L'Albère

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L’Albère
L'Albère
Le hameau de Saint-Jean vu depuis le sentier menant au dolmen de la Balma de Na Cristiana.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Céret
Intercommunalité Communauté de communes du Vallespir
Maire
Mandat
Marc de Besombes-Singla
2020-2026
Code postal 66480
Code commune 66001
Démographie
Gentilé Albériens, Albériennes
Population
municipale
66 hab. (2021 en diminution de 20,48 % par rapport à 2015)
Densité 3,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 29′ 01″ nord, 2° 53′ 41″ est
Altitude Min. 266 m
Max. 1 116 m
Superficie 17,10 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vallespir-Albères
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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L'Albère Écouter est une commune française située dans le sud-est du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Roussillon, une ancienne province du royaume de France qui a existé de 1659 jusqu'en 1790 et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la rivière de Rome et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

L'Albère est une commune rurale qui compte 66 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 384 habitants en 1836. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Albériens ou Albériennes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de l'Albère se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie et est frontalière avec l'Espagne (Catalogne)[I 1].

Elle se situe à 24 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, et à 12 km de Céret[2], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Le Perthus (3,3 km), Montesquieu-des-Albères (4,0 km), Les Cluses (4,6 km), Villelongue-dels-Monts (4,8 km), Laroque-des-Albères (5,4 km), Saint-Génis-des-Fontaines (6,9 km), Maureillas-las-Illas (7,0 km), Le Boulou (7,0 km).

Sur le plan historique et culturel, la commune est en extrémité sud du Roussillon, une ancienne province du royaume de France qui a existé de 1659 jusqu'en 1790 et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne[6].

Paysages et relief[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le massif des Albères. Sa superficie est de 1 710 ha. Elle varie en altitude entre 266 mètres au voisinage de la commune du Perthus et 1 128 mètres au Roc dels Tres Termes[7]. Le hameau de Saint-Jean est à une altitude de 538 m et celui de Saint-Martin à une altitude de 631 m[8].

La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[9].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 866 mm, avec 5,7 jours de précipitations en janvier et 4,4 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Perthus à 3 km à vol d'oiseau[12], est de 15,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 849,6 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[16] : la « crête du pic d'Aureille » (270 ha), couvrant 4 communes du département[17] et les « crêtes de pic Neoulos » (366 ha), couvrant 3 communes du département[18] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[16] : le « massif des Albères » (10 837 ha), couvrant 10 communes du département[19].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

L'Albère est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[20],[I 2],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (89,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,4 %), prairies (1,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,4 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La départementale D71 juste avant l'arrivée à Saint-Jean de l'Albère.

La route départementale D 71 est la principale voie d'accès à la commune de L'Albère. En provenance du Perthus, elle fait le tour du territoire de la commune et revient au Perthus.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de l'Albère est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[23],[24].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin du Tech[25].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs[26]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène[27].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de l'Albère est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune a sans doute pour origine le nom du massif des Albères dont il fait partie (voir cet article pour l'étymologie du nom du massif, qui est controversée). Si le nom du massif apparaît souvent au pluriel dans les textes du moyen Âge et en français et au singulier en catalan (L'Albera), le nom de la commune reste au singulier : L'Albère en français, L'Albera en catalan[29],[30].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le peuplement de L'Albère se fait initialement autour de deux églises, chacune constituant un hameau distinct : Sant Marti de Montforcat (mentionnée en 844) et Sant Joan de l'Albera (mentionnée en 1089)[8].

Le , la commune intègre la communauté de communes du Vallespir[31].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Canton[modifier | modifier le code]

En 1790 la commune de L'Albère est incluse dans le canton d'Argelès au sein du district de Céret. Elle est rattachée au canton de Laroque en 1793 puis revient au canton d'Argelès en 1801. Elle est ensuite rattachée au canton de Céret le [32]. À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton de Vallespir-Albères.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[33],[34]
Période Identité Étiquette Qualité
1795 1801 Sylvestre Vilallongue    
1802 1813 Jacques Oriol    
1813 1830 Joseph Reste    
1831 1834 Jacques Oriol    
1835 1877 Joseph Reste fils    
1878 1884 Albert Oriol    
1885 1887 Gustave Tarres    
1888 1904 Auguste Vinyes    
1904 1934 Justin de Besombes-Singla    
1935 1971 Antoine de Besombes-Singla    
mars 1971 avril 2013 Pierre de Besombes-Singla[35]    
mai 2013 en cours Marc de Besombes-Singla[35],[36]   Fils du maire précédent. Réélu en 2014[37]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie ancienne[modifier | modifier le code]

La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

Évolution de la population
1358 1365 1553 1643 1709 1720 1730 1755 1767
15 f14 f10 f26 f19 f28 f26 f70 f200 H
1774 1789 1790 - - - - - -
281 H42 f250 H------
(Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

Démographie contemporaine[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[40].

