (d) 24 août 2011 à 15:26 (CEST)[répondre]

En effet c'est louche. parles-en sur le bistro mais sans réponse de l'utilisateur dans un délai raisonnable (disons une semaine à cause des vacances, n'hésite pas à reverter à mon avis. Cordialement, --Bibisoul 24 août 2011 à 19:38 (CEST)[répondre]
Y a un problème : le seul site où on trouve "i Sierra", c'est Wikipédia. Conclusion : reverter. -O.--M.--H.- 24 août 2011 à 23:56 (CEST)[répondre]
Oui mais, je n'ai pas trouvé non plus de site où il y a "i Serra". Et surtout pas sur le site officiel de la dame en question... --Serged/ 25 août 2011 à 07:23 (CEST)[répondre]
J'en ai trouvé plusieurs où le nom de la maman est précisé « Núria Serra », et plusieurs où l'on trouve bien « Carme Ruscalleda [i] Serra », dont j'ai vérifié que ce n'est pas pompé sur WP : celui-ci, cet autre, ce troisième, et pas mal d'autres avec textes originaux, parfois signés. -O.--M.--H.- 25 août 2011 à 07:32 (CEST)[répondre]
Merci de vos avis. Je vais reverter. D'autant que l'historique espagnol de l'intéressé (exemple : imposer un accent farfelu sur Pisocara) et sa pdd espagnole (« Nous espérons que tu passes de bons moments sur Wikipédia ») désignent un plaisantin amateur de guerres d'édition. Uuetenava (d) 25 août 2011 à 09:32 (CEST)[répondre]

Recherche d'un article de journal[modifier le code]

Salut les pythies !

Je fais appel à votre mémoire pour retrouver les références d'un article paru dans un journal. La difficulté : je ne me souviens ni du journal, ni de la date de parution, ni du thème de l'article. :-) En gros, il portait sur les professions les plus reconnues ou admirées par les français. Allez, quelques indices supplémentaires : l'article est paru courant 2011, peut-être fin 2010, dans un magazine, peut-être le Nouvel Obs ou Ca m'intéresse. Est-ce que ça vous dit quelque chose ?

C'est très important, Pythié ! (Celle-là j'ai pas pu m'en empêcher)

--Bibisoul 24 août 2011 à 17:20 (CEST)[répondre]

facile, il suffit de demander "popularité profession france sondage" pour tomber très vite

http://www.ifop.com/?option=com_publication&type=poll&id=1396

gem (d) 25 août 2011 à 09:55 (CEST)[répondre]

Super ! J'en déduis donc que l'article a été publié dans France Soir en fait v que c'est pour ce journal que le sondage a été fait. merci beaucoup gem ! --Bibisoul 25 août 2011 à 11:57 (CEST)[répondre]

Faut-il couper les plantes qui poussent sur les murs en pierres ?[modifier le code]

C'est selon...
… question d'entretien.

Bonjour, J'ai un joli mur en pierres qui soutient ma terrasse, entre les pierres de ce mur poussent de jolies plantes, mais j'ai peur que les racines de ces plantes ruinent le mur. Dois-je les couper ?

… lire mur végétalisé. — Hautbois [canqueter] 24 août 2011 à 23:09 (CEST)[répondre]
ha intéressant. Le truc c'est que mes pierres ne sont pas cimentées...--78.113.242.235 (d) 25 août 2011 à 08:40 (CEST)[répondre]
… si ce sont des plantes annuelles, aucun danger, elles n'auront pas le temps. Si ce sont des plantes vivaces par contre, les radicelles et les racines peuvent se développer et déstructurer l'assemblage des pierres, leur progression et leur force peuvent être assez inouïes… encore plus pour les plantes arbustives. Il y a quelques intermédiaires comme des plantes grimpantes qui peuvent ne s'accrocher que superficiellement à la pierre comme certains lierres, là se renseigner auprès d'un spécialiste. Quant aux arbres, attention par exemple aux peupliers, ses racines peu profondes peuvent soulever votre terrasse et la… « terrasser » (… expérience personnelle et y'a vraiment pas de quoi rire). — Hautbois [canqueter] 25 août 2011 à 09:13 (CEST)[répondre]
Je confirme les paroles de Hautbois, j’y ajoute le bouleau : mon voisin, qui n’avait pas eu la sagesse de surveiller son mur, l’a vu « exploser » lorsque le frêle arbrisseau, ayant intelligemment étendu ses racines dans le mur par la droite et la gauche, en a eu assez de devenir adulte dans un environnement aussi pénible. Le problème, c’est que le mur bordait des douves... La reconstruction a couté près d’un million de francs belges (25 000 €). À bon entendeur... Sifflote --Égoïté (d) 25 août 2011 à 12:14 (CEST)[répondre]
(… des « francs belges » ??? Ça a existé ce truc-là ??? … et y'avait'y aussi des « anciens francs belges » ??? ÉmoticôneHautbois [canqueter] )
Oui, il fallait 6 francs belges pour faire un franc français (grosso modo), et le franc luxembourgeois (!) valait à peu près la même chose que le franc belge... C'était le bon temps... Jan III Sobieski[Un café turc, siou plaît !] 25 août 2011 à 13:20 (CEST)[répondre]
Le franc luxembourgeois valait exactement un franc belge cf. Franc (unité monétaire). --Serged/ 25 août 2011 à 13:45 (CEST)[répondre]
Et non, les Belges ont toujours été up to date : ils n’ont jamais compté en anciens francs, eux ! Pas comme certains de leurs voisins Sifflote --Égoïté (d) 25 août 2011 à 15:08 (CEST)[répondre]
… bon, 25 000 €, ça fait combien en briques ? — Hautbois [canqueter] 25 août 2011 à 16:42 (CEST)[répondre]
ouh là, c'est une question trop béton pour moi gem (d) 25 août 2011 à 17:47 (CEST)[répondre]
Briques : anciennes ou modernes ? Émoticône --Égoïté (d) 25 août 2011 à 18:45 (CEST)[répondre]
Revenons à nos moutons, svp; on parlait de pierres, pas de briques ni de béton. Dhatier jasons-z-en 25 août 2011 à 20:04 (CEST) [répondre]
comme tu veux ; toujours est-il que ça fait pas mal de caillasse gem (d) 26 août 2011 à 14:12 (CEST)[répondre]

Bon. Pas de peuplier chez moi, je suis en Provence, mais des plantes grasses et certaines avec de grosses racines qui font peur : je vais donc surveiller de près. Bien que je ne sois que locataire, si le mur explose je suppose que ce sera ma faute (défaut d'entretien) ?--78.113.242.235 (d) 25 août 2011 à 21:59 (CEST)[répondre]

Honnêtement, je crains que oui... --Égoïté (d) 25 août 2011 à 23:18 (CEST)[répondre]
Erreur ce ne sont pas des plantes grasses mais des plantes de murailles très méridionales la Centranthe rouge qui a de sacrés racines et la Pariétaire officinale. On est loin des murs végétaux bien soignés !

"r" grasseyable[modifier le code]

Bonjour je voudrais savoir si le "r" espagnol est grasseyable tout en restant compréhensible pour les locuteurs (j'ai du mal à rouler les "r") ?

