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Wikipédia:Oracle/semaine 46 2011

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Rapport entre Wikipédia et les "Editions Lilette Blondeau".

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Bonjour chère Pythie, Je suis bibliothécaire mais je suis consciente de l'intérêt de toutes les sources menant à l'information. J'utilise donc, couramment Wikipédia en recoupant l'information. En faisant des commandes de nouveaux livres, je suis tombée aujourd'hui sur un "éditeur" qui m'était totalement inconnu : Lilette Blondeau. J'ai volontairement utilisé les guillemets parce que sur la couverture du livre, il est indiqué "Ed." mais que Amazon dit que l'ouvrage est publié "sous la direction de". Lien :

http://www.amazon.fr/prog%C3%A9ria-Esp%C3%A9rance-vie-limit%C3%A9e/dp/6130118694/ref=sr_1_13?s=books&ie=UTF8&qid=1321268029&sr=1-13

Je n'ai rien trouvé sur le web à propos de cet auteur, si ce n'est une production assez récente de titres sur des sujets divers et variés. Fastbook publishing, qui apparaît aussi sur la couverture me semble être un éditeur à compte d'auteur. Mais je m'interroge sur la mention "Toute l'actualité par Wikipédia". Avez-vous quelque chose à voir avec cette production littéraire? J'étais déjà tombée sur Amazon sur des livres publiés par "Livres Groupe" et sur l'article de Wikipédia à propos de cette maison d'édition qui ne fait que compiler des articles de Wikipédia. Merci de votre réponse. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 212.166.19.52 (discuter), le 14 novembre 2011 à 12:23‎ (CET)[répondre]

Je le signale au Bistro (plus adapté à ce genre d'information). -- Xofc [me contacter] 14 novembre 2011 à 12:53 (CET)[répondre]
inconnu pour moi également. Je creuse... Lien direct vers la question sur le bistrot : ici

le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle est capable d'écrire sur tout et n'importe quoi à une vitesse phénoménale, vu la quantité de bouquins signés en 2011. Je comprends mieux le nom de l'édition Fast book... v_atekor (d) 14 novembre 2011 à 13:32 (CET)[répondre]

Voir VDM Publishing (qui, en pratique, ne contient pas d'information utile), et surtout sa versin anglaise en:VDM Publishing, section « Wikipedia content duplication ». Pour une explication ne se fatiguant pas avec la politique de neutralité que tout le monde a raison même les voyous, voir en:User:PrimeHunter/Alphascript Publishing sells free articles as expensive books ou en:User_talk:Kasaalan/Publisher. En résumé : livres à ne pas acheter pour une bibliothèque sauf cas particulier de la bibliothèque de Babel qui doit être dotée d'un budget en conséquence. Touriste (d) 14 novembre 2011 à 14:23 (CET)[répondre]

Étienne de Silhouette

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Bonjour l'Oracle, Je voulais illustrer l'article Étienne de Silhouette par une silhouette de lui, (d'autant que l'auteur doit être mort depuis plus de 70 ans), et je n'en trouve pas. S'il a surtout donné son nom à une forme de portrait au rabais, il a bien du être le sujet de cette caricature. Enfin je suppose. Merci de votre aide. Bertrouf 15 novembre 2011 à 08:01 (CET)[répondre]

… trouvé cela avec deux silhouettes qui semblent être d'Étienne de Silhouette. À vérifier… — Hautbois [canqueter] 15 novembre 2011 à 09:36 (CET)[répondre]
Fichu pare-feu chinois, ce n'est pourtant pas un site sensible... pourquoi faut-il que je lance le VPN pour voir ça. Oui, la silhouette semble bien être la bonne. Merci pour ta recherche, je la copie sur Commons. (pendant que j'ai le VPN allumé … soupir… ) Bertrouf 16 novembre 2011 à 02:48 (CET)[répondre]

cours de la bourse

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c est quoi le haussement du cour de la bourse, expliqué moi le processu de ce haussement

Bonjour, avant de possibles explications, voir déjà éventuellement Bourse (économie) et Cotation (finance). Cordialement, --Floflo (d) 15 novembre 2011 à 12:59 (CET)[répondre]
Et au passage,
logo Chère visiteuse, cher visiteur. C'est avec plaisir que nous répondrons à votre question si nous le pouvons, mais nous aurions grandement préféré qu'elle fût formulée avec un peu plus de courtoisie : bonjour, s'il vous plaît et merci sont toujours appréciés. Bonne navigation sur Wikipédia.
Je ne colle pas le bandeau devoirs mais j"y pense fort... -O.--M.--H.- 15 novembre 2011 à 17:50 (CET)[répondre]
On croirait une personne qui teste Siri... Ordres, phrases simples, absence de formules de politesses. Mais nous ne sommes pas des robots. Bertrouf 16 novembre 2011 à 02:13 (CET)[répondre]
Pour information, on dit hausse de la bourse et haussement d'épaules. Et évitez de parler du haussement des bourses... --GaAs 16 novembre 2011 à 10:58 (CET)[répondre]
Floflo a peut-être vu que la question était posée depuis Dakar ou au moins à partir du Sénégal, la provenance des questions mal formulées (des IP en général) est toujours intéressante à savoir (Norvège ou Sénégal par exemple) dans la mesure où l'on peut ensuite pondérer sa réponse, je sais, faute de temps on y pense pas toujours etc...--Doalex (d) 16 novembre 2011 à 11:27 (CET)[répondre]

Pourquoi ne pas soumettre wikipédia au Patrimoine de l'UNESCO ?

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Bonjour,

Je prends le temps de vous écrire car j'ai lu votre demande de soutien et je pense que wikipédia mérite de faire partie du Patrimoine de l'UNESCO.

Wikipédia est une encyclopédie que j'apprécie beaucoup et qui me sert de référence car les informations trouvées sont sures et fiables c'est incontestable.

De plus wikipédia est une encyclopédie agréable à lire, bien argumentée et documentée. Je pense que c'est une énorme richesse culturelle qui doit être reconnue. Vous pourriez sans doute obtenir des subventions pour qu'elle persiste. Voir disparaître cette encyclopédie serait une perte importante tant elle est riche en connaissances, c'est un ouvrage de référence. Enfin wikipédia présente les critères qu'imposent le classement au Patrimoine de l'UNESCO.

Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de mes sincères salutations.

Béatrice LAMIRAND

Bonjour, et merci. L'Oracle n'est pas vraiment le lieu pour une telle remarque, cela dit on peut esquisser une réponse encyclopédique. Wikipédia et plus largement le projet Wikimedia ne sont pas vraiment du genre à pouvoir figurer au patrimoine mondial de l'humanité qui ne considère que les sites culturels ou naturels, ni au patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Comme le précise la Convention sur le patrimoine immatériel, « On entend par “patrimoine culturel immatériel” les pratiques, représentations, expressions, connaissances et savoir-faire - ainsi que les instruments, objets, artefacts et espaces culturels qui leur sont associés - que les communautés, les groupes et, le cas échéant, les individus reconnaissent comme faisant partie de leur patrimoine culturel ». Il faut donc une certaine épaisseur historique pour qu'un objet culturel devienne patrimoine culturel, et une assise territoriale précise pour appartenir au patrimoine mondial. -O.--M.--H.- 15 novembre 2011 à 18:04 (CET)[répondre]
Je n'ai pas compris l'intérêt d'inclure des choses immatérielles. --Mistig (d) 15 novembre 2011 à 20:55 (CET)[répondre]
Non pas des choses mais un patrimoine, qui justement n'est pas fait de choses mais de traits culturels, qui peuvent s'appuyer sur des choses mais où elles ne sont pas l'essentiel. Deux exemples récents, le repas gastronomique des Français et le savoir-faire de la dentelle au point d’Alençon, montrent bien la chose : il s'agit avant tout d'une pratique (l'ordonnancement du repas, la manière de monter un point de dentelle) liée à un territoire, ayant une certaine profondeur historique et appartenant au patrimoine commun d'une certaine population. -O.--M.--H.- 16 novembre 2011 à 02:19 (CET)[répondre]
Oui, enfin je ne vois pas pourquoi le noyau Linux ou Wikipédia ne pourraient pas en faire partie ; ils sont au moins aussi importants pour l'humanité que la dentelle ou le point de croix... Arnaudus (d) 16 novembre 2011 à 08:19 (CET)[répondre]
Parce qu'il ne s'agit pas de promouvoir des biens culturels ou des objets de l'esprit, aussi intéressants soient-ils, mais des traits culturels enracinés dans une réalité localisable. Il existe tout un tas d'autres conventions ou traités qui peuvent accorder à des objets tels qu'Unix (plutôt que Linux) ou Wikipédia une médaille en chocolat, mais pas ces deux-là, qui ont des critères de sélection excluant des objets de ce genre. Pourquoi tous les résidents d'un pays ne sont pas des citoyens d'un pays ? Parce qu'il ne suffit pas de résider dans un pays pour en être citoyen. Ça peut paraître idiot ou incongru ou que sai-je, mais c'est ainsi : chaque institution a ses règles et une règle ne vaut pas pour tous les objets ou sujets qui ont les caractéristiques générales de ceux visés, parce que la différenciation entre les objets ou sujets se base précisément sur les particularités et non sur les généralités. -O.--M.--H.- 16 novembre 2011 à 09:32 (CET)[répondre]
Il existe une pétition : meta:World Heritage. --GaAs 16 novembre 2011 à 16:35 (CET)[répondre]

