Utilisateur:Slim42000/Brouillon Couronniers
Couronniers | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Île-de-France |
Département | Territoire de Couronniers |
Arrondissement | Couronniers |
Maire Mandat |
Polat Guillaume - Armanc Polat 2017 - |
Code postal | 96000 |
Code commune | 96001 |
Démographie | |
Gentilé | Couronniens |
Population municipale |
3 295 hab. |
Densité | 67 hab./km2 |
Géographie | |
Altitude | Min. 1 m Max. 239 m |
Superficie | 49,29 km2 |
Élections | |
Départementales | 1-2-3-4-5-6-7 Arrondissement |
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Couronniers est une commune française du département du Territoire de Couronniers,
Géographie[modifier | modifier le code]
Géologie et relief[modifier | modifier le code]
Climat[modifier | modifier le code]
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Voies routières[modifier | modifier le code]
Pistes cyclables[modifier | modifier le code]
Transports en commun[modifier | modifier le code]
La ville est desservie par :
- deux gares SNCF :
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]
Logement[modifier | modifier le code]
La Ville de Couronniers a 942 logements
Caillouet[modifier | modifier le code]
Caillouet est un quartier résidentiel comptant 121 logements
L'Osne[modifier | modifier le code]
L'Osne est un quartier résidentiel comptant 729 habitants pour 212 logements. Il y a la place Brussette avec la Gare.
Stanville[modifier | modifier le code]
Stanville est un ensemble de gratte-ciel située autour du lac Stanislas d'où son nom vient.
Projets d'aménagements[modifier | modifier le code]
Toponymie[modifier | modifier le code]
Cornuvus en 1294, Corobus en 1428, Coroniurs en 1572
Histoire[modifier | modifier le code]
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Liste des Maires[modifier | modifier le code]
Période d'Activité
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Maire
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Partie Politique
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Score
| |
novembre 2014 | Aujourd'hui | Guillaume Polat | Verte | 100% |
octobre 2009 | novembre 2014 | Armanc Polat | Verte | 100% |
août 1999 | octobre 2009 | Senk Alfhor | Verte | 97% |
juin 1994 | juillet 1999 | Vincent Neborka | Verte | 96% |
mai 1989 | juin 1994 | Engerle Bosnugourg | Verte | 87% |
avril 1984 | mai 1989 | Funer Alkahfha | Verte | 58% |
mars 1979 | avril 1984 | Victor Çünüt | Front National | 49% (65%) |
février 1974 | mars 1979 | Etienne Vangue | Socialiste | 64% |
janvier 1952 | février 1974 | Martin Bulsberg | Extreme-Gauchiste | 86% |
octobre 1930 | janvier 1951 | Ansekhyo Gosk | Extreme-Gauchiste | 51% |
juillet 1921 | octobre 1930 | Patrick Guilluerme | Socialiste | 61% |
juin 1915 | juin 1921 | Henry Boelsnaët | Démocrate | 58% |
mars 1911 | avril 1915 | Georges Natvia | Républicain | 51% |
Intercommunauté[modifier | modifier le code]
Couronniers est dans l'intercommunauté et l'aire urbaine de Couronniers.
Ville | Superficie | Population | Logements |
---|---|---|---|
Couronniers | 49,29 km2 | 2 741 | 783 |
Vaurélabe | 12,10 km2 | 46 | 7 |
Jumelages[modifier | modifier le code]
Au 4 mars 1962, la ville de Couronniers est jumelé
Population et Société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
1746
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1815
|
1863
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1895
|
1895
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1909
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1930
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1956
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1977
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1999
|
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1202
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1948
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2093
|
Enseignement[modifier | modifier le code]
Dans la ville de Couronniers il y a deux établissements scolaires publiques et aucun établissements scolaires privés.
Les cantons gère une crèche pour enfant.
Crèche
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La commune gère deux écoles maternelles et élémentaires.
Écoles maternelles
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Écoles élémentaires
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Le département gère aucun collège et la région gère aucun lycée.
Collèges
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Lycées
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Santé[modifier | modifier le code]
Sport[modifier | modifier le code]
La ville possède un stade de tennis (Stade Gautier Bonneau) qui contient 600 places.
Il y a plusieurs club de sport :
- Tennis : Stade couronnins (Stade Gautier Bonneau)
Économie[modifier | modifier le code]
Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]
En 2019, le revenu fiscal médian par ménage était de 39 482 €, ce qui plaçait Couronniers au 8 472e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole.
