Berneuil (Charente)

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Berneuil
Berneuil (Charente)
L'église de Berneuil.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté de communes des 4B Sud-Charente
Maire
Mandat
Marie-Claude Guette
2020-2026
Code postal 16480
Code commune 16040
Démographie
Population
municipale
316 hab. (2021 en diminution de 1,56 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 23′ 38″ nord, 0° 04′ 17″ ouest
Altitude Min. 74 m
Max. 166 m
Superficie 16,55 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Barbezieux-Saint-Hilaire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Charente-Sud
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Berneuil
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Berneuil
Liens
Site web www.berneuil-charente.fr

Berneuil est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Berneuil est une commune du Sud-Charente située entre Barbezieux et Brossac, à 34 km d'Angoulême.

Elle est à 10 km au sud-est de Barbezieux et à 7 km au nord-ouest de Brossac. Elle est aussi à 12 km au sud-ouest de Blanzac, 16 km à l'ouest de Montmoreau[1].

À l'écart des grandes routes, la commune est bordée au sud-ouest par la D731, route de Chalais à Cognac par Barbezieux. Le bourg est desservi par la D 68, qui va au nord à Challignac puis vers Pont-à-Brac (N 10, commune de Nonaville), et au sud vers Chillac et Guizengeard. La D 128 traverse la commune et le bourg d'est en ouest, et la D 198 va au sud-est vers Châtignac et Montboyer[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Comme toutes les communes charentaises, Berneuil possède un habitat dispersé et elle compte de nombreuses fermes. Il n'y a pas de véritable hameau.

Le bourg, assez petit, touche à l'ouest chez Marquis. Au sud, il y a chez Gourdeaux, chez Moreau, à l'ouest, Barabos, la Motte, au nord, chez Doublet, le Maine aux Vaches, à l'est le Grand Luc et le Petit Luc, Peuchaud, le Pont du Maçon, etc.[2].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est occupée par le Campanien (Crétacé supérieur), calcaire crayeux et marneux, qui occupe une grande partie du Sud Charente[3],[4],[5].

Le relief de la commune est celui de coteaux traversés du sud au nord par des vallées parallèles. Il est plus accentué à l'est. Le point culminant de la commune est à une altitude de 166 m, situé près de la limite orientale (anciens moulins à vent). Le point le plus bas est à 74 m, situé à l'extrémité nord-est au confluent de la Gorre et de la Maury. Le bourg, construit sur les hauteurs et surplombant la vallée de la Maury, s'étage entre 125 et 145 m d'altitude[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Berneuil.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Maury, le Beau, le ruisseau Gourdine, le ruisseau la gorre, un bras du Beau Ruisseau, un bras du Ruisseau Gourdine et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 13 km de longueur totale[7],[Carte 1].

La Maury, affluent du et sous-affluent de la Charente, traverse la commune du sud au nord. D'une longueur totale de 24,1 km, prend sa source dans la commune de Châtignac et se jette dans le à Ladiville, après avoir traversé 12 communes[8]. La Gorre qui passe à Poullignac, limite la commune au nord-est et se jette dans la Maury.

Plus à l'ouest, le ruisseau de la Grande Fontaine qui devient le Beau plus en aval, est un autre affluent du Né, et traverse aussi la commune où il prend sa source au sud près de la limite avec Chillac. Le Beau, d'une longueur totale de 22,4 km, prend sa source dans la commune de Chillac et se jette dans le à Bellevigne, après avoir traversé 9 communes[9].

Le ruisseau Gourdine, d'une longueur totale de 11,3 km, prend sa source dans la commune de Chillac et se jette dans le Beau à Salles-de-Barbezieux, après avoir traversé 5 communes[10].

Enfin, le Gabout, aussi appelé Gourdine plus au sud, limite la commune à l'ouest. Ce ruisseau est un affluent du Beau[2].

Gestion des cours d'eau[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[11]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne[6] qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [12].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Berneuil est une commune rurale[Note 1],[13]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Barbezieux-Saint-Hilaire, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,6 %), forêts (7,5 %), cultures permanentes (0,2 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Berneuil est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Berneuil.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 96,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 178 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 175 sont en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Une forme ancienne est Bernolium en 1271[23].

L'origine du nom de Berneuil remonterait à un personnage gaulois Brennus auquel est apposé le suffixe gaulois -ialo, terme de nom de lieu signifiant "espace découvert", "clairière", et qui correspondrait donc à « clairière de Brennus »[24],[25].

Histoire[modifier | modifier le code]

Au Moyen Âge, principalement aux XIIe et XIIIe siècles, Berneuil se trouvait sur une variante de la via Turonensis, itinéraire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait en Charente par Nanteuil-en-Vallée, Saint-Amant-de-Boixe, Angoulême, Mouthiers, Montmoreau et Aubeterre, mais dont une branche bifurquait à Blanzac pour se diriger vers Pons ou Blaye[26].

Sous l'Ancien Régime, avant la création du département de la Charente, Berneuil faisait partie, comme la région de Barbezieux, de la province de Saintonge.

Au début du XXe siècle, le marché, relativement important, se tenait traditionnellement le quatrième jeudi de chaque mois[27].

Administration[modifier | modifier le code]

La mairie-école.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
depuis 1989 2011 Raymond Poitou DVG Agriculteur retraité
2011 En cours Jean-Marie Arsicaud MoDem Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 316 habitants[Note 3], en diminution de 1,56 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
9228577971 0101 0451 0081 010994961
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
914841809775788748688653634
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
640628545541529520509450464
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
386354340326317328323320316
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 42,6 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 141 hommes pour 170 femmes, soit un taux de 54,66 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
2,2 
90 ou +
10,8 
11,7 
75-89 ans
20,5 
21,2 
60-74 ans
17,6 
24,0 
45-59 ans
17,8 
14,4 
30-44 ans
12,3 
15,0 
15-29 ans
12,3 
11,5 
0-14 ans
8,7 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La viticulture occupe une partie importante de l'agriculture. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[34].

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école est un RPI entre Berneuil, Challignac et Saint-Aulais-la-Chapelle. Challignac accueille l'école maternelle, et Berneuil et Saint-Aulais les écoles élémentaires[35].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Berneuil » sur Géoportail (consulté le 20 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper.
  2. a b c et d Carte IGN sous Géoportail.
  3. Carte du BRGM sous Géoportail.
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM.
  5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Barbezieux », sur Infoterre, (consulté le ).
  6. a et b « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale de Berneuil », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  8. Sandre, « la Maury ».
  9. Sandre, « le Beau ».
  10. Sandre, « le ruisseau Gourdine ».
  11. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  12. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur eau-grandsudouest.fr (consulté le ).
  13. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune urbaine-définition », sur insee.fr, site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, site de l’Insee, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, site de l’Insee, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Berneuil », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Berneuil », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, Cartulaire du prieuré Notre-Dame de Barbezieux, , 426 p. (lire en ligne), p. 97.
  24. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928.
  25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 74.
  26. a et b Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne), p. 201.
  27. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 79.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Berneuil (16040) », sur insee.fr, site de l’Insee, (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  34. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  35. Site de l'inspection académique de la Charente.
  36. « Église Notre-Dame de Berneuil », notice no PA00104247, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 69.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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