Aillas

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Aillas
Aillas
La mairie (décembre 2009).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde
Maire
Mandat
André Marc Barnett
2020-2026
Code postal 33124
Code commune 33002
Démographie
Gentilé Aillassais
Population
municipale
822 hab. (2021 en augmentation de 1,36 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 28′ 26″ nord, 0° 04′ 23″ ouest
Altitude Min. 29 m
Max. 138 m
Superficie 35,13 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Réolais et des Bastides
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Aillas

Aillas (prononcé [ajas]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

La commune d'Aillas se situe dans la Haute-Lande-Girondine sur la Bassanne, en limite du Lot-et-Garonne, à 64 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 19 km au sud-est de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 7 km à l'est d'Auros, chef-lieu de canton[1].

Communes limitrophes

Les communes limitrophes en sont Noaillac au nord-nord-est, Saint-Sauveur-de-Meilhan au nord-est (commune lot-et-garonnaise), Sigalens à l'est, Labescau au sud, Lados au sud-ouest, Berthez à l'ouest, Savignac au nord-ouest, Pondaurat au nord-nord-ouest et Loupiac-de-la-Réole au nord.

Hydrographie

La commune est traversée par le Lisos dans sa partie est et par la Bassanne dans la partie ouest, tous deux affluents de la Garonne.

Communications et transports

Les principales voies de communication routières qui traversent la commune sont, d'une part, la route départementale D9, qui mène vers le nord à La Réole et vers le sud-ouest à Bazas, et d'autre part, la route départementale D110, qui conduit vers le sud-ouest à Gans et au-delà à la route départementale D9 et Bazas et, vers l'est, en direction de Sigalens.

L'accès no 4, dit de La Réole, à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) se situe sur le territoire communal et est distant de 5 km du bourg vers le nord.
L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 17 km vers l'ouest-sud-ouest.

La gare SNCF la plus proche est celle de La Réole, distante de 14 km, sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

  • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,3 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 835 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin-Curton », sur la commune de Saint-Martin-Curton, mise en service en 1974[9] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 843 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, dans le département de la Dordogne, mise en service en 1988 et à 61 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[15].

Urbanisme

Typologie

Aillas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,8 %), prairies (26,4 %), terres arables (22,7 %), zones agricoles hétérogènes (10,8 %), eaux continentales[Note 6] (0,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[21].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie

Une tradition attribue la fondation du bourg au chef wisigoth Waillas. Une autre version donne, comme étymologie pour la commune, le nom latin Aliaceus ou Alliaceus composé d'un nom d'homme Alius et du suffixe -aceus et devenu Ailas au XIIIe siècle[22],[23]. Le mot gascon aligès signifiant « bourbier » est aussi évoqué[22].

En gascon, le nom de la commune est Alhàs[24].

Histoire

Le pays d'Aillas, Pagus Aliardensis[Note 7], est répertorié comme un pays de l'ancienne Gaule dont Aillas-le-Vieux était le chef-lieu[25].

Aillas forme dès 1341 une seigneurie qui appartint à la maison d'Albret. Henri IV en hérite à la mort de sa mère et cette vicomté d'Aillas incluse dans le duché d'Albret devient apanage de la couronne. En 1653, sous Louis XIV, ledit duché est échangé contre la principauté de Sedan appartenant au duc de Bouillon[26],[Note 8].

À la Révolution, la paroisse Notre-Dame d'Aillas (ou du Grand-Aillas) et son annexe, Saint-Martin d'Aillas-le-Vieux, les paroisses Saint-Martin de Monclaris et Saint-Pierre de Sigalens forment la commune d'Aillas. En l'an III (1794-1795), la commune d'Aillas est démembrée pour former la commune de Labescau (sans église). En 1851, la commune d'Aillas est démembrée de ses sections d'Aillas-le-Vieux, Monclaris et Sigalens pour former la commune de Sigalens[27],[28].

Politique et administration

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
ca 1889   Étienne de Gascq Monarchiste Conseiller général
       
ca 1945   Albert Sarrazin Rad. Conseiller général
       
2001 2008 Claude Joseph DVG  
2008 2014 Serge Bezos    
2014 22 février 2018[29] Jean-Michel Léglise   Retraité
2018 En cours André-Marc Barnett   Médecin
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

Le , la communauté de communes du Pays d'Auros ayant été supprimée, la commune d'Aillas s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Réolais en Sud Gironde siégeant à La Réole.
En matière de développement socio-économique, la commune est adhérente, à l'instar des anciennes communes de la CC du Pays d'Auros, du syndicat mixte du Pays des Rives de Garonne.

