Delphinarium

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Spectacle de grands dauphins à l'aquarium d'Enoshima (Japon)

Un delphinarium est un aquarium artificiel pour delphinidés, ainsi que parfois pour d'autres cétacés. Le plus souvent, les animaux vivent dans un ensemble de bassins permettant leur élevage, leur dressage, leur entraînement, des performances publiques, et dans une moindre mesure des activités de recherche. Plus rarement, ils peuvent être gardés dans un enclos ou un bassin en mer[1].

Les delphinariums sont des structures ouvertes au public, parfois intégrées dans des parcs zoologiques ou des parcs d'attraction. La plupart sont membres de l'Association mondiale des zoos et des aquariums. Ils sont très répandus en Amérique du Nord (États-Unis, Mexique), en Europe (France, Espagne) ou en Asie (Japon).

L'orthographe dolphinarium est anglaise, quant à celle de dolfinarium, elle est néerlandaise.

Histoire

Les premiers cétacés maintenus en captivité étaient une paire de bélugas au Barnum's Museum de New York en 1861. Mais le premier delphinarium commercial a été ouvert seulement en 1938 au Marine Studios Delphinarium à Saint-Augustine en Floride, puis leur popularité a augmenté rapidement jusque dans les années 1960 et plus particulièrement 1963 avec la sortie du film Flipper le dauphin et de la série télévisée éponyme. En 1966, le premier delphinarium ouvre en Europe.

Animaux

Espèces concernées

Diverses espèces de delphinidés sont gardés en captivité ainsi que quelques autres espèces de petites baleines comme les marsouins communs, marsouins aptères et les bélugas, bien que dans ce cas le mot delphinarium ne soit pas parfaitement approprié dans la mesure où ces espèces n'appartiennent pas à la famille des delphinidés, bien qu'ils en soient proches.

Le grand dauphin (Tursiops truncatus) est l'espèce la plus communément rencontrée dans les delphinariums car ces dauphins sont assez facilement entraînables et ont une apparence amicale. Des centaines, si ce ne sont des milliers, de grands dauphins vivent en captivité dans le monde, bien que leur nombre exact soit difficile à déterminer.

Les orques (Orcinus orca) sont assez souvent présentes dans ces structures et sont connues pour leurs performances lors des spectacles, mais le nombre d'orques captives est faible par rapport au nombre de grands dauphins captifs, avec seulement 44 individus en 2012[2]. La majorité d'entre eux se trouvent dans les différents parcs SeaWorld aux États-Unis.

Parmi les autres espèces rencontrées dans les delphinariums on trouve les dauphins tachetés de l'Atlantique, les dauphins de Gill, les fausses orques, les dauphins communs, de même que les dauphins de Commerson et les dauphins à bec étroit, mais en bien moins grand nombre que les grands dauphins. Il y a également quelques spécimens de dauphins rose de l’Amazone, de dauphins de Risso, de dauphins à long bec et de tucuxi, mais en nombre inférieur à dix.

De très rares delphinariums possèdent des hybrides de delphinidés. Deux spécimens connus sous le noms de balphins sont visibles au parc Sea Life d'Hawaï, ils sont issus d'un croisement entre un grand dauphin et une fausse orque. Deux autres spécimens hybrides de grand dauphin et de dauphin commun sont présentés en captivité, l'un au SeaWorld de San Diego, l'autre au SeaWorld d'Orlando.

Origine des animaux

Très tôt, de nombreux dauphins ont été capturés dans la nature au large des côtes de Floride. Bien qu'aux États-Unis, la loi sur la protection des mammifères marins créé en 1972, permet des exceptions en ce qui concerne la capture de dauphins à des fins de recherche ou pour l'exhibition au public, aucun grand dauphin n'a été capturé dans les eaux américaines depuis 1989. Dans la plupart des pays occidentaux, des programmes d'élevage ont été mis en place pour fournir aux delphinariums de nouveaux animaux. Afin d'atteindre un taux de natalité suffisant et pour éviter la consanguinité, l'insémination artificielle est parfois utilisée. L'utilisation de l'insémination artificielle permet également aux delphinariums d'augmenter la diversité génétique de leur population sans avoir à importer de dauphins d'autres établissements.

