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Terrorisme d'extrême-gauche en Europe[modifier | modifier le code]

Le terrorisme d'extrême-gauche se réfère aux actes de terrorisme perpétrés par des acteurs non-étatiques qui s'opposent « au capitalisme, à l'impérialisme et au colonialisme, qui défendent les droits de l'environnement ou des animaux, qui épousent des convictions pro-communistes ou pro-socialistes ou qui soutiennent un système social et politique décentralisé tel que l'anarchisme ».[1]Le périmètre de cette définition est débattue au sein des milieux universitaires ; notamment quant à l'inclusion de certains groupes séparatistes ou nationalistes influencés par une idéologie d'extrême-gauche, comme l'INLA en Irlande ou le FPLP palestinien.[2]

L'Europe est frappée par deux grandes vagues d'attentats terroristes d'extrême-gauche.[3] Elle est premièrement le théâtre, à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, d'une série d'attentats anarchistes incarnée par des figures comme Ravachol, Emile Henry et Auguste Vaillant. Elle est ensuite ébranlée, principalement dans les années 70 et 80, par de nombreuses attaques perpétrées par des groupes révolutionnaires comme Action Directe. Depuis quelques années, le terrorisme d'extrême-gauche est devenue en France une menace de second plan, en deçà notamment de celles posées par le terrorisme islamiste et le terrorisme d'extrême droite.[4]

Terrorisme anarchiste[modifier | modifier le code]

Attentat de Théodule Meunier au restaurant Véry le 25 avril 1892
Attentat d'Auguste Vaillant le 9 décembre 1893 à l'Assemblée Nationale
Assassinat du Président de la République Sadi Carnot par Sante Geronimo Caserio le 15 août 1894
Jean-Jacques Liabeuf attaque des policiers le 8 janvier 1910 à Paris

Contexte politique[modifier | modifier le code]

Dans la deuxième moitié du XIXe siècle, une partie du milieu anarchiste français adopte une stratégie d'action politique qui préconise l'usage de l'action violente pour sensibiliser les masses : la propagande par le fait,[5] résumée ainsi par Pierre Kropotkine : « Notre action doit être la révolte permanente par la parole, par l’écrit, par le poignard, le fusil, la dynamite ».[6] Pour endiguer ces violences, l'Assemblée Nationale adopte les lois scélérates et la justice organise des procès emblématiques, tels que le procès des Trente.

Chronologie[modifier | modifier le code]

La liste suivante dresse une chronologie des principaux attentats anarchistes perpétrés en France entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle. Elle exclue les dizaines d'attentats[7][8] provoquant des dégâts humains ou matériels peu importants (attentat contre la statue d'Adolphe Thiers en 1881[7], majorité des attentats de la Bande Noire...), et les exactions non terroristes des criminels anarchistes comme Clément Duval, la Bande à Bonnot et les Travailleurs de nuits.

Terrorisme révolutionnaire[modifier | modifier le code]

Logo du groupe Action Directe

Contexte politique[modifier | modifier le code]

Après les évènements de mai 68, de nombreux groupes autonomes et révolutionnaires se constituent en France. Certains se bornent à des actions non ou peu violentes (squats, manifestations, dégradations de mobilier urbain...), mais d'autres constituent des cellules terroristes. Des structures similaires émergent ailleurs en Europe (Fraction Armée Rouge en Allemagne, Cellules Communistes Combattantes en Belgique, Brigades Rouges en Italie, Organisation révolutionnaire du 17-Novembre en Grèce...). C'est le début des années de plomb, qui sont marquées par des attentats sanglants perpétrés à la fois par ces groupes d'extrême-gauche et par des groupes d'extrême-droite (Groupe Charles Martel, Commandos Delta...).[32]

Panorama de la mouvance terroriste[modifier | modifier le code]

Le terroriste Carlos est responsable, en France, d'un quadruple attentat à la voiture piégée le 3 août 1974, des attentats d'Orly les 13 et 19 janvier 1975, de la fusillade de la rue Toullier le 27 juin 1975, de l'attentat du Drugstore Publicis le 15 septembre 1975, de l'attentat du Capitole le 29 mars 1982, de l'attentat de la rue Marbeuf le 22 avril 1982 et du double attentat à la gare de Marseille le 31 décembre 1983 (bilan total : 16 morts et 205 blessés).[33]

