Saint-Mayeux

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saint-Mayeux
Saint-Mayeux
Mairie de Saint-Mayeux.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité Loudéac Communauté − Bretagne Centre
Maire
Mandat
Gilles Hellard
2020-2026
Code postal 22320
Code commune 22316
Démographie
Gentilé Mayochin
Population
municipale
466 hab. (2020 en diminution de 4,9 % par rapport à 2014)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 15′ 24″ nord, 3° 00′ 17″ ouest
Altitude 274 m
Min. 189 m
Max. 316 m
Superficie 30,63 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Guerlédan
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Mayeux
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Mayeux
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Voir sur la carte topographique des Côtes-d'Armor
Saint-Mayeux
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Voir sur la carte administrative de Bretagne
Saint-Mayeux

Saint-Mayeux [sɛ̃majø] (Sant-Vaeg en breton) est une commune française située en Argoat, dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne.

Ses habitants s'appellent les Mayochins et les Mayochines. Au recensement de 2020, ils étaient 466[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Saint-Mayeux est accessible par la route départementale 76, entre Laniscat et le hameau de Keryhouée, ou par la RD 69, entre Saint-Gilles-Vieux-Marché et le hameau de Kerguiel.

Carte de l'ancienne commune de Saint-Mayeux et des communes avoisinantes.




Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,2 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,2 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 033 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 15,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Caurel-Edf », sur la commune de Caurel, mise en service en 1999[8] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 1 112,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à 32 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,2 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Mayeux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,9 %), prairies (23,5 %), zones agricoles hétérogènes (12,7 %), forêts (8 %), zones urbanisées (1,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Parochia de Sancto Maec en 1245, Parochia de Sancto Maioco en 1284, Villa, Parochia Sancti Maioci en 1286, Sanctus Maeocus en 1368, ecclesia de Sancto Maeco au XIVe siècle, Saint-Maeuc en 1546, Sainct Meac en 1535 et en 1574, Saint-Meac en 1631 et en 1679[21].
On rencontre les formes Saint-Mayeuc et Saint-Mayeux dès le XVIIIe siècle.

Le nom de la commune proviendrait de saint Mayeux, saint breton peu connu, également dénommé saint Mieux, saint Maeoc, saint Maëc, saint Nic, etc.[réf. nécessaire]

En langue bretonne, le nom de la commune est Sant-Maeg (autrefois Sant-Vek)[22].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Un des menhirs de Roch-ar-Lin (carte postale Émile Hamonic).

L'occupation du territoire de Saint-Mayeux au néolithique est attestée par des menhirs et des allées couvertes, notamment la chaise en escalier de Roc'h-ar-Lin, entre les hameaux de Poulancre et Rohanno[23].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Sous l'Ancien Régime, Saint-Mayeux était une paroisse issue du démembrement de la paroisse de l'Armorique primitive de Plussulien. Elle faisait partie du diocèse de Quimper, et avait pour trèves : Caurel et Saint-Gilles-Vieux-Marché.

Le manoir de Saint-Dridan appartenait en 1450 à Henri Rousseau[24].

Selon un aveu de 1471 la châtellenie de Corlay , un des trois membres de la vicomté de Rohan comprenait 12 paroisses ou trèves : « Corlé [Corlay] (résidence seigneuriale), Saint-Martin-des-Prés, Merléac, le Quilio, Saint-Mayeuc, Saint-Gilles-Vieux-Marché, Caurel, Laniscat, Saint-Guelven, Rosquelfen, Saint-Igeau, Plussulien »[25].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Saint-Mayeux en 1778 :

« Saint-Mayeux ; à 18 lieues à l'est-Nord-est de Quimper, son évêché ; à 22 lieues de Rennes ; et à 4 lieues de Quintin, sa subdélégation. Cette paroisse ressortit à Ploërmel, et compte 1 700 communiants[Note 7], y compris ceux de Caurel et du Vieux-Marché, ses trèves ; la cure est à l'alternative. Le territoire offre à la vue des terres en labeur, quelques prairies, beaucoup de landes et des mines de fer[24]. »

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

En juin 1806, la majeure partie de l'ancienne église s'étant écroulée, lors de la démolition de la tour ancienne et du clocher, le maire demanda de transporter le culte dans la chapelle Saint-Maurice. On commença les travaux de restauration rapidement grâce à la récupération du clocher de l'abbaye de Bon-Repos, démonté, puis remonté, pierre par pierre[26].