De l'email dans les vieilles institutions

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Bonjour, comment terminer un courriel envoyé à son supérieur hiérarchique ? Et dans l'Education Nationale (par exemple d'un professeur à un chef d'établissement) ? Salutations. Cordialement.--88.141.77.48 (d) 15 novembre 2011 à 17:33 (CET)[répondre]

Professeur, je termine mes courriers à mon IEN par le très classique "Je vous prie de croire, Monsieur l'Inspecteur, en l'assurance de mes respectueuses salutations." Sinon, il y a ça  : http://www.abc-lettres.com/formule-politesse.html Cobra Bubbles°°° Dire et médire 15 novembre 2011 à 20:48 (CET)[répondre]
Avec les emails, les formules de politesse à l'ancienne sont devenues un peu lourdes, je trouve. J'aime bien la concision de "Cordialement".
Tant qu'on parle de ça, je me permets de partager mon effroi devant les emails contenant une formule de politesse insérée automatiquement avec la signature. Il faut être complètement neuneu pour croire qu'il est poli de laisser un robot saluer les gens? Je trouve ça plutôt insultant. Arnaudus (d) 16 novembre 2011 à 08:15 (CET)[répondre]
« Bien à vous » c'est aussi passe-partout. - Cymbella (répondre) - 16 novembre 2011 à 11:12 (CET)[répondre]
... pas d'un homme à une femme, sa supérieure qui plus est, si ? --88.141.77.48 (d) 16 novembre 2011 à 18:04 (CET)[répondre]
Je ne me suis jamais posé cette question, peut-être parce que je suis une femme Émoticône sourire, belge de surcroît et la formule semble plus fréquente en Belgique qu'en France [1] … As-tu lu ceci ? - Cymbella (répondre) - 16 novembre 2011 à 21:25 (CET)[répondre]
Pour ma part, j'apprécie que la forme courte du courrier électronique (e-mail, et non email) ne soit pas utilisée comme prétexte pour confondre langage écrit et parlé. Si je supporte un "cordialement" en signature automatique (en particulier si c'est le quatrième e-mail de la journée que je reçois de la même personne), je ne tolère pas un "Cdlt", a fortiori un "cldt" automatique me sort par les yeux. Donc quand j'envoie, je varie entre diverses formes, toutes courtes : "Sincèrement", "Cordialement", "Sincères salutations", "A bientôt", "Merci et bonne journée", "Salutations distinguées", "Serviteur"... Bertrouf 17 novembre 2011 à 02:31 (CET)[répondre]
formule-politesse.html: je n'ai réussi à atteindre le lien que par son cache! Pour ma part je reformulerais "très respectueux" dans presque tous les cas qui correspondent, je trouve la position trop onctueuse sinon. Dans le même ordre d'idées, le site est-il vraiment de belle autorité ? Je trouve les associations: "agréez ma dévotion" assez étranges. Pour finir, à part pour "Serviteur", a t'on trouvé la bonne réponse en ce qui concerne les besoins d'un courriel concis? --Askedonty (d) 17 novembre 2011 à 19:50 (CET)[répondre]

Bonjour. J'ai fini Zola, Proust, Pérec, Queneau, Marcel Aymé, Jules Verne, "la Conjuration des Imbéciles", l'anthologie de la SF en 40 volumes (livre de Poche), Kundera, Joyce, Beckett, JB Shaw, "Gatsby le Magnifique", Nicolas Bouvier, Witold Gombrowitz. Que pourrais-je lire ? Merci. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 88.141.77.48 (discuter), le 15 novembre 2011 à 17:41

Le reste ? --Serged/ 15 novembre 2011 à 17:59 (CET)[répondre]
Thomas M. Disch (notamment Camp de concentration, 334 et Sur les ailes du chant), Roger Zelazny et deux bouquins formidables, Des fleurs pour Algernon de Daniel Keyes et Candy Man de Vincent King. Et le reste. -O.--M.--H.- 15 novembre 2011 à 18:16 (CET)[répondre]
Les œuvres principales de tous les Prix Nobel de littérature. Dhatier jasons-z-en 15 novembre 2011 à 18:35 (CET)[répondre]
Il y a Victor Hugo chez les classiques. Tolkien, J.K. Rowling, C.S. Lewis et Christopher Paolini chez les interminables car on les relit 20000 fois, Ian Fleming pour les fantasmes masculins soft sur papier, Erik L'Homme chez les très bon et peu connu et c'est dommage, Edgar Allan Poe chez les rapides et efficaces, Arthur Rimbaud chez les jeunes hippies obsédés sexuel et le reste des écrivains de cette planète. Hrethcarach (Thverr stenr un atra eka hórna) 15 novembre 2011 à 19:22 (CET)[répondre]
D'abord, relire. --Mistig (d) 15 novembre 2011 à 20:53 (CET)[répondre]
Francisco Coloane, qui mêle contes patagoniques et autobiographie, Bruce Chatwin, partiellement patagonien également, Luis Sepúlveda, également sudaméricain et dans le conte, John Irving pour ses pavés psycholo-décono universitaire (qui met des histoires de préservatifs dans tous ses romans), Arto Paasilinna, aventures nordiques qui me font penser à Aki Kaurismäki, Jørn Riel, publié en France chez Gaïa sur du beau papier couleur brique... Un français ? Djian ? --MGuf (d) 15 novembre 2011 à 21:43 (CET)[répondre]
Et aussi Colette, Georges Simenon, Agatha Christie, Amélie Nothomb, Philippe Claudel, Philip Pullman, Marc Lévy, Éric-Emmanuel Schmitt, Bernard Werber, Juliette Benzoni, Ken Follett, Dan Brown… pour varier les genres sans chercher très loin. Ça devrait encore t'occuper un bon moment ! - Cymbella (répondre) - 15 novembre 2011 à 23:32 (CET)[répondre]
Lire Wikipédia. Ca aussi ça occupe. Bertrouf 16 novembre 2011 à 02:17 (CET)[répondre]
Je suis à peu près dans la même situation que toi (as-tu lu Borges ? Et Yourcenar ? Dostoïevski ?). Du coup, de temps en temps, je relis — je n’y arrive pas toujours ; je tente parfois un nouveau roman ou recueil de nouvelles qui me glisse tout seul des mains (néanmoins je peux te recommander chaudement Coetzee et Gao Xingjian) ; et la plupart du temps je lis des essais, de la vulgarisation scientifique (je te recommande SJ Gould si tu n’as pas lu, et ensuite son ennemi juré, Dawkins), et des livres de mathématiques sévères (je te recommande Data Analysis, A bayesian tutorial de Sivia, un ouvrage méconnu mais une vraie petite mine, et puis Analyse non standard d’Alain Robert, un ouvrage simple – et c’est sa force.). rv 194.254.71.2 (d) 16 novembre 2011 à 09:38 (CET)[répondre]
Si tu a vraiment lu tout ça, tu as les connexions pour trouver quoi lire en plus, non ? A défaut nous avons un Portail:Littérature qui offre un grand choix pour butiner. Sinon, je peux ajouter à ce qui précède : la 25e heure, l'or, voyage au bout de la nuit, Tolkien, les standard du théâtre (Shakespeare, Molière, Feydeau, Courteline, Tchekhov, Harold Pinter, ...), A l'ouest rien de nouveau, american psycho, extension du domaine de la lutte, les nus et les morts, moby dick, HMS Ulysses, guerre et paix, Anna Karénine, Pouchkine, Stephen King, ... gem (d) 16 novembre 2011 à 09:49 (CET)[répondre]
J'oubliais Gabriel García Márquez.
@rv : as-tu lu Darwin L'Origine des espèces ? C'est aussi à mon agenda… - Cymbella (répondre) - 16 novembre 2011 à 11:09 (CET) Oui je l’ai lu, c’est bien ! rv[répondre]