En 1983, un rapport de la CIA évalue à treize le nombre de groupes terroristes d'extrême-gauche.[34] Si certains s'attachent à ne faire que des dégâts matériels (dégradations, incendies ou explosifs contre des locaux vides pendant la nuit), d'autres n'hésitent pas à faire des victimes :

Principaux groupes terroristes d'extrême gauche (1970-1987)
Groupe Morts Blessés Activité
P.A.U.M. 0 0 Le commando Puig Antich-Ulrike Meinhof revendique 1 attentat antinucléaire en 1975.[35]
C.A.C.C.A 0 0 Le Comité d'Action Contre les Crapules Atomiques revendique un attentat qui détruit l'appartement du directeur général d'EDF Marcel Boiteux en 1977.[36]
Brigades Punitives 0 0 Les Brigades Punitives revendiquent 3 attentats en région toulousaine en 1993, contre la gendarmerie et des commerçants ayant abattu des cambrioleurs.[37]
C.A.C.T 0 0 Le Comité d'Action Contre le Travail revendique 7 attentats dans la région toulousaine en 1978.[38]
Black War 0 0 Black War revendique 10 attentats à l'explosif entre 1985 et 198, visant des locaux désaffectés, des entreprises ou des cibles d'extrême-droite.[39]
C.L.O.D.O. 0 0 Le Comité pour la Liquidation Ou la Destruction des Ordinateurs revendique 10 attentats en région parisienne et toulousaine entre 1980 et 1983, contre une préfecture et des entreprises informatiques.[39]
F.T.P 0 0 Les Francs Tireurs Partisans sont responsables de 12 attentats contre des cibles d'extrême-droite dans la région marseillaise entre 1991 et 1998.[40]
Groupe Bakounine 0 0 Le groupe Bakounine revendique 18 attentats entre 1981 et 1984 en région parisienne et à Toulon, contre un local de police municipale et des sociétés.[39]
C.A.R.L.O.S. 0 0 La Coordination Autonome des Révoltés en Lutte Ouverte contre la Société revendique au moins 23 attentats antinucléaires en 1977.[41]
Anarchistes toulousains 0 0 Le milieu anarchiste toulousain est responsable de 38 attentats antinucléaires entre 1973 et 1980[41] et 27 attentats entre 1979 et 1985.[39]
M.A.T.R.A. 0 0 Le Mouvement Armé Terroriste Révolutionnaire Anarchiste revendique au moins 28 attentats en 1978.[42]
Gauche Prolétarienne 0 0 La Gauche Prolétarienne revendique 82 attentats en 1970.[43]
N.R.P. 0 2 Le N.R.P. revendique 2 enlèvements, celui de Robert Nogrette en 1970 et celui de Alain de Grailly en 1972.[44]
GARI 0 7 Les GARI revendiquent une bonne dizaine d'attentats entre 1974 et 1975 dans toute la France qui ne font pas de victimes ; ainsi que le kidnapping du directeur de la banque Bilbao à Paris Angel Baltasar Suarez en 1974 par les GARI[45]. En outre, les GARI sont responsables de 3 braquages, qui font 6 blessés.[46]
NAPAP 1 0 Les NAPAP revendiquent 9 attentats à l'explosif ou par incendie en 1977 en région parisienne qui ne font pas de victime, ainsi que l'assassinat la même année de Jean-Antoine Tramoni, le meurtrier de Pierre Overney[44][47]
Brigades internationales 2 4 Les Brigades internationales revendiquent 5 attentats à Paris entre 1974 et 1977 : assassinat de Ramon Trabal, attaché militaire à l'ambassade d'Uruguay[48] ; tentative d'assassinat de Bartolome Valle, attaché militaire à l'amabassade d'Espagne (grièvement blessé)[49][50] ; assassinat de Joaquim Anaya, ambassadeur de Bolivie[51][50] ; tentative d'assassinat d'Homayoun Keykavoussi, attaché culturel à l'ambassade d'Iran (grièvement blessé, de même qu'un policier s'interposant)[50], et tentative d'assassinat d'Ahmed Ould Ghanahallah, ambassadeur de Mauritanie, grièvement blessé également[52].
Action Directe et Affiche Rouge 11 69 Action Directe et sa branche lyonnaise Affiche rouge sont responsables d'au moins 73 attentats entre 1979 et 1987, notamment les assassinats de Georges Besse et René Audran, qui font 4 morts et 55 blessés. En outre, les deux organisations sont responsables d'une trentaine de braquages au cours desquels 4 personnes sont tuées et 13 autres blessés ; de l'assassinat de l'indicateur de police Gabriel Chahine et de la fusillade de la rue Trudaine à Paris (2 policiers tués et 1 blessé).[39][53]