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Saint-Mayeux en 1845 :

« Saint-Mayeux ; commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom, moins Vieux-Marché [Saint-Gilles-Vieux-Marché] et Caurel, ses trèves ; aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : Kerloué, Kerbrun, Kerlio, Kerfaouen, Créfiniac, le Rouello, Guernigo, le Bothan, Kercado, Guernezan, le Guerglas, Kerdoret, Guerveno, Kermest, Gueniguern, Poulancre, Carloëzio, Rohanno, Kervégan, Kertanguy, Garzanic, Nessaden, le Clos, Kerauter, Crampoizic, Keraudren, Botquillio. Superficie totale : 3 097 hectares, dont (...) terres labourables 1 549 ha, prés et pâturages 438 ha, bois 46 ha, vergers et jardins 41 ha, Landes et incultes 804 ha (...). Moulins : 2 (de Bourlousson, à eau). Il y a dans cette commune, en outre de l'église, la chapelle Saint-Mathurin. La route de Corlay à Pontivy la traverse de l'est-nord-est à l'ouest-nord-ouest. Géologie : schiste talqueux, grès et poudingue. On parle le breton[27]. »

Joachim Gaultier du Mottay décrit Saint-Mayeux en 1862 :

« Saint-Mayeux (...) ; traversée par la route impériale n° 167 (...). On parle le breton. Territoire très élevé et très montueux dans la direction de l'est à l'ouest. Terres généralement bien travaillées, mais situées au milieu d'une grande étendue de landes. Bois du Couedic et de Poulancre. (...). Dans le cimetière on remarque une belle croix en granite[28] »

En 1890, l'abbé Claude Guitterel (1843-1925), recteur de Saint-Mayeux, a publié un recueil de cantiques en breton : Kantikou Zan-Vek zavet gant ann Otrou Guitterel, belek. Moulet evit ann eil gwech.

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

La Belle Époque[modifier | modifier le code]

La Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts de Saint-Mayeux porte les noms de 74 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[29].

Le monument aux morts de Saint-Mayeux.

L'Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts porte également une inscription en breton car Saint-Mayeux était brittophone jusqu'en 1930 environ.

La Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Lee monument aux morts de Saint-Mayeux porte les noms de 10 personnes mortes pour la France durant la Seconde Guerre mondiale[29].

L'après Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Un soldat originaire de Saint-Mayeux est mort durant la Guerre d'Indochine[29].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Saint-Mayeux (22) Mairie
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1793 1798 Allain Raul[Note 8]   Laboureur.
1798   Yves Menguy[Note 9]    
1807   Mathurin Joseph Menguy[Note 10]   Marchand et cultivateur.
1808 1817 Jacques Marie Menguy[Note 11]   Notaire.
1817 1819 Vincent Menguy[Note 12]   Cultivateur.
1819 1830 Le Flohic[Note 13]    
1830 1867 Stanislas Menguy[Note 14]   Notaire. Fils de Jacques Marie Menguy, maire entre 1808 et 1817.
1867 1878 Mathurin Cuven[Note 15]   Maire du au .
1878 1881 Jean-Louis Henry[Note 16]   Notaire.
1881 1885 Joseph Boscher[Note 17]   Cultivateur.
1885 1891 Mathurin Le Denmat[Note 18]   Cultivateur.
1891 1896 Alfred Abgrall[Note 19]   Notaire.
1896 1897 Jules Le Denmat[Note 20]   Agriculteur. Célibataire. Fils de Mathurin Le Denmat, maire entre 1888 et 1891.
1898 1904 Victor Le Denmat    
1904 1922 Eugène Cuven[Note 21]   Propriétaire agriculteur. Député. Conseiller général. Fils de Mathurin Cuven, maire entre 1867 et 1878.
         
1959 1977 Léon Sérandour PSU, PS Agriculteur. Conseiller général
1977 2001 Robert Chateau PS Chef d'entreprise bâtiment
mars 2001 3 juillet 2020 Guy Quéré PS Agriculteur
3 juillet 2020 En cours Gilles Hellard[30]   Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

En 2020, la commune comptait 466 habitants[Note 22], en diminution de 4,9 % par rapport à 2014 (Côtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7841 7031 4181 4781 8271 8361 7861 8792 020
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8081 6331 6771 6411 6861 6061 6041 6171 583
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5681 5321 4341 4161 3031 2741 1851 123921
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
909874773664539484519502469
2020 - - - - - - - -
466--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Saint-Mayeux a perdu 76 % de sa population entre 1851 et 1999, passant de 2 020 à 493 habitants entre ces deux dates.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Langue bretonne[modifier | modifier le code]

L’adhésion à la charte Ya d’ar brezhoneg a été votée par le Conseil municipal le .