Encore un néologisme ! On dit grasseyé et non « grasseyable ». Salut. La réponse est non, ou du moins pas toujours : en espagnol tu as un son guttural, la jota (terme qui ne désigne pas qu'une danse), qui à l'audition se rapproche du r grasseyé, et un espagnol tendra probablement à les identifier.
Dans l'ensemble, ça ne posera peut-être pas problème mais il y a tout de même des paires homologues comme cara (face, visage) et caja (boîte, caisse), et draguer en disant à la personne « Tu as une belle boîte », ça ferait bizarre... -O.--M.--H.- 25 août 2011 à 13:26 (CEST)[répondre]
Le plus dur (pour un francophone) c'est de prononcer le r simple et le rr double. Par exemple distinguer pero (=mais) et perro (=chien). --Serged/ 25 août 2011 à 13:49 (CEST)[répondre]
Ah ! bon ! ? --Mistig (d) 25 août 2011 à 13:58 (CEST)[répondre]
répétez 10 fois : "tragala perro, perro, perro" (chant de la Guerre d'Espagne) --78.113.242.235 (d) 25 août 2011 à 22:02 (CEST) [répondre]
Moi qui éprouve aussi des difficultés à rouler les r, mes profs de chant me faisaient prononcer les "r" espagnols comme des "l". Je ne sais pas si ça aide. --Stella Amanda (d) 26 août 2011 à 14:25 (CEST)[répondre]
Je ne sais pas si ça aide mais du moins c'est cohérent : le point et le mode d'articulation du L et du R sont très proches, même s'il y a de petites différences on peut dire que le R roulé est presque comme l'émission très rapide de plusieurs L. -O.--M.--H.- 26 août 2011 à 14:51 (CEST)[répondre]

Produits de la vigne[modifier le code]

Bonjour,

Peut-être rien qu'à la lecture du titre vous penserez « vin » et c'est justement l'objet de ma question: les vignobles ne donnent pas seulement du vin, l'on conserve le raisin pour le consommer tel quel, ou encore pour en faire du jus ou du sirop. Donc:

  • quelle part de leur production de raisin les viticulteurs réservent-ils (en moyenne bien sûr) à la consommation hors-vin? En réservent-ils d'ailleurs forcément?
  • produisent-ils eux-mêmes le jus ou le sirop de raisin ou se contentent-ils de le vendre pour qu'il soit transformé par d'autres?
  • a-t-on une idée du rapport sur les gains liées à la vente de raisins (ou de jus s'ils le produisent eux-mêmes) par rapport à celle du vin? Plus/moins rentable?
  • (auxiliaire) j'ai mentionné le jus, mais ça existe aussi la confiture de raisins?

Merci ÉmoticôneÉmoticône sourire --Floflo (d) 25 août 2011 à 13:14 (CEST)[répondre]

Salut. En fait, comme le rappelle notre article, sauf quelques cas rares les raisins destinés à être mangés (frais ou séchés) et ceux destinés à être vinifiés ne sont pas les mêmes. Du coup, la question ne se pose pas vraiment de « mettre de côté » une partie de la production pour la vendre comme raisin de table, ça se pose avant : quelle part de la surface occupée par les vignes sera dévolue à des variétés de table et quelle part à des variétés vinicoles. Autant que je sache, mais c'est à vérifier, les jus de raisin sont plutôt produits à partir de raisins de table. Pour les aspects économiques je laisse d'autres répondre, mais en tout cas la plus grande part des vignes est destinée à la vinification.
Il existe une sorte de confiture, le raisiné, mais c'est un mélange de jus et parfois de pulpe de raisin, de pommes et de poires, qui selon les régions va d'une sorte compote assez réduite jusqu'à une marmelade très compacte. Et aussi, le jus de raisin est parfois utilisé à la place de jus de citron pour faciliter la prise de certaines gelées, pour des fruits qui manquent d'acidité. -O.--M.--H.- 25 août 2011 à 13:39 (CEST)[répondre]
La réponse du mec qui n’y connaît rien mais qui veut quand même en placer une : les cépages qui servent à faire du vin, ceux qui servent à faire des alcools (cognac, armagnac, etc) et ceux pour la consommation (raisin de table, jus, sirop, raisins secs) ne sont en général pas les mêmes, et les terroirs où ils sont produits non plus. On peut donc penser que les producteurs ne sont pas les mêmes. Chacun sa spécialité. Les statistiques, aucune idée. Morburre (d) 25 août 2011 à 13:43 (CEST) C’était un conflit d’édit, je ne répète pas.[répondre]
pour les stats de production, c'est probablement l'onivins qui les fournit : http://www.onivins.fr/index.asp (je te laisse fouiller) gem (d) 25 août 2011 à 14:33 (CEST)[répondre]
… pffffffffffffffffffff ! gââââcher de la vigne pour autre chose que du vin ! Quelle misère. — Hautbois [canqueter] 25 août 2011 à 16:40 (CEST) Moi je dis que si, il faut du raisin pour tout le monde, y compris ceux qui n'aiment pas le vin, na ! .Anja. (d) 25 août 2011 à 18:16 (CEST)[répondre]
tu cracherais sur un petit pineau, ou une autre mistelle ? gem (d) 25 août 2011 à 18:28 (CEST)[répondre]

Merci pour vos premières réponses, c'est déjà intéressant (dont Raisiné)(et sinon Anne, t'as écrit « raison » je l'ai fait moi aussi plusieurs fois tout à l'heure Émoticône) --Floflo (d) 25 août 2011 à 19:20 (CEST) Je ne vois pas ce que tu veux dire Sifflote .Anja. (d) 25 août 2011 à 19:22 (CEST) Haha, tricheuse Émoticône --Floflo (d) 26 août 2011 à 19:56 (CEST)[répondre]

… production 2008 en France : 5 664 195t. Au niveau mondial, environ 80% de la production des raisins sert à la production de vins et 13% sont des raisins de table ; il manque 7 % mais ce sont les chiffres de Jun Yang, Timothy E. Martinson and Rui Hai Liu, « Phytochemical profiles and antioxidant activities of wine grapes », dans Food Chemistry, vol. 116, no 1, 2009, p. 332-339 (voir l'article Raisin #Économie). — Hautbois [canqueter] 25 août 2011 à 19:37 (CEST)[répondre]
Le 7% se répartit probablement entre : raisins secs, jus et gelées (confitures) Dhatier jasons-z-en 25 août 2011 à 20:12 (CEST)[répondre]
… et l'huile de pépins de raisin ! — Hautbois [canqueter] 25 août 2011 à 20:15 (CEST)[répondre]

Tu trouveras tous les chiffres que tu souhaites dans les statistiques de l'OIV --Yelkrokoyade (d) 25 août 2011 à 20:43 (CEST)[répondre]

Ah, merci Yelkorkoyade pour ce rapport statistique ! Très intéressant ! Merci aussi à Hautbois pour ces chiffres ! Merci tout le monde Émoticône sourire --Floflo (d) 25 août 2011 à 22:10 (CEST)[répondre]

Anglais au primaire[modifier le code]

Bonjour cher oracle, je cherche une page quelconque sur un site de confiance, parlant d'une étude menée en Suisse et au Royaume-Uni portant sur l'apprentissage d'une seconde langue en primaire (avant 12-13 ans), et que les résultats étaient estimés dangereux pour l'apprentissage de la langue maternelle. Merci et bonne journée. Le Q-rieux♪♫ 25 août 2011 à 18:55 (CEST)[répondre]

Bonjour. Le livre Le défi des enfants bilingues de Barbara Abdelilah-Bauer ici contient pages 69 et 70 des références d'études qui expliquent la confusion des enfants bilingues précoces. Le texte au-dessus de ces références et pages suivantes démonte ces études, évidement. J'ai prêté mon exemplaire du livre, relance-moi sur ma page de discussion dans quelques semaines si tu veux que je te recopie ces réf. Par ailleurs j'ai un exemple d'enfant en apprentissage sous les yeux : ma fille. Bertrouf 26 août 2011 à 05:07 (CEST)[répondre]
Bonjour. Dans la Fédération Wallonie-Bruxelles, les classes dites « en immersion » sont assez nombreuses et fort courues. L'enfant y reçoit plusieurs cours enseignés uniquement dans la seconde langue, parfois dès la maternelle. Je n'ai jamais rien lu qui conteste ce genre de pratique, que du contraire. À Bruxelles, de nombreux parents francophones mettent leur enfant dans une école néerlandophone pour obtenir plus rapidement le bilinguisme ; pas de problème là non plus (si ce n'est pour les flamingants qui préfèreraient que ces écoles ne soient accessibles qu'aux jeunes néerlandophones). Amclt, --Égoïté (d) 26 août 2011 à 08:01 (CEST)[répondre]
Sans parler des enfants d'immigrés (de tout bord) qui parlent la langue de leurs parents à la maison, et la langue du pays d'accueil à l'école... Il parait même que c'est un "plus" : Ils auront plus de facilité pour apprendre d'autres langues. --Serged/ 26 août 2011 à 08:43 (CEST)[répondre]
À côté des études réalisées en Suisse ou au Royaume-Uni, il y a aussi des études réalisées en Belgique, notamment à l'à Ulg et à l'ULB. - Cymbella (répondre) - 26 août 2011 à 09:00 (CEST)[répondre]