Et oui... beaucoup de possibilités de lecture encore, le problème étant qu'après les chefs d'œuvre difficilement dépassables que j'ai lu, le désir et la curiosité ne sont plus au rendez-vous. Ma foi, je vais peut-être réussir à les provoquer en cliquant sur vos propositions bleuies ! Sinon Tokien, cité 2 fois, je l'ai lu aussi et c'est effectivement un très bon souvenir. Personne n'a cité Flaubert, très bien aussi (à partir de la trentaine).--88.141.77.48 (d) 16 novembre 2011 à 18:03 (CET)[répondre]

Écris ! Grasyop 16 novembre 2011 à 18:43 (CET)[répondre]
Lire Le voyage dans le passé (Die Reise in die Vergangenheit) de Stefan Zweig, Le Livre de Poche, édition bilingue, 2011 Mike Coppolano (d) 16 novembre 2011 à 21:31 (CET)[répondre]
alors fais ce que RV suggère : passe de la littérature à la culture scientifique, technique, philosophique... gem (d) 17 novembre 2011 à 14:52 (CET) Note que tu peux lire de la littérature scientifique un peu auncienne, d'ailleurs il faut lire Descartes (la géométrie), c’est bien ! Le traité de la roulette de Pascal ça pulse ! Il y a aussi la politique, l’économie... bref il y a forcément plusieurs domaines hors la fiction qui peuvent te fournir des lectures passionantes. rv 17 novembre 2011 à 17:43 (CET)[répondre]
Si vous avez encore une question idiote qui remue le plus de monde possible, n'hésitez pas : posez la à [2] (le Beaujolais a encore frappé !)
d'acc. Tout de suite

Il reste Jack London, John Fante, Bukowski, Henry Miller, Saki, Roald Dahl, Orwell, Huxley... chez les anglo saxons! dieu merci, la liste est longue et inachevée :)

Arbre algébrique SQL

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Bonjour, je recherche un logiciel de création d'arbres algébriques (SQL). Pouvez-vous m'aider ? Merci.

Salut. Si j'ai bien compris, un « arbre algébrique » est la représentation arborescente d'une requête SQL où les nœuds sont les éléments conditionnels (d'algèbre booléenne) de la requête. En toute hypothèse, il ne doit pas exister de logiciel autonome qui fasse ça, par contre il doit exister des modules qui construisent de tels représentations dans les SGBD les plus courants et les outils SQL. Je ne l'ai pas fait, mais tu devrais explorer les résultats de cette recherche :
Très probablement l'un ou l'autre des logiciels proposés (à mon avis tous ou presque) doi(ven)t répondre à ta demande. -O.--M.--H.- 16 novembre 2011 à 18:43 (CET)[répondre]

La meme heure correspond elle au meme moment sur 4 ans

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Si l’année administrative ne compte pas un nombre entier de jour, la même heure ne correspond donc pas, le même jour de l’année, au même moment. Cela est du au fait que chaque année(non bissextile) compte une partie de jour en moins que l’année solaire jusqu'à ce que correction soit faite au bout de 4ans en comptant février 29 jours au lieu de 28... Mais qu’en est il de la même heure chaque quatre ans? De quelle erreur est il question quant à la correspondance de cette heure au même moment de l’année solaire. Question qui devrait avoir un sens puisque le calendrier grégorien totalise sur 3000 ans, dit-on, une erreur d'un jour. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 41.248.90.252 (discuter), le 17 novembre 2011 à 03:42 Transféré d'une page supprimée. --Traleni (d) 17 novembre 2011 à 03:53 (CET)[répondre]

À mon avis, il s'agit de deux choses différentes : l'heure est (historiquement) la 24e partie du jour moyen qui est un effet de la rotation de la Terre sur elle-même et de la révolution de la Terre autour du Soleil. Le calendrier ne s'intéresse qu'à la révolution. Comme les deux mouvements sont indépendants, les calculs ne tombent pas justes et il faut faire des ajustements. Notez aussi qu'il y a plusieurs types de jours et d'années en astronomie suivant ce que l'on prend comme référence (jour moyen, jour sidéral,... ; année tropique, année sidérale,...) -- Xofc [me contacter] 17 novembre 2011 à 08:50 (CET)[répondre]
Et les astronomes utilisent le jour julien dans leurs calculs. -- Xofc [me contacter] 17 novembre 2011 à 08:57 (CET)[répondre]
Voir aussi 'Histoire de la mesure du temps'. -- Xofc [me contacter] 17 novembre 2011 à 09:00 (CET)[répondre]
Salut, questionneur d'une page supprimée, en espérant pour toi que tu passes un jour sur celle-ci.
Il y a deux aspects de comptage du temps, celui conventionnel ou légal, et celui absolu ou scientifique. Le calcul conventionnel part de deux faits ordinaires, pour les calendriers solaires : le jour et l'année. Chaque jour est, dans le cas européen, et désormais universel, divisé en 24 heures, chaque heure en 60 minutes, chaque minute en 60 secondes. Chaque année est composée de 365 jours, mais la révolution de la Terre autour du soleil ne durant pas exactement 365 jours, deux corrections sont effectuées, l'une tous les quatre ans, en ajoutant un jour, l'autre tous les quatre siècles, en le retranchant ou plus exactement en ne l'ajoutant pas. Le temps scientifique ne considère pas vraiment tout cela, et s'intéresse à l'année réelle, celle qui dure, à quelque chose près, 8.645 heures, 56 minutes et 34 secondes. Je ne considère pas ici les petits ajustements auxquels procèdent les horloges atomiques qui mesurent le temps atomique international C'est du point de vue scientifique que l’année ne compte pas un nombre entier de jour, et dans ce mode de calcul du temps, en fait il n'y a jamais de correspondance exact, à la seconde près, entre deux jours à-peu-près équivalents.
Ce que tu appelles « temps administratif », qui est le temps conventionnel ou légal, se base désormais sur le temps universel mais en est indépendant, pour les sociétés, qu'elles utilisent un calendrier solaire ou lunaire, une année civile donnée compte un nombre entier de jours, et d'une année l'autre tel jour de tel mois correspond exactement au même jour de l'année précédente ou suivante, sauf pour les jours de correction où la correspondance est plus espacée. En lisant l'article sur le temps universel tu pourras voir comment l'année civile, ou légale, est ajustée en tenant compte des variations que le temps universel ou celui atomique établissent. -O.--M.--H.- 17 novembre 2011 à 09:31 (CET)[répondre]

Ce qui donne la même heure sur quatre ans, c'est le temps sidéral. Cordialement, Biem (d) 17 novembre 2011 à 12:50 (CET)[répondre]

J’avoue que je ne comprends pas la question. Il est 5h10, c’est la même heure qu’hier à 5h10, et le seul sens que ça peut avoir pour moi se rapporte à l’« heure officielle ». Comment définir « la même heure » ? Il n’est jamais deux fois la même heure en dehors du sens courant !
Est-ce que deux instants t1 et t2 « sont à la même heure » quand la Terre occupe « à peu près » la même position sur son orbite (en se répérant sur le soleil et des « étoiles fixes ») ? Ou bien, comme semble le suggérer Biem, quand la sphère des étoiles fixes a effectué un nombre entier de rotations (un truc dans ce goût là) ?
rv 17 novembre 2011 à 17:20 (CET)
Ayant compris la question j'ai déjà donné la réponse, donc je t'explique : « administrativement » comme dit notre questionneur, c'est-à-dire conventionnellement ou légalement, toute heure d'un jour donné est « la même » que celle du jour correspondant d'une autre année, qu'il y ait un écart d'un an ou de quatre ans entre les deux dates. Scientifiquement il n'y a jamais deux fois le même instant, quelle que soit la manière de considérer ce « même ». Et pour l'Oracle, on demande avant tout aux répondeurs de répondre, si possible avec amabilité, plutôt que d'expliquer « je ne comprend pas la question » puis, peu aimablement, de ne pas y répondre et d'exposer des truismes. -O.--M.--H.- 17 novembre 2011 à 18:26 (CET)[répondre]
Récapitulons : tu reformules très exactement ce que j’ai écrit, tu prétends que c’est là la bonne réponse (et que c’est celle que tu as voulu donner dans le pavé que tu as posté plus haut, soit), et tu conclus en m’agressant pour avoir formulé les remarques dont tu prétends qu’elles constituent précisément la bonne réponse (tout truismes qu’elles soient). Bien bien, Olivier, je vois que tu es en pleine forme, bravo, continue, Émoticône. rv1729 17 novembre 2011 à 21:53 (CET)[répondre]
Ce que j'ai compris de la question, après relecture, c'est une interrogation sur la correspondance entre la date (jour+heure) et la fraction de l'année (% de l'année écoulée) qui ne donne pas les mêmes résultats d'une année à l'autre, puisqu'il n'y a pas un nombre entier de jours dans l'année mais 365,242 190 517. Ma première réponse était trop rapide, c'est plutôt année tropique qu'il faut voir (et calendrier grégorien). Biem (d) 17 novembre 2011 à 17:49 (CET)[répondre]
Je trouve cette interprétation assez convaincante (il me semble que c’est ma suggestion sur la position de la Terre sur son orbite) ; le problème est qu’il semble possible que le questionneur voulait avoir à la fois la même position du centre de la Terre sur son orbite, et la même heure solaire sur Terre (même angle de rotation de la Terre sur son axe), afin que la coïncidence soit (à peu près) parfaite, d’où la tentation de penser qu’il faille attendre 4 ans pour cela.
L’année sidérale fait 365,256363051 jours d’après l’article. Les réduites successives de 365,256363051 sont 365 + 1/4, puis 365 + 10/39, puis 365 + 131/511... selon l’imprécision qu’on admettra dans la mesure du temps, il faudra attendre 4 ans, 39 ans, 511 ans... rv1729 17 novembre 2011 à 23:03 (CET)[répondre]

Est ce qu'une araignée peut se faire prendre dans la toile d'une autre araignée ?

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Bonjour, je cherche la réponse à cette question depuis un bon moment sans succès, je pense que le titre est assez précis. Merci

Ceci ne répond pas entièrement à la question, mais Argyrodes gibbosus vit sur les toiles d'autres espèces d'araignée, et leur vole leur nourriture, à tel point qu'elle n'est pas capable de chasser seule. Si vous lisez l'anglais, voir Voir ici, et aussi, en français, . Dhatier jasons-z-en 17 novembre 2011 à 16:45 (CET)[répondre]
Je n'ai pas non plus trouvé de réponse exacte à la question mais du moins certaines araignées capturent à l'occasion d'autres araignées, ou aussi, à l'instar d'autres espèces certaines araignées femelles dévorent les mâles après l'accouplement, ou en tout cas tentent de le faire. Sur cette page tu peux voir une araignée qui en dévore une autre. Sans avoir lu de confirmation de cette hypothèse, je suppose que certaines araignées sauteuses ne fabriquant pas de toiles pourraient s'empêtrer dans celles d'autres espèces. -O.--M.--H.- 17 novembre 2011 à 17:00 (CET)[répondre]
Lu quelque part il y a longtemps (je ne sais pas si c’est fiable mais je pense que oui) : certains fils d’une toile d’araignées sont collants (il y a dessus une substance collante), d’autres non. Ce qui empêche une araignée de s’empêtrer dans sa propre toile, c’est qu’elle sait où passer pour éviter la colle. On peut supposer aussi qu’elle sait quoi faire si elle pose par erreur une patte sur un fil collant (je sais pas moi, ne pas se débattre comme une andouille et sectionner proprement le fil en le machouillant ?)...
Est-ce qu’elle sait voir la colle, ou est-ce qu’elle sait simplement où elle est ? Argyrodes Gibbosus semble savoir quoi faire, mais peut-être que le plan d’une toile ne varie pas dans une espèce donnée ? Je n’en sais rien. En tout cas je pense que ça donne des pistes pour chercher. rv 17 novembre 2011 à 17:28 (CET)
pour 2 balles je dirais oui : pour ce que j'en sais, sur une toile d'araignée c'est seulement le fil en spirale qui colle, et toute araignée qui fait une toile "sait" ne pas s'y laisser prendre (en marchant seulement sur les fils "secs" ? ou bien leurs pattes sont adaptées ?). Par contre je suppose qu'un pholcus choppera un autre type d'araignée aussi bien qu'une autre bestiole, tandis qu'une saltique se fera choppé par une toile comme un insecte. gem (d) 17 novembre 2011 à 18:09 (CET)[répondre]
La question bien précise n'apporte pas beaucoup de réponses parce qu'en général c'est un comportement volontaire de la part d'une araignée prédatrice qui ne tisse pas de toiles voir ce lien par exemple [3], il semble que le côté solitaire des araignées empêche cette possibilité s'il s'agit d'une même espèce , seul le cannibalisme est rapporté ici Épeire diadème (pour changer de la veuve noire) et encore seulement lors de la reproduction, on peut penser aussi que la fuite est salutaire, le fait de se trouver hors de son territoire doit être rare et le fait de se faire prendre sur la toile n'est pas décisif pour une araignée d'une même espèce, elle ne va pas s'y engluer elle peut reconnaitre les lignes sèches, pour être prise il faut aussi se faire injecter du venin, et les réactions de l'araignée dérangée sont parfois différentes, l'attaque foudroyante n'est pas systématique, donc de la marge pour s'enfuir puisque le terrain est connu, ce ne sont que des réflexions après lecture des principaux articles Toile d'araignée déjà cité et Araneae et des sous-articles.--Doalex (d) 17 novembre 2011 à 19:22 (CET)[répondre]

Médecine et cinéma

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Bonjour,
Dans un film dont l’action se déroule à l’époque contemporaine, une scène m’a intrigué : un médecin (ou infirmier, ou laborantin…) introduit par la bouche une sorte de sonde dans l’œsophage d’une patiente, éveillée et coopérative. Un mince tube flexible (± 2 mm) est relié à l’objet et sert à contrôler sa progression. Quand il est arrivé au niveau de la poitrine, la praticien insuffle de l’air dans le tube. Je me demandais si c’est une invention de la scénariste ou s’il s’agit d’une authentique technique médicale ; si oui à quoi sert-elle et comment se fait-il que le sujet n’ait pas de réflexe vomitif ? -- Mister BV (d) 17 novembre 2011 à 16:59 (CET)[répondre]

Après avoir lu tout ça Intubation trachéale, il me semble que c'est du cinéma.--Doalex (d) 17 novembre 2011 à 19:59 (CET)[répondre]
J’ai oublié de préciser : ce n’est pas une situation d’urgence médicale. La personne revient plusieurs fois suivre le même traitement, sans sédation, et continue à respirer normalement. Je pensais à un traitement contre l’œsophagite, ou autre maladie dans le même secteur. Le film ne donne aucun détail mais la maladie a peut-être une influence sur le caractère de la patiente. -- Mister BV (d) 18 novembre 2011 à 11:19 (CET)[répondre]
Bien compris, la patiente est-elle blonde ou brune ? Sérieusement, bon ce n'est pas un geste urgent alors on se rapproche de la fibroscopie qui est une technique d'endoscopie mais dans les descriptions (lues en diagonale) aucune ne fait référence à de l'air insufflé (comment au fait ?) par le praticien, et puis tout simplement quel est ce film ?. --Doalex (d) 19 novembre 2011 à 11:18 (CET)[répondre]

Sleeping beauty ? Turb (d) 27 novembre 2011 à 21:00 (CET)[répondre]

Gaz ou électricité

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Bonjour les Oracles!

à notre époque où il est responsable de se préoccuper d'économies d'énergie, je me pose la question suivante: est-il systématiquement plus économique de porter à ébullition un litre d'eau dans une casserole sur le gaz (de ville ou en bouteille), ou bien est-il préférable de le chauffer avec une bouilloire électrique? Je note sur ma facture de gaz de France un prix du kWh de 0,0438 €HT, et sur ma facture EDF un prix du kWh de 0,0798 €HT. Le rendement énergétique est-il comparable? -- Speculos 17 novembre 2011 à 20:21 (CET)[répondre]

