Boubiers

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Boubiers
Boubiers
Église Saint-Gilles-Saint-Leu.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC du Vexin-Thelle
Maire
Mandat
Sophie Levesque
2020-2026
Code postal 60240
Code commune 60089
Démographie
Population
municipale
393 hab. (2021 en diminution de 6,87 % par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 13′ 18″ nord, 1° 52′ 14″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 136 m
Superficie 10,35 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaumont-en-Vexin
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Boubiers
Liens
Site web http://www.boubiers.fr/

Boubiers est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Boubiers est un village rural picard du Vexin français dans l'Ois situé à 7 km au sud de Chaumont-en-Vexin et à une dizaine au sud-est de Gisors, 25 km au nord-ouest de Pontoise.et à 60 km au sud-est de Rouen.

L'ancienne route nationale 15 passe au sud du territoire communal..

Louis Graves indiquait au XIXe siècle que Boubiers « est situé sur le grand plateau calcaire au midi de ta Troène (...). Son territoire est sillonné par deux profonds ravins dont la réunion forme la vallée où coule le Réveillon, ruisseau formé de divers filets d'eau qui sourdent au pied des coteaux. Le sol de la commune , généralement incliné vers l'est, est exposé à de grandes dégradations dans les orages et les pluies abondantes[1] »

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La source du Réveillon, un sous-affluent de la Seine par l'Epte; se trouve à Boubiers. Le Réveillon est entouré de zones humides.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 751 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jaméricourt à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Boubiers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (90,5 %), forêts (7 %), zones urbanisées (2,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Un hameau, le Fayel, se trouve au sud du territoire, le longvde la RD 915. Un écart, Branchu, se trouve au carrefour de cette route avec la RD 153, également au sud du territoire.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 178, alors qu'il était de 174 en 2013 et de 151 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 91,4 % étaient des résidences principales, 4,6 % des résidences secondaires et 4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,6 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Boubiers en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,6 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,8 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Boubiers en 2018.
Typologie Boubiers[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 91,4 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,6 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 4 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 608, 6106 et 6136 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité a été désignée comme Boberias vers 1080, puis Bobiez en 1209, Bubiacum en 1222 et Boubiers à partir de 1498[15].

Cette dénomination pourrait provenir selon une première interprétation du mot celtique borb qui veut dire « boue », en référence à la présence des sources de la rivière le Réveillon. Une autre interprétation à partir du latin ferait dériver le nom du village de bas latin Bavaricia, qui désigne le bœuf ou la bouverie (habitation des bœufs et par extension la métairie)[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Louis Graves indiquait en 1827 que « Bouliers, dépendant aujourd'hui de la succursale de Lierville, était une paroisse sous l'invocation de Saint-Loup, à la nomination de l'abbé de Saint-Victor de Pars. L'église, fort ancienne, est en partie voûtée , et ornée d'un clocher qui supporte une flèche en pierre, La fondation de cette église remonte peut-être à l'époque assez reculée à laquelle, suivant une tradition locale, une comtesse de Meulan fit construire cinquante clochers dans le Vexin. Le cimetière est hors du village et clos de murs. Il y a eu très-anciennement un château fort à Boubiers ; mais on n'en retrouve pas même les traces aujourd'hui.
Le hameau du Fayel a environ vingt-deux maisons et quatre-vingt habitans ; il y existe une ancienne petite chapelle sous le nom de St.-Roch, surmontée d'un clocher élevé de 43 pieds; ce bâtiment est, dit-on, une propriété particulière.
Il n'y a ni presbytère, ni maison commune, ni école ; toutes les propriétés communales consistent en trois puits, quatre mares, et quelques fontaines ; une fontaine surnommée de St. Leu , située sur une propriété particulière, donne lieu à un pèlerinage annuel
[1] ». A cette époque, la population vivait de l’agriculture[1]

Boubiers absorbe Le Fayel entre 1790 et 1794.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Chaumont-en-Vexin[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 'un nouveau canton de Chaumont-en-Vexin