Décès en Août 2011[modifier le code]

Madame, monsieur,

En consultant la liste des personnes décèdées au mois de Août 2011, j'ai constaté que L'acteur comédien tunisien, Sofiane Chaâri, décédé la nuit du 22 août 2011 suite à un arrêt cardiaque, Victime d'un malaise il a été transporté d'urgence à une clinique de la banlieue nord où il est décédé. Acteur, humoriste et animateur télé, Sofiène Chaari qui doit son succès à son rôle de Sbouïi dans Choufli Hal est une grande perte pour la télévision tunisienne. J'ai constaté qu'il ne figurait pas dans Wikipédia. Merci d'avoir pris le temps de lire ce message et vous souhaite une bonne journée. Mr Fathi CHAMBI

Si, il existe dans Wikipédia : Sofiène Chaâri Émoticône sourire .Anja. (d) 25 août 2011 à 18:14 (CEST)[répondre]
… et ce depuis le 16 juin 2009. Son décès a été signalé dans l'article dès le 23 août 2011 à 01h43 et une trentaine de modifications a été faite depuis en hommage à sa mémoire. — Hautbois [canqueter] 25 août 2011 à 19:12 (CEST)[répondre]

Terminaison en VM et en VS[modifier le code]

Bonjour cher oracle, comme vous devez le savoir, beaucoup de mot latin finissent en VM et en VS, comme AQVARIVM et HVMVS. Je vouvrais savoir pourquoi, à-t-il un raport avec la conguguaison? Je voudrais savoir aussi, qu'est-ce qu'un génitif en Latin? A-t-il un équivalent en français? Aussi, est-ce que il y a les terminaison en VM dans le latino sine flexione? Merci et Bonne journée. Le Q-rieux♪♫ 25 août 2011 à 18:54 (CEST)[répondre]

Oui, ...UM et ...US ont rapport à leur déclinaison (conjugaison du substantif). ...UM se décline comme un neutre, et ...US comme un masculin. Voir détails dans l'article déclinaisons latines. Pour le génitif, tout est expliqué dans l'article génitif. Dhatier jasons-z-en 25 août 2011 à 19:33 (CEST)[répondre]
Plus largement, il y a un équivalent en français pour tous les cas grammaticaux du latin ou d'autres langues, pour la raison simple et évidente que tout ce qui est exprimé dans une langue est traduisible dans une autre. Un cas a une fonction grammaticale qui est incluse dans le mot, mais qui sera exprimée dans une langue sans cas par d'autres moyens : adverbes, conjonctions, prépositions, pronoms, etc. -O.--M.--H.- 28 août 2011 à 08:02 (CEST) (… très joli, au-dessus, la « #Liste de cas|cas grammaticaux » ÉmoticôneHautbois [canqueter])[répondre]

Concert acoustique[modifier le code]

Bonsoir à toutes et à tous,

Suite notamment à la tragédie du Pukkelpop, on entend beaucoup parler de « concert acoustique » : je me demande d'où provient ce pléonasme, et ce qu'il signifie exactement ?

Merci, Cymbella (répondre) - 25 août 2011 à 22:56 (CEST)[répondre]

… un concert acoustique (normalement) n'utilise que des instruments acoustiques (sans amplification). Pas pléonastique du tout. Bon, c'est vrai que ce sens a évolué depuis quelques années et désigne plus les ensembles qui n'utilisent que peu de synthétiseurs, de boîtes à rythme électroniques, d'ingénieurs du son pour les équilibres « balance son »… comme un orchestre symphonique où la balance son dépend du chef et de ses musiciens et pas d'un technicien derrière ses consoles ou d'un solo de trompette sortant d'un appareil électro-acoustique.— Hautbois [canqueter] 25 août 2011 à 23:02 (CEST)[répondre]
C'est marrant, en lisant la question j'avais compris que la musique électronique en elle-même était une tragédie, puis je suis allé voir l'article... Un concert acoustique du fait des contraintes non-amplifiée ne peut avoir lieu que dans des petites salles, ce qui donne un sentiment d'intimité au public. La radio RTL2 en France a produit pendant un temps des concerts acoustiques, dont elle faisait gagner les places aux auditeurs. Une publicité originale. Bertrouf 26 août 2011 à 05:28 (CEST)[répondre]
… dans la mutation du terme, particulièrement pour la télévision (mais aussi pour certains spectacles), jouer « acoustique » est devenu le contraire de jouer en « playback » complet, en faisant semblant de chanter/jouer, ou partiel, en chantant/jouant sur une bande son. Du coup, guitares électriques et synthés sont à la fête. L'émission Taratata de Nagui par exemple est dite « acoustique » (et, àmha, à juste titre) parce que chaque son est produit par un musicien et que l'ensemble est enregistré en direct et en intégralité par une équipe d'ingé/son de qualité (et des moyens techniques énormes). Mais là encore, il faut se méfier : certains programmes informatiques par exemple permettent en direct live de corriger/ajuster le son de l'interprète… certains chanteurs sont réputés pour chanter beaucoup moins juste dans le privé. — Hautbois [canqueter] 26 août 2011 à 07:18 (CEST) (J'ai vu une fois sur les bords de la Sèvre près de Nantes, un accordéoniste seul sur la petite scène d'une guinguette, avec un grand sourire, bougeant les doigts sur son instrument en le gonflant et le dégonflant… et on entendait un CD de bal musette… ce n'était pas acoustique, c'était pitoyable)[répondre]
Merci pour ces informations. Si je comprends bien, on parle de concert acoustique pour le distinguer de la musique électroacoustique. Pas pléonastique ? Je ne connaissais pas le terme instrument acoustique, mais je me pose tout de même la question lorsque je lis la définition du mot acoustique ou les pages Acoustique et Acoustique musicale : tout concert est acoustique au sens premier du terme ! Sur les berges de la Spree à Berlin, j'ai, un soir, vu un bal musette où il n'y a avait que le CD et pas de simulacre d'accordéon, c'était visuel (ou optique) et tout à fait charmant, même si l'acoustique n'était pas top  ! - Cymbella (répondre) - 26 août 2011 à 08:20 (CEST)[répondre]
… heu, pour faire un 2 en 1, le DJ qui passe ses CD dans une boîte de nuit est à l'opposé du « concert acoustique », on parlera plutôt de concert en boîte Émoticône (… pas pu m'empêcher). Le mot « acoustique » est générique, voir aussi ses 25 entrées sur le cnrtl. — Hautbois [canqueter] 26 août 2011 à 08:57 (CEST)[répondre]
M'est avis que tu n'as pas tout-à-fait compris mais, sans vouloir médire de notre Hautbois, ses explications sont un peu bizarres sur ce coup... Pour faire simple, à l'origine un concert « acoustique » n'est, en théorie, ni électrique ni électronique, donc pas de guitare, de basse ou de piano électrique, pas de clavier électrique ou électronique, pas de retraitement électronique du son. Ça correspond à ce qu'on appelle de plus en plus souvent des concerts « unplugged », « non-branché » (sur l'électricité), suite à la grande popularité internationale de l'émission MTV Unplugged qui a eu depuis des imitateurs.
En théorie parce que en pratique, et comme le remarquait aussi Hautbois, la règle de base n'est plus trop souvent respectée, et l'on voit les groupes utiliser des basses et des pianos électriques, des guitares électro-acoustiques, des batteries électroniques. Bref, et là encore comme le disait le même Hautbois, dans l'usage « concert acoustique » devient de moins en moins « concert sans instruments électr(on)iques » et de plus en plus le simple équivalent de « concert en direct ». Pour résumer, je ne fais que répéter ce qu'a dit Hautbois en espérant avoir été plus clair... -O.--M.--H.- 26 août 2011 à 09:38 (CEST)[répondre]
C'est un peu ça que j'avais cru comprendre, et je crois saisir de mieux en mieux Émoticône. Merci de m'avoir éclairée à ce sujet ! Cymbella (répondre) - 26 août 2011 à 22:07 (CEST)[répondre]
Pour ton autre question, d'un sens tu as raison, de l'autre non. De fait, tout concert est « acoustique » puisque fait pour l'oreille (remarque, les concerts de Kiss c'est plus pour l'œil que pour l'oreille, qui souffre beaucoup d'entendre ça...) mais là ça porte sur les instruments : ceux acoustiques sont ceux qu'on peut entendre sans qu'il y ait de traitement, amplification ou conversion digital / analogique puis transmission par haut-parleur.
Il n'est pas impossible de jouer d'un instrument électrique sans amplification (ça m'arrive quand je en veux pas gêner les voisins) mais au-delà d'un mètre ou deux on comprend pourquoi ils sont réputés non acoustiques, et pour les instruments électroniques un traitement du signal est impératif, sauf si on veut les utiliser comme percussions. -O.--M.--H.- 27 août 2011 à 08:36 (CEST)[répondre]
… bon, en fait, tout dépend du contexte dans lequel l'adjectif est employé (d'où peut-être pour certains une confusion) :
  • instrument acoustique, contraire d'instrument électronique comme dit ci-dessus ;
  • concert acoustique :
    • n'utilisant que des instruments acoustiques, sans amplification ou parfois une amplification globale ;
    • utilisant toutes sortes d'instruments mais sans informatique, bandes sons et autres boîtes à rythmes, pas de corrections, pas de playback, pas de re-recording… ;
  • enregistrement acoustique (c'est là que cela devient compliqué et le terme peut devenir contradictoire) :
    • n'utilisant que des instruments acoustiques, que ce soit un enregistrement studio ou en live. Là, les morceaux peuvent être intégraux ou saucissonés, provenant de plusieurs enregistrements, ou enregistrés par petits bouts et recollés… ;
    • utilisant toutes sortes d'instruments, opposé à l'enregistrement studio, synonyme de « live » mais sans être obligatoirement l'enregistrement d'un concert (lors d'une répétition, d'un studio, on joue et on ne retouche pas la bande son).
Pour mieux comprendre, un exemple : Dutronc quand il a eu fini son Il est cinq heures, Paris s'éveille, enregistrement studio, fait du collage de plusieurs essais, avec rajouts d'effets, mélanges de pistes, rééquilibrage du son, pour obtenir un son studio (contraire de son acoustique), il rencontre dans les couloirs du studio (suivant la légende), Roger Bourdin, flûtiste à l'opéra, et lui fait écouter le résultat, disant que pour lui, il manquait… quelque chose. Roger Bourdin entre (avec sa flûte) dans le studio, mets un casque où il ré-entend la chanson, et demande qu'on l'enregistre. Il se met à improviser. Une prise, aucune retouche, ça, c'est de l'enregistrement acoustique par excellence. Plus qu'à superposer avec l'enregistrement studio. — Hautbois [canqueter] 27 août 2011 à 11:01 (CEST)[répondre]

Bert-ie, y, hy ?[modifier le code]

Bonjour. L’article consacré à cette résistante française donne deux orthographes pour son nom : Bertie (nom de naissance) et Berty mais sans indiquer la raison du changement de graphie. La connaitriez-vous ? Cela m’intéresse car Michèle Fabien l’a orthographié Berthy et je me demande pourquoi ? Merci déjà pour vos réponses, --Égoïté (d) 26 août 2011 à 09:12 (CEST)[répondre]

Salut Égoïté. Pour Michèle Fabien c'est probablement par erreur, pour le prénom, et bien une chose est sûre : la plaque commémorative donne Bertie Albrecht, voir ci-contre. -O.--M.--H.- 26 août 2011 à 09:20 (CEST)[répondre]
Oui, merci Olivier, j’ai vu mais pourquoi le changement en Berty qui est l’orthographe retenue pour cette page ? --Égoïté (d) 26 août 2011 à 09:22 (CEST)[répondre]
À mon avis il n'y a pas d'explication autre que « les deux s'écrivent ». Je suppose sans pouvoir le certifier que c'est lié à sa biographie : vu qu'elle a passé pas mal de temps en Grande-Bretagne, elle a du y prendre l'habitude de graphier son nom « Berty », qui fait moins germanique et plus couleur locale que « Bertie ». -O.--M.--H.- 26 août 2011 à 09:53 (CEST)[répondre]
ALBRECHT Berthie [née WILD Berty, Pauline, Mariette, épouse ALBRECHT, dite. Pseudonyme dans la Résistance : Victoria] sur le Maitron en ligne, l'article alternant lui-même entre Berthie et Bertie. HaguardDuNord (d) 10 septembre 2011 à 19:33 (CEST)[répondre]

Anne Colombe[modifier le code]

Question complémentaire : qui fut exactement la révolutionnaire française Anne Colombe, contemporaine de Claire Lacombe ? Merci, --Égoïté (d) 26 août 2011 à 09:21 (CEST) Euh, tout compte fait : a-t-elle réellement existé ? --Égoïté (d) 26 août 2011 à 09:26 (CEST)[répondre]

Il me semble, d'après ceci qu'il s'agit d'un personnage de fiction. Je n'ai trouvé aucune trace d'une Anne Colombe associé à Claire Lacombe qui ne se rapporte à la pièce de Michèle Fabien. le sourcier [on cause ?] 26 août 2011 à 14:01 (CEST)[répondre]

les secours[modifier le code]

Bonjour, j'aimerais savoir comment les secours évaluent l'hospitalisabilité ou la non-hospitalisabilité des sinistrés et sur quels critères, pour éviter l'engorgement inutile des hôpitaux ? Merci 79.85.113.18 (d) 26 août 2011 à 10:13 (CEST)[répondre]

La décision est généralement prise sur base d’un premier examen médical et la sélection est opérée dans un esprit « pratique » : ceux qui sont proches de la mort et donnent peu d’espoir d’être sauvés, comme ceux auxquels les premiers secours suffisent, ne sont pas envoyés dans les hôpitaux. --Égoïté (d) 26 août 2011 à 10:26 (CEST)[répondre]
Euh ? « hospitalisabilité » ? ça me rappelle une certaine « réussissabilité » de derrière les fagots... --Égoïté (d) 26 août 2011 à 10:30 (CEST)[répondre]
les victimes sont triées hospitalisabilitairement :-) gem (d) 26 août 2011 à 13:12 (CEST)[répondre]
Voir aussi 'Triage médical' (et aussi des articles complexes du genre 'Régulation médicosanitaire des urgences'; visiter les catégories associées). -- Xofc [me contacter] 26 août 2011 à 14:11 (CEST)[répondre]
Ouais, c'est la semaine pour les mots à la douteusabilité avérée... Sinon, et bien ça dépend du contexte : incident de petite ou de grande ampleur, secours nombreux ou non, équipement minimal ou maximal des intervenants, déplacements aisés ou non, etc. Lors d'un incident même très grave au cœur de Paris (comme par exemple l'attentat du RER B à Saint-Michel en 1995) les secours pourront précisément ne pas faire de tri et convoyer rapidement tous les blessés vers des centres de soin. En revanche, lors d'un tremblement de terre dans une zone déjà difficile en temps normal on pourra se trouver dans le cas inverse de n'avoir pas de centres de soins fonctionnels assez proches pour y envoyer des blessés graves, donc on traitera ou tentera de traiter tous les cas sur place. L'idée c'est que dans l'idéal les secouristes vont tendre à hospitaliser le maximum de personnes, dans le relatif ça dépendra autant ou plus des moyens disponibles que de l'état des blessés. -O.--M.--H.- 26 août 2011 à 14:40 (CEST)[répondre]

Thévétia Péruviana en France?[modifier le code]

Bonjour précieuses Pythies,

Ma question est la suivante, savez vous si la plante d'origine tropicale nommée Thévétia Péruviana, (proche du laurier) est susceptible de s'adapter au climat méridionnal du sud de la France? Merci d'avance, et bonnes recherches. La Brune

Thévétia du Pérou n'est pas explicite mais la version anglaise en:Thevetia peruviana indique une culture à visée ornementale en climat tempéré gem (d) 26 août 2011 à 16:36 (CEST)[répondre]

C'est agréable de bander[modifier le code]

Bonjour,

En fait l'histoire est, que j'avais entendu cette chanson ("c'est agréable de bander", ou peut-être "bander c'est agréable") à la radio (sur radio suisse romande la première) il y a quelques années. C'était une chanson chantée par un chanteur assez méconnu (pour que je ne le trouve pas sur le net), mais assez connu pour être invité à la radio quand même. Cette chanson m'avait touché, parce que malgré la grivoiserie du titre, c'était une chanson très sensible, et j'avais passé des heures à la travailler à la guitare et à retranscrire les paroles.

Sauf qu'après un problème de PC qui a entraîné un formatage, j'ai tout perdu, et après quelques mois sans pratiquer, je n'arrive plus à retrouver ni les paroles, ni le chanteur.

Après, d'après mes souvenirs, le refrain fait quelque chose comme "Oui mais voilà, il y a tous ceux qui bandent pour personne, ceux qui pédalent dans la semoule, ...". Le chanteur est d'après ma mémoire suisse, quoique je n'en sois pas sûr à 100%. Et il a une voix plutôt douce et mélodique.

Donc si quelqu'un connaissait ce chanteur, ça me rendrait un grand service.

Enfin, je vous remercie d'avance de m'avoir lu.

Spoutnik16 (d) 26 août 2011 à 19:13 (CEST)[répondre]

Transféré par .Anja. le 26 août 2011 à 19:23 (CEST)

Tiens, c'est amusant, l'article 'Fernande' concerne l'album de Brassens et non le prénom... -- Xofc [me contacter] 27 août 2011 à 05:49 (CEST)[répondre]
… quelque chose comme ça ? Paroles et musique : Gérard Filipelli, Gérard Rinaldi, Jean Sarrus (voir Les Charlots)… Si c'est bien cela, on ne peut pas dire que le chanteur soit « suisse, assez méconnu et d'une voix plutôt douce et mélodique » dans tous ses titres. Le refrain est une satire de Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a, qui c'est celui-là ? chanté par Pierre Vassiliu. — Hautbois [canqueter] 27 août 2011 à 06:52 (CEST)[répondre]
Merci Hautbois, ça n'est absolument pas ça mais tu m'as donné la piste pour retrouver ma chanson. En effet, en parlant de Gérard Rinaldi, tu m'as fait penser au vrai Rinaldi, au notre, à celui qui est Suisse: Pascal Rinaldi, qui devait probablement avoir mon inconnu comme ami Myspace. Ou plus probablement d'autres chanteurs suisses un peu plus myspaciens, tels que Thierry Romanens, ou Sarclo. Bref, tout ça pour que quelques heures après, je retrouve ma chanson sur Itune, qu'il avait renommé, de "Bander c'est admirable" à "Oui mais voilà" (d'ailleurs quel scandale, les chansons à 0.99€ ou à 1.60CHF) . Et donc, le chanteur inconnu est Fabian Tharin, Yverdonnais de son état.
Merci pour l'aide Spoutnik16 (d) 27 août 2011 à 19:20 (CEST) (… tant que cela peut faire plaisir… — Hautbois [canqueter] )[répondre]

Jeu vidéo[modifier le code]

Bonjour à tous !

Je cherche le nom d'un jeu vidéo. Les informations que j'en ai proviennent d'un gaming live de chez jeuxvideo.com que je n'arrive plus à trouver. On y voyait un guerrier se battre contre des créatures dans un décor enneigé/montagneux. Il était accompagné d'un personnage féminin (une princesse je crois) et il pouvais se régénérer ou devenir invincible en la prenant dans ses bras. Le jeu est en 3D.

Désolé pour cette quantité limité d'informations... Merci d'avance pour vos réponses !

Il vaudrait peut-être mieux demander dans des discussions spécifiques sur les jeux vidéos, plus de chance de rencontrer des renseigneurs potentiels. 81.185.159.173 (d) 27 août 2011 à 12:43 (CEST)[répondre]
Merci. Où puis-je trouver ces discussions spécifiques ?
Oups. Je vois qu'on n'a pas répondu : Portail:Jeu vidéo dans la section discussion. C'est un portail actif, vous devriez avoir une réponse rapide. Précisez que l'Oracle n'a pas trouvé. Bertrouf 2 septembre 2011 à 03:42 (CEST)[répondre]
Merci !

cancer de la thyroide[modifier le code]

bonjour j ai des nodules bénins et je voudrais savoir si a long terme ils peuvent devenir malin? merci beaucoup

L'avertissement coutumier :
Mais bon, on est toutefois pas dans l'avis médical non plus... Sinon, il me semblait qu'un nodule bénin c'était bénin et ça ne changeait pas ? Le plus dur étant de les différencier ? .Anja. (d) 27 août 2011 à 09:03 (CEST)[répondre]

Changement de nom de la gare Evangile en Rosa Parks[modifier le code]

Bonjour à tous

En lisant Wikipedia, je constate que la future gare Evangile du RER E de Paris devrait en fait s'appeler Gare Rosa Parks. Or malgré mes recherches sur le site de la ville de Paris (et sur Google plus généralement), je n'arrive pas à trouver qui a pris la décision de ce changement de nom, ni sa logique (j'ai bien vu la mention d'un pôle Rosa Parks, mais je n'ai pas vu s'il suivait la gare ou la précédait, ni en quoi il consistait). Quelqu'un connaitrait-il ces informations ?

Merci d'avance pour toute réponse.

Xerbias (d) 27 août 2011 à 12:05 (CEST)[répondre]

LOIC et HOIC[modifier le code]

Bonjour et salut à vous plus ou moins omniscientes pythies. Voila ma question: Pourriez vous m'expliquer la différence entre les logiciels LOIC et HOIC? Et merci d'avance pour votre réponse.

pas de différence fondamentale, HOIC n'est qu'une version dérivée du logiciel originel LOIC.Cobra Bubbles°°° Dire et médire 27 août 2011 à 14:06 (CEST)[répondre]

Nombre de pages autorisé[modifier le code]

Bonjour. J'aimerais vraiment bien que quelqu'un m'explique pourquoi notre soi-disant ami GG (ce p... de b... d'enf... de GG dans ce cas !) m'empêche de consulter certaines pages de livres numérisés avec un p.... de « charmant » message qui m'annonce que j'ai dépassé le nombre de page autorisé en lecture ! Ce qui veut dire que je ne peux lire le lien donné aimablement par le Sourcier dans la section Anne Colombe ci-dessus. Par contre, en utilisant un autre ordinateur, le lien fonctionne et permet de lire la page du livre. Donc comment fait GG et, surtout, que puis-je faire pour contrer son intervention plus qu'irritante Smiley Colère (je pèse mes mots) ? Merci déjà pour votre réponse, Émoticône --Égoïté (d) 27 août 2011 à 15:00 (CEST)[répondre]

Salut Égoïté. Pour une fois, il ne faut pas mettre ça sur le dos de Google, c'est une demande expresse des auteurs et des éditeurs d'ouvrages non libres afin de préserver leurs droits et surtout leurs revenus. C'était la condition pour pouvoir les mettre à disposition. -O.--M.--H.- 27 août 2011 à 16:36 (CEST)[répondre]
Oui, je sais mais pourquoi l'accès est-il refusé pour l'ordi avec lequel je travaille le plus et autorisé à celui qui est à côté , à 1 cm. de distance, et utilisant le même fournisseur d'internet ? ! Doit y avoir un truc quand même... --Égoïté (d) 27 août 2011 à 17:02 (CEST)[répondre]
Ah oui, j'ai raté ça. Parce que la limite est liée au poste utilisé, justement, probablement avec un système de cookies. Si sur le deuxième poste tu consultes autant de pages du même document que tu l'as déjà fait sur l'autre, tu auras le même problème. -O.--M.--H.- 27 août 2011 à 17:21 (CEST)[répondre]
Remarquez que les 'cookies', cela se 'nettoie' mais, il faut voir si c'est facile dans ce cas-ci et si cela en vaut la peine (et que ce n'est pas autre chose; par exemple, en Flash, j'ai l'impression qu'on peut faire n'importe quoi... [7], [8]) -- Xofc [me contacter] 27 août 2011 à 20:59 (CEST)[répondre]

Un chien sur un tapis roulant.[modifier le code]

Bonjour,

Une image qui me trotte dans la tête depuis que je suis tout gamin est tirée d'une émission de télévision datant de 1982 (ou après) concernant un groupe ou un chanteur en concert. Celui-ci avait mis sur la scène un tapis roulant (de ceux que l'on trouve dans les salles de sports) sur lequel courrait un chien. Je voudrais savoir si cette scène plutôt bizarre dit quelque chose à quelqu'un, et si oui, de quel groupe ou chanteur provient-elle.

Merci à vous.--Tadeo (d) 27 août 2011 à 17:07 (CEST)[répondre]

Des chiens sur des tapis roulant, il y en a des dizaines sur Youtube. Et même des tapis et des salles de sport dédiés aux chiens. Dans l'autre sens, le groupe Guerilla Poubelle met parfois un tapis roulant sur scène, par rapport au titre de leur chanson, mais il semble trop jeune pour l'année demandée. Bertrouf 30 août 2011 à 05:20 (CEST)[répondre]

Naturalisation par décret d'admission[modifier le code]

Bonjour. Je vous saurai gré de bien vouloir m'aider à obtenir le certificat de naturalisation à la nationalité française de mon arrière-grand-père, monsieur BOUDEGNA Mohamed, en 1903, mais que je n'ai pas pu obtenir, malgré des recherches trés poussées. Je vous en remercie d'avance.

… bonjour, vous n'êtes pas au bon endroit pour cette question importante (nous répondons à des questions encyclopédiques). Je vous suggère une page d'information sur l’acquisition de la nationalité française et particulièrement sur les acquérants de la nationalité française par décret. Mais aussi une page de contacts, avec particulièrement aussi l'adresse postale du service des naturalisations :
Ministère de l’intérieur, de l’outre-mer,
des collectivités territoriales et de l’immigration
Sous-direction de l’accès à la nationalité française
93 bis, rue de la Commune de 1871
44404 REZE Cedex
Tél. : 02 40 84 46 00
Je n'ai pas trouvé d'email pour ce service, il doit donc falloir leur écrire ou téléphoner.
Vous souhaitant bon courage dans vos démarches, cordialement, — Hautbois [canqueter] 28 août 2011 à 05:22 (CEST)[répondre]
Par expérience indirecte (un frère né hors métropole) je confirme : pour obtenir des copies de documents officiels provenant des ex-colonies françaises il faut poster une demande écrite au centre de Rezé-Nantes, qui répondra de la même manière. -O.--M.--H.- 28 août 2011 à 07:47 (CEST) (… ah ! tu ne vas pas médire en disant que, sur ce coup-là, mes « explications sont un peu bizarres » ? pfff ! ÉmoticôneHautbois [canqueter] )[répondre]

campagnes d'assiduisation des élèves[modifier le code]

Bonjour je voudrais savoir s'il existe des campagnes d'assiduisation des élèves dans les zones d'éducation difficiles et comment elles sont procédées merci d'avance. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 77.192.55.233 (discuter), le 28 août 2011 à 08:58 (CET)[répondre]

Je ne sais pas, peut-être chercher dans Google(lutte contre le décrochage scolaire)? -- Xofc [me contacter] 28 août 2011 à 09:16 (CEST)[répondre]
Assiduisation ? Encore un mot bizarre, c'est la période on dirait ... --Milena (Parle avec moi) 28 août 2011 à 10:12 (CEST)[répondre]
bizarre ? bel euphémisme. Et la syntaxe est du même métal ("comment elles sont procédées", sic) ... gem (d) 29 août 2011 à 09:58 (CEST)[répondre]

bonjour Hautbois

encore tous mes remerciements pour la partition de l'hymne russe; je connais l'ouverture 1812 de Tchaikovski qui est magnifique et c'est en cherchant l'hymne des Tsars que je suis tombé sur la marche imperiale de Dark Vador ( extraite de la guerre des étoiles ) de John Williams; je ne suis pas friand de ce genre de films, mais il faut bien reconnaître que les musiques de ce compositeur contemporain que je ne connaissais pas... çà déchire! entre autres chefs-d'oeuvre,je me demandais s'il y avait un moyen ( gratuit, cela m'étonnerait!) de trouver les partitions de cette marche impériale de Dark Vador et des différentes musiques de Jurassik park?

encore merci
le mélomane averti
En tapant "imperial march partition" dans un moteur de recherche, vous devriez trouver ce que vous cherchez. Je ne m'avancerai toutefois pas sur la légalité et la qualité des partitions trouvées ainsi. Pleclown (d) 28 août 2011 à 22:11 (CEST)[répondre]
Google ne m’a pas donné de résultats pertinents, dommage cela m’intéressait aussi.
Puisque je passais dans le coin, je donne deux liens : un vers Mars, celui qui apporte la guerre (un genre de Marche impériale mais écrite au début du XXe siècle), et un vers une version bretonnante de la Marche Impériale (postée par la Fnac sur YouYube donc a priori légal). Bonne écoute Émoticône.
PS: je découvre que La Marche impériale est une redirection ! A galon, Vigneron * discut. 28 août 2011 à 22:39 (CEST)[répondre]
Google Est Ton Ami, c'est connu, mais il faut aussi utiliser des trucs pour affiner la recherche, notamment les guillemets, les opérateurs booléens et les signes "+" :
Ça ramène des résultats, mais payants, ce qui est logique pour l'œuvre d'un artiste vivant. -O.--M.--H.- 29 août 2011 à 08:00 (CEST)[répondre]
Le premier résultat google que j'ai est un site perso de chez free, sur lequel j'ai pu télécharger une partition en pdf. Pas vous ? Pleclown (d) 29 août 2011 à 08:06 (CEST)[répondre]
… le site musicroom.fr propose des partitions à télécharger dont on peut écouter et voir la première page. Puis, si cela convient, acheter la partition en ligne à un prix modeste. Par exemple Star Wars Main Theme ici ou Jurassic Park. Plus de 700 arrangements sur John Williams avec piano, piano facile, duo… à partir de free-scores.com. — Hautbois [canqueter] 29 août 2011 à 10:50 (CEST)[répondre]
Et l'argument "filetype:pdf" dans la recherche Google peut aider à filtrer également.--Pethrus (d) 31 août 2011 à 16:34 (CEST)[répondre]

Statut du français[modifier le code]

Salutations ô pythies,

Je viens de re-retomber sur les articles Français, Français (langue officielle), etc. et une chose me choque encore et toujours :

  • Entendu que le sujet est relativement sensible
  • Entendu que les articles de la Wikipédia font des distinctions très précises entre langues de jure et langues de facto ainsi qu’entre langue officielle et langue nationale)
    Il est pourtant indiqué « le français est la langue officielle de la France » (et diverses périphrases) en s’appuyant comme source sur l’article 2 de la Constitution de la Cinquième République française qui dit énonce uniquement « La langue de la République est le français. »

Donc sans utiliser le fameux mot « officiel » qui pose souvent le problème central de discussions houleuses voire trollesques. L’absence de cet adjectif si symbolique est étonnante.

Du coup, je me demandais si il est défini ailleurs (typiquement dans une loi) une langue « officielle ».

En cherchant sur légifrance, un des premiers résultats (et le seul résultat pertinent que j’ai trouvé) concerne l’éphémère Communauté française (Décision Européenne du 9 février 1959 portant définition de la langue officielle de la communauté : « La langue officielle de la Communauté est la langue française. »).

Auriez-vous, chez Pythies plus de succès que moi ?