Le commerce des dauphins est régit par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (la CITES, aussi connue sous le nom de Convention de Washington). Les espèces de dauphins en voie de disparition sont incluses dans l'annexe I de la CITES, leur commerce n'est autorisé que dans des circonstances exceptionnelles. Les espèces qui ne sont pas considérées comme menacées d'extinction sont inscrites à l'annexe II, auquel cas leur commerce "doit être contrôlée afin d'éviter une exploitation incompatible avec la survie de l'espèce". La plupart des espèces de cétacés qui font l'objet de commerce pour l'exhibition au public sont inscrites à l'annexe II.

Toutefois, le commerce de dauphins vivants se poursuit. La valeur d'un grand dauphin est estimée de quelques milliers à plusieurs dizaines de milliers de dollars US, en fonction de son âge, de son état et de ses aptitudes. Les captures sont signalés à la hausse dans le Pacifique Sud et dans les Caraïbes[3], Cuba a également été un exportateur de dauphins au cours des dernières années, celles-ci étant organisées par l'Aquarium National de Cuba[4]. Au cours des dernières années, les îles Salomon ont aussi permis la collecte et l'exportation de dauphins pour les installations d'exhibition publiques[5]. Une loi de 2005 a interdit l'exportation de dauphins dans ce pays[6], cependant cette interdiction a apparemment été annulé en 2007 lorsque 28 dauphins ont été expédiés à Dubaï[7]. Certains delphinariums, principalement japonais, obtiennent leurs dauphins grâce à des pêches dirigées locales, bien que plusieurs autres pays d'Asie importent également du Japon des dauphins capturés de cette manière. Plusieurs delphinariums des États-Unis ont fait de même, mais cette pratique y a été interrompue en 1993, lorsque le Service national de la pêche maritime des États-Unis refusa un permis d'import au Marine World Africa USA pour quatre fausses orques ayant été capturées au cours d'une pêche dirigée japonaise.

Situation et évolution par aires géographiques

La législation sur les delphinariums varie d'un pays à l'autre. La majorité des pays n'ont pas de législation particulière sur ce type de structure, mais de plus en plus de pays les interdisent ou restreignent leur établissement et leur fonctionnement.

Amérique du Nord

Canada

Bélugas de l'aquarium de Vancouver

Il existe deux delphinarium au Canada, tous au Canada anglophone :

Le projet d'ouverture d'un delphinarium au zoo de Granby au Québec a été abandonné en 2001, faute de financement public, suite à une vive opposition de la part des écologistes[8].

Le lagon des dauphins du centre commercial West Edmondton Mall, en Alberta, ne présente plus de cétacés depuis mai 2004[9].

États-Unis

Orque du SeaWorld d'Orlando en représentation

Aux États-Unis, parmi les delphinariums les plus importants on trouve le Miami Seaquarium (privé, Wometco Enterprises) en Floride, le Marineland de Floride (public, Aquarium de Géorgie), le delphinarium du parc Epcot à Walt Disney World (Floride) et les trois parc de la compagnieSeaWorld Parks & Entertainment (privés, possédée par Blackstone, une banque d'investissement américaine) : le SeaWorld de San Diego (Californie), le SeaWorld d'Orlando (Floride) et le SeaWorld de San Antonio (Texas).

Mexique

Amérique centrale et du Sud

Chili

Le Chili a interdit la capture, l'importation, la commercialisation et l'exhibition de cétacés en captivité sur son territoire en 2005[10]. Cette mesure, qui concerne aussi d'autres espèces animales (pingouins, otaries...) a notamment pour but d'empêcher que le Chili ne soit une zone privilégiée de capture d'animaux marins en vue d'alimenter le trafic[11].

Costa Rica

Le Costa Rica a fait de même en juillet 2005 en publiant un décret[12] interdisant la captivité des dauphins et des baleines, ainsi que le fait de nager avec eux. Ce décret établit aussi des conditions requises pour les entreprises, institutions ou personnes qui souhaitent réaliser n'importe quelle activité d'observation de recherche ou de tourisme en relation avec les cétacés dans les eaux nationales[13].

Asie

Inde

L'Inde a déclaré les dauphins et les baleines "personnes non-humaines" le 7 janvier 2013[14], à travers une lettre du Animal Welfare Board of India[15], un organisme relevant du Ministère de l'environnement et des forêts, interdisant la capture, le transport et la détention de ces animaux. Il n'existait plus à cette date de delphinarium en Inde, mais les projets de création de nouveaux delphinariums étaient nombreux. Suite à cette décision ces projets ont dû être abandonnés[16].

Japon

Europe

Belgique

Delphinarium du Boudewijn Seapark de Bruges (Belgique).

Il existe un delphinarium en Belgique, celui du Boudewijn Seapark, à Bruges (Flandre Occidentale), possédé par le groupe espagnol Aspro-Ocio qui détient 6 dauphins dont 3 nés sur place[17].

Espagne

Spectacle de grands dauphins au parc Loro de Tenerife

En Espagne les delphinariums sont nombreux et deux sociétés se démarquent, Aspro-Ocio et Parques Reunidos.

Le groupe Aspro-Ocio est propriétaire de six delphinariums en Europe, dont quatre en Espagne : le Palmitos Parc aux Canaries qui compte 5 grands dauphins, le Marineland de Catalogne, l'Aqualand Costa Adeje à Tenerife qui présente des grands dauphins, et le Marineland de Majorque qui élève 5 dauphins.

Le groupe Parques Reunidos est quant à lui propriétaire de sept delphinariums dans le monde, dont quatre en Espagne : le Zoo aquarium de Madrid, l'Aquopolis Costa Dorada à Vila-seca et son delphinarium avec 6 grands dauphins. Le Selwo Marina à Benalmadena appartient au groupe et compte 8 grands dauphins dont 6 nés sur place[18]. Enfin, l'Oceanogràfic de Valence rassemble plusieurs cétacés dont 2 bélugas et 13 grands dauphins.

Le Loro Parque, à Tenerife, aux îles Canaries, présente 7 orques dont 2 nés sur place[19] et 9 grands dauphins dont 5 nés dans le parc[20]. Il est possédé est dirigé par l'allemand Wolfgang Kiessling.

Le Mundomar àAlicante compte 11 grands dauphins[21].

Le zoo de Barcelone présente aussi des grands dauphins.

France

Bassin des orques du marineland d'Antibes (France).

Il existe quatre delphinariums en France, dont trois en France métropolitaine.

Deux d'entre eux sont possédés par la Compagnie des Alpes, une entreprise française elle-même filiale de la Caisse des dépôts, une institution financière publique :

Le troisième est possédé par la multinationale espagnole Parques Reunidos :

Le quatrième, qui n'est pas en France métropolitaine, se trouve au sein de l'hôtel InterContinental Moorea Resort & Spa, propriété de la multinationale hôtelière britannique InterContinental Hotels Group :

Hongrie

Il n'y a plus de delphinarium en Hongrie depuis octobre 1992, l'interdiction du commerce des dauphins de la mer Noire (de la sous-espèce Tursiops truncatus ponticus) a mis fin à la captivité de ces animaux dans ce pays. Ces événements ont fait suite à la mort de deux des cinq spécimens importés pour le divertissement en juillet de la même année après avoir été utilisés par l'armée soviétique[24].

Royaume-Uni

Grands dauphins du delphinarium du Windsor Safari Park (Royaume-Uni) en 1988.

Il n'existe plus aucun delphinarium au Royaume-Uni depuis 1993, mais cela n'est pas dû à une interdiction. En 1991, suite à la mobilisation fructueuse de l'opinion publique en faveur de la réintroduction dans la nature des dauphins du marineland de Morecambe, le gouvernement britannique a publié un supplément aux normes concernant les pratiques des zoos modernes[25], basé sur un rapport de 1986 réalisé à la demande du département de l'environnement intitulé " Une analyse des delphinariums"[26]. Ce supplément aux normes a renforcé les conditions nécessaires au maintien en captivité des cétacés au Royaume-Uni, notamment sur les dimensions des bassins. Ces normes devinrent si strictes et impliquaient des coûts de mise au normes des infrastructures existantes si élevés que tous les delphinariums du pays ont été contraints de fermer.

Suisse

Delphinarium Conny-Land (Suisse) en 2010, trois ans avant sa fermeture.

Une loi a été votée en mai 2012 interdisant l'importation de dauphins en Suisse. Le seul delphinarium qui existait alors dans ce pays, celui du parc Conny-Land a dû se séparer de ses 3 spécimens en octobre 2013[27].

Océanie

Spectacle des dauphins du Sea World de Southport (Australie).

Australie

En Australie, la situation est complexe. En 1984, Marine World Victoria demanda un permis de construire pour un océanarium permettant d'héberger au moins douze cétacés captifs. Le sénat australien nomma alors un comité spécial sur le bien-être animal (Select Committee on Animal Welfare) chargé de travailler sur le sujet[28]. En décembre 1985, le comité publia un rapport intitulé "Dauphins et baleines en captivité"[29] dans lequel il recommande qu'aucune nouvelle installation ne s'établisse en Australie, qu'aucun nouveau permis ne soit accordé pour la capture de cétacés sauvages, et que l'importation de cétacés de l'étranger soit interdite. Il recommande également que les sept delphinariums alors en activité soient autorisés à conserver leurs cétacés en précisant cependant que la détention de ces cétacés devrait finalement être vouée à disparaître.

L'aquarium Underwater World de Perth à Hillarys ne présente plus de dauphins depuis la mort de ses trois dauphins en décembre 1999, il a aujourd'hui changé son nom en AQWA (Aquarium of Western Australia)[30].

Actuellement il ne reste que deux des sept delphinariums qui existaient lors de la publication du rapport du Sénat : le parc Dolphin Marine Magic de Coffs Harbour (Nouvelle-Galles du Sud)[31] et le Sea World de Southport (Queensland)[32].

Critiques

Les conditions de vie des animaux des delphinarium sont critiquées sur divers points.

Atteinte au bien-être des spécimens captifs

Santé et espérance de vie

L'espérance de vie des cétacés captifs est plus brève que dans la nature[réf. souhaitée], du fait du stress et d'infections diverses. Les bassins en béton, remplis d'eau chlorée, et sans végétation ne sont pas adaptés à la physiologie et au comportement naturel de ces animaux, qui y sont nourris avec des poissons morts (ce qu'ils ne font pas dans la nature) et traités aux antibiotiques. Il y a trop peu de naissances en captivité pour compenser la mortalité[réf. souhaitée], et lorsqu'il y en a, les décès prématurés et les cas de débilité sont fréquents.

Syndrome de l'aileron flaccide

Syndrome de l'aileron flaccide chez l'orque Tilikum au SeaWorld d'Orlando.

Aussi appelé FFS (de l'anglais : Flaccid Fin Syndrome), ce syndrome, caractérisé par l'aspect mou et retombant de la nageoire dorsale, est plus courant chez les orques captives (100% des mâles) que chez les orques sauvages (quasi inexistant).

De nombreux facteurs semblent en être à l'origine, dont un certain nombre inhérent à la captivité, comme l'augmentation du temps passé hors de l'eau.

Impossibilité d'exprimer un ensemble de comportements naturels

Éthique des spectacles d'animaux sauvages

Par ailleurs, les spectacles de dauphins, apparentés au cirque, sont contestés par les défenseurs des animaux, qui y voient une mise en scène dégradante pour les cétacés et sans intérêt instructif pour les visiteurs. Ces représentations renvoient aux spectateurs le message implicite que l'Homme peut exploiter des animaux non-domestiques pour son simple divertissement, et ce sans se préoccuper de la volonté et de la souffrance des animaux en question.

Les partisans de ce type de structure arguent que les spectacles de dauphins permettent de sensibiliser le public à l'intelligence de ces animaux. Cependant il existe aussi des activités touristiques qui promeuvent l'observation de dauphins dans leur milieu naturel permettant d'éduquer et de sensibiliser le public.

Les delphinariums dans la culture

Flipper le dauphin.

Films

Plusieurs films ont pour thème des animaux vivant dans un delphinarium, et en particulier des orques.

Sorti en 1993 le film franco-américain Sauvez Willy raconte l'histoire d'amitié entre un jeune garçon et d'une orque mâle captive du nom de Willy, qu'il entreprendra de faire regagner la liberté. Très grand succès en salle, ce film fera l'objet d'une suite avec Sauvez Willy 2, 3 et 4.

En 2013 sort Blackfish, un documentaire américain réalisé par Gabriela Cowperthwaite qui traite des dangers de garder captifs des spécimens d'orques. Le film a été présenté au festival du film de Sundance 2013.

Séries

La série américaine Flipper le dauphin, sortie entre 1964 et 1968 raconte les aventures d'une famille dont le père est responsable d'un parc aquatique de Floride, et de leur dauphin apprivoisé Flipper. Cette série fait suite à deux films à succès sortis en 1963 et 1964.

Livres

Le roman d'anticipation Un animal doué de raison de l'auteur français Robert Merle, relate l'histoire de scientifiques apprenant à parler à des dauphins captifs, dans le cadre de recherches militaires. Ce livre sorti en 1967 a fait l'objet d'une adaptation en film sous le nom Le Jour du dauphin, sorti en 1973.

Notes et références

  1. Des enclos de ce type sont plus rares mais il en existe notamment à Punta Cana (République Dominiquaine) au parc Dolphin Island, sur l'île de Cayo Blanco (Varadero, Cuba), au Mexique dans les delphinariums Dolphin discovery ou aux États-Unis comme à Islamorada (Floride) dans un bras de mer fermé au Theatre of the Sea .
  2. Orcas in Captivity - A look at killer whales in aquariums and parks
  3. (en) « Held Captive: Developing Nations »
  4. "But it is in Fidel Castro's revolutionary Cuba that dolphin catching in South America has been given a new lease of life, under the auspices of the quasi state-run enterprise Acuario Nacional.", citation extraite de The rose-tinted menagerie
  5. HONIARA, Solomon Islands (Reuters) - A cargo plane arrived in the lawless Solomon Islands Monday to pick up wild dolphins captured to order for a Mexican syndicate in what activists have blasted as an environmental crime, regional media reported. Developments on dolphin capture
  6. (en) « Solomon Islands law banning the export of dolphins »
  7. The Associated Press / International Herald Tribune Solomon Islands dolphins exported to Dubai; protests mount, article retrieved October 25, 2007.
  8. « Delphinarium au Zoo de Granby : les écologistes ne lâchent pas prise », (consulté le )
  9. « Enfin ! Howard a quitté Edmonton Mall ! », (consulté le )
  10. Décret Étendu n°135 du 18 janvier 2005, qui modifie le Décret n°225 de 1995 du Ministère de l'économie réglementant l'extraction des ressources hydrobiologiques.
  11. (es) « Communiqué de presse du CMMR Leviathan : Le Chili interdit la capture et l'exhibition de dauphins vivants. », (consulté le )
  12. Décret du 28 juillet 2005
  13. (es) « Costa Rica, le premier pays à interdire la captivité des dauphins et des baleines », (consulté le )
  14. « L'Inde reconnaît les dauphins comme des "personnes non humaines" et interdit les delphinariums. », (consulté le )
  15. (en) Ministère de l'environnement et des forêts, « Regarding establishement of dolphinariums in India, Animal Welfare Board of India. », (consulté le )
  16. (en) J. Upton, « India moves to block dolphin shows, citing cruelty », sur New York Times blog India Ink, (consulté le )
  17. (en) « Boudewijn Seapark, dauphins captifs (vivants) » (consulté le )
  18. (en) « Selwo Marina, dauphins captifs (vivants) » (consulté le )
  19. (en) « Loro Parque, orques captives (vivantes) » (consulté le )
  20. (en) « Loro Parque, dauphins captifs (vivants) » (consulté le )
  21. (en) « Mundomar Benidorm, dauphins captifs (vivants) » (consulté le )
  22. a b et c « Les delphinariums en France : Marineland, Parc Astérix et Planète Sauvage », (consulté le )
  23. Freya, Valentin, Inouk, Wikie, Moana, et Keijo
  24. (en) « Captivity in the EU - Hungary », sur Whale and Dolphin Conservation Society (consulté le )
  25. (en) « Captivity in the EU - United Kingdom », sur Whale and Dolphin Conservation Society (consulté le )
  26. (en) Klinowska M et Brown S, A Review of dolphinaria, (lire en ligne)
    Le but de ce rapport était de déterminer si l'éducation, la recherche et les tentatives d'élevage en bassin pouvaient justifier le maintien en captivité de ces animaux.
  27. Article La Suisse interdit l'importation de dauphins sur le Figaro blog Fondue la Suisse ?
  28. Historique de l'évolution de la situation en Australie
  29. Dolphins and whales in captivity, Report by the Snate Select Committee on Animal Welfare, 1985, ISBN 0 644 04503 5. Traduction en français du chapitre Recommandations, proposée par le site Dauphin Libre.
  30. Dolphins in Western Australia sur Madphin.com
  31. Présentation des dauphins sur le site du Dolphin Marine Magic de Coffs Harbour
  32. Présentation de l'attraction Dolphin Cove sur le site du Sea World - Gold Coast Australia

Voir aussi