Au XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Évolution de la menace[modifier | modifier le code]

Les rapports d'Europol fournissent le nombre de suspects arrêtés chaque année en France pour des faits liés au terrorisme d'extrême-gauche :

Nombre de suspects arrêtés en France pour des faits liés au terrorisme d'extrême-gauche
2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021 2022
15[54] 3[55] 37[56] 11[57] 0[58] 0[59] 0[60] 1[61] 1[62] 1[63] 1[64] 1[65] 3[66] 0[67] 11[68] 3[69] 0[70]

Après l'arrestation des membres d'Action Directe en 1987, la menace du terrorisme d’extrême gauche en France s'affaiblit considérablement. Au début des années 2000, les rapports annuels d'Europol précisent que si en « 1980, deux cent quarante actes violents étaient attribués à l'extrême gauche, depuis 1990 le nombre a chuté à environ une vingtaine ».[71] Ces évènements relèvent plus souvent « d'actes d'hostilité que de véritables initiatives d'inspiration terroriste, [provoquant] le plus souvent des dégâts mineurs »[72] et confirment un « changement de modus operandi ».[71]

Le 17 juin 2006, des membres du Parti Communiste de Turquie Marxiste-Léniniste (TKP/ML) tente d'attaquer au cocktail molotov l'ambassade turque à Paris[54][73]. En 2008, lors de l'affaire de Tarnac, des militants d'ultragauche sont arrêtés, soupçonnés d'avoir saboté des lignes de chemin de fer (la Cour de Cassation abandonnera en 2017 les charges de terrorisme à leur encontre).[74] Depuis 2017, une vague d'incendies criminels à Grenoble est attribuée à la mouvance anarchiste locale. En juin 2022, un militant libertaire est arrêté à Persan pour l'incendie de voitures diplomatiques dans les beaux quartiers de Paris.[75]

Pour autant, le rapport 2019 d'Europol prévient que certains extrémistes « prônent ouvertement "l'action directe", qui pourrait conduire à l'avenir à des formes d'action plus violentes, voire au terrorisme »[66]. En 2020, dans ce qu'on appelle l'affaire du 8 décembre 2020, neuf membres de la mouvance d’ultragauche soupçonnés de préparer un attentat contre les forces de l’ordre ou des militaires sont arrêtés à Vitry-sur-Seine, Toulouse et Cubjac. A cette occasion, Laurent Nuñez déclare « il y a une montée en gamme très importante de la violence dans la mouvance ultragauche ».[76] Le 30 mai 2022, un homme de 22 ans est interpellé à Arenthon, soupçonné de projeter un attentat au nom d’une « idéologie socialiste et révolutionnaire ». Les enquêteurs découvrent chez lui des produits pouvant servir à la confection d’explosifs. Il est mis en examen pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et est placé en détention provisoire dans le cadre d'une enquête dont s'est saisie le parquet national antiterroriste.[77]

Débat autour du terrorisme d'extrême-gauche[modifier | modifier le code]

La qualification de « terrorisme » pour les agissements de groupe d'extrême-gauche fait l'objet de débats. En octobre 2022, après les manifestations violentes dans les Deux-Sèvres en opposition aux mégabassines, le Minsitre de l'intérieur Gérald Darmanin dénonce « l’éco-terrorisme » de certains militants. Si le terme scandalise les principaux intéressés, le doctorant en criminologie à l’Université de Montréal Bénoît Gagnon estime que cette terminologie est juste.[78] En avril 2023, après de nouvelles manifestations violentes, à Sainte-Soline cette fois, Gérald Darmanin qualifie la NUPES de "mouvement qui prend la pente de [l']ultragauche des années 70" et l'accuse de "terrorisme intellectuel", provoquant de vives réactions de la part des intéressés.[79]

Chronologie développée anarchisme[modifier | modifier le code]