D'un point de vue économique, il vaut mieux chauffer ton eau sur une gazinière à gaz de ville (à condition de couvrir ta casserole) que dans une bouilloire électrique, à quelque chose près le rendement est le même donc tu dépenseras 1/3 moins avec le gaz. D'un point de vue écologique aussi c'est préférable, sauf si on la produit soi-même avec un moyen propre (vent, eau), quel que soit le processus industriel il y a une déperdition d'énergie énorme avec l'électricité, en gros pour 1 watt distribué il y en aura 4 de dépensés. L'électricité c'est bien pour faire tourner un moteur ou un ordinateur, moins intéressant pour faire chauffer de l'eau. -O.--M.--H.- 17 novembre 2011 à 21:04 (CET)[répondre]
Du point de vue écologique, la bouilloire électrique émet beaucoup moins de CO2. Grasyop 17 novembre 2011 à 21:14 (CET)[répondre]
Oula ! refnec! Comment fabrique-t-on l’électricité ? Avec quel rendement, transport compris ? Voir les éléments apportés par Olivier juste au dessus. --MGuf (d) 17 novembre 2011 à 22:26 (CET)[répondre]
Ce à quoi il faut ajouter la production abondante de vapeur d'eau, qui par sa température propre à la sortie des cheminées des centrales nucléaires contribue localement au réchauffement de l'atmosphère, et qui est un gaz à effet de serre, ainsi que l'évacuation d'eau chaude dans les cours d'eau, qui contribue à leur réchauffement et perturbe leur écologie. Bref, prétendre que les centrales nucléaires, parce que ne libérant pas directement de CO2, ne contribuent pas au réchauffement de l'atmosphère, est une contre-vérité. -O.--M.--H.- 18 novembre 2011 à 02:39 (CET)[répondre]
Tant qu'à dénoncer des contre-vérités, Olivier, autant faire le travail jusqu'au bout... Les tours de refroidissement ne sont pas propres aux réacteurs nucléaires, mais sont une caractéristique associée à toute centrale thermique - y compris au charbon, pétrole ou gaz. A partir du moment où il faut chauffer de l'eau pour produire de la vapeur, il faut également refroidir pour boucler le cycle de Carnot, et ça se fait soit en réchauffant un cours d'eau, soit en envoyant de la vapeur dans l'atmosphère.
En ce qui concerne le chauffage domestique, du coup, l'électrique est par définition un gaspillage : On commence par faire chauffer de l'eau dans une centrale thermique puis on la refroidit pour produire de l'électricité, en dispersant les 2/3 de l'énergie dans la nature sous forme de chaleur, et enfin on utilise cette électricité pour produire de la chaleur - qui aurait envie de faire ça?
Et quand en plus l'électricité vient d'une centrale thermique au charbon, pétrole ou gaz, on envoie du CO2 dans l'atmosphère, comme les chinois et demain les allemands ... Et au fait - quand en plus la centrale est au charbon, tant les fumées que les cendres sont radioactives (de l'ordre de 2000 Bq / kg) ! Vivement que les chinois passent au nucléaire, qu'on soit moins irradiés ^_^
Biem (d) 18 novembre 2011 à 07:36 (CET)[répondre]
Contrevérités ? Ma remarque était certes franco-centrée, désolé pour nos amis étrangers : c'est sûr que si à la place du nucléaire et de l'hydroélectrique on produit l'électricité avec du charbon, du gaz, ou même du photovoltaïque, notre bouilloire émet tout de suite beaucoup plus de CO2...
Mais en France, même avec les pertes d'énergie de la transformation chaleur → électricité → chaleur, une bouilloire électrique émet tout de même beaucoup moins de CO2, que son équivalente au gaz. (Voir ici (page complète) les émissions carboniques par unité d'énergie pour différentes sources.)
Concernant la vapeur d'eau et son effet de serre, il ne faut pas oublier que l'effet de serre d'un gaz ne dure que le temps du séjour de ce gaz dans l'atmosphère. Or la vapeur d'eau précipite sous forme de pluie au bout d'une semaine environ tandis que le gaz carbonique s'installe dans l'atmosphère pour une durée comprise entre le siècle et le millénaire (source, second graphique).
Grasyop 18 novembre 2011 à 11:21 (CET)[répondre]
Le terme de contre-vérités ne te visait pas, ça concernait simplement le discours propagandiste expliquant que les centrales nucléaires ne participaient aucunement au réchauffement climatique. D'accord avec toi sur le nettement moindre impact de la vapeur d'eau par rapport au CO2 ou pire encore, au méthane, reste que le « bilan carbone » du nucléaire ne tient pas compte du fait que les centrales ne naissent pas dans les choux, que l'uranium ne vient pas à dos d'hommes de son lieu d'extraction, que l'extraction ne se fait pas à la pelle et à la pioche, que la séparation de l'uranium n'est pas le résultat d'un tri à la main, bref que l'ensemble des processus industriels permettant de générer cette petite part de l'énergie disponible en France (environ 15%, le plus gros de l'énergie étant toujours d'origine fossile) n'a en aucune manière un bilan carbone nul, et qu'en outre les centrales, certes à bien moindre niveau que celles à gaz ou à charbon, ont un impact direct, dans leur environnement proche, au réchauffement de l'air et de l'eau. Quant à la remarque de Biem, je suis bien d'accord, mais ça c'est connu, la contre-vérité visée est précisément qu'on met en balance d'un côté les centrales thermiques à énergie fossile, coupables de tous les maux, de l'autre celles à énergie nucléaire, « carboniquement correctes », et qu'une analyse sérieuse permet de constater que l'un dans l'autre ça se vaut sur ce plan, le bilan carbone des centrales nucléaires étant simplement externalisé, puisqu'on ne prend pas en compte le processus industriel dans sa totalité. -O.--M.--H.- 18 novembre 2011 à 11:34 (CET)[répondre]
Je pense que les chiffres donnés dans le premier lien de mon message précédent tiennent compte des facteurs que tu invoques (s'ils n'en tenaient pas compte du tout, on aurait nucléaire : 0). Sur quelles bases affirmes-tu que les valeurs sont calculées différemment pour les hydrocarbures et pour le nucléaire ? (Où est ton « analyse sérieuse » montrant que « ca se vaut » ?) Grasyop 18 novembre 2011 à 11:46 (CET)[répondre]
Je peux maintenant confirmer que les chiffres donnés plus haut tiennent bel et bien compte des émissions indirectes de CO2 par l'industrie nucléaire : le graphique de Jancovici nous dit que le nucléaire émet 19 kg équ. carbone / TEP, c'est-à-dire 1,64 g équ. carbone / kWh ou encore 6 g équ. CO2 / kWh, ce qui est exactement le chiffre que je retrouve sur cette page-ci, où il est bien précisé qu'on a tenu compte des différents processus de l'industrie nucléaire : extraction, préparation, conversion, enrichissements, réacteurs, retraitement et enfouissement.
Pour les calculs de conversion ci-dessus : 1 TEP = 11 630 kWh et la proportion massique de carbone dans le CO2 est de 12/44.
Grasyop 18 novembre 2011 à 12:30 (CET)[répondre]
Je ne crois pas non plus que la chaleur perdue, dissipée dans l'environnement, ait une influence sur le climat à long terme : elle se dissipe, puis est rayonnée dans l'espace par la Terre, qui revient à un équilibre déterminé par quelques paramètres parmi lesquels le CO2. Grasyop 18 novembre 2011 à 13:02 (CET)[répondre]
Merci pour vos réponses! Effectivement l'idéal dans l'absolu serait d'utiliser la géothermie ou un four solaire... -- Speculos 17 novembre 2011 à 21:18 (CET)[répondre]
->Biem. Une centrale nucléaire a un rendement énergétique catastrophique. Outre sa dangerosité, les mesures de sécurité (double circuit du liquide caloporteur par exemple) font qu'une centrale nucléaire chauffe l’atmosphère et l'eau (d'une rivière, de la mer...) et accessoirement, produit un peu d'électricité. --Serged/ 18 novembre 2011 à 08:26 (CET)[répondre]
@ serged : Le rendement énergétique des "centrales à flame" est de l'ordre de 50%, celui des centrales nucléaires est de l'ordre de 33%, la différence étant due aux différences de températures de fonctionnement. Mais ce n'est pas si "catastrophique", et les projets de réacteurs à haute température de la génération iv effaceraient cette différence. En ce qui concerne la dangerosité, en revanche, n'oublions pas que la principale source d'énergie électrique est le charbon : s'il faut inclure les mineurs qui y passent (et indépendamment de la pollution et de l'irradiation par les cendres), c'est de loin l'industrie la plus dangereuse. Voir ce site pour d'excellentes discussions sur la question. Cordialement, Biem (d) 18 novembre 2011 à 12:58 (CET)[répondre]
À quantité d'énergie produite égale, lorsque le nucléaire tue une personne, le charbon en tue quatre mille (source, non certifiée, certes, mais étayée). Et vous saviez que la rupture du barrage hydroélectrique de Banqiao a tué quarante fois plus de monde que Tchernobyl, et fait onze millions de sans-abris, près de cent fois le nombre de déplacés de Fukushima ? Grasyop 18 novembre 2011 à 13:39 (CET)[répondre]