Des éléments du parler local sont disponibles ici :

http://academia-celtica.niceboard.com/t2314-saint-mayeux-br-sant-vaeg-br-local-zan-veg

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église paroissiale Saint-Mayeux ; le clocher de l'église, reconstruit en 1808 après l'effondrement survenu en 1806, est une récupération de celui de l'abbaye de Bon-Repos ; l'église a été reconstruite en 1835[35].
  • La chapelle de la Trinité à Bel-Air (dite aussi chapelle Saint-Lubin ou chapelle Saint-Léon-du-Bois ; elle date du début du XIXe siècle[35].
  • Le Roch ar lin, avec le bélvédère chargé d'histoire et de légendes, dont la célèbre chaire à escalier[36] et ses menhirs.
  • Des menhirs, le Mein ar c'has (la Pierre du chat), le Roch al lein (le Rocher du sommet).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. Personnes en âge de communier.
  8. Alain Raul, né le à Saint-Gelven, décédé le à Crampoisic en Saint-Mayeux.
  9. Yves Menguy, né le à Poulancre-d'en-bas en Saint-Mayeux, décédé probablement le à Saint-Mayeux
  10. Mathurin Joseph Menguy, né le à Saint Mayeux, décédé le à Saint-Mayeux
  11. Jacques Marie Menguy, né le à Poulancre-d'en-bas en Saint-Mayeux, décédé le à Saint-Mayeux.
  12. Vincent Menguy, né le à Kerdehoret en Saint-Mayeux, décédé le à Kerdehoret en Saint-Mayeux.
  13. Probablement Joseph Marie Le Flohic, né le à Saint-Mayeux, décédé le à Saint-Mayeux.
  14. Stanislas Menguy, né le au bourg de Saint-Mayeux, décédé le à Saint-Mayeux.
  15. Mathurin Cuven, né avant 1854, décédé le à Saint-Mayeux.
  16. Jean-Louis Henry, né le à Plusquellec, décédé le à Saint-Mayeux.
  17. Joseph Boscher, né le à Saint-Mayeux, décédé le à Créfiniac en Saint-Mayeux.
  18. Mathurin Le Denmat, né le à Saint-Gilles-Vieux-Marché, décédé le à Kerdéhoret en Saint-Mayeux.
  19. Alfred Abgrall, né le à Brest, décédé le à Quintin.
  20. Jules Le Denmat, né en 1838 à Saint-Mayeux, décédé le à Saint-Mayeux.
  21. Eugène Caven, né le à Saint-Mayeux, décédé le .
  22. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. populations légales 2006 sur le site de l’INSEE
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le ).
  8. « Station Météo-France Caurel-Edf - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Saint-Mayeux et Caurel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France Caurel-Edf - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Saint-Mayeux et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  13. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  14. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Saint-Mayeux ».
  22. Régis de Saint-Jouan : Dictionnaire des communes. Département des Côtes d'Armor. Éléments d'histoire et d'archéologie. Conseil Général des Côtes d'Armor. Saint-Brieuc. 1990.
  23. Marcel Baudoin, « La chaise en escalier de Roch-ar-Lin à Saint-Mayeux (Côtes-du-Nord) », Bulletins et Mémoires de la Société d'Anthropologie de Paris,‎ , p. 457-489 (lire en ligne, consulté le )
  24. a et b Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 4, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), pages 337-338.
  25. Théodore Derome, « De l'usement de Rohan ou du domaine congéable », Revue critique de législation et de jurisprudence,‎ , p. 257-258 (lire en ligne, consulté le ).
  26. René Couffon, Répertoire des églises et chapelles du diocèse de Saint-Brieuc et Tréguier (suite et fin - Saint-Igeaux-Saint-Helen - Saints bretons honorés dans les Côtes-du-Nord, Table chronologique des églises, Mobilier, Architectes, maîtres maçons et maîtres d'œuvre, artisans et artistes), dans Société d'émulation des Côtes-du-Nord, 1940, tome 72, p. 1-246
  27. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 2, Rennes, Molliex, (lire en ligne), pages 106-107.
  28. Joachim Gaultier du Mottay, Géographie départementale des Côtes-du-Nord, (lire en ligne), pages 750 et 751.
  29. a b et c « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  30. « Municipales à Saint-Mayeux. Gilles Hellard est élu maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  35. a b et c « Étymologie et histoire de Saint-Mayeux. Patrimoine de Saint-Mayeux », sur InfoBretagne.com (consulté le ).
  36. Docteur Marcel Baudouin, "La" Chaire à escalier" de Roc'h-ar-Lin à Saint-Mayeux (Côtes-du-Nord)", Bulletins et Mémoires de la Société d'Anthropologie de Paris, 1907, volume 8, consultable http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bmsap_0037-8984_1907_num_8_1_7031

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :