Beleymas

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Beleymas
Beleymas
L'église de Beleymas.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle et Crempse en Périgord
Maire
Mandat
Joseph Ruiz
2020-2026
Code postal 24140
Code commune 24034
Démographie
Gentilé Beleymacois
Population
municipale
273 hab. (2021 en diminution de 2,15 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 59′ 34″ nord, 0° 30′ 13″ est
Altitude Min. 79 m
Max. 194 m
Superficie 16,07 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Périgord central
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web beleymas.fr

Beleymas est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Généralités

La vallée de la Crempse au nord du lieu-dit la Garnerie.

La commune, traversée par le 45e parallèle nord, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).

Dans la moitié sud du département de la Dordogne, dans le Landais, la commune de Beleymas s'étend sur 16,07 km2. Elle est baignée au nord sur environ quatre kilomètres par la Crempse qui borde en partie le territoire communal.

L'altitude minimale, 79 mètres, se trouve localisée à l'extrême nord, là où la Crempse quitte la commune et sert de limite entre celles d'Issac et de Saint-Hilaire-d'Estissac. L'altitude maximale avec 194 mètres est située au sud-sud-ouest du bourg, au niveau du château d'eau situé entre l'Homme Mort et les Roquettes[1]. Au niveau géologique, le sol se compose principalement de sables, d'argiles ou de graviers éocènes et de calcaires du Crétacé, sauf dans la partie nord du territoire, en vallée de la Crempse, composée d'alluvions holocènes[2].

Traversé par la route départementale (RD) 4, le bourg de Beleymas est situé, en distances orthodromiques, douze kilomètres au sud-est de Mussidan, et seize kilomètres au nord de Bergerac.

La commune est également desservie par la RD 38.

Au nord-est, entre Villamblard et Montagnac-la-Crempse, le GR 654 traverse le territoire communal sur environ un kilomètre et demi.

Communes limitrophes

En 2019, Beleymas est limitrophe de six autres communes. Au sud, le territoire communal est distant de 90 mètres de celui de Maurens.

Carte de Beleymas et des communes avoisinantes en 2018.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

  • Moyenne annuelle de température : 12,5 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,5 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 886 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[9] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[13].

Urbanisme

Typologie

Beleymas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (67,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60 %), zones agricoles hétérogènes (25,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,3 %), prairies (5,7 %), terres arables (0,7 %)[19].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Villages, hameaux et lieux-dits

Outre le bourg de Beleymas proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[20] :

  • les Banères
  • Bas Gammareix
  • les Bélaudias
  • le Bourdil
  • les Bouyges
  • les Bouyges de Chabinel
  • Branlebrune
  • Chabinel
  • Châteauvert
  • Cros de la Carveyre
  • les Croses du Tacan
  • le Débat
  • les Églises Enfoncées
  • la Fargue
  • Ferrus
  • les Feyrauds
  • Frais Vallon
  • Gammareix
  • la Garnerie
  • les Gironies
  • le Grand Taillis
  • Haut Gammareix
  • l'Homme Mort
  • Lagudal
  • le Laquin
  • Maison Basse
  • la Maison Neuve
  • Melon
  • le Moulin de Galaye
  • Parrouty
  • aux Paysans
  • le Peloux
  • Peyrelevade
  • Pinière des Gravots
  • les Pradelles
  • le Puy
  • la Raboutie
  • la Rebière
  • la Réjaude
  • les Reygeauds
  • les Roquettes
  • les Roussilloux
  • le Terme
  • Terre Molle
  • le Trou du Loup.

Toponymie

Les premières mentions écrites connues du lieu datent de 1268 (Belemas) puis de 1310 (Bellesmas)[21]. Le nom est dérivé de Belisama, déesse gauloise du feu et des forges[21],[22]. Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Belleymas[23].

En occitan, la commune porte le nom de Belesmas[24].

Histoire

Plaque de la stèle de Lagudal.

Des traces d'occupation gallo-romaine ont été mises au jour sur le territoire communal[21]. En 1220, le Castrum de Montis Alti (château de Montaut dont les ruines sont également connues sous les noms de « château Lascaud-de-Sales » ou « les Cotes-Sales ») était le « siège d'une châtellenie de cinq paroisses »[25].

La bastide de Saint-Barthélémy-de-Goyran fut fondée en 1316 pour le roi d'Angleterre Édouard II[26]. Elle ne se développa pas et disparut à la fin du XVe siècle[27]. Bâtie à proximité de la confluence du Roy avec la Crempse, différents auteurs la situent à Beleymas, Saint-Hilaire-d'Estissac, ou encore Villamblard[26].

Dans la nuit du 10 au 11 octobre 1941 eut lieu le premier parachutage combiné[28] d'agents (au nombre de quatre) et d'armes (deux conteneurs) en France. Organisé pour le compte du SOE section F, l'opération avait pour nom de code « Corsican ». Le lieu avait été choisi par Jean Pierre-Bloch au voisinage de sa propriété de Villamblard[28]. Le parachutage eut lieu sur le territoire de la commune de Beleymas, au lieu-dit Lagudal[28].

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Dès 1790, la commune de Beleymas est rattachée au canton de Montagnac qui dépend du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Bergerac[29]. Le canton de Montagnac est ensuite renommé en canton de Villamblard l'année suivante, à la suite du transfert du chef-lieu de canton depuis Montagnac vers Villamblard[29].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[30]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Périgord central.

En 2017, Beleymas est rattachée à l'arrondissement de Périgueux[31],[32].

Intercommunalité

Fin 2001, Beleymas intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Villamblard. Celle-ci disparaît au , remplacée au par la communauté de communes Isle et Crempse en Périgord.

Administration municipale

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[33],[34].

Liste des maires

La mairie en 2018 (ancienne école de garçons).
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
  2001 Guy Monset    
mars 2001[35] mai 2020 Bernard Denoix SE[36] Agriculteur
mai 2020 En cours Joseph Ruiz    

Juridictions

Dans le domaine judiciaire, Beleymas relève[37] :

Démographie

Les habitants de Beleymas se nomment les Beleymacois[35].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].

En 2021, la commune comptait 273 habitants[Note 7], en diminution de 2,15 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
545524522554593560557539572
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
602561556502510455463409401
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
387368323293289280274238231
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
244207193215206224241245274
2018 2021 - - - - - - -
272273-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Emploi

En 2015[41], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 130 personnes, soit 46,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (treize) a augmenté par rapport à 2010 (sept) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,2 %.

Établissements

Au , la commune compte vingt-sept établissements[42], dont neuf au niveau des commerces, transports ou services, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, cinq dans la construction, cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et deux dans l'industrie[43].

Entreprises

Dans le secteur agroalimentaire, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, l'« Établissement Boyer » (fabrication d'aliments pour animaux de compagnie) situé à Beleymas se classe en 49e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 1 236 k€[44].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Au lieu-dit Lagudal, une plaque commémore le parachutage clandestin du 10-11 octobre 1941 évoqué dans la section Histoire.
  • Château de Gamareix (ou Gammareix) du XVIIe siècle ou est né le géographe Pierre de Belleyme[45].
  • La chartreuse de la Garnerie intègre au XVIIe siècle des éléments d'un repaire précédent[46],[47].
  • L'église Saint-Martin mentionnée en 1655 sous la forme S. Martinus de Beleymis[48], dont le clocher-mur date du XVIIe siècle, recèle un retable — coupé en trois morceaux — provenant de l'ancien couvent de la Visitation de Périgueux[49]. Les vitraux ont été réalisés par trois peintres verriers : Jean Besseyrias pour la nef, Louis-Victor Gesta pour le chœur et Achille Perrier en 1890 pour le transept.

Modèle:Message galerie

Patrimoine naturel

Une petite partie du territoire communal est protégée par une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I.

La tourbière du Laquin est une tourbière haute qui s'est formée dans une doline[50],[51]. Il s'y trouve plusieurs espèces typiques de plantes à statut réglementé : sept espèces de mousses dont six de sphaignes, et la droséra à feuilles rondes, une plante carnivore.

Personnalités liées à la commune

Monument érigé à Beleymas.
À droite, Albert Rigoulet, dit « Le Frisé ».

Les personnalités liées au parachutage du 10 octobre 1941 (voir section Histoire) sont :

  • les agents secrets SOE parachutés, en provenance d'Angleterre, constituant la mission « Corsican » :
  • les organisateurs :
    • Max Hymans « Frédéric », à l'origine de l'opération,
    • Georges Bégué « Georges I », l'opérateur radio qui a assuré les liaisons radiotélégraphiques avec Londres,
  • les membres du comité de réception :
    • Jean Pierre-Bloch « Gabriel », qui a choisi le terrain près de sa propriété de Villamblard,
    • Édouard Dupuy, maire de Villamblard,
    • Albert Rigoulet, dit « Le Frisé ».

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. « Chât. d'Eau » sur Géoportail (consulté le 21 mars 2018)..
  2. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  9. « Station météofrance Bergerac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Beleymas et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. « Beleymas » sur Géoportail (consulté le 21 mars 2018)..
  21. a b et c Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 48.
  22. Pierre Miquel, Petite Histoire des noms de lieux, villages et villes de France, chapitre 6.
  23. Carte 71 Bergerac, site cartocassini.org, consulté le 21 mars 2018.
  24. Le nom occitan des communes du Périgord - Belesmas sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  25. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 91, 154, 185.
  26. a et b Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 253.
  27. Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 391-392.
  28. a b et c Hervé Chassain, « L'histoire du parachutage de Lagudal et le rôle de Jean Pierre-Bloch », Sud Ouest édition Dordogne, 18 octobre 2016, p. 11.
  29. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
  31. [PDF] « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.
  32. [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
  33. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 28 août 2020.
  34. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 22 octobre 2020.
  35. a et b Fiche de Beleymas, Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 21 mars 2018.
  36. Voici vos 557 maires, supplément à Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 31.
  37. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. Dossier complet - Commune de Beleymas (24034) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 11 août 2018.
  42. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  43. Dossier complet - Commune de Beleymas (24034) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 11 août 2018.
  44. « Agroalimentaire », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 34.
  45. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 124.
  46. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 127.
  47. Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie, Emmanuel du Chazaud, préface d'André Chastel, Le Périgord des chartreuses, Pilote 24 édition, Périgueux, mai 2000, (ISBN 2-912347-11-4), p. 165.
  48. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 204.
  49. L'Église, site de la commune de Beleymas, consulté le 21 mars 2018.
  50. [PDF]Tourbière du Laquin sur le site de l'INPN, consulté le 21 mars 2018
  51. Carte de localisation de la tourbière du Laquin sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 21 mars 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».