Discovery (album de Daft Punk)

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Discovery

Album de Daft Punk
Sortie
Enregistré 1997-2000
Daft House à Paris
Drapeau de la France France
Durée 60:14[1]
Genre Nu-disco, house, French touch, dance Dance-rock Electro
Producteur Daft Punk
Label Daft Life Ltd, Virgin, EMI
Critique

Albums de Daft Punk

Homework
(1997) Alive 1997
(2001)

Singles

  1. One More Time
    Sortie : 13 novembre 2000
  2. Aerodynamic
    Sortie : 28 mars 2001
  3. Digital Love
    Sortie : 21 août 2001
  4. Harder, Better, Faster, Stronger
    Sortie : 13 octobre 2001
  5. Face to Face
    Sortie : 10 octobre 2003
  6. Something About Us
    Sortie : 14 novembre 2003

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Discovery est le titre du deuxième album studio du groupe Daft Punk, sorti en 2001 et composé de 14 titres. Le film d'animation muet Interstella 5555: The 5tory of the 5ecret 5tar 5ystem supervisé par Leiji Matsumoto, le créateur d'Albator, sorti en 2003, reprend comme uniques musiques les 14 morceaux de Discovery.

Six singles ont été extraits de cet album : One More Time, Aerodynamic, Digital Love, Harder, Better, Faster, Stronger, Face to Face et Something About Us. Les clips des quatre premiers singles étaient en fait les quatre premiers chapitres du film Interstella 5555: The 5tory of the 5ecret 5tar 5ystem et Something About Us, le neuvième.

La première version du disque offrait une carte de membre du « Daft Club ». Cette carte donnait, grâce à un code, l'accès à un site internet proposant des téléchargements gratuits de remixes inédits et d'extraits de performance live. Les titres n'étaient lisibles qu'avec un lecteur fourni par le site. Le site a depuis été fermé, les morceaux sont désormais disponibles sur Alive 1997 et Daft Club. Veridis Quo, la onzième chanson de l'album, est la chanson thème des Golden Knights de Vegas de la Ligue nationale de hockey.

Contexte[modifier | modifier le code]

Après la sortie de leur premier album Homework, Thomas Bangalter et Guy-Manuel de Homem-Christo passent la majeure partie de l'année 1997 en tournée dans le cadre de Daftendirektour[4],[5]. Pendant la première moitié de l'année 1998, le duo se concentre sur ses labels personnels tout en travaillant sur la collection de vidéos D.A.F.T. : A Story About Dogs, Androids, Firemen and Tomatoes. En 1999 et 2000, leur temps est partagé entre la production de musique pour leurs propres labels et l'enregistrement de Discovery[4]. Bangalter note que Homework, leur précédent album, a influencé de nombreux autres artistes à imiter leur son, incitant le duo à poursuivre vers une direction différente pour mieux se distinguer[6].

Enregistrement[modifier | modifier le code]

Discovery est enregistré dans le propre studio du duo, Daft House, situé au domicile de Bangalter à Paris[7]. Le duo commence à travailler sur l'album en 1998, et le produit sur une période de deux ans[8],[9]. Bangalter et Homem-Christo composent aussi bien ensemble que séparément, un processus similaire à celui de leur premier album Homework[4]. Bien qu'ils utilisent le même équipement que pour Homework, le duo cherche à enregistrer des morceaux plus concis.

Pour Discovery, le groupe utilise différents échantillonneurs et synthétiseurs, notamment l'Akai MPC, l'E-mu SP-1200, l'Oberheim DMX ou la boîte à rythmes LinnDrum[4]. Pour les vocodeurs, le groupe utilise un Roland SVC-350, et un DigiTech Vocalist. La production de l'album utilise également un ordinateur avec Auto-Tune et une première version de Logic[4]. Chaque piste de Discovery utilise un phaser différent. L'album est masterisé par Nilesh Patel[7], qui avait également masterisé Homework[10].

L'un des premiers titres issus des sessions de production pour Discovery, One More Time, est achevé en 1998 et reste « sur une étagère » jusqu'à sa sortie en single en 2000. Après avoir terminé Too Long au début de la production de l'album, les Daft Punk décident de ne « pas faire 14 autres morceaux de house » tels que le genre est habituellement défini, et il est donc entrepris d'incorporer une variété de styles pour le disque[11],[12]. L'album comporte les contributions musicales de Romanthony, Todd Edwards et DJ Sneak. Homem-Christo note que Romanthony et Edwards sont deux des producteurs qui ont eu une grande influence sur Daft Punk[4]. Le duo avait voulu travailler avec eux sur Homework, mais avait eu du mal à les convaincre car les Daft Punk étaient encore relativement inconnus à l'époque. DJ Sneak écrit les paroles de Digital Love et participe à la production de la chanson[8],[13].