Emploi[modifier | modifier le code]
Il y a (Nombre) emploi dans la ville et (Nombre) dans Stanville
Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]
Comme spécifié dans la section consacrée à l'urbanisme, la tertiarisation de l'économie colombienne s'accélère du fait de la proximité avec La Défense et de la restructuration de grands axes tel le boulevard Charles-de-Gaulle. Parmi les grandes sociétés implantées sur le territoire colombien, on citera volontiers Oracle ou Snecma, déjà évoqués, mais aussi Alcatel Lucent, Areva, Eiffel (filiale d'Eiffage), Pepsico, Malakoff Médéric ou encore Arkema. De nouvelles arrivées, comme la Société Générale (900 salariés), ou le centre d'appels de Free Mobile (800 téléopérateurs) témoignent de l'attractivité du territoire colombien pour les entreprises.
Au-delà du boulevard Charles-de-Gaulle et de ses environs immédiats (dont la ZAC des Champs Philippe), les grandes zones d'emplois à Colombes se trouvent majoritairement près de l'autoroute A86, dans le parc d'activités Kléber, la zone industrielle de la Prairie ou le parc technologique des Fossés Jean. Colombes compte en tout une vingtaine d'entreprises de plus de 100 salariés.
Usine de traitement des eaux de Colombes : la nécessité d'assurer la salubrité de Paris a amené la réalisation d'une usine de traitement des eaux, inaugurée le 7 juin 1895, en même temps que le pont-aqueduc, par le préfet Eugène-René Poubelle. Une première usine avait été construite à cet endroit en 1793. Les eaux usées de Paris franchissaient ensuite la Seine par le pont-aqueduc pour être amenées aux champs d'épandage de Gennevilliers.
Les commerces à Colombes sont majoritairement situés dans le centre-ville, notamment le long de la rue piétonne Saint-Denis. Mais d'autres polarités existent au cœur des quartiers, avec des commerces de proximité : ainsi en est-il près de la gare des Vallées ou de la gare du Stade. D'autres zones ont par ailleurs vocation à voir leur attractivité commerciale s'accroître dans les années à venir, sous l'impulsion de grands travaux tels que la rénovation urbaine ou l'arrivée du tramway : aux Quatre-Chemins, mais aussi aux Fossés-Jean avec le transfert programmé du Centre Leclerc sur l'avenue de Stalingrad et la création d'un cœur de quartier commerçant.
Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
La commune comprend de nombreux monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel de la France.
Deux bâtiments colombiens sont inscrits monuments historiques : la vieille église du centre-ville, et l'usine d'épuration des eaux SIAAP à côté du pont de Colombes entre l'A86 et la Seine.
Le stade Yves-du-Manoir, ancien champ de course hippique, fut inauguré en 1907 et accueillit les jeux olympiques d'été de 1924 puis la coupe du monde de football de 1938. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le lieu sert de camp d'internement dans le cadre du système concentrationnaire nazi, sous l'autorité de Vichy.
Le territoire colombien est riche d'un passé industriel. Il accueille des vestiges d'établissements et d'activités liées à l'industrie.
Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]
Maison des jeunes et de la culture[modifier | modifier le code]
Dans les années 1950, sous l'impulsion de quelques amis, naît un comité de bénévoles dont le projet est de créer une MJC, dans des vieux bâtiments en bois abandonnés, mis à disposition par la commune. Le but est d'offrir un lieu de rencontre, d'animation et d'activités multiples, ouvert et mis à disposition de tous les mouvements de jeunesse qui sont disséminés dans la commune. S'y installent les premières ossatures pour quelques activités culturelles et sportives comme : ciné-club, photo-club (dans l'ancien local électrique), animation et découverte musicale, chorale, judo-club, salle de concert, etc. Devant les premiers succès auprès de la jeunesse et de la population, le maire intervient auprès du ministère de la Culture, et réussi à se voir attribuer des subventions annuelles, qui vont permettre d'engager progressivement un directeur permanent, et un secrétariat à mi-temps. Le succès grandissant très vite, la commune obtient une importante subvention pour construire à neuf, un très important complexe culturel et sportif, qui va intégrer : un centre sportif, un théâtre et salle de cinéma de 550 places avec un vaste hall d'accueil pouvant servir de salle d'exposition, un vaste restaurant social, toutes sortes de salles de cours, des mini-chambres pour y loger les participants à des séminaires, etc. Le premier président élu est Philippe Zumbrunn. En 2013, cet important complexe culturel, sportif et social est toujours en activité avec une notoriété remarquable.
