Durtol

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Durtol
Durtol
Mairie et bureau de poste.
Blason de Durtol
Blason
Durtol
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Clermont-Ferrand
Intercommunalité Clermont Auvergne Métropole
Maire
Mandat
François Carmier
2020-2026
Code postal 63830
Code commune 63141
Démographie
Population
municipale
2 015 hab. (2021 en augmentation de 0,95 % par rapport à 2015)
Densité 502 hab./km2
Population
agglomération
273 078 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 47′ 50″ nord, 3° 03′ 08″ est
Altitude Min. 468 m
Max. 708 m
Superficie 4,01 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Clermont-Ferrand
(banlieue)
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cébazat
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Durtol
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Durtol
Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme
Voir sur la carte topographique du Puy-de-Dôme
Durtol
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Durtol
Liens
Site web durtol.fr

Durtol est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Durtol est située au nord-ouest de l'agglomération de Clermont-Ferrand.

Ses lieux-dits ou quartiers sont : la Garenne-Haute, les Hautes-Roches, Montchany.

Cinq communes sont limitrophes :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Durtol est bâti sur une coulée de lave du volcan du Pariou. Il est séparé de Montjuzet par « la petite montagne de Fournier, composée d'argiles et recouverte de caires à friganes »[1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

La commune de Durtol est traversée par la route départementale 944 (anciennement D 941C et N 141C). La départementale 943 (anciennement D 941 et N 141) dessert les quartiers Est et Nord depuis le carrefour des Quatre-Routes de Clermont-Ferrand.

La RD 559 relie le centre-bourg de Durtol à des quartiers d'Orcines (Ternant et Sarcenat) en desservant la gare ferroviaire, tandis que la RD 768 permet de rejoindre d'autres quartiers d'Orcines (Villars, Fontanas) par la route de Champiot et la D 941.

La RD 764 relie Durtol à Nohanent.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Deux lignes de bus du réseau T2C desservent la commune :

  • la ligne 10 en passant par Montcharvais, des quartiers en altitude de Clermont-Ferrand (Tamaris), des quartiers de Chamalières (avenue Joseph-Claussat), la zone industrielle du Brézet et Aulnat ;
  • la ligne 32 à destination de Sayat via Nohanent.

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La maison, gare SNCF de Durtol-Nohanent
Gare de Durtol - Nohanent.

La ligne d'Eygurande - Merlines à Clermont-Ferrand passe sur le territoire de la commune. Une gare y est implantée.

Des trains reliant Clermont-Ferrand et Volvic ou Le Mont-Dore desservent la gare de Durtol - Nohanent, située en hauteur et accessible par la D 559.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 907 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Clermont-Ferrand », sur la commune de Clermont-Ferrand à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 563,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records CLERMONT-FD (63) - alt : 331m, lat : 45°47'12"N, lon : 3°08'57"E
Records établis sur la période du 01-01-1923 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,6 0,6 3 5,3 9,1 12,6 14,5 14,4 10,9 8,3 3,9 1,4 7,1
Température moyenne (°C) 4,3 5,1 8,3 10,9 14,8 18,4 20,6 20,6 16,7 13 7,9 5 12,1
Température maximale moyenne (°C) 8 9,5 13,7 16,6 20,5 24,2 26,8 26,8 22,5 17,8 12 8,6 17,3
Record de froid (°C)
date du record
−23,1
05.01.1971
−29
14.02.1929
−21,3
11.03.1931
−7,1
08.04.03
−4,2
02.05.1938
1
02.06.1975
3,8
03.07.1948
2,4
24.08.1980
−3
24.09.1928
−9,2
29.10.1997
−11,8
23.11.1993
−25,8
18.12.1933
−29
1929
Record de chaleur (°C)
date du record
22,1
30.01.02
25,9
28.02.1960
26,6
25.03.1981
31,3
16.04.1949
33
17.05.1945
40,9
26.06.19
40,7
31.07.1983
40,4
24.08.23
36,8
16.09.1987
33,2
02.10.23
24,7
08.11.15
21,9
30.12.1925
40,9
2019
Ensoleillement (h) 846 1 096 1 654 1 791 1 997 2 252 2 556 2 432 1 914 136 903 777 19 579
Précipitations (mm) 26,6 18,7 26,1 51,1 66,5 67,5 63,3 62 57,5 48,8 46,2 29,1 563,4
Source : « Fiche 63113001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Durtol est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Clermont-Ferrand, une agglomération intra-départementale regroupant 17 communes[11] et 273 078 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (57,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,7 %), zones urbanisées (25,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %), prairies (0,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement[modifier | modifier le code]

En 2013, la commune comptait 910 logements, contre 903 en 2008. Parmi ces logements, 93,5 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 5,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 79,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 20,2 % des appartements[a 1].