Sortie et promotion[modifier | modifier le code]

Daft Punk avait initialement prévu de sortir chaque chanson de Discovery en tant que single, selon Orla Lee-Fisher, qui était responsable du marketing pour Virgin Records UK à l'époque, bien que ce plan ait finalement été mis de côté[14]. One More Time sort en 2000, avant la sortie de l'album qui parait le [15], avec les singles Aerodynamic, Digital Love, Harder, Better, Faster, Stronger, Something About Us, et Face to Face lancés par la suite.

Les idées pour les vidéoclips de l'album se forment pendant les premières sessions d'enregistrement de Discovery[16]. L'album devait à l'origine être accompagné d'« un film d'action en direct, chaque chanson faisant partie du film », selon Todd Edwards. Cependant, le groupe décide plutôt de se concentrer sur la production d'un anime[14]. Le concept de Daft Punk pour le film impliquait la fusion de la science-fiction avec la culture de l'industrie du divertissement. Le duo se souvient avoir regardé des anime japonais lorsqu'il était enfant, notamment Albator, Goldorak et Candy Candy[17]. Tous trois ont apporté l'album et l'histoire terminée à Tokyo dans l'espoir de créer le film avec leur héros d'enfance, Leiji Matsumoto, qui avait créé Albator[17]. Après que Matsumoto ait rejoint l'équipe en tant que superviseur visuel, Shinji Shimizu avait été contacté pour produire l'animation et Kazuhisa Takenouchi pour réaliser le film. Avec la coordination de la traduction de Tamiyuki « Spike » Sugiyama, la production commence en octobre 2000 et se termine en avril 2003[17]. Le résultat de cette collaboration est un le film d'animation Interstella 5555 : The 5tory of the 5ecret 5tar 5ystem, dont la bande-son est constituée de l'intégralité des morceaux Discovery[17].

Les Daft Punk adoptent des costumes de robots pour préparer la sortie de Discovery. Le groupe déclare à la presse qu'il travaillait dans son studio à 9 h 9 le , lorsque leur échantillonneur a explosé. Ils doivent alors subir une chirurgie réparatrice et, en reprenant conscience, ont réalisés qu'ils étaient devenus des robots[4].

Peu de temps avant la sortie de l'album, le groupe lance Daft Club, un site web qui propose des morceaux exclusifs et d'autres bonus. Chaque CD de Discovery comprenait une carte de membre Daft Club portant un numéro unique qui permettait un accès personnalisé au site web[4]. Bangalter déclare que c'était « notre façon de récompenser les personnes qui achètent le CD ». Le service fourni par le site prend fin en 2003 ; la plupart des morceaux sont ensuite compilés dans l'album de remixes Daft Club[16].

Identité musicale[modifier | modifier le code]

Discovery est reconnu comme un album concept[18],[19]. Il est fortement lié aux souvenirs d'enfance des Daft Punk, incorporant leur amour du cinéma et des personnages de fiction[20]. Thomas Bangalter précise que l'album traite des expériences du duo qui a grandi dans la décennie entre 1975 et 1985, plutôt que d'être un simple hommage à la musique de cette période[4]. Le disque est conçu pour refléter une attitude ludique, honnête et ouverte d'esprit à l'écoute de la musique. Bangalter le compare à l'état d'enfance où l'on ne juge ni n'analyse la musique. Il note également que l'approche stylistique de l'album est en contraste avec celle de leur précédent album, « Homework [...] était une façon de dire aux enfants du rock, genre la musique électronique est cool. Discovery, c'était l'inverse, c'était dire aux gamins de l'électronique : Le rock, c'est cool, tu vois ? ». Il précise que Homework etait « un truc brut » axé sur la production et la texture du son, alors que le but de Discovery était d'explorer les structures des chansons et les nouvelles formes musicales. Ce changement de son leur a été notamment inspiré par Windowlicker d'Aphex Twin[11].

Discovery s'éloigne des précédents sons house de Daft Punk[21]. Dans sa critique pour AllMusic, John Bush écrit que les Daft Punk ont produit un son « plus glamour et plus pop » d'Eurodisco et de R&B en sur-embellissant leurs effets de pitch-bend et de vocodeur, y compris des boucles de divas, de guitares synthétiques et de piano électrique[22]. Keith Gwillim, de Stylus Magazine, affirme qu'il s'agit d'un album disco qui s'appuie sur les éléments « dansants » et « saphiques » du genre, notamment ses voix traitées et ses solos de guitare « préfabriqués »[23]. D'autres critiques qualifient également l'album de post-disco[23].