Si l'on ne tient pas compte de la fabrication des panneaux photovoltaïques et des éoliennes, l'énergie photovoltaïque et l'énergie éolienne ne sont pas un gaspillage pour le chauffage (voir par ex. Station Princesse-Élisabeth#Une station « zéro émission », mais le principal problème est le stockage de l'énergie électrique. - Cymbella (répondre) - 18 novembre 2011 à 10:08 (CET)[répondre]
d'abord, il est irresponsable de se focaliser sur des microscopiques bricoles pareilles. Porter 1 litre d'eau de 0 à 100°c nécessite (hors pertes : vapeur, rayonnement) environ 420 kJ ([Calorie (unité)]]), c'est à dire à peine plus de 0,1 kWh : tu es en train de te creuser la tête sur une dépense entre 1/2 et 1 centime, ou, traduite en SMIC, entre 2 et 4 secondes de temps de travail. Par rapport aux questions d'économies d'énergie, c'est parfaitement ridicule.
maintenant, sur le plan technique, on ne peut pas donner de réponse systématique. Une bouilloire est mieux isolée et la chaleur est diffusée directement au cœur de la masse d'eau, alors qu'une casserole métallique ne recueille qu'une partie de la chaleur du feu et en rayonne pas mal. les pertes ne peuvent pas être négligées, et elle sont d'autant plus grandes que le chauffage prend plus de temps, il faut donc préférer un mode de chauffage rapide. tout dépendra des caractéristiques réels des engins ; il vaut mieux faire une mesure : combien de temps faut-il pour obtenir l'ébullition ?
ne pas oublier non plus les conditions annexes : les calories "perdues" dans le processus participe au chauffage du logement et en hiver il n'y a donc pas de réelles pertes, le gaz réclame une aération plus soignée engendrant plus de pertes à moins d'avoir plus investi (aération double flux), etc.
bref, encore une fois : pas de réponse systématique
PS : pour les toutes petites quantités d'eau et pour le lait, je n'utilise ni le gaz ni la bouilloire mais le microonde
gem (d) 18 novembre 2011 à 11:12 (CET)[répondre]
« les calories "perdues" dans le processus participe au chauffage du logement et en hiver il n'y a donc pas de réelles pertes »
Tout à fait ! Souvent on oublie ça. Dans une habitation chauffée au gaz (ou autres carbones), remplacer une ampoule ancienne par une ampoule basse consommation ne fait (du moins en hiver) que transférer une consommation électrique vers une consommation de gaz, donc plus de CO2 émis.
Grasyop 18 novembre 2011 à 11:53 (CET)[répondre]
Quand il y a un coup de grisou dans une mine, une centrale thermique qui explose etc. il y a effectivement quelques, voire beaucoup, de morts, mais ça se limite à la mine, la centrale, sinon une vallée (barrage qui lâche...). Tout ça pourra se reconstruire. Quand c'est une centrale nucléaire (cf Fukushima, Tchernobyl...), c'est un pays, voire un continent qui est dévasté. Qu'en sera-t-il de l'agriculture du Japon par exemple ? Pourra-t-on encore déguster du bœuf de Kobé, du thé japonais (il parait que c'est la fierté de ce pays) non radioactif ? --Serged/ 18 novembre 2011 à 14:44 (CET)[répondre]
@ Serged : Un pays dévasté, faut pas pousser. Le rapport de l'AIEA qui vient de sortir sur la contamination due à Fukushima et la décontamination qu'ils planifient (parce que, oui, ils vont décontaminer) signale 500 km² (~un département français) pour lesquels le débit de dose est supérieur à 20 mSv/an, et à ce niveau c'est des débits de doses qui ne posent pas de problèmes réels de santé publique (il en faut dix fois plus pour commencer à considérer que la zone est insalubre). Quand à consommer des produits non radioactifs, laisse tomber, avec ne serait-ce que le carbone 14 naturel tout produit naturel est naturellement radioactif. On compte une radioactivité de l'ordre de 10_000 Becquerels pour un homme de corpulence moyenne... La visite de journaliste récente à Fukushima en a rapporté des clichés redoutables : dans la zone, la centrale a finalement été le seul bâtiment à être resté debout suite au tremblement de terre et au tsunami consécutif, tout le reste est rasé (!) ce n'est pas le nucléaire qui a dévasté la région.
@ Olivier Hammam : ce n'est pas très logique de compter dans le "bilan carbone" des centrales le fait qu'elles consomment de l'énergie produite par des sources émettrices de carbone : certes, les pelleteuses fonctionnent aujourd'hui au fuel, par exemple, mais si on avait par exemple des centrales produisant de l'hydrogène, on pourrait alimenter ces moteurs à l'hydrogène (ou au carbuant de synthèse) sans peser sur le bilan carbone de la planète. Ou de même, la menuiserie d'aluminium (dont la production consomme beaucoup d'électricité) doit-elle être comptée pour un "bilan carbone" différent suivant quelle est produite en Alsace (avec l'électronucléaire français) ou dans le Bade Wurtemberg (avec les centrales à flamme allemandes) sachant que les lignes à haute tension se rient des frontières ? Pour évaluer les alternatives, on ne peut compter dans un bilan carbone que ce qui est directement produit par l'entité, le reste (charge collective invisible des externalités) pèse sur telle ou telle forme que peut prendre l'industrie de production. Sinon, l'argument est simple : si toute l'énergie était produite par le nucléaire (et pas par le charbon, le gaz ou le pétrole), le bilan carbone de la planète serait nettement moins dramatique. Mais ça, on le sait depuis longtemps.
Cordialement, Biem (d) 18 novembre 2011 à 15:25 (CET)[répondre]
@Gem : Merci pour ta réponse, mais un geste répété ne serait-ce qu'une fois par jour pendant des années et par des milliers de personnes finit par avoir un impact non négligeable, et non "parfaitement ridicule". Pour ce qui est du rendement énergétique d'un microonde, il serait (d'après ce site) deux fois moins bon (45% au lieu de 86%) que celui d'une bouilloire électrique... -- Speculos 19 novembre 2011 à 13:44 (CET)[répondre]
et oui, mais le rendement brut n'est pas la seule chose qui compte. Pour les petites quantités d'eau, la proportion de ce qui capté par la bouilloire/la casserole devient considérable par rapport à celle de l'eau, alors qu'un simple verre est moins gourmant ; et pour le lait, au microonde un simple rinçage suffit alors qu'avec une casserole, ça attache, et avec une bouilloire j'en cause même pas. Encore une fois : il n'y a pas de réponse systématique, ça dépendra des usages et du contexte. Être responsable ce N'est PAS se focaliser sur de microscopiques détails, c'est au contraire se concentrer sur les questions importantes, et celle de l'ébullition d'une ration d'eau n'en fait pas parti. gem (d) 21 novembre 2011 à 10:25 (CET)[répondre]
Oui mais les autres gestes consommateurs d'énergie (se déplacer, se chauffer, achats en tous genres, etc. ) on les répète également. Pour savoir si un usage est négligeable ou non, il faut donc le comparer à notre consommation totale. Le monde consomme 15 TW en permanence (article en:World_energy_consumption), donc un humain moyen (en France c'est plus) consomme environ 2,1 kW, soit 50 kWh par jour. Si tu es un humain moyen et que tu chauffes un litre d'eau dans ta bouilloire quatre fois par jour, ça représente à peu près 1 % de ta consommation totale d'énergie (et je ne dis pas que 1 % est négligeable). Grasyop 19 novembre 2011 à 15:21 (CET)[répondre]
Je souhaiterais juste vous signaler que, d'un côté et de l'autre, vous commencez sérieusement à me taper sur le coquillard. Je suis un visiteur occasionnel de l’oracle et j’en ai par-dessus la tête que certains (et ca vaut pour les deux « camps ») profitent du moindre prétexte d’une question pour se jeter sur le débat pro/anti nucléaire. C’est montrer peu de respect au questionneur que de polluer ainsi l’oracle. Contentez vous de répondre à la question, ca sera bien mieux pour tout le monde. En un mot, arrêtez de dénaturer l’oracle, merci d’avance ! Inutile de répondre ou de polémiquer sur cette remarque, j’ai dit ce que j’avais à dire et ne répondrai pas aux commentaires ici car ce n’est pas le lieu Franssoua (d) 21 novembre 2011 à 12:17 (CET)[répondre]
Pour répondre à ta question, j'ai trouvé ce lien. On y voit que le rendement d'un casserole sur le gaz est d'environ 30 à 40%. Pour le chauffage de l'eau dans une bouilloire, on peut considérer que le rendement est proche de 100%, disons 95%. D'après le lien, il faut 334kJ = 0,093 kWh pour chauffer 1 L d'eau. Ce qui donne une consommation de 0,31 KWh à 0,23 kWh pour le gaz et 0,098 kWh pour l'électricité. En coût, avec tes données, ca donne : entre 1 et 1,36 centimes et 0,78 centimes pour l'électricité.--Franssoua (d) 21 novembre 2011 à 12:30 (CET)[répondre]