Démographie

Les habitants sont appelés les Aillassais[30].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 822 habitants[Note 9], en augmentation de 1,36 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7171 8831 8235512 0161 9441 9881 9531 318
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4021 4681 4561 3661 3991 4541 4611 4821 451
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3601 3751 2671 1761 1801 1221 1581 1761 107
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 049939790690656668724732792
2017 2021 - - - - - - -
822822-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie économique

La commune abrite un cabinet médical de trois médecins, un cabinet d'infirmiers, un cabinet de masso-kinésithérapie, une épicerie-tabac, un café-restaurant et un salon de coiffure.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • L'église Notre-Dame, de style roman, construite au XIIe siècle, propriété de l'ordre des Templiers, avait la forme d'une croix latine, se composant d'une nef unique, d'un transept surmonté d'un clocher à sa croisée, d'une abside et de deux absidioles. Elle a été restaurée et agrandie au XIXe siècle (dont le clocher carré exhaussé en 1845) mais a conservé sa superbe façade de style roman. Elle est protégée et inscrite aux monuments historiques depuis 2004[34]. Des images anciennes de l'église sont disponibles sur la base Mémoire[35].
Sur la façade, dans les arcatures de droite, un petit bas-relief montre deux pèlerins en bliaud munis de bâtons sur la route de Compostelle (cf. infra, image dans la galerie).
Le clocher contient cinq cloches qui forment un très beau carillon. L'une d'elles est de 1526, l'autre de 1538[36]. Ces deux cloches sont classées depuis 1942[37].
  • Le château d'Aillas ne subsiste qu'à l'état de ruines qui ont été classées MH en 1886[38].
  • Le château des Péricots domine la vallée de la Bassanne et le village. Son origine remonte au XVIIIe siècle (1717), construit par Bernard de Gascq, seigneur de la Roche, pour sa jeune épouse Isabeau de Lamouroux. Vendu comme bien national à la Révolution, il a été racheté vers 1800 par la famille de Gascq. Il a été rehaussé de deux tours au XIXe siècle[36]. Il connut une période d'abandon des années 1950 à 1987, date à laquelle il fut racheté et restauré par la famille de Bueger. Il n'est pas classé MH.
  • Le château de Verduzan (1670-1865), ancienne résidence de la famille de La Vaissière de Verduzan.

Modèle:Message galerie

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. Il est à remarquer que ce nom de pays Aliardensis rappelle, avec la présence de la lettre « r », le nom gascon Alhars de la commune.
  8. À mon sens, P.-J. O'Reilly se trompe d'époque et doit faire l'amalgame avec une confiscation momentanée qu'Henry IV infligea à Henri de La Tour d'Auvergne. Ce dernier ne serait pas mort à Sedan ni son fils Frédéric Maurice de La Tour d'Auvergne, né en 1605, ne serait jamais devenu prince de Sedan à la mort de son père en 1623. Je retiens le 1653 de l'article sur la principauté de Sedan.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 57,2 km pour Bordeaux, 16,5 km pour Langon et 6,4 km pour Auros. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 12 juin 2011.
  2. Aillas sur Géoportail, consulté le 7 septembre 2015.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  9. « Station Météo-France Saint-Martin-Curton - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Aillas et Saint-Martin-Curton », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France Saint-Martin-Curton - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Aillas et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  22. a et b Source : Société française d'onomastique, Dictionnaire géographique, historique, industriel et commercial de toutes..., (lire en ligne), p. 235 (consultation restreinte)
  23. « Aillas constitue l’héritière de l’ancienne Alliaceus ou villa Allii. » (Mariola Korsak et Jean-Marie Cassagne, Origine des noms de villes et villages de la Gironde, , 303 p. (ISBN 2913471404))
  24. Aillas sur Gasconha.com, consulté le 4 février 2010.
  25. Source : Girault de Saint-Fargeau, Nouvelle revue d'onomastique, Numéros 25-28, vol. 1, (lire en ligne), p. 235.
  26. Source : Abbé Patrice-John O'Reilly, Essai sur l'histoire de la ville et de l'arrondissement de Bazas, , 478 p. (lire en ligne), p. 365.
  27. Historique des communes, p. 1, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 3 avril 2013.
  28. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. « Isolé au sein du Conseil, le maire d’Aillas démissionne », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Nom des habitants des communes françaises sur habitants.fr, consulté le 12 juin 2011.
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Inscription de l'église Notre-Dame », notice no PA00083108, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 5 février 2010.
  35. « Images de l'église Notre-Dame », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture, consulté le 5 février 2010.
  36. a et b Site privé sur le Bazadais, consulté le 5 février 2010.
  37. « Classement des deux cloches », notice no PM33000001, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consulté le 5 février 2010.
  38. « Classement du château », notice no PA00083107, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 5 février 2010.