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 70,8 %, en hausse sensible par rapport à 2008 (68,4 %). La part de logements HLM loués vides était de 11,8 % (contre 11,6 %)[a 2].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté pour la première fois sous la forme Disertolio au Xe siècle[17].

Pour Emmanuel Grélois et Jean-Pierre Chambon, cette écriture est à relier au point de départ étymologique Desertóialu, analysable comme un composé hybride gallo-latin. Le second terme provient du Gaulois ialo, et signifie « clairière ». Le premier terme provient du latin desertus, signifiant « désert, inculte, sauvage ». La signification primitive serait alors « clairière déserte »[17]. Cela est passé par la suite sous la forme occitane Durtol qui a donné son nom actuel en français.

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

Après avoir fait partie dès 1793 du canton de Chamalières, puis de 1801 à 1982 de l'ancien canton de Clermont-Ferrand-Nord, puis du canton de Royat de 1982 à [18]. Durtol est rattachée au nouveau canton de Cébazat[19].

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Le maire sortant, Lucien Vray, ne s'est pas représenté. Aux élections municipales de 2014, Michel Sabre (DVG) a été élu au second tour, avec 38,42 % des voix, battant François Carmier (DVD, 35,19 %) et Jean-Paul Duret (DVD, 26,37 %). Sur les 1 560 inscrits, exactement les trois quarts ont pu voter[20].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal, réuni en pour élire le nouveau maire (François Carmier), a désigné cinq adjoints[21].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1965 1982 [réf. nécessaire] Marcel Deplagne[22] (1912-1982)   Contremaître retraité, résistant
Réélu en 1971 et 1977
mars 1983 mars 2001 Claude Farges    
mars 2001 mars 2014 Lucien Vray UMP puis UDI[23] Ancien adjoint
mars 2014 Michel Sabre DVG Retraité de la fonction publique
En cours
(au 29 mai 2020)
François Carmier[21],[24] DVD Professeur des écoles

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 2 015 habitants[Note 3], en augmentation de 0,95 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
82395430463412421414445450
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
457435420387532405442451453
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
527549542602675823742767846
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
9521 2592 1392 1972 0042 0261 9691 9612 009
2017 2021 - - - - - - -
2 0152 015-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (34,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 37,7 % la même année, alors qu'il est de 27,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 948 hommes pour 1 080 femmes, soit un taux de 53,25 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,6 
90 ou +
4,7 
10,7 
75-89 ans
13,8 
21,5 
60-74 ans
22,6 
21,8 
45-59 ans
18,7 
13,9 
30-44 ans
14,8 
13,5 
15-29 ans
11,0 
17,0 
0-14 ans
14,3 
Pyramide des âges du département du Puy-de-Dôme en 2020 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
7,2 
75-89 ans
10,1 
17,7 
60-74 ans
18,4 
20,3 
45-59 ans
19,4 
18,4 
30-44 ans
17,4 
18,6 
15-29 ans
17,2 
17,1 
0-14 ans
15,4 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Durtol dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle possède une seule école : l'école élémentaire publique Henri-Pourrat[30].

Les élèves poursuivent leur scolarité à Clermont-Ferrand, dans le collège du quartier de Trémonteix[31], puis dans les lycées[32] :

Sport[modifier | modifier le code]

La commune possède trois associations sportives : un club de tennis, de basket-ball et de judo[D 1].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2011, le revenu fiscal médian par ménage s'élevait à 37 336 , ce qui plaçait Durtol au 5 255e rang des communes de plus de quarante-neuf ménages en métropole[33].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2013, la population âgée de quinze à soixante-quatre ans s'élevait à 1 190 personnes, parmi lesquelles on comptait 73 % d'actifs dont 67,6 % ayant un emploi et 5,4 % de chômeurs[a 3].

On comptait 549 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 815, l'indicateur de concentration d'emploi est de 67,4 %, ce qui signifie que la commune offre +/- d'un emploi par habitant actif[a 4].