Analyse musicale[modifier | modifier le code]

Le morceau d'ouverture de l'album, One More Time, présente un chant fortement auto-accordé et compressé de Romanthony[4]. Le morceau suivant, Aerodynamic, avec un groove funk, s'interrompt pour un solo de guitare électrique, et se termine par un segment électronique plus « spacieux »[24]. Ce solo, qui contient des arpèges de guitare, a été comparé par Pulse ! aux sonorités du guitariste suédois Yngwie Malmsteen[25]. Digital Love contient un solo exécuté par le duo à l'aide d'un piano Wurlitzer, de synthétiseurs vintage et de séquenceurs musicaux[24]; il incorpore des éléments de pop[26], de new wave, de jazz, de funk et de disco. Harder, Better, Faster, Stronger, le quatrième titre de l'album est une chanson à tendance électro[27]. Elle est suivie de Crescendolls, un morceau purement instrumental. Nightvision est un morceau d'ambiance. Superheroes se rapproche du minimalisme acide de Homework[27]. High Life est construit sur un échantillon vocal, et contient une section d'orgue. Something About Us est une chanson downtempo, avec des voix traitées numériquement par Daft Punk et des rythmes lounge[27]. Voyager comporte des riffs de guitare, des synthés des années 80 ressemblant à une harpe, et une ligne de basse funky[28]. Veridis Quo est une chanson baroque synthétisée « faux-orchestrale »[22]. Le 11e morceau de l'album, Veridis Quo, selon Angus Harrison de Noisey , le titre peut aussi être interprété comme l'homophone de « Very Disco »[28]. De même, il suffit de remettre les syllabes dans le bon ordre et on obtient « Discovery », le titre de l'album. Short Circuit est une chanson électro-R&B[29] avec des breakbeats[30] et des motifs de batterie programmés[4]. Face to Face est une chanson dance-pop avec le chant de Todd Edwards, et est plus orientée pop que les autres morceaux de Discovery[31],[29]. Dans le contexte de l'album, Bangalter note que le morceau précédent, Short Circuit représente l'acte de s'éteindre, et que Face to Face représente le fait de reprendre conscience et de faire face à la réalité[32]. Too Long, le morceau conclusif de l'album, est une chanson électro-R&B de dix minutes[33].

Ventes[modifier | modifier le code]

Critiques presse
Score cumulé
SiteNote
Metacritic (73/100) [34]
Compilation des critiques
PériodiqueNote
AllMusic 5/5 étoiles[35]
Billboard (90/100)[36]
Entertainment Weekly (B)[36]
Stylus Magazine (B+)[37]
New Musical Express (9/10)[38]
Spin (8/10) [39]
Pitchfork (6.4/10)[40]
Q 5/5 étoiles[36]
Rolling Stone 4.5/5 étoiles [41]
Vibe 3.5/5 étoiles [42]

L'album, en termes de ventes, a atteint la deuxième place au Royaume-Uni[43] et en France[44] et la 23e place aux États-Unis[45]. L'album a également débuté à la deuxième place du Canadian Albums Chart, avec 13 850 exemplaires vendus dans le pays au cours de sa première semaine[46] . L'album a été certifié triple platine en France (en 2007) avec plus de 600 000 exemplaire vendus[47]. Grâce à ses ventes, Discovery a été certifié or par la Recording Industry Association of America (RIAA) le 11 octobre 2010[48].

En mai 2013, l'album s'était vendu à 802 000 exemplaires aux États-Unis[49].Le single phare de l'album, One More Time, a été son plus grand succès, atteignant la première place des charts français[50] et du Billboard Hot Dance Club Songs. Le single à également a culminé dans le top 10 de sept autres charts. Il est resté le single le plus populaire du groupe jusqu'à la sortie de Get Lucky en 2013. Le cinquième single de l'album, Face to Face, a atteint la première place du classement Billboard Hot Dance Club Songs en 2004. Discovery s'est vendu à au moins 2,6 millions d'exemplaires en 2005[51].