L'Avant Seine / Théâtre de Colombes[modifier | modifier le code]
Construit en 1989-1990, ce nouvel espace culturel ouvre ses portes aux publics le 11 janvier 1991. Conçu par les architectes Fabre, Perrotet et Cattani, le bâtiment comporte huit niveaux sur plus de 7 000 m2. Sa capacité d'accueil est de 1 360 personnes. La salle principale peut accueillir 1 000 personnes en version gradins. Deux niveaux sont pour le public, les autres sont des locaux techniques importants par la conception originale de la salle modulable en différentes configurations, grâce à des tables montées sur vérins hydrauliques, dont la plus lourde dépasse les 40 tonnes, et toute la machinerie impressionnante des plafonds qui permet aux neuf éléments de 20 mètres de long, de descendre des 13 mètres de hauteur à 1,5 m du sol. Il y a aussi la partie « scène », avec un plateau de 370 m2, lui aussi modulable par 77 structures métalliques de 125 × 250 m réglables tous les 10 cm jusqu'à 2,5 m de hauteur. Un accès à la scène de plain-pied depuis la rue est un confort très apprécié pour les montages des décors. le bâtiment dispose de nombreux équipements comme la climatisation en loge, bureaux et la salle refroidie par des centrales de traitement de 30 000 et 15 000 m3.
Le Cinéma L'Hélios[modifier | modifier le code]
Anciennement nommé Les 4 Clubs, ce cinéma construit en 1979 est situé en plein centre-ville de Colombes, face à l'hôtel de ville. Après deux ans de travaux de rénovation, ce complexe de 4 salles de cinéma a de nouveau ouvert ses portes le 12 novembre 2014 sous le nom de L'Hélios. Totalement accessible aux personnes à mobilité réduite, L'Hélios propose une programmation diversifiée (films art et essai et productions grand public), tout en organisant régulièrement des soirées-débats en présence de réalisateurs, journalistes ou encore critiques de cinéma, ainsi que des événements réguliers en lien avec d'autres structures culturelles locales (Conservatoire de Musique et de Danse, théâtre L'Avant Seine, Musée Municipal d'Art et d'Histoire...).
Colombes compte également trois bibliothèques et deux discothèques municipales, une salle des fêtes et théâtre polyvalents et un conservatoire de musique et de danse.
Le groupe Quilapayún[modifier | modifier le code]
Un des plus grands groupes de musique latino-américaine, qui vient du Chili, a trouvé refuge à Colombes, dans le quartier des Fossés-Jean en 1973, invité par le maire de Colombes Dominique Frélaut.
le groupe a toujours honoré la ville de Colombes durant ses 4000 concerts en écrivant une Valse de Colombes. Un hymne à la France en flûte de pan jouée comme un Orgue de Barbarie.
Patrimoine officiel du Chili, ils font partie du patrimoine de Colombes depuis 1973.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
Nés ou morts à Colombes[modifier | modifier le code]
- Georges Pierre Arnold Boscowitz (1826-1909), mort à Colombes, homme de lettres, vulcanologue, lauréat de l’Académie Française.
- Gustave Bienvêtu (1850-1916), mort à Colombes, peintre.
- Jean-Jacques Bourdin (1949), né à Colombes, journaliste et animateur de radio
- Zoumana Camara (1979), né à Colombes, footballeur.
- André Chéron (1895-1980), né à Colombes, joueur d'échecs.
- Jacques Crozemarie (1925-2006)? Mort à Colombes, fondateur et ancien président de l’Association pour la recherche sur le cancer.
- Lise Delamare (1913-2006), née à Colombes, actrice de théâtre et de cinéma.
- Rosine Delamare (1911-2013), née à Colombes, costumière.
- Émile Engel (1889-1914), né à Colombes, coureur cycliste.
- Luc Ferry (1951), né à Colombes, philosophe.
- Henriette Marie de France (1609-1669), morte au château de Colombes, fille d'Henri IV et de Marie de Médicis, et reine d'Angleterre.
- Eugène Guérard (1859-1931), né à Colombes, syndicaliste.
- Brahim Hemdani (1978), né à Colombes, footballeur.