719 des 815 personnes âgées de quinze ans ou plus (soit 88,2 %) sont des salariés[a 5]. 14,4 % des actifs travaillent dans la commune de résidence[a 6].

Entreprises[modifier | modifier le code]

Au , Durtol comptait 90 entreprises : 5 dans l'industrie, 12 dans la construction, 46 dans le commerce, les transports et les services divers et 27 dans le secteur administratif[a 7].

En outre, elle comptait 94 établissements[a 8].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Au recensement agricole de 2010, la commune comptait une seule exploitation agricole, contre aucune en 2000 et cinq en 1988. La superficie agricole utilisée sur cette exploitation est nulle (23 hectares en 1988)[34].

Commerce et services[modifier | modifier le code]

La base permanente des équipements de 2015 recensait cinq commerces : une épicerie, une boulangerie, une boucherie-charcuterie, une librairie-papeterie ou vendeur de journaux ainsi qu'un magasin de vêtements[35].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Au , la commune ne comptait aucun hôtel[a 9], camping[a 10] ou autre hébergement collectif[a 11].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église de Durtol
Église de Durtol.

Durtol possède un édifice inscrit au titre des monuments historiques : le plateau dit des Côtes de Clermont, couvrant quelques parcelles cadastrales, propriété privée empiétant sur trois autres communes, inscrit le 15 décembre 1986[36].

L'église n'est pas protégée aux monuments historiques.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Cinéma[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Durtol Blason
Écartelé, au premier d'or à la hure de sanglier de sable, au deuxième et au troisième d'azur à la croix ancrée d'or, au quatrième d'or à trois merlettes de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Logotype[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. LOG T2 – Catégories et types de logements.
  2. LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.
  3. EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  4. EMP T5 – Emploi et activité.
  5. ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2013.
  6. ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
  7. DEN T3 – Nombre d'entreprises par secteur d'activité au .
  8. DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au .
  9. TOU T1 – Nombre et capacité des hôtels au .
  10. TOU T2 – Nombre et capacité des campings au .
  11. TOU T3 – Nombre d'autres hébergements collectifs au .
  • Site de la mairie :
  1. « Culture – Sport » (consulté le ).
  • Autres sources :
  1. Jean-Baptiste Bouillet, Guide du voyageur à Clermont-Ferrand, dans sa banlieue et dans les localités les plus remarquables du département du Puy-de-Dôme, telles que le Mont-Dore, St-Nectaire, Pontgibaud, Volvic, etc., Clermont-Ferrand, Librairie Auguste Veysset, (lire en ligne), p. 256.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Durtol et Clermont-Ferrand », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Clermont-Ferrand », sur la commune de Clermont-Ferrand - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Clermont-Ferrand », sur la commune de Clermont-Ferrand - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Clermont-Ferrand », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b Emmanuel Grélois et Jean-Pierre Chambon, « Analyse étymologique d'un toponyme obscur : Durtol (Puy-de-Dôme) », Revue de linguistique romane, vol. 69,‎ , p. 465-482 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  18. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Décret no 2014-210 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Puy-de-Dôme.
  20. Résultats des élections municipales de 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur.
  21. a et b « François Carmier, nouveau maire de Durtol (Puy-de-Dôme) », La Montagne, (consulté le ).
  22. Notice DEPLAGNE Marcel (Né VENNAT Marcel) par Pierre Mazataud, version mise en ligne le 27 avril 2014, dernière modification le 26 décembre 2019
  23. [PDF] [1]
  24. Extrait de la fiche de M. François CARMIER, sur lesbiographies.com (consulté le 16 mars 2021).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Durtol (63141) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Puy-de-Dôme (63) », (consulté le ).
  30. Liste des écoles de Durtol sur le site du Ministère de l'Éducation nationale. Consulté le 23 septembre 2013.
  31. « SECTORISATION - DEPARTEMENT du PUY-DE-DÔME » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  32. « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  33. Revenus fiscaux localisés des ménages [zip], Insee, données 2011.
  34. « Données générales des exploitations ayant leur siège dans Durtol commune », Ministère de l'Agriculture (consulté le ).
  35. « Base permanente des équipements : commerce » [zip], Insee, .
  36. « Plateau dit des Côtes de Clermont (également sur communes de Blanzat, Clermont-Ferrand et Nohanent) », notice no PA00092497, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Robert Vernet, L'extraordinaire destin du 1er curé de Durtol, Le Gonfanon n°82, Argha 2016