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Boubiers est membre de la communauté de communes du Vexin-Thelle, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[18]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1962   Fernand Doré    
Les données manquantes sont à compléter.
  mars 1989 Marcel Doré    
mars 1989 mars 2001 Joseph Barbe    
mars 2001 avril 2016 M. Claude Sauvaget DVD[19] retraité
Démissionnaire
avril 2016[20] En cours
(au 2 décembre 2020)
Sophie Levesque LR Exploitante agricole
Conseillère départementale de Chaumont-en-Vexin (2015 → )
Vice-présidente du conseil départemental de l'Oise (2015 → )
Réélue pour le mandat 2020-2026[21]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].

En 2021, la commune comptait 393 habitants[Note 3], en diminution de 6,87 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
305338339308347335362350354
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
334358385343317297308292291
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
263287296236284315315280317
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
306291252255320370369432412
2021 - - - - - - - -
393--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,2 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 202 hommes pour 207 femmes, soit un taux de 50,61 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,5 
4,2 
75-89 ans
4,1 
19,0 
60-74 ans
14,6 
22,8 
45-59 ans
26,1 
20,8 
30-44 ans
22,6 
15,3 
15-29 ans
12,8 
17,8 
0-14 ans
19,3 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Gilles-Saint-Leu.

Boubiers compte un monument historique sur son territoire, ainsi qu'une une curiosité à trouver dans la forêt.

  • Église Saint-Gilles-Saint-Leu (classée monument historique en 1943, avec le cimetière qui l'entoure[27]), à l'entrée du village : Elle a été construite au XIIe siècle, agrandie au XIIIe siècle et partiellement reconstruite au XVIe siècle.
    Sa rénovation est souhaitée par le municipalité, au moyen d'un appel aux dons et l'aide de la fondation du patrimoine en 2019[28],[29]
  • Wagon de Boubiers
    Wagon de Boubiers : découvert par l'explorateur Jéjé de Chatenay dans la forêt de Boubiers. Sa présence est d'autant plus étonnante que la voie ferrée la plus proche se situe à 2 km.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Micheline Sandrel (1918-2012), journaliste, présentatrice de télévision et écrivaine, est née à Boubiers.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Boubiers Blason
D'argent au lion couronné de gueules; au chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'argent[30].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 69-70

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Boubiers » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Boubiers - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Boubiers - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Chaumont, Oise, Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 273-275, sur Google Books..
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Boubiers et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à Boubiers », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 78.
  16. « Ces villes au nom insolite : Boubiers, entre boue et bovins… », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. « Les maires de Boubiers », sur francegenweb.org (consulté le ).
  19. EIP, Annuaire des Mairies de l'Oise (60), Cannes, Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des maires de France », , 254 p. (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne), p. 46.
  20. « Boubiers : Sophie Levesque élue maire », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Première adjointe depuis 2014, elle succède ainsi à Claude Sauvaget qui avait fait connaître son souhait de passer le relais en cours de mandat ».
  21. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Boubiers (60089) », (consulté le ).
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  27. « Église Saint-Denis », notice no PA00114540, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. Charlotte Follana, « Boubiers mise sur les dons pour restaurer son églis : La mairie signera ce samedi une convention avec la Fondation du patrimoine afin de boucler le financement des travaux de restauration de l’église Saint-Leu classée aux monuments historiques. Coût total du projet : 600 000 € », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La première phase des travaux devrait démarrer d'ici la fin de l'année. « Il faut déshumidifier l'église, changer les dalles de pierre abîmées, réparer les vitraux, refaire la maçonnerie et l'assainissement et rénover les murs extérieurs », détaille la maire (LR), Sophie Levesque ».
  29. Matthieu Le Tirant, « À Boubiers, dans l'Oise, appel aux dons pour financer les travaux de l'église Saint-Leu : Un appel aux dons est lancé par la municipalité de Boubiers, dans l'Oise, pour boucler l'opération de rénovation de l'église Saint-Leu. Objectif : récolter 90 000 € », L'Impartia,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.