- Abel Jacquin (1893-1968), né à Colombes, acteur de cinéma et de théâtre.
- Eliaquim Mangala (1991-), né à Colombes, international français de football.
- Jacques Montéran (1882-1947), né à Colombes, cadreur et directeur de la photographie.
- Steven Nzonzi (1988), né à Colombes, footballeur international Français
- Henri Poirier (1932-2005), né à Colombes, acteur.
- Henri Polge (1921-1978) Mort à Colombes, archiviste.
- Stéphane Porato (1973), né à Colombes, footballeur.
- Augustin Théodule Ribot (1823-1891), mort à Colombes, peintre réaliste.
- Joseph Léonard Richard (1742-1797), général des armées de la République y est né.
- Michel Roux (1929-2007), né et enterré à Colombes, acteur.
- Nadia Roz (1979), né à Colombes, humoriste.
- Alain Saint-Ogan (1895-1974), né à Colombes, auteur et dessinateur de bande dessinée.
- Quentin Spohn (1984), né à Colombes, artiste.
- Martine Storti (1946), née à Colombes, journaliste et écrivaine.
- Mickaël Tacalfred (1981), né à Colombes, footballeur.
- Armand Thirard (1899-1973) - Mort à Colombes, directeur de la photographie
- Élodie Thomis (1986), footballeuse française, née à Colombes, qui joue actuellement pour l'Olympique Lyonnais et en équipe de France de football.
- Marie-Blanche Vergne (1934-1989), née à Colombes, chanteuse et actrice.
Habitent ou ont habité Colombes[modifier | modifier le code]
- Daniel Balavoine (1952-1986), chanteur.
- Maxime Barthelmé (1988), footballeur né à Sartrouville, a grandi à Colombes et a fait ses études au collège Moulin-Joly.
- Adeline Blondieau (1971), actrice, ex-épouse de Johnny Hallyday.
- Surya Bonaly (1973), patineuse, s'est beaucoup entraîné à la patinoire de Colombes.
- Philippe Candeloro (1972), patineur, s'est beaucoup entraîné à la patinoire de Colombes.
- Joseph Caulle (1885-1915), athlète.
- Clémentine Célarié (1957), actrice.
- Benoît Cheyrou (1981), footballeur né à Suresnes, a grandi à Colombes.
- Bruno Cheyrou (1978), footballeur né à Suresnes, a grandi à Colombes(frère du précédent).
- Valérie Damidot (1965), journaliste, présentatrice de télévision.
- Philippe Dana (1959), présentateur de télévision.
- Christophe Dauphin (1968), poète.
- Alexandre Debanne (1960), présentateur de télévision.
- Philippe Druillet (1944), dessinateur.
- Jean-Pierre Etcheverry (1939-2005), handballeur, a grandi à Colombes.
- Robert Etcheverry (1937-2007), comédien, a grandi à Colombes.
- François Faber (1887-1915), vainqueur du Tour de France 1909, surnommé « le géant de Colombes »[1].
- Dominique Frelaut (1927), ancien maire de Colombes.
- François-Éric Gendron (1954), acteur.
- Paul Huvelin, président du CNPF de 1966 à 1972, directeur de Kléber Colombes.
- Jean-Jacques Kravetz (1947), musicien.
- Jean-Luc Lemoine (1970), humoriste et présentateur télé.
- Henri Lœvenbruck (1972), écrivain, chanteur, compositeur.
- Victorine Meurent (1844-1927), artiste française.
- Joëlle Mogensen (1953-1982), chanteuse.
- Nordine Mohamedi (1966), journaliste.
- Pierpoljak (1964), auteur-compositeur-interprète, a grandi à Colombes.
- Patrick Préjean (1944), acteur de théâtre.
- Carlos Quezada (1940) Musicien chanteur
- Sebastian QUezada (1972) Musicien chanteur
- Victor Quezada-Perez (1975) Metteur en scène
- Philippe Risoli (1953), animateur de télévision ; a fait sa scolarité au lycée Guy de Maupassant (ancien Robert-Schuman).
- Yoni Roch (1978), acteur, cascadeur, recordman mondial et sportif de haut niveau en sports de combat, a grandi à Colombes.
- Rama Yade (1976), a fait ses études à l'institution Jeanne-d'Arc.
- « COLOMBES : LE GEANT DE COLOMBES », sur Colombes Philatélie, (consulté le )