Cordialement, Vigneron * discut. 28 août 2011 à 22:22 (CEST)[répondre]

Bonsoir Vigneron. En toute objectivité je ne devrais pas répondre à cette question car, venant de fêter avec un jour de retard un anniversaire que beaucoup m’ont souhaité heureux, j’ai profité et des gâteaux et du tonneau de vin offerts, mais cependant... je ne pige pas ta question :
en quoi la langue française est-elle un sujet « relativement sensible » ?
pourquoi le français serait-il limité à l’aspect franco-centré « langue officielle de la France » ?
qu’est-ce que ce « brol » que comme « résultat pertinent de recherche » : « La langue officielle de la Communauté est la langue française. »  ? Quelle communauté que diable ? (faire gaffe au sens commun et au sens politique...en Belgique)
D’accord j’ai sans doute trop abusé du tonneau de pinard qui m’a été offert pour mon anniv’ mais quand même... peux-tu être plus précis ?
Amclt, --Égoïté (d) 29 août 2011 à 00:28 (CEST)[répondre]
Ma question ne tourne pas directement autour du « français » mais de son caractère « officiel » (ie. de jure) en France. On peut étendre la question pour les autres pays francophones mais c’est la situation en France où le français est largement reconnu de facto comme officiel. De plus, pour la Suisse, je sais déjà que l’article de sa constitution défini le français comme langue nationale (art. 4) et langue officielle (art. 70) − au moins c’est clair (contrairement à la France où je ne trouve aucune trace d’adjectif qualificatif dans la constitution ni ailleurs). En Belgique, je ne trouve pas non plus le mot « officiel » (il n’y a aucune occurrence en fait) dans la Constitution (d’ailleurs cette Constitution est encore plus bizarre que ce que laissait présager ma maigre connaissance de la situation).
Ce n’est pas sur Wikipédia que l’on dira le contraire : les langues et leur(s) statut(s) peuvent donner lieu à des débats sans fin.
Pour la Communauté française, j’ai donné le lien pour comprendre (pour résumer : c’était une organisation franco-internationale éphémère et l’avant-dernier vestige de l’empire colonial français). Quant à la pertinence, c’est tout simplement le seul texte de loi français (mais plus en vigueur) où j’ai trouvé clairement défini la langue française comme officielle.
La question est méta-linguistique et assez capillo-tractée mais j’aimerais bien avoir une réponse (ne serait que pour frimer en soirée et pouvoir dire qu’aucun texte de loi français n’utilise le terme « officiel » pour définir le français ; ce qui serait assez savoureux). J’espère avoir été plus clair et que cela ne t’empêchera pas de bien profiter Émoticône.
Cdlt, Vigneron * discut. 29 août 2011 à 01:38 (CEST)[répondre]
Salut Vigneron. Ta référence indique clairement le statut de la langue en France : elle n'est pas vraiment « officielle » et surtout elle n'est pas légale mais constitutionnelle, elle fait partie des éléments antérieurs ou supérieurs à la loi et dont la loi découle ou auxquels elle se réfère. La question de l'officialité de la langue ne se pose pas vraiment pour des États supposés monolingues puisqu'en théorie elle n'entre pas en concurrence avec des langues non officielles (en pratique, je ne suis pas persuadé qu'il existe réellement des États monolingues et en tout cas la France n'en ferait pas partie, mais bon, ça n'a rien à voir dans cette histoire). Le préambule et les articles 1 à 4 de la Constitution du 4 octobre 1958 énoncent des faits et opinions formant le socle d'où le reste découlera : organisation de la société et de l'administration, lois, règlements, ordonnances et arrêtés, et tout ce qui concourt à la réalisation ou au maintien de ce que proposent le préambule, l'article 1 et le titre I.
Maintenant, il y a l'aspect historique de cette mention, « La langue de la République est le français ». Dans Wikisource la page sur la Constitution française de 1958 avec l'ensemble de ses modifications permet de voir qu'elle est récente et n'apparaît qu'à partir de la « version résultant de la loi constitutionnelle n° 92-554 du 25 juin 1992 », soit plus de 30 ans après les débuts de la V°. Cette modification est à relier à la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires dont l'adoption était alors imminente (l'ouverture à la signature eut lieu le 5 novembre 1992). À remarquer qu'à l'heure actuelle (voir cette page du Conseil de l'Europe) la France n'a toujours pas ratifié ni fait entrer en vigueur cette charte. Mais ce n'est pas le seul des États membres de l'Union européenne en 1992 à ne pas avoir ratifié ce texte du Conseil de l'Europe, certains ne l'ayant pas même signé, comme la Belgique où, il est vrai, on doit avoir quelques problèmes avec la notion de « langues régionales ou minoritaires »...
L'ajout de cette mention dans la révision de 1992 est, peut-on dire, préventif : il ne s'agit pas tant de dire que le français est la langue officielle de la France, que d'établir que les autres langues ne peuvent pas l'être, ce que précise l'article 75-1 « introduit par la loi constitutionnelle n° 2008-724 du 23 juillet 2008 » : « Les langues régionales appartiennent au patrimoine de la France ». Je me souviens des discussions de l'époque à propos de cette charte à venir du CE, et de la crainte de certains (en fait, de la très grande majorité des députés et sénateurs) que lesdites langues régionales ou minoritaires deviennent officielles, ce qui aurait eu, selon ces craintifs, des implications multiples, notamment la possibilité de dresser des actes officiels dans ces langues si leurs locuteurs-scripteurs le demandaient. Une idée qui ne leur plaisait pas trop... -O.--M.--H.- 29 août 2011 à 07:01 (CEST)[répondre]
En fait le français est langue officielle depuis l'ordonnance de Villers-Cotterêts. La réforme de 92 consiste seulement à "constitutionniser" ce principe, qui était attaqué par partisans des langues régionales, mais ce n'était pas forcément nécessaire dans la mesure où cette vieille loi était de toute façon reconnu comme fondamentale, du rang des "grands principes de la République", et directement lié au principe de l'unicité et indivisibilité de la République. gem (d) 29 août 2011 à 12:11 (CEST)[répondre]
m'enfin c'est quoi tout ces chichis ? La constitution est tout en haut de la hiérarchie des norme, la constitution dit que "« La langue de la République est le français » (et, notez la nuance, elle ne dit pas : « Le français est la langue de la République »), qu'est-ce qu'il vous faut de plus officiel pour reconnaitre que le français est de jure la langue officielle ("Qui émane du gouvernement, qui est déclaré par lui") ? gem (d) 29 août 2011 à 10:09 (CEST)[répondre]
Merci Olivier (tu me rappelles des choses que je connais assez bien mais cela ne fait pas de mal de les revoir énoncées clairement).
Personnellement, il ne me « faut » rien. Je remarque juste que la constitution française n’utilise pas le terme courant et utilisé tout les jours (contrairement à d’autres pays comme la Suisse notamment). Et que du coup, le sourcage sur Wikisource présente une légère distorsion.
Cela peut sembler trivial mais je me fais l’avocat du diable (Sourire diabolique), il y a aurait beaucoup à redire à « le français est langue officielle depuis l'ordonnance de Villers-Cotterêts ». D’abord, c’est complètement anachronique, en 1539, on commençait à peine à ne plus utiliser l’ancien français pour glisser vers le moyen français (à tel point que l’article l’article est obligé de traduire en français moderne le texte de ladite ordonnance). Ensuite, l’article 111 ne concerne que les actes administratifs. Etc. etc. (je vous laisse ce qu’un troll professionnel pourrait imaginer). Bref passons.
Pour être hyper-pragmatique : ce que je cherche c’est en gros tout les textes de loi français qui parle du statut de la langue française.
Pour la question de l’ordre des mots (en gros le choix du sujet), je ne suis pas bien sur de saisir la nuance. Cdlt, Vigneron * discut. 29 août 2011 à 12:54 (CEST)[répondre]
CQui (d) Ce que je comprend, c'est que pour la republique il n'y a pas d'autre langue de la France, preciser qu'elle est officielle, c'est qu'il y en a d'autres, comme le Breton, le Corse, le Lyonnais, etc. qui seraient moins officielle mais presentes. --29 août 2011 à 14:25 (CEST)[répondre]