Enceinte enveloppante

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Enceinte enveloppée

Bonjour l'oracle, Je viens d'entendre parler d’enceinte à acoustique enveloppante ici vers 2'30 et je ne trouve pas d'information sur cette technologie. L'article enceinte (audio) n'en parle pas, je me demande si c'est uniquement la forme de l'enceinte, espèce de gros tabouret qu'on placerai au milieu de la pièce, ou si il y a vraiment des spécificités sur les fréquences ou quelque chose. Merci. Bertrouf 18 novembre 2011 à 02:32 (CET)[répondre]

… je suppose que la définition est la même que pour l'acoustique d'une salle qui est dite enveloppante quand le son est net sans être sec, au contraire légèrement arrondi et ample grâce à une courte réverbération naturelle. Cette acoustique particulière (assez rare en fait) est particulièrement due aux matériaux couvrant les parois de la salle (voir Acoustique architecturale). Les voûtes en bois d'une petite chapelle donnent àmha le meilleur exemple de cette effet avec un son homogène, enrobant, mais d'une grande précision. Dans les nombreux effets d'améliorations du son des enceintes acoustiques, peut-être ont-ils réussi à recréer ce son caractéristique. — Hautbois [canqueter] 18 novembre 2011 à 05:21 (CET)[répondre]
C’est Hautbois le spécialiste, mais « acoustique enveloppante » est peut-être une traduction approximative de surround sound (voir aussi Dolby et le surround). -- Mister BV (d) 18 novembre 2011 à 11:31 (CET)[répondre]
Je le crois aussi. Il s'agit avant tout d'un bain sonore (à l'opposé du son projeté uniquement vers l'avant des enceintes, « à l'ancienne »). --Mistig (d) 19 novembre 2011 à 16:43 (CET)[répondre]
… alors ce sont d'enceintes à acoustique enveloppante dont il faut parler. En effet, danc ce cas, il s'agit d'un ensemble acoustique qui est en partie expliqué dans son multicanal. — Hautbois [canqueter] 19 novembre 2011 à 23:55 (CET)[répondre]
Effectivement, je crois que cet article répond mieux à ma question que la photo. Le tabouret montré dans la vidéo serait donc composé d'enceintes montées en rond autour du cylindre. Je suis déçu, j'y croyais. Bertrouf 21 novembre 2011 à 08:30 (CET)[répondre]
On trouve aussi, entre autres, des enceintes plus ou moins sophistiquées avec haut(s)-parleur(s) tourné(s) vers le haut avec un chapeau qui est censé rabattre le son pour le diffuser dans tous les sens. Mais ce n'est pas un procédé révolutionnaire.

Géant vert

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Une petite question de divertissement dont je ne peux trouver.

De quoi est fait le chapeau du Géant vert?

Merci de bien vouloir m'aider.

… bah, de feuilles de maïs ! — Hautbois [canqueter] 18 novembre 2011 à 05:34 (CET)[répondre]
Il est bizarre, chez toi, le maïs. C’est du transgénique ? Morburre (d) 18 novembre 2011 à 11:09 (CET) À mon avis (humble), c’est de la feuille générique, de la feuille-feuille, de la feuille de n’importe quoi. Vu qu’à l’origine la marque a été créée pour des petits pois pas très petits (d’où le nom), ça pourrait être des feuilles de pois, mais même pas. Morburre (d) 18 novembre 2011 à 11:17 (CET)[répondre]
De la salsepareille ? -- Mister BV (d) 18 novembre 2011 à 11:34 (CET)[répondre]
Non, la salsepareille c’est pour les nains bleus. Morburre (d) 18 novembre 2011 à 12:19 (CET)[répondre]
C'est un chapeau ou sa chevelure ? Je dirais des feuilles de haricots, le géant en a aussi dans son assortiment [4], mais leur consommation présente des risques [5]… - Cymbella (répondre) - 18 novembre 2011 à 21:29 (CET)[répondre]

Prononciation de Oriane

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Bonjour. D'après les dicos, le "o" se prononce o fermé ou ouvert selon les mots. Mais aucune indication de prononciation des noms propres; D'où ma question : Oriane se prononce-t-il o fermé ou o ouvert ?

On dit que "les noms propres n'ont pas d'orthographe", ce qui signifie que le rapport entre la forme écrite et la forme orale n'est pas automatique, et donc qu'il n'y a pas de règle . On ne peut pas exclure qu'Oriane se prononce "Oulianne", "ôrienne", "Hœranne" ... Va falloir demander à la personne concernée. gem (d) 18 novembre 2011 à 14:36 (CET)[répondre]
Ce n’est pas une question d’orthographe, mais de phonétique. La norme (ne parlons pas de règle) en France est, dans l’ignorance d’une prononciation spécifique, de prononcer « à la française ». Chose que beaucoup semblent ignorer, ce qui nous vaut des « Rio de Djanéro » et autres joyeusetés. Donc Oriane avec un o ouvert, a priori. Morburre (d) 18 novembre 2011 à 15:59 (CET)[répondre]
La véritable règle de phonétique est qu'un « o » suivi d'un « r » se prononce [ɔ] (comprenez « o ouvert »).
Pour être plus exact, il n'y a pas de règle concernant la prononciation du « o » suivi d'un « r », ni de règle précisant la prononciation d'un « o » en début de mot, il faut donc s'en rapporter à la règle générale de prononciation de la graphie « o » : À savoir : « En règle générale, « o » se prononce [ɔ] ».
Voilà, j'espère que mon explication est claire. Cordialement. --M0tty [Plaidoyers et jérémiades] 19 novembre 2011 à 16:48 (CET)[répondre]
... En plus, ça dépend des régions. Voir le « Je vais en vélo à la gare » ("o" fermé et "a" ouvert en français standard) qui se prononce "o" ouvert et "a" fermé dans le Jura (et autres contrées voisines). Idem, moi, qui malgré des années à Paris, prononce toujours "jeune" comme jeûne". --Serged/ 19 novembre 2011 à 17:47 (CET)[répondre]
Haha ! Excellent ! Mon vieux tonton qui n'a jamais quitté Tavaux il parle tout à fait comme ça. --109.11.22.235 (d) 26 novembre 2011 à 21:28 (CET)[répondre]
Je parlais évidemment de la phonétique normative qui tente de définir la prononciation la moins culturellement ou géographiquement connotée. Je ne connais pas d'ouvrage traitant des règles de prononciation des accents régionaux (au Québec, peut-être ?) mais cela me semble avoir peu de sens d'ailleurs, les accents étant des déformations de la langue généralement provoquées par une simplification de la prononciation (par harmonisation des sons, par exemple). Cordialement. --M0tty [Plaidoyers et jérémiades] 19 novembre 2011 à 18:34 (CET)[répondre]
Pour aller dans le sens des réponses déjà faites, "prononcer à la française" signifie chercher un mot bien connu présentant des séquences de sons analogues. Pour Oriane, je propose orienter. Ou alors consulter le Wiktionnaire : Oriane.Émoticône sourire (c'est pas moi, l'info y est depuis 2007) --GaAs 21 novembre 2011 à 16:10 (CET)[répondre]
À vrai dire, et contrairement à ce que propose le Wiktionnaire, il me semble que je prononce orienter ou oracle (et même moteur, donné en exemple de présentation) avec un o fermé. Grasyop 22 novembre 2011 à 06:49 (CET)[répondre]
La prononciation indiquée par le wiktionnaire est cependant la bonne. Et la prononciation « correcte » est bien souvent surprenante par rapport à nos habitudes de prononciation usuelle. Surtout que la prononciation « correcte » tient en compte des harmonisations vocaliques qui rendent souvent très peu intuitive la prononciation. Cordialement.--M0tty [Plaidoyers et jérémiades] 22 novembre 2011 à 08:19 (CET)[répondre]
@Grasyop : ça ne contredit pas ma réponse, si tu prononces un o fermé pour orienter (c'est ton droit ;-), alors tu en fais autant pour Oriane. Voir aussi wikt:Annexe:Prononciation/français#Changements historiques : « l’API du français traditionnellement utilisé reflète une prononciation vieille de plus d’un siècle » (j'ajoute : en gros, la prononciation de Littré). --GaAs 22 novembre 2011 à 12:03 (CET)[répondre]
Ben oui, c'est bien comme ça que je le prononcerais spontanément. Les o, c'est beau, les ɔ, c'est bɔf (sauf dans Grasyɔp). Émoticône Grasyop 22 novembre 2011 à 18:02 (CET)[répondre]

Cimetières marins

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Bonjour, Existe-t-il une thèse accessible sur les cimetières marins en Tunisie ? Merci d'avance.

