Lafitte (Tarn-et-Garonne)

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Lafitte
Lafitte (Tarn-et-Garonne)
Commune de Lafitte.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Castelsarrasin
Intercommunalité Communauté de communes Terres des Confluences
Maire
Mandat
Jean Fégné
2020-2026
Code postal 82100
Code commune 82086
Démographie
Population
municipale
230 hab. (2021 en diminution de 1,29 % par rapport à 2015)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 58′ 20″ nord, 1° 07′ 13″ est
Altitude 87 m
Min. 76 m
Max. 159 m
Superficie 4,74 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Beaumont-de-Lomagne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Lafitte
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Lafitte
Liens
Site web lafitte82.fr

Lafitte est une commune française située dans le département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.

Ses habitants sont appelés les Lafittois.

Géographie

Localisation

Commune située sur la départementale 14 entre Castelsarrasin et Beaumont-de-Lomagne, sur la Gimone.

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Lafitte[1]
Garganvillar
Lafitte Cordes-Tolosannes
Labourgade

Hydrographie

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par la Gimone, le ruisseau de Cadours, le ruisseau de Catuzats, le ruisseau de la Branette, le ruisseau de Lafont, le ruisseau gaillard et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 9 km de longueur totale[3],[Carte 1].

La Gimone, d'une longueur totale de 136 km, prend sa source dans la commune de Saint-Loup-en-Comminges et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Castelferrus, après avoir traversé 54 communes[4].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

  • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,4 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,4 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 731 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,5 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelsarrasin », sur la commune de Castelsarrasin, mise en service en 1990[11] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 691 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 20 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[15] à 14 °C pour 1991-2020[16].

Milieux naturels et biodiversité

Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[17] : le « cours de la Gimone et de la Marcaoue » (3 085 ha), couvrant 60 communes dont cinq dans la Haute-Garonne, 37 dans le Gers, une dans les Hautes-Pyrénées et 17 dans le Tarn-et-Garonne[18].

Urbanisme

Typologie

Lafitte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[19],[I 1],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,5 %), zones agricoles hétérogènes (29,6 %), forêts (23,9 %)[21].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Toponymie

Le nom de la commune évoque une de ces pierres « fichée en terre », ou pierres levées, monuments de l’époque préhistorique, dont la signification religieuse est peu connue. Y eut-il en ce lieu un menhir christianisé par la suite, pour donner naissance à un oratoire dédié à saint Jean le Baptiste[22] ?

Histoire

Église.

La paroisse est mentionnée dès la fin du XIIe siècle sous le nom de Saint-Jean de Montanhac, et elle fut comme ses voisines attribuée au XIIIe siècle par l’évêque de Toulouse au monastère de Belleperche ; l’abbé garda jusqu’à la Révolution le droit de patronage et partagea les dîmes avec le curé qui recevait une pension congrue. Elle fut parfois unie à celle de Cordes-Tolosannes, notamment au XVIe siècle. Supprimée par le concordat de 1801 et rattachée alors à Labourgade, elle fut rétablie par un décret impérial en 1812 après une pétition des habitants. Sa population n'a cessé de décroître, comme ailleurs en milieu rural, depuis le milieu du siècle dernier ; il y a eu cependant un curé résidant jusqu’en 1967 : l'abbé Lalliès fut alors nommé à Vazerac.

L’église s’élevait autrefois dans le cimetière, à peu près à égale distance des divers hameaux de la commune. Ruinée aux guerres de religion et pauvrement rebâtie en terre battue au XVIIe siècle, elle était en 1856 dans un tel état de délabrement que le conseil municipal décida à l'unanimité de la reconstruire. Le choix de l’emplacement se porta sur le hameau de Laffitte, plus important que les autres et possédant déjà l’école ; mais les rivalités des différentes sections empêchèrent, malgré l’urgence, la réalisation du projet.

En 1867, les habitants du quartier choisi firent seuls par souscription les frais d’une église neuve, où la messe fut célébrée pour la première fois en , le dimanche de l’Épiphanie. Ce fut pendant plusieurs années la cause d’une grande agitation dans la paroisse, dont une fraction notable se refusa longtemps à reconnaître leur nouvelle église et à fréquenter les offices. Finalement, la vieille église de Montanhac, frappée d’abord d’un interdit, puis ayant perdu son titre paroissial, fut démolie par ordre préfectoral en 1882, et celle de Laffitte acceptée en 1885 comme propriété communale. En 1899, lorsque les divisions s’apaisèrent, fut construit le clocher. Cette église, comme l’ancienne, a pour vocable la Décollation-de-Saint-Jean-Baptiste. Elle est de style néogothique, le clocher carré s’amortit par une flèche en charpente couverte d’ardoises. D’un ancien retable en bois doré, du XVIIIe siècle, il ne reste que deux statues de grandeur naturelle : sainte Hélène (mère de Constantin) et saint François de Sales.

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1852 1865 Antoine Tache    
1865 1880 Arnaud Boe    
1880 1884 Jean Dambrin    
1884 1888 François Domerc    
1888 1900 François Laparre    
1900 1904 Antoine Marrou    
1904 1936 Étienne Baudonnet    
1936 1944 J.Marie Salesses    
1944 1945 René Toumazet    
1945 1971 Pierre Dupuy    
1971 2001 André Montagnac    
2001 2008 Didier Saucez    
2008 2014 Pascal Granie   Assureur
2014 En cours Jean Fégné   Professeur

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

En 2021, la commune comptait 230 habitants[Note 7], en diminution de 1,29 % par rapport à 2015 (Tarn-et-Garonne : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
564380582577525556557557499
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
526475500451446424420427411
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
412402384313302286290266263
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
244249231245202200226232231
2021 - - - - - - - -
230--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Revenus

En 2018, la commune compte 99 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 230 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 900 [I 4] (20 140  dans le département[I 5]).

Emploi

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 10,9 % 9,5 % 14,2 %
Département[I 7] 8,4 % 10,2 % 10,3 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 130 personnes, parmi lesquelles on compte 73,1 % d'actifs (59 % ayant un emploi et 14,2 % de chômeurs) et 26,9 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 19 emplois en 2018, contre 34 en 2013 et 17 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 77, soit un indicateur de concentration d'emploi de 24,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49 %[I 10].

Sur ces 77 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 13 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 83,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,1 % les transports en commun, 2,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Les Estraquès.

Lieu-dit les Estraquès.

Personnalités liées à la commune

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Lafitte » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Lafitte » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lafitte » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lafitte » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
  3. « Fiche communale de Lafitte », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
  4. Sandre, « la Gimone »
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  11. « Station Météo-France Castelsarrasin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Orthodromie entre Lafitte et Castelsarrasin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France Castelsarrasin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Orthodromie entre Lafitte et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  16. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Lafitte », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF le « cours de la Gimone et de la Marcaoue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  22. Pierre Gayne, Dictionnaire des paroisses, 1978.
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.