Liste des morceaux[modifier | modifier le code]

No TitreChant Durée
1. One More TimeRomanthony 5:20
2. Aerodynamic 3:27
3. Digital LoveDaft Punk 4:58
4. Harder, Better, Faster, StrongerDaft Punk 3:43
5. Crescendolls 3:28
6. Nightvision 1:43
7. Superheroes 3:57
8. High Life 3:13
9. Something About UsDaft Punk 3:50
10. Voyager 3:46
11. Veridis Quo 5:44
12. Short Circuit 3:24
13. Face to FaceTodd Edwards 3:58
14. Too LongRomanthony 10:00
60:31

Samples[modifier | modifier le code]

Une quantité importante d'échantillonnage est présente sur l'album. Plutôt que de créer une nouvelle musique en utilisant uniquement les échantillons, Daft Punk a travaillé avec eux en écrivant et en interprétant des parties supplémentaires[52],[24]. Les notes de pochette de Discovery précisent l'utilisation autorisée de samples pour quatre pistes de l'album : Une partie de I Love You More de George Duke figure dans Digital Love ; Cola Bottle Baby d'Edwin Birdsong a été échantillonné pour Harder, Better, Faster, Stronger ; la chanson Can You Imagine des Little Anthony and the Imperials est utilisée pour Crescendolls ; Who's Been Sleeping in My Bed de Barry Manilow est crédité pour Superheroes[7].

Il a été observé que One More Time contient un échantillon de la chanson More Spell on You d'Eddie Johns, bien qu'elle ne soit pas créditée dans les notes de pochette de Discovery[53]. Le Los Angeles Times a confirmé ce fait après la séparation de Daft Punk et a découvert que Daft Punk payait des royalties pour l'échantillon deux fois par an au label GM Musipro[54].

Plusieurs sites Web répertorient de nombreux autres échantillons présents sur l'album, mais Bangalter a déclaré que la moitié des échantillons qu'il avait vus répertoriés ne sont pas vrais. Il a également déclaré que l'échantillonnage qu'ils font est légitime, pas quelque chose qu'ils essaient de cacher[55]. Bangalter explique que les éléments nouvellement enregistrés ont été implémentés d'une manière qui équivalait à « créer de faux échantillons [...] où les gens pensent qu'il y a des échantillons de disques disco ou de disques funk »[56].

La piste Veridis Quo reprend un échantillon d'une œuvre de Mozart, il s'agit de l'Allegro en Do Majeur K.5a au piano. Par ailleurs, le clip de ce morceau fait apparaître Mozart enfant, certainement un clin d’œil explicite à la reprise.

Titres Samples utilisés
One More Time More Spell on You d'Eddie Johns[57]
Aerodynamic Il Maquillage Lady des Sister Sledge[58]
Digital Love I Love You More de George Duke[59]
Harder, Better, Faster, Stronger Cola Bottle Baby de Edwin Birdsong[59]
Crescendolls Can You Imagine de Little Anthony and the Imperials[59]
Superheroes Who's Been Sleeping In My Bed de Barry Manilow[59]
High Life Break Down For Love de Tavares[60]
Face to Face Evil Woman et Can't Get It Out of My Head d'Electric Light Orchestra[61]
House at Pooh Corner de Kenny Loggins et Jim Messina
Old and Wise de The Alan Parsons Project
Veridis Quo Allegro en Do Majeur K.5a de Mozart

Crédits[modifier | modifier le code]

  • Daft Punk : Samples, Synthés, Chant, Vocodage, Mixage, Programmation, Production, Concept, Direction Artistique
  • Romanthony : Paroles, Chant sur One More Time et Too Long, coproduction de Too Long
  • DJ Sneak : Paroles de Digital Love
  • Todd Edwards : Paroles, Chant, coproduction sur Face to Face
  • Nilesh Patel : Mastering
  • Alex & Martin : Concept, Direction Artistique
  • Cédric Hervet : Concept, Direction Artistique
  • Gildas Loaëc : Concept, Direction Artistique
  • Simon Scott : Concept, Direction Artistique
  • Daniel Vangarde : Concept, Direction Artistique
  • Pedro Winter : Concept, Direction Artistique
  • Mitchell Feinberg : Photo du métal liquide de l'album
  • Luis Sanchis : Photo du piano de l'album
  • Tony Gardner & Alterian : Combinaison bionique
  • Spike Sugyama : Tokyo Connector

Classement par pays[modifier | modifier le code]

Classement (2001-2002) Meilleure
position[62]
Drapeau de la Suisse Suisse 1
Drapeau de l'Autriche Autriche 2
Drapeau de la France France 2
Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas 1
Drapeau de la Belgique Belgique Flandre 1
Drapeau de la Belgique Belgique Wallonie 3
Drapeau de la Suède Suède 7
Drapeau de la Finlande Finlande 5
Drapeau de la Norvège Norvège 3
Drapeau du Danemark Danemark 7
Drapeau de l'Italie Italie 8
Drapeau de l'Australie Australie 7
Drapeau de la Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande 8

