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Yquelon

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Yquelon
Yquelon
Église Saint-Pair.
Blason de Yquelon
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Avranches
Intercommunalité Communauté de communes de Granville, Terre et Mer
Maire
Mandat
Stéphane Sorre
2020-2026
Code postal 50400
Code commune 50647
Démographie
Gentilé Yquelonnais
Population
municipale
1 165 hab. (2021 en augmentation de 9,6 % par rapport à 2015)
Densité 544 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 50′ 56″ nord, 1° 33′ 15″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 67 m
Superficie 2,14 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Granville
(banlieue)
Aire d'attraction Granville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Granville
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Yquelon
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Yquelon

Yquelon (prononcer /iklɔ̃/) est une commune du canton de Granville située dans le département de la Manche (région Normandie) en France, peuplée de 1 165 habitants[Note 1] (les Yquelonnais).

Géographie

Couvrant 214 hectares, le territoire d'Yquelon est le moins étendu du canton de Granville.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,4 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,6 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 949 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et qui se trouve à 3 km[8],[Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[9] à 11,9 °C pour 1981-2010[10], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[11].

Urbanisme

Typologie

Yquelon est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Granville, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[15] et 25 791 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Granville dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,4 %), zones urbanisées (24,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (24,3 %), prairies (17,7 %)[20].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

Toponymie

Le nom de la localité est mentionné sous les formes : Hiquelon en 1172 (Rob. Tor., p.j. XXXIII), Ikelon en 1180-1200 (B.R. Leber, av.19)[22],[23], Yquelont en 1236 - 1244[24].

Les formes les plus anciennes pourrait inciter à voir dans Yquelon, un toponyme en -on, terminaison toponymique issue du gallo-roman -O / -ONE, précédé d'un radical Hiquel- ou Iquel-. Cependant comme les attestations d’Yquelon sont relativement récentes, les toponymistes s'attachent davantage aux formes plus anciennes d’Iclon à Angiens (Seine-Maritime), mentionné dès 1088 sous la forme Ichelunt[22]. En effet, le [t] final était encore prononcé à l'époque et son maintien montre qu'il s'agit en réalité de l'élément -lunt fréquent par ailleurs en Normandie. Il représente selon ces mêmes spécialistes, l'ancien scandinave lundr « bosquet, bois »[22],[25],[26]. Il explique de nombreux toponymes en -lon, -ron, voire -non de Normandie, dont les formes les plus anciennes sont toujours en -lunt ou -lont (exemple : Étoublon à Sotteville, Manche; Stobelont en l'an 1000).

Le premier élément Yque- représente l'ancien scandinave eik « chêne » que l'on retrouve aussi dans Yquebeuf (Seine-Maritime, Ykebo XIIe siècle)[27]. François de Beaurepaire cite le substantif eik « chênes » (au pluriel) pour Yquelon, eiki « chêne » (au singulier) pour Yquebeuf et eiki « chênes » (au pluriel) pour Iclon[27]. Or en vieux norrois, le singulier est eik (sauf au génitif eikar / eikur) et le génitif pluriel est eika (éventuellement eiki). Il s'agit donc, selon tout vraisemblance du pluriel eiki ou eika.

Le sens global de ce toponyme est donc « bosquet, bois des chênes »[22]. Homonymie avec au moins sept autres Yclon / Iclon en Haute-Normandie, parfois sans ambiguïté comme le Bois d'Yclon (Critot, Bosc d'Iquelon en 1402) et avec Eikelund (Télémark) en Norvège, Egelund au Danemark et Ekelund en Suède.

Remarque : L'association de l'appellatif lundr avec un nom d'arbre va de soi et il existe plusieurs toponymes en -lon ou -ron dont le premier élément est un nom d'arbre, comme dans les nombreux Bouquelon / Bouquelonde de Haute-Normandie (exemple : Bouquelon), dont le premier élément est bók « hêtre ». Une forme lunda explique l’élément -londe(s) (exemple : Étalondes, Becquelonde, Rollonde, Vindelonde, etc.) et les nombreux la Londe plus récents. Ce terme avait le sens de « bosquet, bois » en dialecte normand encore au XVe siècle. Elle existe aussi en Scandinavie, par exemple dans Skovlunde au Danemark, équivalent du noms de lieu norvégien Skoglund.