Je ne sais pas. J'ai essayé de googler un peu ([6])?... Par exemple, il semble y avoir une section d'une dizaine de pages "Les cimetières marins de la côte tunisienne" dans "Maghreb: Tunisie, Algérie, Maroc" de Henri de la Bastide (1973) ([7]), mais elle n'est pas accessible... -- Xofc [me contacter] 18 novembre 2011 à 17:34 (CET)[répondre]
Travaux de Neji Djelloul Mike Coppolano (d) 18 novembre 2011 à 18:30 (CET)[répondre]

Calcul d'itinéraire le plus court avec optimisation de la charge

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Madame, Mademoiselle, Monsieur, Bonjour,

Mes données sont les suivantes :

  • je dispose d'une flotte de véhicules de différentes capacités
  • Je dois desservir des point d'arrêts dont les coordonnées GPS (latitude, longitude) sont connues
  • Je connais le nombre de personnes à prendre en charge à chaque d'arrêt

Je souhaite savoir s'il existe un algorithme de calcul d'itinéraire théorique le plus court et d'optimisation de la charge d'un véhicule en fonction des données ci-dessus.

Je vous remercie par avance pour votre réponse.

Bien cordialement, Franck

Bonjour. J'ai comme dans l'idée que le bandeau {{Devoirs}} aurait sa place ici. Sinon, sauf à être démenti par d'autre pythies la réponse est non, puisque chaque situation est un cas particulier, donc il faut construire son propre algorithme en fonction des données primaires. Sinon, dans la description donnée ici il manque d'autres éléments pour pouvoir déterminer quels seraient les meilleurs itinéraires : non seulement le nombre de personnes à charger mais aussi à décharger, et où ; les obstacles possibles entre deux points spatialement proches (pas de route entre ces points, ou des sens interdits) ; etc. Bref, et comme l'apprennent tous les analystes-programmeurs, le travail préalable à faire est de déterminer sur le papier quels sont les meilleurs itinéraires avant d'envisager de concevoir le programme de gestion adapté au problème. -O.--M.--H.- 19 novembre 2011 à 13:23 (CET)[répondre]

C'est un "devoir" professionnel, plutôt une vraie problématique sur laquelle je me penche sans devoir recourir à l'achat d'un progiciel honéreux. Je ne souhaite pas obtenir le tracé d'un itinéraire routier qui prend en compte les règles du code de la route mais plutôt obtenir un tracé "virtuel" optimisé qui tient compte de la proximité des points d'arrêts (coordonnées GPS) et de la charge à lever. Bien cordialement, Franck.

De loin, cela fait penser au Problème du voyageur de commerce et au Problème du sac à dos. ...C'est pas gagné. -- Xofc [me contacter] 19 novembre 2011 à 15:46 (CET)[répondre]
Je parlais des sens interdits comme obstacles à la circulation, pas comme éléments du code de la route. Pour deux cas réels que je connais bien, les villes de La Rochelle et de Tours, il existe des secteurs où sur une distance assez grande toutes les rues secondaires transversales à deux grands axes sont à sens unique dans la même orientation. Maintenant, si les divers points sont assez ou très distants les uns des autres cette question a moins d'importance, d'autant moins si tous les parcours convergent vers le ou divergent du même point.
La question importante est de savoir s'il s'agit de gérer le trafic des véhicules en temps réel ou simplement de définir des itinéraires optimaux une fois pour toute. Dans le premier cas, il me semble difficile de se passer d'un logiciel spécialisé, dans le second cas, un logiciel plus simple tel que Microsoft MapPoint ou même sa version grand public Microsoft Autoroute peuvent faire l'affaire et sont d'un prix abordable. -O.--M.--H.- 19 novembre 2011 à 18:23 (CET)[répondre]
Dans le secteur postal, il y a Géoroute, mais les facteurs n'embarquent pas de passagers, ce logiciel est probablement très coûteuxet les facteurs belges n'en sont pas contents… - Cymbella (répondre) - 19 novembre 2011 à 22:41 (CET)[répondre]

Dr Lima : léve-toi et marche !

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Bonjour,

pourquoi on entend jamais parler du Dr Carlos Lima qui a tenté de faire marcher des tétraplégiques après quelques interventions chirurgicales en 2005 ou même du Dr Karim Boudjema et sa technique de greffe auxiliaire du foie ? D'ailleurs, quelles sont les évolutions ?

Remerciements.

Salut. En général, quand on dit d'une personne faisant, ou prétendant faire, des choses éminentes, qu’« on [n']entend jamais parler » d'elle, une rapide recherche sur Google démontre le contraire. C'est bien le cas ici. Factuellement, dire une telle chose signifie qu'on n'en parle pas dans les rubriques ou émissions de plus grande audience sur les médias de plus grande pénétration, donc la télé et la radio, secondairement la presse écrite. Pour les deux personnes citées, j'ai une hypothèse.
En ce qui concerne le docteur Lima, il travaille dans un domaine sensible et dans ce domaine, aucun grand média n'est prêt à faire de la publicité à une personne quand l'évaluation de sa méthode est délicate : pas assez de patients traités, aucune information sur le taux réel de réussite, incertitude sur ce qui a permis une réelle récupération de motricité chez certains patients (est-ce la greffe, le simple fait d'intervenir sur la zone lésée, ou la rééducation intensive, qui permet ces résultats ?), bref, nul média de forte audience ne prendra le risque de se trouver mis en cause dans une polémique à propos de soin aux handicapés.
Le cas du docteur Boudjema est tout autre. Visiblement c'est un ponte dans son domaine, lequel n'est pas très « sexy » pour les grands médias, il n'est pas inconnu, méconnu ou contesté mais les greffes, quand elles ne sont pas du visage ou des mains (ou des seins parfois), ou quand elle n'a pas lieu sur une célébrité (même une « star » d'occasion), ça n'intéresse guère que les émissions médicales. Je me rappelle d'un sujet sur lui, sur France 5 ou France 3, mais rien de spectaculaire. Disons que si l'on se base sur le journal télévisé de 20h pour évaluer la notoriété d'une personne, c'est mal barré pour lui...
La réponse est donc : on parle plutôt assez de ces deux personnes, mais pas dans le journal télévisé de 20h sur TF1. -O.--M.--H.- 20 novembre 2011 à 03:34 (CET)[répondre]
La question concerne wikipédia ? dans ce cas beaucoup de réponses dans wp:notoriété. Peut-être jeter un coup d'œil à Greffe auxiliaire du foie. Bertrouf 21 novembre 2011 à 08:11 (CET)[répondre]

Exécution de mineurs en France

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Bonjour, je recherche la date de l'abolition de la peine de mort pour les moins de 18 ans, et éventuellement la date de la dernière exécution. Merci d'avance de votre aide, Paul

Sur cette liste, on trouve des condamnés à mort ayant entre 16 et 18 ans, jusqu'en 1975 (Bruno Triplet), mais presque tous grâciés. J'ai noté André Vittel, guillotiné le 2 mai 1939 pour un crime commis à l'âge de 17 ans. Je n'ai pas vu de moins de 16 ans, mais la liste est très longue... Grasyop 20 novembre 2011 à 18:40 (CET)[répondre]

Guillemets français simple

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« guillemets français simples, en forme de chevron, séparés de leur contenu par une espace insécable : ‹ … › ; »
source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Guillemet, paragraphe Les différentes formes de guillemets

Bonjour cher oracle, je voudrai savoir dans qu'elle situation faut-il utiliser les guillemet français simple ? ( & )
Merci et bonne journée. Le Q-rieux♪♫ 20 novembre 2011 à 21:47 (CET)[répondre]

Salut Q-rieux. Dans le cas d'une citation ou d'une emphase dans une citation, mais l'usage est rare, et on utilise plutôt le guillemet anglais, l'apostrophe double, dans ces cas-là. -O.--M.--H.- 21 novembre 2011 à 01:26 (CET)[répondre]
On peut également utiliser des guillemets français doubles pour la citation de second rang (c’est même l’usage recommandé). Je n’ai jamais rencontré les guillemets simples, je me demande s’ils n’ont pas avant tout un intérêt historique. rv 21 novembre 2011 à 09:46 (CET)

Réponse du comte Ɲemoi – Je découvre aujourd’hui le modèle : Graphie dans ce diff’, qui m’en fait découvrir un usage. Ce 6 décembre 2011 à 14:47 (CET).[répondre]