Certifications[modifier | modifier le code]

Pays Organisme Certification Vente
Drapeau de l'Australie Australie ARIA Disque d'or Or[63] 35 000
Drapeau de la France France SNEP Disque de platine 3 × Platine[64] 548 662[65]
Drapeau des États-Unis États-Unis RIAA Disque d'or Or[66] 802 000[67]
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni BPI Disque de platine Platine 300 000[68]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ « Discovery », sur KostParis.com (consulté le )
  2. ↑ John Bush, « Discovery: Overview », Allmusic (consulté le )
  3. ↑ Romain Bricout, « Discovery : Chronique », Music Story (consulté le )
  4. ↑ a b c d e f g h i j et k Gill, « Robopop: Part Man, Part Machine, All Daft Punk » [archive du ], Remix, (consulté le )
  5. ↑ Murphy, « Reddit Thinks Daft Punk Are Going to Tour in 2017 », Exclaim!, (consulté le ) : « They supported Homework with the "Daftendirektour" in 1997 [...] »
  6. ↑ « Daft Punk »
  7. ↑ a b et c Discovery (liner notes). Daft Punk. Virgin Records, a division of Universal Music Group. 2001.
  8. ↑ a et b « 15 Things You Didn't Know About Daft Punk's Discovery » [archive du ], Ministry of Sound, (consulté le )
  9. ↑ (en) Ben Cardew, « Daft Punk Confirmed to Play Glastonbury… in 1997 », sur Cuepoint, (consulté le )
  10. ↑ Homework (liner notes). Daft Punk. Virgin Records, a division of Universal Music Group. 42609. 1997.
  11. ↑ a et b « Daft Punk Embark on a Voyage of Discovery » [archive du ], mtve.com (consulté le )
  12. ↑ Ryan Dombal, « Daft Punk: Cover Story Outtakes » [archive du ], sur Pitchfork, (consulté le )
  13. ↑ « DJ Sneak: French Touch Information » [archive du ], frenchtouchinformation.com (consulté le ) : « ...I sat back and wrote the lyrics to 'Digital Love'. [...] I also co-produced the music... »
  14. ↑ a et b (en) Daft Punk's Discovery: The Future Unfurled, Londre, Velocity Press, , p.32
  15. ↑ (en) Nielsen Business Media Inc, Billboard, Nielsen Business Media, Inc., (lire en ligne)
  16. ↑ a et b (en) Dina Santorelli, Daft Punk: A Trip Inside the Pyramid, Omnibus Press, (ISBN 978-1-78323-293-2, lire en ligne)
  17. ↑ a b c et d « Cartoon Network: TOONAMI REACTOR », sur web.archive.org, (consulté le )
  18. ↑ Stephen Dalton, « Daft Punk: Discovery », NME, London,‎ , p. 31 (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  19. ↑ Joshua Clover, « Daft Punk: Discovery », Spin, New York, vol. 17, no 6,‎ , p. 145 (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  20. ↑ Santorelli 2014
  21. ↑ John Dickinson, « Stereo IQ: Human After All: Daft Punk's Random Access Memories » [archive du ], sur The Huffington Post (consulté le )
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  25. ↑ Bryan Reesman, « Daft Punk » [archive du ], sur Mix, (consulté le )
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  28. ↑ a et b Angus Harrison, « Every Daft Punk Song, Ranked—Yeah, All of Them » [archive du ], sur Noisey, Vice Media, (consulté le )
  29. ↑ a et b (en) Discovery - Daft Punk | Songs, Reviews, Credits | AllMusic (lire en ligne)
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  31. ↑ (en) « Every Daft Punk Song, Ranked—Yeah, All of Them », sur www.vice.com (consulté le )
  32. ↑ Piers Marti, « Daft Punk: The Birth of the Robots », Vice,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le )
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  36. ↑ a b et c Metacritic
  37. ↑ Stylus Magazine
  38. ↑ NME
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  40. ↑ Pitchfork
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  62. ↑ classement par pays
  63. ↑ (en) ARIA Charts - Accreditations - 2001 Albums - ARIA.com
  64. ↑ Les disques d'or - SNEP musique.com
  65. ↑ Les Albums les plus Vendus de la Décennie (2000-2009) - Infodisc.fr
  66. ↑ (en) Daft Punk - Discovery - RIAA.com
  67. ↑ (en) Week Ending May 26, 2013. Albums: Daft Punk Gets Lucky - Yahoo! Music
  68. ↑ (en) BPI.co.uk
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