  • (0 mort, 0 blessé) Le 15 octobre 1840, tentative d'assassinat du roi Louis-Philippe Ier par Marius Darmès.[80]
  • (0 mort, 0 blessé) Le 16 avril 1866, tentative d'assassinat de l'empereur Alexandre II de Russie par Dimitri Karakosov.
  • Le 28 décembre 1870, assassinat du général Joan Prim par José Paúl y Angulo.
  • Le 24 janvier 1878, tentative d'assassinat du général Theodore Trepov par Véra Zassoulitch.
  • Le 11 mai 1878, tentative d'assassinat de l'empereur allemand Guillaume Ier par Max Hödel.
  • Le 5 juin 1878, tentative d'assassinat de l'empereur allemand Guillaume Ier par Karl Nobiling.
  • Le 16 août 1878, assassinat du général Mezentsoff, chef de la police secrète, par un nihiliste. / Sergey Stepnyak-Kravchinsky stabs to death General Nikolai Mezentsov, head of the Tsar's secret police, in response to the execution of Ivan Kovalsky.
  • Le 25 octobre 1878, tentative d'assassinat du roi Alphonse XII d'Espagne par Joan Oliva Moncasi.
  • Le 17 novembre 1878, tentative d'assassinat du roi Humbert Ier par Giovanni Passannante.
  • Le 9 février 1879, assassinat du prince Kropotkine, gouverneur de Kharkov et cousin de Pierre Kropotkine, par Grigori Goldenberg au nom de la Narodnaïa Volia.
  • Le 29 mars 1879, assassinat du général Drentelen, successeur du général Mezentsoff à la tête de la police secrète, par un nihiliste.
  • Le 14 avril 1879, tentative d'assassinat du tsar Alexandre II par Alexandre Soloviev.
  • Le 19 novembre 1879, attentat contre le tsar Alexandre II organisé par Hartmann au nom de la Narodnaïa Volia.
  • Le 30 décembre 1879, tentative d'assassinat du roi Alphonse XII d'Espagne par Francisco Otero y Gonzalez.
  • 17 février 1880, Stepan Khalturin successfully blows up part of the Winter Palace in an attempt to assassinate Tsar Alexander II of Russia. Although the Tsar escapes unharmed, eight soldiers are killed and 45 wounded. Referring to the 1862 invention of dynamite, historian Benedict Anderson observes that "Nobel's invention had now arrived politically." Khalturin is hanged on the orders of Alexander's son and successor, Alexander III, in 1882 after the assassination of a police official.
  • Le 13 mars 1881, assassinat de l'empereur Alexandre II de Russie par Narodnaïa Volia.
  •  Le 23 février 1883, Antoine Cyvoct et Paul Metayer sont victimes de l'explosion accidentelle de la bombe qu'ils transportaient.
  • Le 28 septembre 1883, attentat contre Guillaume Ier d'Allemagne organisé par August Reinsdorf, Küchler et Rupsch.
  • The Spanish anarchist Santiago Salvador throws two Orsini bombs into the orchestra pit of the Liceu Theater in Barcelona during the second act of the opera Guillaume Tell, killing some twenty people and injuring scores of others.
  • Le 24 septembre 1892, attentat contre le général Arsenio Martinez Campos organisé par Paulino Pallás.
  • February 15, 1894 – A chemical explosive carried by Martial Bourdin prematurely detonates outside the Royal Observatory, Greenwich in Greenwich Park, killing him.
    • June 7, 1896 – Anarchist bombing of a Feast of Corpus Christi procession in Barcelona. Three people were killed instantly and another nine died from their injuries over the following days. The victims, however, were overwhelmingly poor and working class people attending religious worship, which caused some anarchists to denounce and disown the bombing.
  • Le 22 avril 1897, tentative d'assassinat du roi d'Italie Humbert Ier par Pietro Acciarito.
  • Le 8 août 1897, assassinat du président du Ministère-Régence, Antonio Cánovas del Castillo, responsable de la torture et de l'exécution des anarchistes à Montjuïc (Barcelone) par Michele Angiolillo.
  • Le 10 septembre 1898, assassinat d'Élisabeth de Wittelsbach, impératrice d'Autriche, par Luigi Lucheni.
  • Le 29 juillet 1900, assassinat du roi d'Italie Humbert Ier par Gaetano Bresci.
  • Le 15 novembre 1902, tentative d'assassinat du roi Léopold II par Gennaro Rubino.
  • 17 février 1905 Ivan Kalyayev of the SR Combat Organisation kills Grand Duke Sergei Alexandrovich of Russia with a bomb. . Despite efforts to spare him from the death penalty by the victim's widow, Grand Duchess Elizabeth Fyodorovna, Kalyayev was hanged on May 23, 1905.
  • Catalan anarchist Mateu Morral tries to kill King Alfonso XIII of Spain and Queen Victoria Eugenie immediately after their wedding by throwing a bomb into the procession. The King and Queen are unhurt, but 24 bystanders and horses are killed and over 100 persons injured. Morral is apprehended two days later and commits suicide while being transferred to prison.
  • Manuel Buíça and Alfredo Costa shoot to death King Carlos I of Portugal and his son, Crown Prince Luis Filipe, respectively, in the Lisbon Regicide. Both Buiça and Costa, who are sympathetic to a republican movement in Portugal that includes anarchist elements, are shot dead by police officers.
      • March 8, 1921 – Three anarchists on a motorcycle shoot dead Spanish Prime Minister Eduardo Dato Iradier in Puerta de Alcalá, Madrid. July 14, 1922 – Gustave Bouvet attempts to kill French president Alexandre Millerand.
  • Le 11 septembre 1926, attentat contre Benito Mussolini organisé par Gino Lucetti.
  • Le 31 octobre 1926, tentative d'assassinat de Benito Mussolini par Anteo Zamboni.

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Bien plus tard : Angry Brigade a rajouter / Dutch organisation RaRa / assassinat nordet Grèce /

A rajouter dans le contexte : Conférence internationale de Rome pour la défense sociale contre les anarchistes à ignature du protocole anti-anarchiste de Saint-Pétersbourg.

Références[modifier | modifier le code]

  1. (en) Seth G. Jones, Catrina Doxsee et Nicholas Harrington, The Escalating Terrorism Problem in the United States (lire en ligne), p. 2
  2. (en) Andrew Silke et Leena Malkki, Rootledge Handbook of Terrorism and Counterterrorism (lire en ligne), p. 87
  3. Jenny Raflik, Les expressions du terrorisme dans l'histoire contemporaine (lire en ligne), p. 3
  4. « Menace terroriste d’extrême droite: la France en première ligne », Libération,‎ (lire en ligne)
  5. a et b Jean Garrigues, « Les anars contre la république », L'Histoire,‎ (lire en ligne)
  6. Karine Salomé, Le 9 décembre 1893, attentat anarchiste à la Chambre des députés (lire en ligne)
  7. a b et c « Archives anarchistes : les attentats anarchistes »
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  10. Dictionnaire des anarchistes (lire en ligne), FOURNIER Pierre
  11. Dictionnaire des anarchistes (lire en ligne), CYVOCT Antoine, Marie
  12. Dictionnaire des anarchistes (lire en ligne), CURIEN Paul, Marie
  13. Dictionnaire des anarchistes (lire en ligne), GALLO Charles
  14. Dictionnaire des anarchistes (lire en ligne), CHOMAT Pierre
  15. Dictionnaire des anarchistes (lire en ligne), RAVACHOL [KOENINGSTEIN François, Claudius, dit ; souvent orthographié Koenigstein]
  16. Dictionnaire des anarchistes (lire en ligne), MEUNIER Théodule, Joseph, Constant
  17. a et b Dictionnaire des anarchistes (lire en ligne), HENRY Émile, Jules, Félix
  18. Dictionnaire des anarchistes (lire en ligne), LÉAUTHIER Léon, Jules
  19. Dictionnaire des anarchistes (lire en ligne), VAILLANT, Auguste
  20. Dictionnaire des anarchistes (lire en ligne), PAUWELS Désiré, Joseph
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  22. Dictionnaire des anarchistes (lire en ligne), CASERIO Sante Geronimo
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  24. Dictionnaire des anarchistes (lire en ligne), MALATO, Charles
  25. « La tragédie de la rue Aubry-le-Boucher », Le Petit Journal,‎
  26. Dictionnaire des anarchistes (lire en ligne), COTTIN Émile
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  34. Muriel Ressiguier, Compte rendu ; Commission d’enquête sur la lutte contre les groupuscules d’extrême droite en France, (lire en ligne)
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