En 2021, la commune comptait 66 habitants[Note 6], en diminution de 20,48 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Orientales : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
242126243325354384359355270
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
265252270240227193200204191
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
190177160129131135998371
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
606162505469676983
2014 2019 2021 - - - - - -
817366------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[43] 1975[43] 1982[43] 1990[43] 1999[43] 2006[44] 2009[45] 2013[46]
Rang de la commune dans le département 176 198 208 192 176 195 191 190
Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

Enseignement[modifier | modifier le code]

Il n'y a pas d'école à L'Albère. L'école la plus proche se situe au Perthus.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête patronale :  ;
  • Fête communale : 2e dimanche d'août[47].

Santé[modifier | modifier le code]

Il n'y a pas de médecin à L'Albère. Les médecins les plus proches se situent au Perthus.

Sports[modifier | modifier le code]

Deux sites d'escalade existent sur la commune, le Roc Fouirous, situé proche du col de l'Ouillat[48], équipé et fréquenté depuis la fin des années 1980, puis encore récemment rééquipé, et le Sant Cristau, rocher connu en tant que site militaire d'importance pendant la bataille du Boulou, est un site de terrain d'aventure, fréquenté dans les années 1990, actuellement moins connu.[réf. nécessaire] Il y a aussi sur le versant sud, le roc du Midi, très remarquable depuis la plaine, où des grimpeurs et alpinistes ont grimpé et ouvert des voies.

Certains décollent aussi en parapente depuis les pentes proches.

Divers chemins sont très fréquenté en VTT.

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 5] 11,6 % 15 % 18 %
Département[I 6] 10,3 % 12,9 % 13,3 %
France entière[I 7] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 48 personnes, parmi lesquelles on compte 85,7 % d'actifs (67,6 % ayant un emploi et 18 % de chômeurs) et 14,3 % d'inactifs[Note 7],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 8]. Elle compte 22 emplois en 2018, contre 21 en 2013 et 17 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 32, soit un indicateur de concentration d'emploi de 69,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,7 %[I 9].

Sur ces 32 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 17 travaillent dans la commune, soit 53 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 73,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,7 % les transports en commun, 3,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 16,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Monuments et lieux touristiques[modifier | modifier le code]

Patrimoine environnemental[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Lluís Basseda, Toponymie historique de Catalunya Nord, t. 1, Prades, Revista Terra Nostra, , 796 p.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Métadonnées de la commune de l'Albère » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de l'Perpignan » (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à l'Albère » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à l'Albère » (consulté le ).
  10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Stephan Georg, « Distance entre L'Albère et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre L'Albère et Céret », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de l'L'Albère », sur villorama.com (consulté le ).
  4. Carte IGN sous Géoportail
  5. Institut cartographique de Catalogne, « Visualisateur cartographique Vissir » (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 222-225.
  7. L'Albère.net
  8. a b c et d Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
  9. « Plan séisme » (consulté le ).
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  12. « Orthodromie entre L'Albère et Le Perthus », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  14. « Station Météo-France « Le Perthus » (commune du Le Perthus) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  16. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de l'Albère », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF la « crête du pic d'Aureille » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF les « crêtes de pic Neoulos » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « ZNIEFF le « massif des Albères » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), chapitre 1 - Liste des risques par commune.
  24. « Les risques près de chez moi - commune de l'Albère », sur Géorisques (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  26. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  28. « Cartographie des risques d'inondations du tri de perpignan/saint-cyprien », sur irsn.fr, (consulté le ).
  29. Basseda 1990, p. 295.
  30. (ca + fr) Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
  31. Martial Mehr, L'Indépendant, Le Perthus, Les Cluses et L'Albère rejoignent l'intercommunalité, 6 janvier 2014
  32. Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
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  34. MairesGenWeb
  35. a et b Marc De Besombes-Singla élu nouveau maire sur lindependant.fr, 22 mai 2013
  36. Réélection 2014 : « Maires », sur le site de la Préfecture du département des Pyrénées-Orientales (consulté le ).
  37. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur la-clau.net.
  38. « L'Albère : Jumelage avec Cantallops », L'Indépendant,‎ , p. 19.
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  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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