La constitution ne parle pas de la France, elle parle de la République, ce qui n'est pas la même chose (sauf peut-être pour quelques rares extrémistes). Qu'il y ait d'autres langues en France est une évidence mais ça ne concerne pas la République
La nuance c'est que dans un cas (celui de notre constitution) la France adopte le français (préexistant et indépendant, notamment parce que partagé avec d'autres pays). Alors que dans l'autre cas la République (même pas la France !) définirait le français comme étant sa langue à elle.
Pour parler informatique, on pourrait dire que la variable "langue de la République" est instanciée avec "français", alors que la formulation symétrique reviendrait au contraire à instancier la variable "français" avec "langue de la République".
Avec deux implications majeures : et d'une, le français serait subordonné à l'état et pourrait être modifié par décret (ce qui n'est pas le cas !) ; et de deux, cette langue ne serait par définition pas partagé avec d'autres pays, le "français de Belgique" serait aussi différent du "français" que le "franc belge" pouvait l'être du "franc" (français). Accessoirement, le "français" serait alors né en même temps que la République, c'est à dire en 1958, et rétroactivement puisque défini seulement en 1992, ce qui serait assez rigolo sur quelques points juridique (nécessité d'un texte pour définir l'interprétation officielle du parler antérieur à 1958 et des textes antérieurs encore en vigueur ?)
Alors qu'avec la formulation adoptée la langue est une donnée, un fait constaté du même niveau que le territoire national (c'est comme ça et puis c'est tout, aucun besoin de le définir) , et la République ne prétend pas non plus la régenter (même l'Académie française n'a aucun pouvoir en la matière, seulement une autorité ...) ; par conséquent aucun paradoxe du barbu appliqué au français ne viendra à bout de cette simple réalité que le français est langue officielle depuis François Ier, officiellement réaffirmé en 1992
Un recensement exhaustif des textes à propos du français est trop difficile pour moi mais je pense automatiquement à la loi Toubon (indice : le seul et unique visa de cette loi est "Vu la décision du Conseil constitutionnel n° 94-345 DC en date du 29 juillet 1994", ce qui semble indiqué qu'il n'y a aucune loi antérieures sur le sujet, et il ne doit pas y avoir beaucoup de décret ni de circulaire)
gem (d) 29 août 2011 à 15:05 (CEST)[répondre]
« Un recensement exhaustif des textes à propos du français » n’est pas ce que je cherche. Je cherche un « Un recensement exhaustif des textes contenant les mots français et langue officielle », ce qui est très différent.
La loi Toubon ne correspond pas à ce cas (au contraire elle bote en touche en parlant « langue de la République en vertu de la Constitution »). Ceci dit, elle est intéressante, surtout la décision de Conseil constitutionnel à propos de cette loi −que tu cites− : en gros le Conseil a retiré les interdictions d’utiliser des « une expression ou un terme étrangers » au nom de la liberté d’expression (ce qui me semble plutôt aller à l’encontre de l’objectif de la loi d’obligation d’utiliser la langue française).
Peut-on donc considérer qu’il n’existe aucun texte parlant de « langue officielle » en France ? (à l’exception de la Décision Européenne du 9 février 1959).
Cdlt, Vigneron * discut. 29 août 2011 à 16:39 (CEST)[répondre]
d'une manière générale, un officiel (organisme, porte-parole, communiquant...) n'utilise pas (sauf exception) le mot "officiel" pour qualifier ses propos ou ses actes, ce serait du pléonasme ou de l'auto-référence, dont l'utilité n'est pas flagrante, voire nuisible dans la mesure où déclarer un truc comme étant officiel c'est l'entacher d'un doute quant au fond. Je serais donc surpris qu'on trouve l'expression "langue officielle" dans les textes officiels, on utilisera plutôt simplement "langue de la République" (langue au singulier) comme M. Toubon. si l'expression "langue officielle existe ce sera plutôt dans la bouche de commentateurs (mais il ne doit pas y en avoir des masses, le sujet n'étant pas matière à débats très fréquentés). gem (d) 30 août 2011 à 10:49 (CEST)[répondre]
Pourtant la Constitution suisse (art. 70) ainsi que la “Constitution” canadienne (art. 16) utilisent explicitement bien l’adjectif « officiel » pour désigner leurs langues. Dans le domaine de la linguistique, cette précision n’est pas anodine et ne relève pas exactement du pléonasme. Cela semble confirmer l’idée d’Olivier que ce sont plutôt les états multilingues qui ajoute cette précision. Cdlt, Vigneron * discut. 30 août 2011 à 12:14 (CEST)[répondre]
oui, j'avais remarqué que l'UE aussi utilise bien l'expression "langue officielle" pour le français. Je constate juste qu'en France on préfère "langue de la République" au singulier, ce qui revient strictement au même que "seule et unique langue officielle" (encore qu'on peut parfois discuter du caractère "français" de la langue utiliser de la prose administrative, où le xyloglotte le dispute au pédagol gem (d) 30 août 2011 à 12:24 (CEST)[répondre]
C'est pas des chichis, d'ailleurs ce qui se trouve dans la Constitution n'émane pas du gouvernement (y compris du peuple comme gouvernement) ni n'est déclaré par lui, mais émane de la nation. Certes « la [C]onstitution est tout en haut de la hiérarchie des norme[s] » ou comme le dit le Conseil constitutionnel, « la Constitution est formellement une norme juridique supérieure à l'ensemble des autres normes juridiques produites et applicables dans l'ordre juridique national ». Ça n'en fait pas pour autant un texte législatif, elle est « supérieure à l'ensemble des autres normes juridiques », celles qui sont « produites et applicables dans l'ordre juridique national ». L'autre manière de la définir est celle qui débute le même article : « La Constitution est un acte de souveraineté. C'est au sein d'un Etat démocratique la règle qu'un Peuple se donne à lui même ». La Constitution n'est pas « la première des lois » ni « le premier des décrets » ni « la première des décisions du gouvernement » mais quelque chose qui se trouve au-dessus de tout ça.
Pour revenir à mon propos précédent, dans un État qui ne reconnaît pas de statut légal équivalent aux « langues du régime » (en ce cas, à la langue de la République) et aux autres langues parlées dans son espace, vernaculaires ou non, la question de « l'officialité de la langue » ne se pose pas, il s'agit d'un constat et d'une affirmation qui, pour me répéter, ne dit pas que le français est langue officielle mais qu'il n'y a pas d'autre langue universelle (en un sens restreint : valable pour l'ensemble des citoyens français) que celle-là, donc que les autres langues parlées dans l'espace français ne sont pas celles de la République, si elles sont celles de certains de ses citoyens. Ce n'est donc pas la langue officielle mais plus simplement la langue commune à tous les citoyens français, donc celle valable pour tous. -O.--M.--H.- 29 août 2011 à 15:52 (CEST)[répondre]
ne fais pas le malin, la constitution est officielle ou rien ne l'est, et même ton argument petitement formaliste comme quoi elle n'émanerait pas du gouvernement est faux : [9] « Le Gouvernement de la République [...] a proposé [...] la loi constitutionnelle dont la teneur suit »
Quand au second point, je ne comprend même pas ce que tu dis. Si c'est pour dire qu'il faut qu'il existe d'autres langues dans l'espace concerné pour qu'on ça ait un sens de définir une langue "officielle", c'est en pratique assez évident, même si c'est d'une point de vue strictement formel faux (en ce qu'on peut définir une langue officielle même quand il n'y en a pas encore d'autres de présentes, à titre préventif en quelque sorte)
gem (d) 29 août 2011 à 16:33 (CEST)[répondre]
« Mon » deuxième argument n'est pas le mien, c'est celui de la Constitution française actuelle. Quant au premier, n'en parlons pas, je me suis basé sur tes remarques mais si tu les trouves indigentes, libre à toi... -O.--M.--H.- 30 août 2011 à 21:26 (CEST)[répondre]