Histoire

L'affaire Pierre Héry se déroule à Yquelon. Elle a été jugée par la cour d'assises de la Manche le [28].

Héraldique

Les armes de la commune d'Yquelon se blasonnent ainsi :
D'azur à l'église du lieu d'argent ouverte et ajourée de sable, au chef d'or chargé de trois coquilles de gueules[29].

Politique et administration

Mairie
Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1831 1835 Jean-Pierre Pinsonnet    
         
1865 1871 René Aimable Mulot Durivage    
1871 1874 Lambernon Carolins    
1874 1876 Alphonse Le Pelley – Fonteny    
1876 1880 Emmanuel Matté    
1880 1892 Pierre-Olivier Delarue    
1892 1912 Charles Le Pelley – Fonteny    
1912 1929 Paul Bailleul    
1929 1938 Louis Lemonnier    
1939 1945 Jacques Delalande    
1945 1948 ... Travert    
1948 1965 Jacques Delalande    
1965 1971 Jean Ledrans    
1971 1989 Jules Lemains    
1989 mars 2008 Jean-Louis Angelloz SE Retraité de l'EDF
mars 2008 mai 2020 Chantal Tabard[30]   Adjointe administrative
mai 2020 en cours Stéphane Sorre[31] SE Comptable à la Direction générale des Finances publiques (DGFiP)[32]
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[30].

Administration religieuse

Culte catholique : Yquelon relève du diocèse de Coutances et Avranches. Avant 1801 la paroisse relevait de l'ancien diocèse de Avranches puis de l'éphémère diocèse de la Manche.

L'ancienne paroisse catholique d'Yquelon, qui était à l'origine de la commune actuelle, a été supprimée en 1995. Yquelon relève désormais de la nouvelle paroisse de Granville. L'église reste toutefois église paroissiale, au même titre que les autres églises des anciennes paroisses.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

En 2021, la commune comptait 1 165 habitants[Note 8], en augmentation de 9,6 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
419497460474505494485479470
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
451458449426357403402353302
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
369302345304312330344389350
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
398426491674718958991982981
2014 2019 2021 - - - - - -
1 0481 1351 165------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Lieux et monuments

Gisant du seigneur fondateur

Activité et manifestations

  • Fête communale début juillet[39].

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Notes et références

Notes

  1. Population municipale 2021.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  • Altitudes, coordonnées, superficie : IGN[40].
  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Yquelon et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  10. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  11. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Granville », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  22. a b c et d François de Beaurepaire, Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, éditions Picard, 1986. p. 237.
  23. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, 2. Formations non-romanes, Volume 2. Librairie Droz 1991. p. 1013.
  24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 737a.
  25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
  26. René Lepelley, Les noms de communes de l'arrondissement d'Avranches (Manche) : Recueil d'études en hommage à Lucien Musset, vol. 23, Cahier des Annales de Normandie, , p. 560.
  27. a et b François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et des anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 167
    Ouvrage publié avec le soutien du CNRS
    .
  28. Jean-François Miniac, Les Nouvelles Affaires criminelles de la Manche, de Borée, Paris, 2012.
  29. « GASO, la banque du blason - Yquelon » (consulté le ).
  30. a et b Réélection 2014 : « Yquelon (50400) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  31. « Municipales à Yquelon. Stéphane Sorre est le nouveau maire de la commune », sur Ouest-France, .
  32. Fabien Jouatel, « Stéphane Sorre, nouveau président de Granville Terre et mer », sur Ouest-France, .
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. « Œuvres mobilières à Yquelon », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  38. Site de la paroisse « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
  39. « Ouest-france.fr - Le comité des fêtes prépare la journée du 3 juillet - Yquelon » (consulté le ).
  40. « Yquelon sur le site de l'Institut géographique national » [archive du ] (archive Wikiwix)

Liens externes

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